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Motivation et émotions > Cours 8 : Contrôle > Flashcards

Cours 8 : Contrôle Flashcards

1
Q

Attentes

A

Les gens se basent sur leurs expériences passées et leurs ressources personnelles pour faire des prévisions (attentes) sur l’avenir et leur capacité à y faire face

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Q

Attentes d’efficacité

A
  • Jugement sur sa capacité à exécuter une action ou séquence d’actions
  • “Suis-je capable?”
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3
Q

Attentes de conséquence

A

Jugement sur le fait qu’une action donnée va provoquer une conséquence particulière
-“Est-ce que ça va fonctionner?”

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4
Q

Expliquer la motivation à un but grâce aux attentes

A
  1. La personne (soi) a des attentes d’être capable d’adopter les comportements requis (attentes d’efficacité)
  2. Comportement = attentes que le comportment produira des conséquences positives (attentes de conséquences)
  3. Conséquences (contrôle)
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5
Q

Sentiment de contrôle ??

A

La façon dont le soi exerce un contrôle sur les conséquences

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6
Q

Auto-efficacité (sentiment de capacité)

A

Avoir des compétences (ressources internes) ET avoir la capacité de les traduire en performance efficace, mm dans des circonstances difficiles

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7
Q

Le doute

A
  • Contraire de l’auto-efficacité
  • Doute = surprises/échecs/difficultés créent anxiété, confusion, pensées négatives, excitations physiologiques aversives, tension corporelle = évitement, perturbation de la performance
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8
Q

Que prédit l’auto-efficacité?

A

Balance motivationnelle entre l’envie d’essayer vs l’anxiété/doute qui mènent à l’évitement

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9
Q

Sources de l’auto-efficacité

A
  • Historique personnel
  • Expérience vicariante
  • Persuasion verbale
  • État physiologique
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10
Q

Historique personnel

A
  • Source la + influente d’auto-efficacité
  • Tentatives d’exécution de comportement antérieures jugées compétentes/incompétentes augmentent/diminuent auto-efficacité
  • Historique personnel d’un comportement change chaque fois que ce comportement a lieu
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11
Q

Expérience vicariante

A

Observation de modèle ayant adopté mm action ou séquence d’actions
-Permet à la personne de comprendre que c’est possible de le faire

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12
Q

Deux facteurs qui influencent le degré auquel l’expérience vicariante affecte l’auto-efficacité

A
  • Similitude entre le modèle et l’observateur

- Degré d’expérience de l’observateur (moins observateur expérimenté, plus l’effet aura effet sur lui)

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13
Q

Persuasion verbale

A
  • Discours dynamiques qui, si efficaces, persuadent la personne de se centrer sur ses points forts et potentiels
  • Peuvent aussi être générés par l’individu lui-mm
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14
Q

Efficacité de la persuasion verbale

A
  • Efficacité à relativement court terme
  • Vulnérable à :
  • L’expérience directe (si elle oppose le discours, elle est limitée)
  • Frontières du possible
  • Crédibilité et expérience de la personne qui essaie de persuader
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15
Q

État physiologique

A
  • Signaux physiologiques qui montrent que les exigences de la tâche en cours dépassent la capacité d’adaptation de la personne
  • Fatigue, douleur, tension musculaire, confusion mentale, mains tremblantes
  • État physiologique anormal contribue à sentiment d’inefficacité
  • Absence de tension accroît auto-efficacité
  • Effet bidirectionnelle
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16
Q

À quel type de tâche s’applique surtout l’état physiologique?

A
  • Tâches où l’efficacité est incertaine

- > on fait encore + attention aux sx physiques dans cette situation

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17
Q

Ecq performance augmente auto-efficacité ou le contraire?

A
  • Les deux effets existent, mais effet de la performance sur l’auto-efficacité est plus fort
  • La performance ne dépend pas uniquement de l’auto-efficacité, dépend aussi d’autres éléments
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18
Q

Effets de l’auto-efficacité sur le comportement

A
  • Choix
  • Efforts et persistance
  • Pensée et prise de décision
  • Réactions émotionnelles
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19
Q

Choix

A
  • Recherche et approche d’activités et situations auxquelles on se sent capable de s’adapter
  • Fuite et évitement d’activités et de situations qu’on perçoit comme dépassant nos capacités d’adaptation
20
Q

Effets du choix d’évitement

A

Peut être nuisible à long terme:

  • Entrave au développement du potentiel
  • Réduction de la gamme d’activités et contextes = généralisation sur les autres activités
21
Q

Effort et persévérance

A
  • Croyances d’auto-efficacité fortes produisent efforts d’adaptation persistants visant à surmonter les difficultés
  • Doute = relâchement des efforts/abandon face aux difficultés
22
Q

Pensée et prise de décision chez personnes avec auto-efficacité élevée

A

Demeurent dans leur pensée analytique lors d’épisodes de stress = reste concentrée sur la tâche

23
Q

Pensée et prise de décision chez personnes avec auto-efficacité faible

A

-Pensent de manière imprévisible
-Sont plus confuses
-Ont plus de pensées négatives lors d’épisodes de stress
= Éloignent d’une réflexion centrée sur la tâche, amène attention sur ses propres déficiences et sur les exigences de la tâche

24
Q

Réactions émotionnelles chez personnes avec auto-efficacité élevée

A
  • Sentiments d’enthousiasme, optimisme et intérêt
  • Centration sur exigences et défis
  • Préparation des comportements adaptés
  • Anxiété tenue à distance
25
Q

Réactions émotionnelles chez personnes avec auto-efficacité faible

A
  • Sentiments de pessimisme, anxiété, stress, déprime
  • Centration sur leurs carences et les obstacles redoutables
  • Détresse en situation de difficultés
26
Q

Quelle est la différence entre l’auto-efficacité et le besoin de compétence?

A
  • Besoin de compétence = constante développementale, auto-efficacité peut varier, est plus modulable
  • Croyances d’auto-efficacité = spécifiques aux tâches/situations, besoin de compétence = expérience globale qui concerne toutes les expériences
27
Q

Croyances de maîtrise

A

Degré auquel une personne croit qu’elle produit les conséquences qu’elle souhaite obtenir et empêche celles qui y sont contradictoires

28
Q

Croyances de maîtrise fortes et résistantes

A

Individu perçoit un lien étroit de causalité entre ses actions et leurs conséquences

29
Q

Croyances de maîtrise faibles et fragiles

A

Individu perçoit que ses initiatives personnelles et ses actions produisent peu d’effet sur ce qui se passe (essayer semble alors inutile)

30
Q

Stratégies d’adaptation (coping) (7)

A
  • Approche vs évitement
  • Social vs solitaire
  • Proactif vs réactif
  • Direct vs indirect
  • Contrôle vs fuite
  • Alloplastique vs autoplastique
  • Centré sur le problème vs centré sur l’émotion
31
Q

Approche vs évitement

A
  • Se diriger vers problème et interagir avec celui-ci vs s’éloigner
  • Approche = rester proche mais pas de moyens concrets pour prendre contrôle (en parler sans cesse, mais rien faire)
  • Évitement = éloignement du problème
32
Q

Social vs solitaire

A

Agir avec une équipe/partenaire(s) vs seul

33
Q

Proactif vs réactif

A

Agir par prévention du problème vs après qu’il soit apparu

34
Q

Direct vs indirect

A

Agir soi-mm vs demander de l’aide à une prsn qui agit de manière directe

35
Q

Contrôle vs fuite

A

Approche de prise en main vs ne pas s’impliquer dans situation
-Contrôle = moyens concrets pour gagner en contrôle

36
Q

Alloplastique vs autoplastique

A

Agir pour changer problème vs se changer soi-mm

-PAS gestion du problème, mais plutôt tentative de modification de la situation entière

37
Q

Centré sur le problème vs centré sur l’émotion

A

Agir pour gérer le problème provoquant le stress vs agir pour réguler sa réponse émotionnelle au problème

38
Q

Orientation motivationnelle de maîtrise

A
  • Représentation de soi robuste

- Répond à échec en restant centrée sur la tâche et la restauration de la maîtrise

39
Q

Orientation motivationnelle d’impuissance

A
  • Échec =accusation, signe d’incapactié perso (désespoir)

- Dénigrent leur capacité, leur propre valeur, humeur nég, stratégies immatures, abandon

40
Q

Impuissance acquise

A
  • État psycho qui survient qd individu s’attend à ce que les choses qui surviennent dans sa vie soient incontrôlables
  • Ses comportements ont peu ou pas de contrôle sur conséquences
41
Q

Qu’est-ce que l’impuissance acquise crée?

A

Déficits :

  • motivationnels( passivité);
  • d’apprentissage (désengagement, pessimisme);
  • émotionnels (dépression)
42
Q

Attribution

A
  • Explication causale de l’occurence d’une conséquence de réussite ou d’échec
  • Après qu’une prsn réussit ou échoue, elle se demande pk
43
Q

Structure causale à trois dimensions des attributions

A
  • Locus (cause internes vs externes)
  • Stabilité (causes stables vs instables)
  • Contrôlabilité (causes contrôlables vs incontrôlables)
44
Q

Styles explicatifs

A
  • Variable de la personnalité relativement stable, cognitivement fondée
  • Façon dont les gens expliquent les raisons pour lesquelles les évènements se produisent dans leur vie
  • Style pessimiste vs optimiste
45
Q

Style explicatif pessimiste face à une mauvaise conséquence (rejet, échec, perte)

A
  • Locus interne : la cause se trouve en moi
  • Attribution stable : la cause est stable et figée dans le temps et à travers les situations
  • Attribution incontrôlable : la cause ne peut pas être changée ou placée sous mon contrôle
46
Q

Style explicatif optimiste face à une mauvaise conséquence (rejet, échec, perte)

A
  • Locus externe : la cause se trouve chez autres/est situationnelle
  • Attribution instable : la cause est éphémère et change au cours du temps/selon les situations
  • Attribution contrôlable : la cause peut être changée ou placée sous mon contrôle
47
Q

Ecq + de contrôle, c’est mieux?

A
  • Perception de contrôle est bénéfique en termes de bien-être psycho et physique
  • Mais qd compétences/capacités sont insuffisantes et que la situation est incontrôlable, la recherche de contrôle peut mener à anxiété, dépression et maladie
  • Essentiel = appariement personne/environnement

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