Cours 7 - Apprentissages Flashcards

1
Q

Sur quoi les astuces en intervention viennent agir ?

A

Astuces viennent agir sur la perception du jeune de lui-même et des interventions.

Agir sur l’environnement pour modifier le comportement par la perception.

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Q

Qu’est-ce que ça signifie “avant d’intervenir … bien cerner nos attentes” ? (Astuces)

A
  • Attentes du professionnel, des parents, de l’enseignant (Souvent des attentes élevées)
  • Accepter la nature de l’enfant (Il est ce qu’il est)
  • Des attentes démesurées peuvent amener des déceptions
  • Voir les forces et le contexte dans lequel elles sont mises de l’avant
  • Moins attention sur les comportements dérangeants
  • Liste des comportements sur lesquels on intervient, choisir les priorités et les comportements sur lesquels on lâche prise ce qui va alléger les interventions auprès de l’enfant
  • Moment privilégié en individuel avec l’enfant (Parent pleinement disponible) qui a le contrôle.
  • Dépersonnaliser le comportement du jeune
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3
Q

Qu’est-ce que ça signifie “Tout est une question d’attitude” ? (Astuces)

A
  • Trop ferme : Plus résistance, plus d’opposition
  • Trop doux : Pas de respect
  • Fenêtre adéquate est plus limitée : S’affirmer
  • Rester neutre, ne pas tomber dans l’émotif
  • Attitude englobe plus que le verbal
  • Le malaise de la conséquence ne doit pas être perçu comme du rejet parce que sinon ça valide l’image de soi
  • Attitude dans les moments « sans intervention » doit être agréable et intéressante
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4
Q

Qu’est-ce que ça signifie “Et si c’était un mécanisme de défense” ? (Astuces)

A
  • Mécanismes de défense les plus communs : Figer, fuir ou combattre une situation qui menace l’intégrité
  • Mécanisme s’active/se lève.
  • Bouclier : Tant qu’on frappe dessus, plus le jeune le braque, moins on a accès au jeune pour faire une intervention (Garder son calme et laisser le temps)
  • Ne pas se rendre à la crise (Prévention)
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5
Q

Qu’est-ce que ça signifie “Pour finir … Un peu d’optimisme” ? (Astuces)

A
  • Enfants avec TE sont peu optimistes par rapport à leurs capacités
  • Interventions viennent renforcer cette idée-là.
     Transmettre au jeune qu’il peut avoir les capacités, qu’il a les capacités
     Porte ouverte vers un futur plus favorable
     « Prochaine fois, je pense que tu vas être capable de respecter la consigne », « Demain, j’aurais envie de faire un autre jeu avec toi ».
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6
Q

Pourquoi le système d’émulation peut être nuisible en contexte scolaire ?

A
  • Pourcentage d’enseignants à utiliser un système d’émulation : 76%
  • Pourcentage d’enseignants qui considèrent avoir un niveau de connaissances faible/modéré quant aux principes de base des systèmes d’émulation : 40% (Environ ½)
  • Inutile ou nuisible pour les enfants quand le contexte actuel où les enseignants les utilisent de façon inadéquate
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7
Q

Nommez des conséquences d’une mauvaise utilisation du système d’émulation.

A

 Comportements persistent ou augmentent
 Stigmatisation
 Perte de motivation (Intrinsèque)
 Climat de compétition
 Estime de soi
 Frustrations (Jeune et Adulte)

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8
Q

Quels sont critères pour une utilisation simple du système d’émulation ?

A

 Simple
 Renforcement qui survient rapidement
 Constance et cohérence
 Donner ce qui est annoncé
 Ne pas retirer ce qui a été gagné (Outil négatif)
 Implication de tous
 Faire des retours

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9
Q

Quels sont les critères pour la conception du système d’émulation ?

A

 Attentes réalistes (Objectifs atteignables)
 Objectifs clairs (1 ou 2 comportements maximum)
 Selon les intérêts de l’enfant
 Modifiable
 Individualisée
 Enfants sont capable d’une certaine compréhension. Il faut expliquer « dans des mots d’enfant » les raisons derrière le système pour limiter la stigmatisation.
 Implication du jeune
 Cibler la fonction du comportement
 Définitions opérationnelles des comportements attendus (Explication au jeune)
 Délai de révision selon les progrès (Pas de progrès = Révision)

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10
Q

Vrai ou Faux : Les systèmes d’émulation en groupe sont recommandés.

Expliquez.

A

Systèmes appliquées au groupe ne fonctionnent pas selon la littérature. Les systèmes visibles au groupe (stigmatisation, compétition) vont cibler les élèves qui ont des difficultés et qui ont vraiment besoin du système (Affecter l’image de soi). Ils amènent un climat anxiogène pour ceux qui veulent bien performer. Les objectifs ne respectent pas les capacités de chaque enfant, ceux qui ne peuvent pas atteindre la norme ne sont jamais récompensés même s’ils ont fait beaucoup d’efforts.

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11
Q

Quels types de privilèges sont à préconiser avec les enfants qui ont de l’opposition ?

A

Des privilèges qui sortent un peu des règles

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12
Q

Décrivez le contrat comportemental.

A
  • Préciser le comportement attendu et ce que l’adulte s’engage à faire si le jeune respecte sa part du contrat
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13
Q

Nommez des objectifs de la feuille de route.

A

Prise de conscience du jeune
Observer son comportement
Mobilisation dans la démarche de changer le comportement

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14
Q

Nommez trois conditions qui doivent être respectés lorsqu’on applique une “conséquence”.

A
  • S’assurer qu’il s’agit vraiment d’une conséquence (Faire vivre un désagrément à l’enfant)
  • Lien avec le comportement
  • On ne peut pas imposer une conséquence à un enfant s’il ne sait pas comment faire le bon comportement. Il doit avoir les compétences et connaissances pour faire ce qui est attendu de lui.
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15
Q

Pourquoi, dans la procédure d’extinction, il est important d’éliminer le renforçateur à 100% ?

A

C’est pire de renforcer un comportement de façon occasionnelle parce que l’enfant va tester.

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16
Q

Vrai ou faux.
Le façonnement est utile avec les comportements très fréquents.

A

Faux

Avec les comportements absents ou très peu fréquents.

17
Q

Qu’est-ce qui est important pour le renforcement avec des jeunes TDAH ?

A

Rapidement l’appliquer parce qu’il y a un déficit des fonctions exécutives.

18
Q

Selon l’intervention comportementale, la manifestation d’un comportement (positif ou négatif) repose sur un ____________________________.

A

Processus d’apprentissage

19
Q

Selon l’intervention comportementale, quel est le médiateur sur lequel l’intervention devrait agir ?

A

Intervention devrait agir sur la perception du jeune de la situation, une fois déconstruite, le comportement peut changer.
La perception de lui-même et de l’adulte/intervention

20
Q

Comment une perception négative de soi-même influence le comportement du jeune ?

A

Si le jeune pense que les adultes ne l’aiment pas et qu’il ne fait jamais rien de correct, il va agir et se conformer à l’étiquette qu’on lui attribue.

21
Q

Qui suis-je ?
Je suis une conception qui se veut inclusive, permettant de répondre aux besoins particuliers des élèves, tout en étant profitable pour les autres élèves du groupe.

A

Conception universelle de l’apprentissage

22
Q

Nommez des exemples d’intervention de niveau 1.

A

 Coin pour dépenser son énergie
 Routine visuelle
 Transition en mouvement
 Matériel sensoriel
 Système de renforcement avec des jetons
 Prévention à l’intimidation
 Inclure des pauses pendant la période d’enseignement
 Responsabilité en classe
 Prévisibilité avec un TimeTimer

23
Q

De quel niveau s’agit-il ?

 Correspond à des interventions universelles, qui s’adressent à tous les élèves. Ce niveau d’intervention favorise la présence des comportements attendus, afin que tous puissent participer aux activités proposées.

A

NIVEAU 1

24
Q

Nommez des exemples d’interventions de niveau 2.

A

 Matériel sensoriel sur le bureau
 Autorisation de faire le cours debout
 Responsabilité à Jordan

25
Q

Qui suis-je ?
Je propose une approche multi-niveau, qui permet de faire varier l’intensité de l’intervention, selon trois paliers progressifs, afin de répondre aux besoins multiples et diversifiés des élèves

A

Réponse à l’intervention (RAI)

26
Q

Décrivez le niveau 1 du palier progressif de la RAI

A

Le niveau 1 correspond à des interventions universelles, qui s’adressent à tous les élèves. Ce niveau d’intervention favorise la présence des comportements attendus, afin que tous puissent participer aux activités proposées.

27
Q

Est-ce que le niveau 1 du palier progressif de la RAI nécessite une intervention d’un professionnel ?

A

Non!

28
Q

De quel niveau s’agit-il ?

 Correspond à des interventions individualisées, intensives, spécialisées et multisystémiques. Ce niveau d’intervention est nécessaire lorsque les difficultés persistent malgré les interventions. Ce niveau implique généralement le recours à des services spécialisés.

A

Niveau 3

29
Q

Lorsque les mesures sont bien mises en place dans le niveau 1, on estime quel pourcentage des élèves qui seront en mesure d’adopter des comportements attendus ?

A

80%

30
Q

Décrivez le niveau 2 du palier progressif de la RAI.

A

Le niveau 2 correspond à des interventions ciblées, s’adressant à des élèves particuliers ou à des petits groupes d’élèves ayant des besoins similaires. Interventions un peu plus intenses, s’adresse uniquement à ceux pour qui les mesures universelles ne sont pas suffisantes.

31
Q

Décrivez le niveau 3 du palier progressif de la RAI.

A

Le niveau 3 correspond à des interventions individualisées, intensives, spécialisées et multisystémiques. Ce niveau d’intervention est nécessaire lorsque les difficultés persistent malgré les interventions de niveaux 1 et 2. Ce niveau implique généralement le recours à des services spécialisés. Intervention intensive et individualisée (ex. suivi en psychoed).