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Psychologie sociale-Examen 2 > Cours 7 : Comportements d'aide et d'agression > Flashcards

Cours 7 : Comportements d'aide et d'agression Flashcards

1
Q

Quel type de comportement est celui d’agresser?

A

comportement asocial

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2
Q

Quel type de comportement est celui d’aider?

A

comportement prosocial

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3
Q

Qu’est-ce que le sacrifice de soi?

A

Possiblement la source des deux types de comportement (asocial et prosocial)

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4
Q

Qu’est-ce qu’un comportement agressif?

A

Comportement
physique ou verbal dirigé vers une personne avec l’intention de lui causer
du tort sur le plan physique ou psychologique.

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5
Q

Peut-on considérer que dans la taquinerie, il y a une forme d’agression?

A

Oui, un certain tort est causé même dans un contexte de taquinerieé

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6
Q

Lorsqu’on définit le comportement agressif, on mentionne l’INTENTION de causer du tort, qu’est-ce que ça signifie?

A

Ce n’est pas si clair en fait. Ce n’est pas un élément qui est absolument crucial. Cependant, plus souvent qu’autrement, il y a une certaine volonté de causer du tort. (sauf peut-être l’exception de pas venir défendre une personne qui se fait agresser)

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7
Q

Quelle est la différence entre une forme d’agression hostile et une forme d’agression instrumentale?

A

Hostile : souffrance d’autrui est le but primaire

OU

Instrumentale : souffrance d’autrui est un moyen d’atteindre un autre but (argent, statut)

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8
Q

Quelle est la différence entre une forme d’agression proactive et une forme d’agression réactive?

A

Proactive : agresseur prend l’initiative de l’acte agressif

OU

Réactive : agresseur répond à la perception d’une menace

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9
Q

Quelle est la différence entre une forme d’agression directe/manifeste et une forme d’agression indirecte/relationnelle?

A

Directe / manifeste: clairement dirigée vers une personne avec l’objectif de lui causer
du tort

OU

Indirecte / relationnelle: a pour objectif de causer du tort à une personne par la manipulation ou le contrôle de sa (ses) relation(s) avec autrui (e.g., menace de
retrait de l’amitié, exclusion sociale;
médisances)

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10
Q

Donnez un exemple de forme d’agression physique, active et directe.

A

Frapper, mordre, poignarder

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11
Q

Donnez un exemple de forme d’agression physique, active et indirecte.

A

Inciter autre à frapper,

blesser un ennemi

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12
Q

Donnez un exemple de forme d’agression physique, passive et directe.

A

Mettre phys. quelqu’un en garde pour

obtenir q.q.chose (bloquer le passage de quelqu’un)

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13
Q

Donnez un exemple de forme d’agression physique, passive et indirecte.

A

Refuser d’exécuter une tâche, « sitin »

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14
Q

Donnez un exemple de forme d’agression verbale, active et directe.

A

Insulter, déprécier

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15
Q

Donnez un exemple de forme d’agression verbale, active et indirecte.

A

Propager des rumeurs médisantes, calomnier

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16
Q

Donnez un exemple de forme d’agression verbale, passive et directe.

A

Refuser de parler à quelqu’un, l’ignorer

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17
Q

Donnez un exemple de forme d’agression verbale, passive et indirecte.

A

Ne pas défendre quelqu’un que l’on critique injustement (témoin passif=amplifie et constitue une agression)

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18
Q

Quel est l’hypothèse de frustration-agression

Dollard et Miller (1939)?

A 
 L’émission d’un comportement agressif
présuppose la présence d’une frustration
 La présence d’une frustration prédispose à l’agression, sauf en présence d’un facteur
inhibant (punition ou autre comportement
« dominant »).
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19
Q

Quel est le problème avec l’hypothèse de frustration-agression
Dollard et Miller (1939)?

A

Elle est assez simpliste et omet des facteurs importants.

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20
Q

Comment l’apprentissage social (modelage, app. observationnel/vicariant, imitation, conditionnement indirect ou renforcement vicariant) influence le développement de comportements agressifs?

A

L’apprentissage social permet de cibler les stratégies acceptables pour gérer une frustration. Par exemple, si une personne en voit une autre donner des coups pour gérer sa frustration et que cette dernière n’obtient pas de punitions en lien avec ce comportement, elle pourra apprendre que c’est une stratégie efficace et acceptable pour gérer ses propres frustrations.

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21
Q

Qu’est-ce que l’expérience classique du clown « Bobo » provenant de la théorie de l’apprentissage social de Bandura?

A
  1. Enfants exposés à un modèle (10 min)

a) Agressif
 Enfants entrent dans une salle contenant des jouets et observent. Modèle joue calmement avec jouets, puis adopte
comportement agressif envers poupée Bobo.

b) Non agressif
 Enfants entrent dans une salle contenant des jouets et observent. Modèle qui joue calmement avec les jouets, mais qui ignore la poupée Bobo.

c) Aucun modèle (contrôle)

  1. Quelques minutes d’attente dans une pièce
    avec interdiction de toucher aux jouets
    (susciter frustration)
     Enfants amenés dans une salle avec des jouets
    attrayants pour y jouer.
     Expérimentateur interdit à l’enfant de jouet avec
    ces jouets.
  2. Dans une pièce similaire à celle dans lequel le modèle évoluait, qui contient le même
    clown et d’autres objets variés et attrayants
     Contient jouets agressifs, non agressifs et poupée Bobo
     Enfant libre dans la pièce pendant 20 minutes
     Observe son comportement avec miroir sans tain.
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22
Q

Quels sont les résultats de l’expérience classique du clown « Bobo » provenant de la théorie de l’apprentissage social de Bandura?

A

 Comparés à ceux qui ont vu un modèle non
agressif ou aucun modèle…

…enfants exposés à un modèle agressif:
 exhibent plus de comportements agressifs
(physiques et verbaux)
 exhibent nouvelles formes d’agression, non
modelées (ex. fusil, lancer poupée)

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23
Q

Quelle est la théorie du transfert d’excitation (Zillman) provenant de l’approche attributionnelles?

A

 Activation physiologique (Expérience dangereuse, Exercice physique, Excitation sexuelle (érotique))

 Interprétation cognitive du contexte, signification de l’activation (Attribution causale erronée: gérer la menace)

 Organisation de la réponse (agressive?)

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24
Q

Quelle est le biais d’attribution hostile (Crick & Dodge) provenant de l’approche attributionnelles?

A
  1. Encodage des indices
     attention, perception
  2. Interprétation des indices
     attribution d’intentions
     interprétation selon schémas
  3. Formation d’un but
  4. Élaboration de solution & options de réponse
  5. Sélection d’une réponse
  6. Adoption du comportement
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25
Q

Qu’est-ce qui caractérise des enfants faisant preuve d’agressivité chronique (Prédisposition à)?

A

Le biais d’attribution hostile; ils sont plus sensibles à percevoir une menace dans leur environnement, vigilants

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26
Q

Qu’est-ce que la théorie cognitive néoassociationniste de Berkowitz (1990)?

A

Une SITUATION AVERSIVE (chaleur, ordeurs, provocation, scènes répugnantes) peut mener à l’ACTIVATION D’AFFECT NÉGATIVE qui provoque des SENSATIONS PHYSIQUES, DES ÉMOTIONS, DES IDÉES, DES SOUVENIRS. Ces derniers sont associés à la fuite et l’agression soit des réactions primaires (soit je fuie, soit je me bat). Ensuite, l’AUTO-RÉGULATION ÉMOTIONNELLE influence sur la RÉPONSE AGRESSIVE (OU NON). Cette auto-régulation émotionnelle peut impliquer un traitement cognitif.

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27
Q

Quel est le modèle intégratif des théories sociocognitives de l’agression?

A

Un affect provoque une excitation qui provoque à son tour un comportement. Entre en compte aussi la cognition sociale. Cette dernière comprend des structures de connaissances liées à ce processus comme les schémas comportementaux (modèles), la perception de menace (attributions) et l’accessibilité des pensées agressives.

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28
Q

Que conclut la méta-analyse de 98 études publiées en 2009 et + (Greitemeyer & Mügge, 2014) sur l’influence des jeux vidéos?

A

Il existe une influence de l’effet d’exposition à un jeu violent vs prosocial sur le comportement, la cognition et l’affect. Toutefois, ce lien n’est pas fatal. En effet, l’exposition peut y contribuer, mais n’explique pas tout.

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29
Q

Quels sont les facteurs de risque/protection pour les comportements d’agression considérés dans l’études sur la complexité des influences multiples de Gentile & Bushman (2012)?

A

 Biais d’attribution hostile
 Expériences antérieures
 victimisation physique
 S’être battu
 Sexe de l’enfant (G > F)
 Exposition médias violents (TV, jeux, films)
 Implication parentale (écoute + discussion)

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30
Q

Quels sont les deux facteurs de risque/protection étant les pLUS PRÉDICTEURS pour les comportements d’agression rapportés dans l’études sur la complexité des influences multiples de Gentile & Bushman (2012)?

A

Les batailles antérieurs et l’exposition à des médias violents.

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31
Q

Selon l’étude sur la complexité des influences multiples de Gentile & Bushman (2012), est-ce que les parents ont un grand impact sur le risque de comportements agressifs chez leurs enfants?

A

Non, les parents sont limités dans pouvoir d’action puisque beaucoup d’autres influences entrent en compte en ce qui concerne les comportements agressifs.

32
Q

Vrai ou faux? Chaque influences possibles sur la violence ont une influence indépendante des autres.

A

Faux, plus on ajoute des facteurs de risques, plus il y a de chances de présenter des comportements agressifs.

33
Q

Que peut-on conclue sur les influences menant à la violence?

A

 Exposition à des médias violents semble susceptible d’accroître risque d’agression
 MAIS multiples facteurs de risque et protection
 Chacun des facteurs a sa contribution
 Le cumul de facteurs de risque accroît la probabilité d’agression

34
Q

Qu’est-ce qu’un comportement prosocial?

A

Tout comportement visant le bénéfice d’autrui (personne ou groupe), c.-à-d., aider mais aussi :
 Consoler et rassurer
 Partager et coopérer
 Défendre

Sans égard aux motifs sous-jacents.

35
Q

Quelles sont les trois types de motivations possibles aux comportements prosociaux?

A

 Altruisme
 Égoïsme
 Collectivisme

36
Q

Qu’implique la motivation provenant de l’altruisme dans les comportements prosociaux?

A

Intérêt réel porté aux autres

Aider autrui sans attente de conséquences positives pour soi-même, peut impliquer un
sacrifice ou coût pour l’aidant.

37
Q

Qu’implique la motivation provenant de l’égoïsme dans les comportements prosociaux?

A

Intérêt porté à soi-même

Aider dans le but d’en tirer un bénéfice - valorisation, récompense ou éviter sanctions

38
Q

Qu’implique la motivation provenant du collectivisme dans les comportements prosociaux?

A

Pour intérêts d’un groupe

Aider pour maintenir l’unité du groupe, le sentiment d’appartenance, pour l’intérêt de la communauté ou de son propre groupe.

39
Q

Donnez un exemple de comportement prosocial altruiste.

A

Sauver la vie de quelqu’un parce qu’on veut vraiment sauver sa vie.

40
Q

Donnez un exemple de comportement prosocial égoïste.

A

Prêter ses notes de la semaine pour pouvoir avoir les notes de la personne la semaine suivante.

41
Q

Donnez un exemple de comportement prosocial collectiviste.

A

Recycler pour les générations futures.

42
Q

Est-ce que les motivations de comportements prosociaux sont mutuellement exclusives?

A

Non, il possible d’avoir plusieurs motivations à ces comportements.

43
Q

Quelles sont les influences aux comportements prosociaux?

A
  1. Sociales et contextuelles
  2. Personnelles
  3. Interpersonnelles
44
Q

Quelles sont les normes sociales qui influencent socialement et contextuellement les comportements prosociaux? Donnez des exemples.

A

 Réciprocité: prêter ses notes pour des échanges futurs
 Équité: on s’attend à ce que tous monde veut que se soit juste et équitable (mérite pas une situation)
 Responsabilité sociale: fait partie des règles de vie en tant que membre de notre société

45
Q

Quelles sont les modèles et apprentissages sociaux qui influencent socialement et contextuellement les comportements prosociaux?

A

 Modelage - Bandura: nous sommes suseptibles de répéter ce que l’on voit

46
Q

Qu’est-ce que l’effet du passant?

A

Plus le nombre de témoins d’une situation d’urgence est élevé, moins il est probable que l’une de ces personnes vienne en aide à la personne dans le besoin.
Présence d’autres individus inhibe le comportement d’aide.

47
Q

Qu’est-ce qu’implique un contexte de situations d’urgence?

A

 Implique typiquement une menace ou du mal pour la victime.
 Peu probable qu’une action positive sera récompensée.
 Peu de gens ont de l’expérience avec de telles situations.
 Situations imprévisibles et stressantes.
 La réponse appropriée n’est pas claire.

48
Q

Qu’est-ce que le modèle cognitif du comportement d’aide en situation d’urgence (Latané & Darley, 1970) ?

A
  1. Remarquer la situation -»
  2. Interpréter la situation comme urgente -»
  3. S’attribuer la responsabilité d’agir -»
  4. Savoir comment aider -»
  5. Décider d’aider -»
    Aide offerte

SI LA RÉPONSE À UNE DE CES ÉTAPES EST NON: AIDE NON-OFFERTE.

49
Q

Donnez un exemple de l’étape 1 (Remarquer la situation) du modèle cognitif du comportement d’aide en situation d’urgence.

A

Ex., Être pressé (Darley & Batson, 1973)

VI Pressé ou non
Conférence: Parabole du Bon Samaritain ou
emplois en théologie
VD Aider un homme effondré dans un encadrement de porte

Résultats:
Pressés : 10% ont aidé
Pas pressés : 63% ont aidé

50
Q

Dans l’étude de Darley & Batson, 1973 portant sur l’étape 1 du modèle cognitif du comportement d’aide en situation d’urgence, est-ce qu’il y avait des différences selon le sujet de la conférence (Conférence: Parabole du Bon Samaritain ou emplois en théologie)?

A

NON, ne change rien peut importe le sujet au final (dissociation théorie vs pratique!)

51
Q

Donnez un exemple de l’étape 2 (Interpréter la situation comme urgente) du modèle cognitif du comportement d’aide en situation d’urgence.

A

 Malaise d’un autre dans une autre pièce – lien audio
 Fumée sous une porte
 Bruit de chute dans une salle adjacente

Montre de l’ignorance pluraliste

52
Q

Qu’est-ce que l’ignorance pluraliste?

A

Croire qu’une situation est urgente et nécessite
intervention. Mais, l’inaction des autres témoins peut
les amener à croire que les autres ne voient pas la
situation comme une urgence.
Lien avec conformisme et normes

53
Q

Donnez un exemple de l’étape 3 (S’attribuer la responsabilité d’agir) du modèle cognitif du comportement d’aide en situation d’urgence.

A

Diffusion de responsabilité

54
Q

Qu’est-ce que la diffusion de responsabilité?

A

Le sentiment de responsabilité d’agir de chaque passant diminue avec la hausse du nombre de témoins, réduisant la probabilité que quelqu’un intervienne.

55
Q

Donnez un exemple de l’étape 4 (Savoir comment aider) du modèle cognitif du comportement d’aide en situation d’urgence.

A

 L’intervention peut exiger des connaissances et des compétences particulières.
 On ne sait pas toujours clairement quel comportement sera aidant.
 Les gens ne peuvent pas aider s’ils ne savent pas comment!

56
Q

Donnez un exemple de l’étape 5 (Décider d’aider) du modèle cognitif du comportement d’aide en situation d’urgence.

A

Calcul du passant

57
Q

Qu’est-ce que le calcul du passant?

A

Calcul de

-Bénéfices d’aider et coûts de ne pas aider
 Approbation sociale
 Satisfactionpersonnelle
 Réduction d’activation et d’émotionsnégatives
 Conséquence pour lavictime

-Coûts d’aider
 Danger / menace pour soi
 Coût financier
 Embarras, humiliation en cas d’erreur
 Temps requis
58
Q

Quelle sorte de motivation consiste l’influence de réciprocité?

59
Q

Quelle sorte de motivation consiste l’influence d’équité?

60
Q

Quelle sorte de motivation consiste l’influence de la responsabilité sociale?

A

Collectivisme

61
Q

Quelle sorte de motivation consiste l’influence de s’attribuer la responsabilité d’agir?

62
Q

Quelle sorte de motivation consiste l’influence du calcul du passant?

63
Q

Existe-t-il un gène « altruiste » ?

A

Non, mais il existe la sélection familiale:
 Théorie évolutionniste
 Favoriser survie et réussite de sa famille, ses proches, son groupe

64
Q

Existe-t-il une tendance universelle à aider en fonction du lien de parenté selon l’étude de Burnstein, Crandall & Kitayama, 1994?

A

Oui, motivation égoiste parce qu’on perçoit la personne comme une extension de soi donc tu «t’aide toi-même».

65
Q

Quelles sont les influences personnelles aux comportements prosociaux?

A

 Attachement sécurisé (compassion)
 Intelligence émotionnel

 Facteurs émotionnels

  • Humeur positive et négative
  • Effet d’être de bonne humeur
  • Soulagement des émotions négatives
  • Sympathie, empathie et détresse personnelle

 Attribution et jugement de responsabilité

66
Q

De quelle type de motivations sont les influences personnelles aux comportements prosociaux?

67
Q

Qu’est-ce que la sympathie/empathie?

A

compassion, tendresse pour la détresse d’autrui ou réponse affective imitant l’état émotionnel d’autrui

68
Q

Qu’est-ce que la détresse personnelle?

A

ressentir de l’aversion lors de la perception de détresse chez autrui

69
Q

Que peut provoquer la détresse d’autrui? (2)

A

De la détresse personnelle
ou
De la sympathie/empathie

70
Q

Quelle sera la motivation à aider lorsque la détresse d’autrui provoque de la détresse personnelle?

A

Réduire SA détresse (motivation égoiste)

71
Q

Quelle sera la motivation à aider lorsque la détresse d’autrui provoque de la sympathie/empathie?

A

Réduire détresse d’AUTRUI (motivation altruiste)

72
Q

Selon la théorie attributionnelle interpersonnelle
de Weiner, si le comportement d’autrui est attribué comme étant interne et contrôlable, quelle seront les réactions affectives et comportementales?

A

(A) Dégoût, colère

(C) PAS d’aide

73
Q

Selon la théorie attributionnelle interpersonnelle
de Weiner, si le comportement d’autrui est attribué comme étant interne et non-contrôlable, quelle seront les réactions affectives et comportementales?

A

(A) Pitié, sympathie

(C) Aide

74
Q

Selon la théorie attributionnelle interpersonnelle
de Weiner, si le comportement d’autrui est attribué comme étant externe et contrôlable, quelle seront les réactions affectives et comportementales?

A

(A) Pitié, sympathie

(C) Aide

75
Q

Selon la théorie attributionnelle interpersonnelle
de Weiner, si le comportement d’autrui est attribué comme étant externe et non-contrôlable, quelle seront les réactions affectives et comportementales?

A

(A) Pitié, sympathie

(C) Aide

76
Q

Est-ce que l’attirance pour la personne est une influence de comportements prosociaux?

A

Oui, c’est une influence interpersonnelle qui implique
 Attirance physique
 Similarité
 Identification (groupe)

77
Q

Donnez un exemple d’influence interpersonnelle par attirance pour la personne.

A

Comportement d’aide chez les fonda-mentalistes religieux (Jackson & Esses, 1997)

Cas Une personne cherche un emploi

VI : Caractéristique de la personne (similarité)
(Homosexuelle-dissimilaire, autochtone-similaire, mère célibataire-dissimilaire, étudiant-similaire)
VD :
1. Que pensez-vous d’elle ? (degré de responsabilité)
2. Aideriez-vous ?

Résultats:
Croit que les personnes dissimilaires ont une plus grande responsabilité d’être dans le pétrin alors il n’aideraient pas. Le contraire pour les personnes similaires.

Psychologie sociale-Examen 2 (5 decks)

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