Cours 8 : conférence orgasme Flashcards

1
Q

Les composantes de la réponse sexuelle

A

Excitation sexuelle, désir, orgasme.
Différence très ambiguë entre les termes, différents pour les personnes individuellement, mais entre chercheurs aussi : beaucoup de chose à faire encore.

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2
Q

Qui a fait les modèles de la réponse sexuelle?

A

Masters & Johnson

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3
Q

Modèle de la réponse sexuelle - Masters & Johnson - réponse féminine

A

3 courbes
1 - + difficulté à vivre orgasmes (donc ne monte pas à la phase de l’orgasme)
2- Phase de plateau n’est pas un “must” pour tout le monde
3- possibilité orgasmes multiples

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4
Q

Anorgasmie définition et 2 types

A

Anorgasmie primaire = une personne qui n’a jamais eu d’orgasme de sa vie
Anorgasmie secondaire = une personne qui a déjà eu des orgasmes, mais qui n’arrive plus à en avoir (évènement qui est survenu)

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5
Q

Modèle de la réponse sexuelle - Masters & Johnson - réponse masculine

A

Propose la possibilité d’orgasmes multiples chez l’homme

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6
Q

Anorgasmie chez les hommes

A

Anorgasmie moins fréquent en clinique chez les hommes, mais beaucoup de troubles éjaculatoires

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7
Q

Excitation objective

A

excitation mesurable physiologiquement (H = augmentation circonférence pénienne, F = augmentation du flux sanguin)

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8
Q

Excitation subjective

A

auto-rapportée

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9
Q

Concordance entre excitation objective et subjective?

A

Discordance chez les femmes, mais pas chez les hommes

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10
Q

Suite au visionnement de films représentant des singes Bonobos en train de s’accoupler, qui démontrent une réponse d’excitation génitale?

A

Parmi les deux groupes de personnes (H VS F), à l’écoute des bonobos, les femmes avaient une excitation physiologique, mais pas subjective.

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11
Q

Qui démontre une excitation génitale que le stimulus sexuel présenté soit cohérent avec son orientation sexuelle ou pas?

A

La réponse d’excitation génitale physiologique est identique pour quasiment tous les types de vidéos (H-H, F-F, H-F) chez les femmes, mais pas l’excitation subjective, qui est plus en concordance avec l’orientation sexuelle de ces femmes, La sexualité des femmes est donc + fluide, moins circonscrites par son orientation sexuelle.
Chez les F trans : les résultats concordaient avec leurs sexes biologiques; elles réagissaient de la même manière qu’un homme cisgenre.

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12
Q

Est-ce que les personnes blessés médullaires peuvent avoir des orgasmes en dépit de leurs lésions neurologiques?

A

oui

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13
Q

Définition de l’orgamse du Larousse

A

Point culminant et terme (terme : mot portant à réflexion, est-ce que l’orgasme est vraiment la fin d’une activité sexuelle?) de l’excitation sexuelle, caractérisé par des sensations physiques intenses

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14
Q

Définition théorico-empirique de McMahon et al. de l’orgasme

A

Définition différentes selon les sexes + manque de distinction entre l’orgasme et l’excitation sexuelle intense

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15
Q

Les cavités péniennes

A

3 cavités péniennes constituées de tissus vasculaires :

  • 1 corps spongieux
  • 2 corps caverneux
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16
Q

De quoi sont recouvertes les cavités péniennes?

A

Les cavités sont recouvertes de musculature lisse et squelettique

  • 1 muscle bulbo-spongieux
  • 2 muscles ischio-caverneux
  • Des muscles périnéaux (contrôlable : on peut faire de l’éducation périnéale chez l’H)
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17
Q

Qu’est-ce que le corps spongieux entoure?

A

l’urètre pénien

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18
Q

Par quoi est soutenu le pénis

A

Par des ligaments : dont le ligament suspenseur qui assure la mobilité de l’érection en influençant le degré de la courbe pénienne

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19
Q

Que peut arrivé à l’érection lorsque le ligament suspenseur est sectionné dans les chirurgies de rallongement de la verge?

A

L’érection sera moins solide

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20
Q

Cavités péniennes et leur système vasculaire : état flaccide

A

Est paradoxalement un état d’activité neurophysiologique (système sympathique).
Constriction des artères péniennes et resserrement des espaces sinusoïdes des corps caverneux contrôlé au niveau central (cerveau). Notion de “verrou érectile”. Tonus central qui fait que les espaces sinusoïdes sont fermées, ne laissent pas le sang passer.

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21
Q

Cavités péniennes et leur système vasculaire : état d’érection

A

L’état d’érection est un état de relâchement neurophysiologique (système parasympathique).
État d’érection : levée du tonus inhibiteur supraspinal : relâchement des artères et remplissage des espaces sinusoïdes (apport artériel important). Pour qu’il y ait érection : la personne doit être calme : mode parasympathique. Un état d’anxiété de performance vient jouer avec la fonctionnalité de l’érection. La personne doit être dans un état parasympathique, même avec cialis/viagra : il faut qu’elle ait un début d’érection pour que ça fonctionne.

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22
Q

Érection définition

A

augmentation croissante et stable de la pression intra-caverneuse

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23
Q

Distinguer les paramètres de tumescence VS la rigidité

A

Distinguer les paramètres de tumescence (deuxième stade) VS la rigidité (4ième stade). Est-ce que la personne a une difficulté à se rendre à la phase de tumescence (n’est pas capable d’avoir une érection), ou ne se rend pas au stade rigide (perd ses érections)

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24
Q

Santé érectile = baromètre de ?

A

la santé cardiovasculaire
Possibilité de dépistage précoce des troubles cardiovasculaires
Comorbidité troubles cardiovasculaires et fonction érectile

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25
Q

La réponse sexuelle implique quelles parties du corps?

A

Différentes aires cérébrales (cortex audio-visuel, sensitif, etc.) ainsi que 2 centres médullaires (situés dans la moelle épinière) : le centre sacré parasympathique et le centre thoracolombaire sympathique

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26
Q

Le centre sacré parasympathique

A

Voie “réflexe” de la sexualité : un peu plus bas que le nombril : arc dans la stimulation : donc même si lésion (personnes handicapées), l’excitation est la quand même, mais ne se rends pas au cerveau

27
Q

Le centre thoracolombaire sympathique

A

Voie “psychogène” de la sexualité (tout ce qui est de l’ordre audio-visuel, fantasmes)

28
Q

Les personnes qui ont une lésion très haute

A

Érection, lubrification très fonctionnelle, mais s’ils font juste penser, ne se rendra pas au pénis : pas d’érection même si excité mentalement
Une personne quadraplégique peut avoir une érection même si elle n’a pas le goût parce que lésion alors inhibition du cerveau ne se rends pas.
Une lésion doit être hyper haute pour pas que ça se rende du cerveau au pénis (avant le premier carré : dessin cours)

29
Q

Chez un individu sain sur le plan neurologique, comment ces différents centre de commande fonctionnent-ils?

A

De manière synchronisée

30
Q

Les structures internes et externes du clitoris

A
  • Gland : 8 000 terminaisons nerveuses
  • Capuchon : rétractable, analogue du prépuce (XY)
  • Piliers latéraux : corps caverneux (XY), tissu érectile
  • Bulbes vestibulaires : corps spongieux (XY), tissu érectile
31
Q

Corps érectiles du clitoris

A

Les corps érectiles du clitoris (piliers + bulbes) se gorgent de sang sous l’effet d’une stimulation sexuelle.
Augmentation de volume (2-3x sa taille au repos)

32
Q

La lubrification vaginale

A
  • Elle est toujours présente, même sans stimulation sexuelle. Sa production augmente lors d’une stimulation sexuelle.
33
Q

Mécanismes responsables de la lubrification vaginale

A
  • Augmentation du flux sanguin : vasocongestion : transsudation des parois vaginales (lubrification vaginale = transpiration interne)
  • Apport des glandes de Bartholin au moment de la phase du plateau
34
Q

Érection clitoridienne

A

“identique” à celle du phénotype XY :

  • Voie réflexe - système parasympathique : stimulation génitale directe (manuelle, objet, etc.)
  • Voie psychogène - système sympathique : stimulation cérébrale (fantasmes, contenu audio-visuel, etc.)
35
Q

À l’inverse du phénotype XY, le clitoris, vagin et col de l’utérus activent des zones distinctes du ?

A

du cortex pariétal sensoriel (n’arrive pas au même endroit dans le cerveau : pluralité des zones qui peuvent être stimulées)

36
Q

Éjaculation : 2 choses

A

1- Émission (production du sperme)

2- Expulsion

37
Q

Temps de production des spermatozoïdes

A

environ 75 jours

38
Q

Orgasme sec

A

sans éjaculation. Production de sperme, mais il ne sort pas par la sortie habituelle, il est refoulé dans la vessie : problématique sur le plan de la fertilité

39
Q

Éjaculation anhédonique

A

éjaculation sans plaisir

40
Q

Éjaculation et orgasme : 2 choses distinctes?

A

Oui

41
Q

Éjaculation antérograde

A

Éjaculation “normale” sort par le méat urinaire

42
Q

Éjaculation rétrograde

A

Manque de coordination entre trou vessie + ou l’éjaculation sort à l’habitude = le sperme se rend dans la vessie à la place : impression d’orgasmes secs

43
Q

La phase d’émission

A

La phase d’émission correspond à la sécrétion provenant de divers organes reproducteurs :
1- Ampoules des canaux déférents (5% du sperme)
2- Vésicules séminales (55-60% du sperme)
3- Prostate (35-40% du sperme)

44
Q

Spermatozoïdes : proportion dans le sperme

A

très petite partie du sperme

45
Q

Troubles cliniques associés avec la phase d’émission

A

troubles de fertilité

46
Q

La phase d’expulsion

A
  • Cette phase requiert la contraction rythmique des muscles périnéaux
  • Elle requiert également la coordination de 2 structures internes - le col vésical et le sphincter urétral
47
Q

Troubles cliniques associés à la phase d’expulsion

A

éjaculation rétrograde, orgasme sex, éjaculation précoce

48
Q

Panneau du haut/panneau du bas : rôle dans émission/expulsion

A

Panneau du haut : responsable de l’émission (si lésion : problème de production du sperme)
Panneau du bas responsable de sécrétion (si lésion : problème d’expulsion : éjaculation précoce ou baveuse)

49
Q

Pourcentage de personnes para et tétra ayant des troubles éjaculatoires

A

80%. Impuissance clinique on ne peut pas forcer une production de sperme

50
Q

Orgasme : marqueurs physiologiques d’orgamse

A

Tempête du système sympathique (cardiovasculaire, musculaire)
Tempête hormonale
Changements corporels (génitaux, extra-génitaux

51
Q

Quels sont les paramètres physiologiques et corporels de l’orgasme chez les hommes et les femmes? Quelles sont leurs différences? (étude)

A

N- 227 personnes cisgenres, 18-73 ans
Méthodologie : questionnaire auto-rapport post activité sexuelle ayant mené à 1) l’orgasme 2) excitation sexuelle intense (arrête juste avant orgasme) + 2ième partie en laboratoire (UQAM)

Résultats :

  • Les femmes cisgenres rapportent un éventail de sensations + large que les hommes cisgenres au moment de l’orgasme (répertoires de sensations + vastes, mais aussi en sous-catégories)
  • Les hommes présentent des poussées artérielles + fortes que les femmes durant l’orgasme
52
Q

Découverte en laboratoire de recherche : expérience de l’orgasme chez les personnes blessées médullaires

A
  • Les personnes paraplégiques et tétraplégiques peuvent avoir des orgasmes post-lésion médullaire (42-52%), même avec une lésion complète
  • Les hommes blessés médullaires rapportent vivre des “orgasmes secs”, éjaculation n’est pas une composante nécessaire de l’orgasme
  • Les zones incluent la zone génitale, mais aussi le site de la lésion neurologique (la partie ou il y a eu la lésion devient une zone érogène : pas chez toutes les personnes, mais souvent quand ça fait + de 10 ans : une certaine neuroplasticité)
53
Q

Caractéristiques cérébrales de l’orgasme chez la femme : est-ce qu’il y a activation ou désactivation cérébrale au moment de l’orgasme? étude

A

N = 10 femmes cisgenres, hétérosexuelles
Méthodologie : scanner IRMf, stimulation clitoridienne, 2 conditions (solo et partenaire)

Résultats :

  • Pas de différence selon le contexte (solo ou partenaire)
  • Chronologie de l’activité cérébrale : augmentation graduelle, apogée à l’orgasme, retour à la normale post-orgasme
  • Multiples zones cérébrales actives (cortex sensoriel, limbiqu, moteur, frontal, cortical, substance noire, tegmentum ventral) (donc pas une seule zone responsable de l’orgasme)
  • Latéralisation de l’activité (droite) du gyrus angulaire
54
Q

Découvertes par questionnaires & sondages : quelle est la “recette” de l’orgasme? étude
comparaison orientation sexuelle et association à la fréquence orgasmique

A

N= 52 588 personnes
Méthodologie : échantillon US de convenance + mesures auto-rapportées maison
Résultats : orientation sexuelle VS pratiques sexuelles (lien entre orientation et pratiques sexuelles?)
- fréquence orgasmique H hétéro = 95%, F hétéro = 65%
- fréquence orgasmique F lesbiennes = 86%, F hétéro 65%
- F bisexuelles = F hétéro

Fréquence orgasmique associée à

  • pratique du sexe oral
  • Durée d’activité sexuelle + longue
  • Stratégies de communications + développées
55
Q

Prédicteur numéro 1 de la fréquence orgasmique

A

satisfaction relationnelle

56
Q

Latence orgasmique chez les femmes

A

environ 13 minutes chez les femmes hétéro dans la trentaine en couple stable (varie selon l’âge), écart-type de 7.5 minutes

57
Q

L’orgasme multiple, pour qui et à quoi ça ressemble? Qui sont les F et les H ayant des orgasmes multiples? étude

A

n = 419 femmes cisgenres (18-69 ans), 122 hommes cisgenres
- Méthodologie : échantillon international de convenance + mesures auto-rapportées maison
- Résultats XX :
 MO (= orgasme multiple) variant entre 2 – 100 (médiane = 3)
 Contexte de couple; latence orgasmique = 11 mns (1er orgasme) 3.5mns (2ième orgasme); pause 3mns max (90%). Plus prévalent chez les femmes en couple
 4 profiles de femmes (motivation, historique sexuel, etc.)
- Résultats XY :
 MO variant entre 2 – 30 (2-4)
 Contexte de couple; éjaculation avec chaque orgasme; maintien de l’érection;
 4 profiles d’hommes

58
Q

Est-ce que les orgasmes non-génitaux existent?

A

Possible : niveau de sensibilité (malléable)

On ne connaît pas les paramètres

59
Q

Réadaptation sexuelle & travail clinique : travail collaboratif et multidisciplinaires

A

Médecins, physiatre, TS, sexologue, neuropsy, psychiatre, physio, ergo, personnel infirmer, etc.

60
Q

Réadaptation sexuelle & travail clinique : clientèle variée

A
  • Ratio des sexes : 3H pour 1F
  • causes traumatiques (chutes, conduite, plongeon, etc.) VS non-traumatiques (AVC, SEP, oncologique, etc.)
  • Moyenne d’âge : 30aine VS 60aine
61
Q

Réadaptation sexuelle et travail clinique : travail clinique multidisciplinaire

A

 Médecine sexuelle :
Savoir identifier le profil lésionnel de la personne et son impact sur la neurophysiologie de la sexualité ET connaître les différentes modalités de prise en charge (pharmacologique, mécanique, etc.)
 Psychoéducation & Psychothérapeutique (suivis à court-moyen-long terme, couple)

62
Q

Réadaptation sexuelles chez la femme LM

A

Prise en charge neuro-anatomique-cartographie génito-périnéale
- Nous offrons une évaluation de la vulve pour identifier les sensations préservées malgré la lésion
- Permet de recréer une « image » sensorielle de la vulve post-lésionnelle
L’évaluation teste la sensibilité du :
o Clitoris
o Labia minora
o Marge vaginale
o Marge anale
o Comparé au cou

  1. Évaluation de 3 modalités sensorielles : toucher léger, pression et vibration
  2. Expérimentation avec diverses sources de stimulation (centre hospit.)
63
Q

Réadaptation sexuelle chez la femme & l’homme LM

A

Prise en charge pharmacologique & mécanique
- Prescription médicale d’IPDE5 (clialis ou viagra) ou d’IIC
 Différence de durée d’action (immédiat vs 4h (viagra) vs 36h (cialis)) pose la question de la spontanéité en sexualité; différence de dosage (5mg vs 100mg), etc.
- Utilisation de vibromasseurs commerciaux ou médicaux
 Ferticare (« clitoridien », pénien), LELO (« vaginal »), Magic Wand
- Certaines études proposent le dispositif Eros CTD
 Pour favoriser la congestion avant d’utiliser d’autres stimulations (ex : vibro, pénétration), pour atteindre l’orgasme ou pour stimuler les mamelons du sein
- Suivi par psychothérapie :
 Retravailler les sensations perçues (questionnaires du BSO & de l’ORS), les scripts sexuels et les attentes, le sens de la sexualité
 Travail de deuil et d’acceptation
Prise en charge anatomique & psychothérapeutique
- Travail corporel :
 Symboliser les sensations plaisantes, neutres ou désagréables (ex. : code de couleurs, etc.)
 Pistes possibles d’intervention : interventions basées sur la pleine conscience
- Travail de l’estime sexo-corporelle :
 Identification des parties du corps perçues comme positives, négatives et neutres
 Pistes possibles d’intervention : travail d’acceptation, de deuil, identifications des voies surmoïques, etc.
- Mais aussi travail de couple, etc.