Cours 8 Flashcards

1
Q

On a demandé à des témoins leurs souvenirs des attaques du 11 septembre

Quelles étaient les différences entre ceux restant downtown (proches des tours) et ceux restant dans le midtown (plus éloigné)

A

L’activité de l’amygdale lors du rappel était plus grande pour ceux restant downtown

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Q

Vrai ou faux
Le thalamus est associé à la supériorité des souvenirs émotifs

A

Faux, c’est le cas de l’amygdale

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3
Q

Dans une étude de LaBar et Cabeza, une histoire en trois segments (un segment neutre, un segment émotif et un autre segment neutre) est présentée à trois groupes de participants:
• un groupe placebo
• un groupe propanolol
• un groupe avec des lésions aux amygdales

Quels sont les résultats observés de l’étude

A

Il y a effet de supériorité de la mémoire pour la partie émotive chez les placebos

Pour le groupe propanolol, comme ces médicaments diminuent les réactions physiologiques aux stresseurs, il y a annulation de l’effet de supériorité des émotions

Pour les patients avec lésions, ils se rappellent encore moins la partie émotive que les deux autres parties de l’histoire

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4
Q

Quelles structures sont liées à un meilleur rappel et des souvenirs plus vivides (donc pas juste un sentiment de vague reconnaissance)

A

L’amygdale et l’hippocampe

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5
Q

Vrai ou faux
L’activité de l’amygdale et de l’hippocampe est plus grande pour des images négatives

A

Faux. Pour des images positives

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6
Q

Nomme des structures connectées à l’amygdale

A

• l’axe HPA

• structures de la MLT: hippocampe, cortex enthorinal, cortex Perhirinal

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7
Q

Un plus haut niveau de cortisol à l’encodage est lié à…

A) une meilleure reconnaissance des stimuli négatifs

B) une meilleure reconnaissance des stimuli positifs

C) une moins bonne reconnaissance des stimuli négatifs

D) une moins bonne reconnaissance des stimuli positifs

A

A

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8
Q

DISTINCTION ENTRE DÉTAILS CENTRAUX ET PÉRIPHÉRIQUES
Lorsque la scène est émotive, on a un meilleur rappel de l’[1] et un moins bon souvenir de la [2]

On voit l’effet seulement chez ceux qui ont [3] (consolidation des souvenirs). Cela a un lien avec le taux de [4] plus élevé à la fin de la [5]. Plus les gens [6], meilleur est leur souvenir des stimuli négatifs

A
  1. Objet central
  2. Périphérie
  3. Dormi
  4. Cortisol (hormone de stress)
  5. Nuit
  6. Rêvent
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9
Q

SOUVENIRS ÉMOTIONNELS—MÉCANISMES
• l’action de l’[1] et son interaction avec l’[2] sont responsables de la supériorité pour les souvenirs émotionnels

• l’activation physiologique périphérique (ex: taux de conductance électrodermale) et la sécrétion d’hormones de [3] sont aussi impliquées

• la consolidation de souvenirs émotifs implique de façon importante le [4] et les [5]

A
  1. Amygdale
  2. Hippocampe
  3. Stress
  4. Sommeil
  5. Rêves
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10
Q

Que sont les souvenirs flashbulb?

A

Souvenirs des circonstances dans lesquelles on a appris pour la première fois un événement très surprenant aux conséquences importantes. Toutefois le degré de certitude de ces souvenirs est plus élevé que le degré d’exactitude

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11
Q

Vrai ou faux
Pour les souvenirs frappants/marquangs
Le degré de constance (du dit souvenir) est élevé

A

Faux, on retrouve peu de constance/concordance dans les éléments rapportés

  • toutefois la certitude est élevée
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12
Q

Vrai ou faux
On ne peut induire que des faux souvenirs pour des événements non émotifs

A

Faux

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13
Q

Des soldats de retour d’Afghanistan ont eu un débriefing deux mois suivant leur retour. Ce débriefing incluait de la fausse information sur une attaque à la roquette la veille du jour de l’an. Des détails sur les bruits d’explosion ont été apportés

Quels sont les résultats de cette étude

A

Au moment de l’entretien, personne ne se souvient de ce faux souvenir, mais 7 mois plus tard, 26% se souviennent de cette attaque à la roquette. Ils fournissent même des détails additionnels

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14
Q

Vrai ou faux
Il n’y a pas de différence dans l’activation physiologique pour des souvenirs émotifs et de faux souvenirs émotifs

A

Vrai

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15
Q

SOUVENIRS ÉMOTIONNELS—INEXACTITUDE

• même si les souvenirs émotifs sont généralement plus exacts, ils sont surtout plus [1]

• les souvenirs émotifs ne sont pas nécessairement tjs exacts. Ils sont
cependant caractérisés par un grand sentiment de [2]

• il est possible d’avoir des souvenirs complètement [3] pour des événements évoquant des émotions très fortes. La mémoire ne fonctionne pas comme une caméra, même lorsqu’il s’agit de souvenirs émotifs

A
  1. Vivides
  2. Certitude
  3. Faux
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16
Q

Vrai ou faux
Les processus cognitifs de haut niveau sont automatiques et inconscients

A

Faux, ils sont délibérés et conscients

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17
Q

Quel effet a le stress sur la MdT. Appuie avec une étude

A

Effet négatif. L’empan mnésique dans une condition de stress est plus faible (ex des soldats en camp d’entraînement)

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18
Q

A) qu’est-ce qu’une tâche de n-back
B) qu’advient t’il des résultats d’une tâche de n-back dans une condition de stress élevée
C) qu’est-ce qui peut l’expliquer?

A

A) tâche où on présente une séquence d’items et on doit dire si l’item est le même que celui présenté 1 ou 2 items auparavant

B) performance diminue et temps de réaction augmente

C) le cortex dorsolateral préfrontal, important dans la MCT, voit son activité diminuée dans une condition de stress (car région sensible aux hormones de stress)

19
Q

Vrai ou faux et appuie d’un exemple
Plus les gens rapportent des événements de vie stressants, moins leur performance dans une tâche de MCT est bonne

A

Vrai
Les gens qui rapportent plusieurs événements négatifs en lien avec le genocide du Rwanda préforment moins bien dans des tests en MCT

20
Q

Quelle est un synonyme d’émotion incidente

A

Émotion distractrice

21
Q

Les/la/le/l’ [choisir la bonne lettre] réduisent les capacités de mémoire de travail

A) émotions intégrales
B) distracteurs émotifs
C) lésions à l’amygdale
D) clignement attentionnel

A

B

  • exemple: gens doivent se souvenir de mots présentés entre deux tâches visuospatiales. La proportion de mots rapportée est plus faible lorsque fond imagé négatif
22
Q

A) Décris ce que sont des émotions incidentes

B) décris ce que sont des émotions intégrales

A

A)
• distracteurs
• émotions pas reliées à la tâche cognitive cible
• contenu émotif pas pertinent

B)
• émotions évoquées par la tâche cognitive cible
• pertinentes au contenu de la tâche
• ne viennent pas détourner de ressources cognitives

23
Q

Dans une étude de Scweizer et Dalgleish
Des mots sont présentés (ils seront à rappeler à la fin). La présentation de ces mots est entrecoupée par des tâches visuospatiales et le tout est présenté sur un fond imagé neutre ou négatif. Il a été remarqué que lorsque le fond imagé était négatif, la proportion de mots rapportée était moindre (diminution de la performance). Le background agit donc comme un distracteur émotif réduisant la capacité de la MdT. S’il fallait plutôt dans cette expérience rappeler les images, qu’auraient on observé

A

La performance aurait augmenté pour les images émotives. On aurait alors pu parler d’émotions intégrales

24
Q

MÉMOIRE DE TRAVAIL
• le [1], les [2], les [3] ou potentiellement traumatiques ont un effet délétère sur la performance à des taches en MdT

• l’effet des émotions sur la MdT a été démontré en utilisant différentes mesures de la MdT ( [4], [5], opérations span)

• les [6] et le [7] font partie des substrats neurologiques de ces effets

• il existe une distinction importante entre les émotions incidentes et les émotions intégrales

A
  1. Stress induit
  2. Émotions incidentes
  3. Événements de vie stressants
  4. Empan
  5. n-back
  6. Hormones de stress
  7. Correct dorsolatéral préfrontal
25
Q

ÉMOTIONS INCIDENTES ET PRISE DE DÉCISION
On demande les participants de lire un article de journal joyeux ou triste. Ensuite les gens devaient attribuer les chances de mourir d’une manière X. Quels sont les résultats observés chez les gens dans la condition négative?

A

Les gens, dans la condition négative jugeait les risques plus élevés. Cet estimation est expliquée par l’aspect affectif et non la similarité sémantique entre le facteur de risque et le contenu de l’article.

26
Q

Lorsqu’un match important est perdu le marché boursier est à la baisse. Lorsqu’il fait beau dehors, le marché est plus actif. voilà deux corrélations observées. Que montrent elles

A

L’effet des émotions incidentes sur la prise de décision

27
Q

Vrai ou faux
Lorsque des participants doivent évaluer des risques, cette évaluation est déterminée par la peur et l’effroi causé par la mention de la situation

A

Vrai, l’émotion se substitue au jugement cognitif

28
Q

Le cortex ventromédian préfrontal joue un rôle important dans l’émotion et la prise de décision. Élabore

A

Des lésions au cortex ventromédian préfrontal n’affecte pas le Q.I. et les habilités cognitives. Or elles influent sur les émotions. Les gens deviennent plus impulsifs et colériques, ils présentent des déficits importants dans les compétences sociales tout cela percute la prise de décision.

29
Q

IOWA GAMBLING TASK (ÉMOTIONS INTÉGRALES CAR RÉPONSE ÉMOTIONNELLE ÉVOQUÉE PAR LE CONTENU DE LA TÂCHE)

cet étude mesure la réponse physiologique au risque (conductance électrodermale) et compare patients sains et patients cérébrolésés. Qu’ont-ils observés?

A

Les patients cérébrolésés sélectionnent toujours les piles risquées et se ruinent. On peut le comprendre, puisque lorsqu’il s’apprête à sélectionner les cartes, les patients avec lésion ne réagissent pas aux risques, il n’y a pas de réponse électrodernale. Cette absence d’appréhension ne peut donc guider leur prise de décision

30
Q

PRISE DE DÉCISION
• les émotions incidentes peuvent avoir un impact important sur le [1] et la [2]. Les réactions affectives non pertinentes sont intégrées et peuvent biaiser la prise de décision.

• les émotions intégrales peuvent avoir un effet [3] sur la prise de décision, notamment en fournissant une réaction incarnée (corporelle) qui indique le niveau de risque de différentes options

A
  1. Jugement
  2. Prise de décision
  3. Positif
31
Q

Explique le dilemme du tramway

A

Les gens veulent le plus grand bien pour le plus grand nombre de personnes. S’il faut juste tirer sur un levier, c’est impersonnel, c’est-à-dire qu’il y a une distance entre nous et l’action qui va causer du tort. Dans ce cas, là les gens acceptent de faire cette action pour augmenter les bénéfices, c’est-à-dire sauver des personnes, même si ça aura pour conséquence de sacrifier quelqu’un. Toutefois, c’est la geste personnel par exemple poussée la personnel, la plupart vont refuser de le faire.

32
Q

Vrai ou faux
devant des dilemmes moraux personnels, il y a augmentation de l’activité dans des zones associées à la mémoire de travail, alors que lorsqu’on se trouve devant des dilemmes moraux impersonnel ou des dilemme non moraux, il y a augmentation de l’activité dans des régions associées aux émotions

A

Faux c’est l’inverse

33
Q

Vrai ou faux
Pour des dilemmes moraux personnels le temps de réaction et plus lent lorsque la réponse est «appropriée» alors que ce temps de réaction est plu court si la réponse est «inappropriée»

A

Vrai, il semblerait que «inappropriée» soit la réponse émotive intuitive

*cette différence de temps de réaction ne s’observe pas pour les dilemmes impersonnels

34
Q

Sommes-nous plus susceptible de faire des inférences non logiques lorsque le contenu est émotif ou lorsque lorsqu’il est neutre?

A

Lorsqu’il est émotif

35
Q

On prend des stimuli neutre, comme des carrés de couleur, et on les associe, soit à des images négatives ou des images neutre. On effectue ainsi un conditionnement pour départager la valeur affective des stimuli et l’information sémantique des stimuli. Par la suite, on présente le stimulus neutre. Que remarque t’on si ce stimulus avait été pairé à des images négatives.

A

Le stimulus neutre est évalué plus négativement, et on a une plus grande réponse électrodermale. De plus, le taux de raisonnement logique est un peu plus faible.

36
Q

Dans une étude, on mesure la réponse électrodermale et l’évaluation subjective des stimuli présentés dans une tâche de raisonnement. La corrélation entre l’effet des émotions sur le raisonnement et l’activation physiologique est assez importante. Il n’y a toutefois pas de corrélation entre l’évaluation subjective et son impact sur la tâche de raisonnement. Qu’est-ce que cela montre

A

Que le lien émotion et logique passe par l’activation physiologique

37
Q

Vrai ou faux
Des vétérans sont moins logique sur des contenus liés au combat (contenu émotif pour eux)

A

Faux
La sévérité des expériences est reliée avec un meilleur raisonnement, spécifiquement à propos des contenus émotifs reliés. En d’autres termes, les émotions, dans ce contexte, ne nuisent pas au raisonnement.

38
Q

Vrai ou faux
Lorsque le contenu n’est pas pertinent pour soi, il y a impact des émotions sur le raisonnement. Lorsque le contenu est pertinent pour soi, il n’y a pas d’effet des émotions sur les raisonnement, ou au contraire, les émotions augmentent le raisonnement.

A

Vrai

39
Q

RAISONNEMENT
• plusieurs formes de raisonnement peuvent être affectés par les émotions, notamment le raisonnement [1] et le
Raisonnement [2]

• le raisonnement moral semble particulièrement sensible aux émotions, évoquées par [3] et [4]

• certaines émotions sont le produit du raisonnement moral

• le raisonnement logique peut être affecté de façon délétaire par les [5], ce qui n’est pas nécessairement le cas pour les émotions intégrales

A
  1. Moral
  2. Logique
  3. L’implication personnelle
  4. Le dégoût
  5. Émotions incidentes
40
Q

Qui suis-je?
Stratégies conscientes et inconscientes utilisées pour influencer, augmenter maintenir ou diminuer une des composantes de l’émotion (sentiment, comportement ou réponse physiologique)

A

Régulation émotionnelle

41
Q

Il existe deux catégories principales pour atténuer les émotions. Quelles sont-elles? Décris les

A
  1. Réévaluation cognitive. On cherche à changer notre évaluation cognitive (stratégie qui dans la temporalité, se focus sur les antécédents de la réponse émotionnelle)
  2. Supression expressive. On agit sur la réponse émotionnelle
42
Q

Dans une étude de Gross trois groupes sont tenus de regarder une vidéo évoquant du dégoût. Dans une des conditions, les participants doivent simplement regarder la vidéo. Dans une deuxième condition, ils doivent se concentrer non pas sur leurs sentiments, sur les techniques (condition de réévaluation). Dans une troisième condition, ils peuvent ressentir ce qu’ils veulent, mais ils ne doivent pas montrer leurs émotions (condition de supression)
Quels sont les résultats de cette étude?

A

Condition réévaluation:
• pas d’impact sur réactivité physiologique
• moins de sentiment de dégoût
• moins d’expression des émotions que groupe contrôle

Condition suppression:
• moins d’expression que contrôle
• plus de réactions physiologiques que contrôle

43
Q

Vrai ou faux
Le fait d’envisager les antécédents de l’émotion différemment (réévaluation cognitive) peut diminuer la réactivité physiologique

A

Vrai

44
Q

RÉGULATION ÉMOTIONNELLE
• tout le monde a la capacité de réguler ses émotions
• les stratégies de régulation émotionnelle peuvent être axées sur les [1] des émotions (évaluation) ou sur les [2], avec des conséquences différentes sur le sentiment subjectif et les réponses physiologiques

• la régulation des émotions engage les capacité cognitives complexes (de façon importante le cortex préfrontal)

A
  1. Antécédents
  2. Réponses émotionnelles