cours 7- soi et moi Flashcards

1
Q

Le soi et le moi ont ils toujours les même définitions ?

A

non, 2 concept qui n’ont pas les même définitions d’un auteur a l’autre

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2
Q

qu’est ce que le soi ?

A

ce qu’une personne connait et peut connaitre d’elle-même (verbalisable)

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3
Q

qu’est ce que le moi ?

A

Le soi + la part d’inconnu qui ne sera jamais conscientiser (comporte une part de non-verbalisable)
Le moi est donc plus large

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4
Q

le soi est …… et en constante …….

A

dynamique

transformation

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5
Q

le moi ou le soi correspond a cette définition : Est une construction subjective donc la perception pourrait être difficile a corroborer par d’autres individus qui nous conaissent

A

le soi

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6
Q

est ce que notre perception de soi et ce que les gens percoivent est toujours la même ?

A

non, ca ne concorde pas toujours, il y a une zone de partage, mais aussi des perception propre a notre environnement social et propre a nous même

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7
Q

nommez 3 caractéristiques du soi

A
  • Somme des perceptions qu’un individu a de lui-même, de ses caractéristiques personnelles (physique, affectif, créatif, intellectuel)
  • Perceptions que l’individu a de ses relations avec les autres et avec différents aspects de sa vie (volet social) Ex: est ce que quelqu’un est leader ; dépendant ; indépendant
  • Jugements que l’individu porte sur chacune de ses perceptions de lui-même
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8
Q

qu’est ce que l’estime de soi ?

A

la valeur qu’on porte au soi

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9
Q

peut on atteindre l’idéal du soi ?

A

non, car il est toujours en train de se reformuler

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10
Q

que se passe t’il lorsqu’on s’approche du soi idéal ?

A

a mesure qu’on s’en approche, il s’éloigne, ce qui nous aide a nous développer.

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11
Q

a quoi correspond le soi idéal ?

A

à ce que l’individu aimerait être, et ce, sur divers plans

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12
Q

quels sont les plan du soi idéal ?

A
  • Physique
  • Affectif
  • Créatif
  • Intellectuel
  • Social
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13
Q

le soi social est il la même chose que la dimension sociale du soi ?

A

non

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14
Q

qu’est ce que le soi social ?

A

Ce que l’on montre de Soi & ce que les autres voient

de nous

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15
Q

qu’est ce que la dimension sociale du soi ?

A

comment on percoit notre relation avec les autres

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16
Q

le soi social est il dynamique ?

A

oui dynamique et changeant

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17
Q

qu’elles peuvent être les relations entre le Soi et/ou le Soi idéal et/ou le Soi social ?

A

congruence

incongruence

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18
Q

que veut dire congruent

A

Semblables, vont dans le même sens. L’écart est présent mais pas trop important : on peut dire que l’individu va bien

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19
Q

que veut dire incongruence ?

A

Dissemblables, écart important. L’écart est important

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20
Q

l’incongruence est signe de quoi ?

A

signe d’anxiété, de déprime, malaise, inconfort, souffrance

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21
Q

sur quoi repose la congruence et l’incongruence ?

A

sur comment se passe la vie, les cause situationnelle, environnementale et dévelopementale de l’incongruence

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22
Q

que se passe t’il si on a pas de considération positive ?

A

incongruence

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23
Q

quel sont les 2 type de considération positive ?

A

conditionnelle

inconditionnelle

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24
Q

qu’est ce que la considération positive conditionnelle ?

A

aimer et apprécier pour ce que l’on fait qui est important pour l’autre

Ex= un parent qui pousse beaucoup son enfant au sport, quand il performe il lui montre, mais quand il ne performe pas il y a une déshonneur

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25
Q

qu’est ce que la considération positive inconditionnelle ?

A

être aimer et apprécier pour qui nous sommes

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26
Q

a quoi les gens peuvent ils avoir recours pour diminuer l’incongruence ?

A

la thérapie

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27
Q

qu’est ce que la thérapeute va faire lors des session pour diminuer l’incongruence ?

A

. Le thérapeute va chercher a fournir une considération positive inconditionnelle a son patient. Implique une absence de jugement et de laisser le choix au patient. Ca ne veut pas dire que le thérapeute sera en accord avec tous les choix du patient. Il peut désapprouver les conduites, mais d’une facon ou c’est la conduite qui est désapprouver et que la personne est encore approuver.

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28
Q

qui peuvent nous donner une considération positive ?

A
  • Ami, collègue, membre de la famille…
  • Professionnel, « expert »

Gourou

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29
Q

qu’est ce qu’un gourou ?

A

maître spirituel qui n’a pas nécessairement d’expertise

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30
Q

la figure d’autorité est elle toujours la pour nous aider ?

A

non, capable d’abuser de ce pouvoir

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31
Q

l’autorité peut être:

A
  • le père et/ou la mère
  • le leader d’un groupe de pairs qui a plus d’influence sur les autres
  • un patron
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32
Q

que peut représenter l’autorité ?

A

une cible de contestation (es ado qui se rebelle), mais aussi une source d’influence (contrainte et source de modèle) importante.

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33
Q

nommez 2 exemple d’autorité comme source d’influence puissante

A
  • Massacres commis dans le contexte d’une guerre (p. ex., l’Holocauste)
  • Suicides collectifs sous l’ordre d’un gourou (p. ex., Jimmy Jones)
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34
Q

généralement, a quel moment accède t’on a une secte ?

A

a un moment de désespoir, ce qui n’est pas très différent de la population commune

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35
Q

nommez 2 exemple d’autorité comme source d’influence puissante tiré des études ?

A
  • obéissance au médecin

- obéissance à l’expérimentateur

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36
Q

en quoi consiste l’obéissance au médecin ?

A

des infirmières administrent une « dose mortelle » de médicaments à des patients

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37
Q

en quoi consiste l’obéissance à l’expérimentateur ?

A

des participants électrocutent «mortellement » de mauvais élèves (Milgram) entre 1960 et 1963 mais ses études ont été reproduites plus tard

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38
Q

quels sont les 6 facteurs qui modifient l’obéissance dans l’expérience de Millgram

A
  • proximité de la victime
  • proximité de l’autorité
  • différence sexuelle
  • effet de l’age
  • l’autorité (les symboles)
  • la méthode
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39
Q

qu’elle sont les variance observables avec la proximité de la victime ?

A

plus la proximité est grande, moins il y a obéissances

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40
Q

qu’elle sont les variance observables avec la proximité de l’autorité ?

A

plus l’autorité est proche, plus on obéit

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41
Q

qu’elle sont les variance observables avec la différence sexuelle ?

A

taux d’obéissance semblable pour les hommes et les femmes

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42
Q

qu’elle sont les variance observables avec l’effet de l’age

A

les participant avait entre 20 et 50 ans les différents groupes d’âges obéissent avec des taux semblables

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43
Q

qu’elle sont les variance observables avec les symboles de l’autorité ?

A

tenue vestimentaire, le titre, le cadre de l’université augmente l’autorité. Quand on fait passer l’instructeur pour un simple participant , l’obéissance est moins élevées. Lorsqu’il y a absence de contradiction, il y a plus d’obéissance

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44
Q

qu’elle sont les variance observables avec la méthode?

A

quand le chercher dit qu’il sera responsable, l’obéissance augmente

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45
Q

que se passe t’il lorsque l’autoritémanque de cohérence ?

A

l’obéissance diminue drastiquement

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46
Q

qu’a pour effet l’augmentation par petit bond des chocs dans l’expérience de millgram ?

A

les personnes se dise ‘’ pas trop grave c’est pas beaucoup plus que l’autre’’

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47
Q

dans l’expérience originale de millgram les pofesseur voyait ils les patients ? pouruqoi ?

A

non, augmente l’impression d’être loin du patient et de ne pas être la source de souffrance (c’est la machine qui fait mal )

48
Q

qu’elle est la moyenne de décharge dans l’Expérience de millgram ?

A

405 volts

49
Q

quel est la moyenne de décharge dans l’expérience de millgram lorsqu’on voit le patient ?

A

312 volt

50
Q

quel est la moyenne de décharge dans l’expérience de millgram lorsqu’on est en contatc avec le patient ?

A

268 volts

51
Q

le psychotique demande t’il de l’aide ?

A

Pas de demande d’aide pour enlever le délire;

Parfois demande par rapport à l’angoisse

52
Q

le pervers demande t’il de l’aide ?

A

Ne formule pas de demande d’aide (peur de l’autre, de son désir, de l’abus potentiel)

53
Q

le pervers voir les autre comme quoi 6

A

des objets

54
Q

que veut la personne état-limite ?

A

Demande d’étayage & déresponsabilisation de soi

55
Q

est ce que le névrotique demande de l’aide

A

Demande d’aide, confiance accordée (parfois de manière aveugle)

56
Q

les état limite ont il des bonnes estime de soi ?

A

non, un estime de soi fragile et un sentiment de vide identitaire

57
Q

pourquoi les état limite vont il voir des thérapeutes ?

A

pour nourrir l’estime ou pour mettre la responsabilité de ce qui arrive dans les mains du thérapeute. Souvent du transfert au thérapeute. Il peut se sentir mal, mais va davantage vouloir faire plaisir au thérapeute.

58
Q

l’état limite a t’il beaucoup de chance d’obéri au thérapeute ? pourquoi ?

A

Reconnait le chercheur comme une source d’estime donc beaucoup de chance d’obéir

59
Q

le névrotique reconnait il ses difficultées ?

A

oui

60
Q

en qui le névrotique va t’il accorder sa confiance ?

A

a quelqu’un qui se montre capable d’aider. il croit qu’“on a besoin de lui donner des directions

61
Q

est ce que les névrotique obéissent dans l’expérience de millgram ?

A

l’expérience obéissent car ils savent moins bien que le thérapeute ce qui se passe. L’expertise de l’Expert est la bonne donc on doit la suivre

62
Q

le pervers a t’il des reconnaissance de ce que désir l’autre ?

A

non, il sert seulement au pervers pour que celui-ci atteigne ses objectifs

63
Q

pourquoi est ce que le pervers ne reconnait pas l’autre ?

A

De reconnaitre l’autre c’est de reconnaitre son abus

64
Q

quand peut on voir des pervers en thérapie ?

A

en contexte d’obligation, d’instrumentalisation du thérapeute (sur la BS, avoir un congé), pour essayer de tourner au ridicule le thérapeute.

65
Q

pourquoi est ce que le pervers participe a l’expérience de Millgram ?

A

Le pervers participer pour sa curiosité ou les bénéfices financiers si le chercher prend les responsabilité, il va continuer et ne va pas se sentir mal de faire souffrir autrui

66
Q

le psychotique a t’il le désir de consulter ?

A

non, car pour eux il y a seulement le soi et un monde a réparer. il le fait souvent par pression de l’entourage

67
Q

a quoi le psychotique attribue t’il sa souffrance ?

A

il attribue sa souffrance au monde briser et le monde sera réparer en accomplissant des missions pour réparer le cosmos

68
Q

dans quel contexte le psychotique va t’il demander de l’aide ?

A

demande par rapport à l’angoisse (problème de contact avec la réalité); Si il est volontaire pour une thérapie, il risque d’y avoir un rapport fusionnelle ou elle a l’impression de partager les même sentiments avec le thérapeute

69
Q

que se passe t’il avec un psychotique dans l’expérience de millgram ?

A

il peut obéir si ca fait du sens avec la mission qu’il doit accomplir. Fusion, absence de différence entre soi et l’autre

70
Q

quels sont les facteurs qui font varier la demande thérapeutique ?

A
  • La personne qui la formule (certaine souffrance de base)
  • Celle qui la reçoit (selon qui nous somme et comment on écoute, la demande d’aide ne sera pas la même)
  • L’enjeu clinique sous-jacent (organisation de personnalité)
71
Q

quels sont les 2 type de demande thérapeutique ?

A

consciente

inconsciente (letente)

72
Q

donner un exemple de demande thérapeutique consciente ?

A

j’ai 30 ans et je demeure encore chez mes parent, je suis dépendant d’eux, j’ai un retard dans mon développement; souffrance et mal-être

73
Q

donner un exemple de demande thérapeutique inconsciente ?

A

j’ai besoin d’être autonome, je te paye pour que tu me rende autonome, rend moi autonome : ici il ne fallait pas prendre la personne en charge, car elle serait devenu dépendante du thérapeute ; elle se sent tellement pas a la hauteur que tout ce qu’elle arrive a demander c’est de l’aider a arrêter de souffrir

74
Q

a quel moment est installer l’alliance thérapeutique ?

A

quand les 2 niveaux de demandes sont entendus

75
Q

quel est l’aspect le plus important pour le cheminement thérapeutique ?

A

alliance thérapeutique (plus important que l’approche théorique )

76
Q

quel est le principal facteur de changement en thérapie ?

A

l’alliance thérapeutique

77
Q

quel est le problème de nos jours avec l’alliance thérapeutique ?

A

elle peut prendre plusieurs temps a de développer mais de nos jours, les thérapies sont courtes

78
Q

quel est la condition sans laquelle il n’Y aurait pas de travail thérapeutique ?

A

l’alliance thérapeutique

79
Q

comment était percu le contre-transfert avant ?

A

comme un élément essentiellement négatif, nuisible

80
Q

de nos jours, comment est percu le contre transfert ?

A

comme un précieux outils qui aide a faire les diagnostics

81
Q

qu’est ce que le contre transfert ?

A

Ensemble de réactions inconscientes du thérapeute à l’égard de son patient et, plus particulièrement, au transfert de celui-ci

82
Q

qu’a dit michel neyraut en 1974 par rapport au contre trnasfert ?

A

« Le contre-transfert, c’est la passion de l’analyste » dans le mesure ou c’est le mesure émotionnelle par rapport a l’autre

83
Q

qu’est ce que le transfert ?

A

Processus par lequel les désirs inconscients s’actualisent

84
Q

dans le transfert, les désirs inconscient s’actualisent sur quoi ?

A
  • sur certains objets (certaines personnes)

- dans le cadre d’un certain type de relation(dont la relation thérapeutique)

85
Q

qu’elle est la définition du transfert ?

A

mode relationnel infantile qui se vie dans un contexte actuel (en thérapie, en couple ou dans n’importe quel relation significative)

86
Q

de quoi s’agit le transfert ?

A

une répétition de prototypes

infantiles vécue avec un sentiment d’actualité prononcé

87
Q

les problèmes les plus important du transfert se vivent avec qui ?

A

avec les personne qui jouent des rôles important dans leur entourage. Les relations de souffrances vont vouloir s’installer avec le thérapeute

88
Q

la transfert est classiquement reconnu comme quoi ?

A

le terrain où se joue la problématique d’une thérapie, son installation, ses modalités, son interprétation et, éventuellement, sa résolution

89
Q

a quoi ressemble le transfert d’un psychotique ?

A

1- Embarque le thérapeute dans le même délire. Persuader le thérapeute de faire la mission dans une grande proximité, la fusion. La personne veut fusionner avec le thérapeute. Confond ses pensée a ce que l’autre peut penser.

2- méfiance paranoïaque. Avoir peur que le thérapeute joue dans le tête, qu’il tente de contrôle

90
Q

a quoi ressemble le transfert d’un pervers ?

A

Cherche a exercer du pouvoir sur l’autre, au détriment du bien être de l’autre. Beaucoup de pervers sont intelligent, agile et ont de bonnes positions dans la société. Très charismatique et charmeur. Ils persuades pour pouvoir contrôler.

91
Q

est ce que les 2 type de transfert du psychotique peuvent cohabiter ?

A

non

92
Q

a quoi ressemble le transfert d’un état limite ?

A

Dépendance au thérapeute. L’autre est très important et responsable. Il y a aussi une résistance a la dépendance, car c’est effrayant. Rapprochement-distance- rapprochement- distance épuisant pour une relation, car la personne joue beaucoup avec le cadre.

93
Q

a quoi ressemble le transfert d’un névrotique ?

A

C’est rare qu’il rend le thérapeute entièrement responsable de son sort, ce qui fait que le thérapeute est toucher par l’autre il se sent ému et il veut se sentir capable de l’aider, mais il peut transférer son impuissance au thérapeute. Il peut être pénible pour le thérapeute de vouloir aider mais d’avoir des restriction dans les moyens

94
Q

avant, percevait on le contre-transfert comme positif ou negatif ?

A

negatif

95
Q

de nos jours, comment percoit on le contre transfert ?

A

positif, c’est voir comme un outils qui nous permet de diagnostiquer

96
Q

qu’est ce que le contre transfert ?

A

Ensemble de réactions inconscientes du thérapeute à l’égard de son patient et, plus particulièrement, au transfert de celui-ci

97
Q

qu’a dit michel Neyraut concernant le contre transfert ?

A

« Le contre-transfert, c’est la passion de l’analyste » dans le mesure ou c’est le mesure émotionnelle par rapport a l’autre

98
Q

comment nomme t’on la réponse qU’on a au transfert ?

A

le contre-transfert

99
Q

quelle forme prend le contre transfert ?

A

N’importe quoi qu’on va vivre – coupable, responsable, charmé, séduit
Étourdissement, avoir chaud, fatigue, ennui

100
Q

a quoi peut servir le contre transfert ?

A

a mieux lire la demande (souvent la secondaire) et le transfert

101
Q

À quoi ressemblera le contre-transfert face à un psychotique

A

Confusion mentale (surtout si le rapport est intense), car la personne nous fait part de son discours confus. Impression de ressortir nous-même fou. Sentiment d’être envahi. On peut aussi se sentir très important, comme un parent peut se sentir face a un enfant vulnérable, qui est en demande. On peut se sentir dangereux, menaçant, l’autre a tellement peur de nous qu’on a peur de nos paroles et actions

102
Q

À quoi ressemblera le contre-transfert face à un pervers

A

Se sent sous le charme, sentiment d’être complice (élément clé de la perversion, car le pervers nous mènent a consentir a quelque chose et a partir de la on est compromis dans la relation). Se sent en contrôle de par la complicité établie.

103
Q

À quoi ressemblera le contre-transfert face à un état-limite

A

le thérapeute se sent responsable du sort de l’autre. Jeu de cadre (il ne respecte pas les règle, arriver a l’heure, payer), le thérapeute déploie tellement d’énergie pour maintenir le cadre, qu’il n’a plus d’énergie pour réfléchir.

104
Q

À quoi ressemblera le contre-transfert face à un névrotique

A

malgré l’état aigu d’inconfort du névrotique, le thérapeute ne se sent pas toucher, il a de l’espace pour penser. Sentiment d’être capable, important dans l’aide, car on lui reconnait une certaine expertise. Éventuellement, il na se sentira pas a la hauteur des attentes. Se sent impuissant a aider l’autre. Il faut toléré le sentiment d’impuissance pour aider l’autre, c’est un facteur de changement.

105
Q

Quest-ce qui aide à bien lire le transfert et le contre-transfert?

A

Bien se connaitre pour départager ce qui vient de nous et ce qui est suscité par l’autre. L’état affectif peut aussi aider. Être capable de prendre soin de soi

106
Q

Qu’est-ce qui peut nuire ou, du moins, compliquer les choses lorsqu’on fait face a un contre-transfert ?

A

Le émotions (décès, séparation), joue dans notre contact en thérapie, si on fait fit de cela. L’État de fatigue (si on est brulé, notre présence n’est pas suffisante)

107
Q

que peut on inclure dans la culture ?

A

Le langage, les symboles, les rituels, les gouts

108
Q

quel est le rapport de l’homme a la culture sur le plan phylogénétique (espèce)?

A

l’espèce ne peut pas exister sans cette culture. La culture est nécessaire.

109
Q

quel est le rapport de l’homme a la culture sur le plan ontogénétique (développement individuel?

A

Il y a une culture qui nous précède comme individu. On provient de la culture avant et après la naissance on est influencer par la culture et on influence celle-ci.

110
Q

que comprend la culture de l’Autre ?

A

Une part de semblable, mais toujours aussi une part d’étrangeté

111
Q

qu’Est ce que chaque culture a son mode d’emploi veut dire ?

A

Chaque culture a son propre mode d’emploi, comment on dois agir avec les autre, mode de vie. On ne propose pas les même mode de vie et les même façon de se soulager de l’inconfort. La culture de l’autre,le contact a la culture de l’autre nous mène a éprouver de la curiosité ou réaction de fermeture (contre-transfert)

112
Q

quelle sont les attitudes qu’on peut éprouver lors d’une rencontre

A

curiosité vs fermeture

113
Q

quelle sont les réactions qu’on peut éprouver lors d’une rencontre

A

peur? dégoût? envie? excitation? colère?

114
Q

comment est exprimer la rencontre dans la réalité ?

A

Explorateurs, conquérants et voyageurs

115
Q

comment est exprimer la rencontre dans la fiction ?

A

Films d’invasions extraterrestres (on se sent menacer par une invasion, comme si l’autre avait pour objectif de nous exterminer)

116
Q

qu’est ce qui peut mener a un rapport de force destructeur entre 2 cultures ?

A

Souvent méfiance entre les cultures qui peut être destructrice. La méfiance initiale est compréhensible, car on ne connait pas la force de l’autre, mais cette méfiance peut elle être surmonter ?

117
Q

quels sont les Apports et les pièges de la notion de

« compétence culturelle »

A
  • La formation met surtout accent sur les connaissances cognitives
  • Présentation souvent folklorisée, stéréotypée et figée
  • La meilleur façon de démystifier les différentes culture est d’entrer en contact avec celle-ci