cours 8 Flashcards

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1
Q

différences entre la polygones et la promiscuité

A
  • l’hierarchie de dominance se fait différemment

uni-mâles : Polygynes, le dominant a accès au ressources sexuelles ( les femelles ) ( les gorilles sont polygynes)

multi-mâle / Promiscuité : a une bonne relation entre l’hiérarchie et le succès reproducteur des mâles
- souvent des espèces dont l’oesutrus des femmes est asychnronique

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Q

oestrus des femelles

A

périodes d’ovulation des femelles, les femmes veulent se reproduire lors de cette période

saisonnalité : une grande majorité des femelles sont en oestrus et veulent se reproduire, les mâles ont de la difficulté à monopoliser les ressources sexuelles donc compétition par vitesse

pas saisonnalité : compétition par agressivité surtout le mâle ayant les attribut physique les plus fort qui gagne
les femelles n’ont pas la période en même temps et permet

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3
Q

la compétition chez les humains

A
  • les femmes vont s’intéresser plus au statut socio économique : plus tu vas pouvoir être un bon père plus ta d’opoiortuniét, la nature qui va être également regarder est la protection et le statut prosocial

chez les chasseurs cueilleur le statut sociale est positive aux nombre d’enfants alors que dans les sociétés modernes il ya une contracteption

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4
Q

les conséquences de la compétition ss

A
  1. Hierarchie de dominance
  2. Dimorphisme sexuelles
  3. la compétition spermatique
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5
Q

Dimorphisme sexuelles

A

différences de phénotypes chez un mâle et une femelle d’une même espèces
- résultat de la SS
- Les mâles vont être en compétition pour les ressources sexuelles ( les femelles )
-compétition forte alors dimorphisme élévée
- différences physique et comportementale

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6
Q

compétition spermatique

A

lorsque deux spermatoizoide se battent pour féconder le même ovule, faible chez les polygynes et les monogames et fort chez les espèces promiscuité

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7
Q

mode de reproduction chez les humains

A

mixtes

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8
Q

l’altruisme

A

réduction de la valeur sélectif de soi mais augmente celle du receveur

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9
Q

Hamilton c’est qui

A

biologiste britannique évolutif

  • explique que la valeur sélective peut rester fiable si les bénéfices soit de lien d’apparentés, car les gènes peuvent quand même être transmis

des jumeaux identiques, A crie que les prédateurs sont là même si A meurent, B à été sauvé et alors les gènes de A a travers B vont être transmis en génération donc maintient la valeur sélective

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10
Q

la loi d’hamilton

A

les bénéfices du donneur doivent pas dépasser les coûts de son aide, les bénéficient du donneur est l’ensemble des liens de parentés de celui qui l’aide et des bénéfices du receveur.

Si les bénéficient du recevoir est élève et que les couts sont faibles plus l’altruiste va aider a des liens non de parentés

alors ue plus les couts et bénéficient sont élévées plus les liens d’apparentés il y aura

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11
Q

estimation des liens d’apparentés pour les gènes

A

parents enfant, frères et soeur 50%
Jumeaux 100
Cousins, tantes nièces, grand parents petit enfants 0,25

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12
Q

La sélection parenté

A
  • Altruisme envers des non apparentés
  • favorise les liens de parenté ( la parenté est l’organisation sociale, et cela explique la parenté )
  • compétition dans l’apparenté
  • égoïsme génétique ( les gènes sont transmis de génération en génération)
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13
Q

népotisme

A

favoriser les liens d’apparentés pour l’altruisme ( la sélection parenté )

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14
Q

les besoin de l’apparentement

A

besoin de reconnaîtras les siens ( ceux ui nous ressemble)
besoin d’éviter l’insecte, la cosinguuilité : diminuer la fécondation et la survie

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15
Q

Comment reconnaître les apparentements ?

A

reconnaitre un phénotype de ressemblance, reconnaitre ceux qu’on ressemble
- reconnaitre les apparentements a travers les interactions que la mères portes à des individus qu’elle partage des relations privilégiés

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16
Q

la reconnaissances se fait qu’avec ?

A
  • la reconnaissance se fait qu’avec la lignantes maternels
  • l’altruisme ne se fait pas par la parenté patrilinéaire
  • la sélection parenté ne s’applique qu’à la parenté des matrilinéaire
  • on reconnais tout relations à la mères sauf les cousins
17
Q

conséquences de l’organisation sociale

A
  • le népotisme est un élément de l’organisation sociale ( source de la sélection parenté )

Chez les primates :

  • Héritage du rang sociale : entres femelles d’une même matrice-lignée mais seulement dans c certains espèces comme les babouin et les macaques
  • Liens sociaux fort dans les lignages

Chez les humains :

  • controle parentale : le fitness n’appartient pas qu’à soi, mais celle des apparentés nous influence aussi donc contrôle celle des progéniture
  • culture arrangement maritaux ; controle des couples de nos progéniture
  • système d’héritage : les humains reconnaissent les deux parents donc les parentés matrilinéaires et patrilinéaire, l’héritage ne dépends pas du rang social
  • alliances inter-groupe : unique chez les humains, mariages arrangés entre les familles, basés sur le succès reproducteur
18
Q

fitness

A

propriété d’un individu à se reproduire et de survivre

19
Q

pilopatrie ( type de résidence )

A

lorsqu’un sexe à la puberté quitte le groupe pour aller dans un autre, tandis que l’autre sexe reste dans ce groupe, ce qui permet d’éviter l’inceste
- impact ego sur qui il est capable de reconnaitre comme apparentés

20
Q

philopatrie femelle

A

les femelles reste et les mâles quitte le groupe,

  • la transmission du rang social dominance se fait à la naissance, grande matri-lignée
    • les mâles reconnaissent leurs progénitures en fonction d’avec qui il accouplent et avec qui ils restent ensemble et les femelles accouple avec les hommes extérieur à son groupe qui arrive à la puberté
  • le frère est reconnu tant qu’il est encore dans le groupe
  • les mères ne couche pas avec leur fils
21
Q

philopatrie mâle

A
  • alliances des coopération mutualiste et réciproque forte
  • les mâles accouple avec les femelles à l’extérieur de leurs groupe
  • les mâles reste et les femelles quittent
  • les mères reconnaissent leurs progéniture
  • les mâles ne couche pas avec leurs filles
22
Q

effet westermack

A

mécanisme qui empêche les relations sexuelles entre apparentées avec l’inhibition du désir sexuelles vs le tabou culturelle de Lévis Strauss, qui interdit justement l’inceste entre apparentés

23
Q

familiarité développementale

A

effet westermarck qui part du principe que lorsque deux individus ont élevés ensembles, le désir sexuels est étouffé entre eux

  • ce qui explique que si des apparentées qui vivent pas ensembles peuvent avoir des relations sexuels alors ue deux individus non apparentés génétiquement ne pourront pas avoir de relations sexuelles
24
Q

l’indice primatologique effet westermarck

A
  • homosexualité / L’homosexulaité ne se fait pas entre relations d’apparentés qui ont grandis ensembles
  • évite l’inceste systématique entre apparentés qui se reconnaisse
  • effet westermarck entre les primates : ceux qui ont grandis ensembles même si y a pas d’apparenter
  • relation négative entre probabilité d’inceste et degrés d’apparenter : plus le degré est faible plus de possibilité d’inceste ( rare entre frère et soeurs, mère et fils, grand mère et fils )
25
Q

exemple de westermarck chez les humains

A
  • chez les kibboutz : pas de mariages entre les enfants qui ont grandis ensembles
  • mariages arranger envers les frères et soeur, les individus du couple ne veulent pas
  • mariages entre frères et soeurs qui n’ont pas grandis ensemble
  • sentiment de dégoût entre relation sexuelles entre frère et soeur, même avec frère et soeur non apparentes mais qui ont grandis ensembles
  • sentiment de dégoût plus élevé lorsque les deux ont grandis en bas âge
26
Q

que dit l’approche comparative entre les primates et les humains avec le tabou de l’inceste

A

qu’il s’agit d’un comportement ou d’une culture qui remplis le besoin naturel d’éviter l’inceste