Cours 6: Relations interpersonnelles Flashcards

1
Q

Quelle est la définition de besoin d’affiliation (d’appartenance)?

A

• Besoin fondamental d’établir et de maintenir au moins un minimum de relations
interpersonnelles durables, positives et significatives (Baumeister et Leary, 1995)

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2
Q

Quelles sont les raisons sous-jacentes à l’affiliation?

A
Soutien émotionnel
« Être avec les autres est
l’une de mes plus grandes
sources de réconfort lorsque
les choses vont mal. »
Stimulation positive
« Je sens que j’ai accompli
quelque chose de valeur
lorsque j’arrive à être près
de quelqu’un. »
Comparaison sociale
« Lorsque je suis incertain de
ma réussite sur une tâche,
j’aime être avec des gens
afin de me comparer à eux. »

Attention
« J’aime principalement être
avec des gens qui croient
que je suis une personne importante et excitante. »

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3
Q

Quels sont les bénéfices de l’affiliation?

A
  1. Acceptation et appartenance
  2. Contrer la solitude
  3. Bien-être et santé
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4
Q

En quoi l’acceptation et l’appartenance est un bénéfice de l’affiliation?

A

• Acceptation sociale
–Estime et validation d’autrui

• Sentiment d’appartenance
–Connexion, faire partie de quelque chose,
–Identité, avoir sa place

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5
Q

Quelles sont les 3 sortes de la solitude? Quelle(s) sorte(s) ne doivent pas être présentes afin de contrer la solitude.

A

• Solitude sociale
– Relation interpersonnelles
– nombre et fréquence de
contacts (intégration sociale)

• Solitude émotionnelle
– Relations intimes (amoureuse) – qualité

• Solitude existentielle
– Anxiété face à l’existence et absence de sens
– Relations intimes et appartenance à des groupes
– Partage de sa conception du monde (culture, valeurs, etc.)
– Théorie de la gestion de la terreur

Les 3 formes ne doivent pas être présentes afin de contrer la solitude.

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6
Q

En quoi le bien-être et la santé sont un bénéfice de l’affiliation?

A

• Psychologique
– Affect positif & satisfaction de vie
– Facilite adaptation en réponse au stress ou
difficultés

• Physique
– Risque de mortalité et morbidité
– Réactivité physiologique de stress (cortisol & réactivité cardiaque)
– Protection d’effets du stress sur santé

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7
Q

Qu’est-ce qu’une relation interpersonnelle?

A

« Un ensemble de liens continus entre deux
personnes ou plus, lesquels s’influencent mutuellement, dans un cadre émotionnel,
cognitif, social, temporel et
multidimensionnel. »
(Vallerand, 2006, p.657)

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8
Q

Qu’est-ce qu’une relation intime?

A

Qualifiée par le degré mutuel :
• d’interdépendance entre les deux personnes;
• d’intimité, de compréhension et de validation;
• d’engagement envers la relation (son maintien);
• de volonté d’accommoder, sacrifier et pardonner;
• de motivation et de sensibilité [passée, présente et
future] à protéger et promouvoir le bien‐être de
l’autre (symétrie)

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9
Q

Donnez des prototypes de relations intimes? Est-ce qu’elles sont nécessairement intimes?

A

Relations d’amitié, amoureuses, familiales.
MAIS…
Elles ne sont pas
nécessairement intimes. Dépend du degré d’atteinte des qualités qui définissent une « relation intime »

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10
Q

Quelles sont les caractéristiques de la cible ou du contexte qui favorise l’attirance?

A
A. Lien génétique (parenté)
B. Stimulation hormonale
– Oxytocine
– Partenaire amoureux et enfants
C. Beauté physique
D. Transfert d’excitation physique
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11
Q

Quels sont les standards de beauté physique?

A

• Caractéristiques de la classe
dominante
• Concordance entre membres de différents groupes ethniques quand aux standards de beauté pour le visage humain (évolue dans le temps, mais il y a quand même quelque chose de partagé et de commun (universalisé) qui transcende).

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12
Q

Quelles caractéristiques sont associées à la beauté physique en Amérique du Nord?

A
Compétence sociale, popularité
Maturité
Bonheur, bien-être
Vanité
AFFIRMATION DE SOI

« Ce qui est beau est bon »

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13
Q

Quelles caractéristiques sont associées à la beauté physique en Corée?

A
Compétence sociale, popularité
Maturité 
Bonheur, bien-être
Vanité 
HONNÊTETÉ, GÉNÉROSITÉ 
EMPATHIE, SENSIBILITÉ

Considérant que : « Ce qui est beau est bon »…

Culture individuelle: affirmation de soi=bon

culture collectiviste:
honnête, emphatique=bon

Donc, nous dit ce que l’on valorise dans notre société.

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14
Q

Y a-t-il du vrai dans le stéréotype de lien entre beauté physique et compétence sociale et popularité?

A

Oui.

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15
Q

Y a-t-il du vrai dans le stéréotype de lien entre beauté physique et bonheur et
bien-être?

A

Non.

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16
Q

En quoi les prophétie qui s’autoréalise sont des conséquences de la beauté physique?

A

Snyder, Tanke et Berscheid (1977) ont constaté que nos premières impressions d’autres personnes peuvent devenir des prophéties auto-réalisatrices. Dans une étude, les participants de sexe masculin ont été amenés à croire qu’une autre participante à laquelle ils parlerait au téléphone était soit attirant ou non attirante. Lorsque les participants masculins croyaient que leur partenaire de conversation était attirante (au lieu de non attirante), ces partenaires étaient plus susceptibles de se comporter d’une manière compatible avec les stéréotypes au sujet des personnes attirantes (amical, sympathique, sociable, etc.).

https://www.youtube.com/watch?v=LVQMmrHfJ_0

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17
Q

Quelle est la conséquence attributionnelle selon la théorie bifactorielle de Schachter?

A

Lorsqu’une personne ne dispose pas d’informations
susceptibles d’expliquer pourquoi elle se sent activée physiologiquement, elle se base sur les informations disponibles dans la situation et le contexte pour interpréter et donner un sens à son activation physiologique. Cependant, lorsque la personne n’est pas
dans un état d’éveil physiologique particulier ou qu’elle dispose d’une explication adéquate à celui-ci, elle ne va chercher dans l’environnement les facteurs qui lui permettraient d’expliquer cette activation.

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18
Q

Qu’est-ce que le transfert (ou mésattribution) d’excitation physique?

A

Parfois, une attribution d’une activation physiologique peut être erronée, c’est-à-dire qu’une émotion forte peut déclencher une stimulation corporelle que nous attribuons selon les informations que nous avons à quelque chose qui n’est pas la source réelle de cette activation.

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19
Q

Donner un exemple d’étude sur le transfert (ou mésattribution)
d’excitation physique.

A

L’expérience, du pont Capilano à Vancouverdatant de Dutton et Aron en 1974.

Ces auteurs cherchent à savoir si le vécu d’une émotion forte ne pouvait pas amplifier l’attrait pour une personne du sexe opposé.

Les Sujets sont tous des hommes entre 18 et 35 ans non accompagnés et traversant un pont.

Lequel pont est soit un pont suspendu avec des planches de bois au dessus d’un canyon, soit un pont en dur moins difficile à traverser.
Les types de pont permettent donc de créer deux conditions différentes.

Une jeune femme, sous le prétexte d’une étude artistique, abordait le sujet alors qu’il venait de passer le pont. Il ou elle demandait de répondre à quelques questions (âge, démographie…) puis de commenter une représentation graphique permettant de mesurer le degré d’imaginaire sexuel.

Pour finir, l’enquêtrice ou enquêteur proposait au sujet d’obtenir plus d’information sur l’étude et confiait à cette fin leur numéro de téléphone.

Les auteurs mesuraient donc le nombre de sujet qui appelait effectivement la femme.

On constate que c’est bien le fait d’avoir vécu une émotion forte associé à la rencontre d’une jeune femme qui détermine l’appel des sujets. En effet, il y avait beaucoup plus d’appels fait par les hommes ayant passés sur le pont suspendus que ceux passés sur le pont durs.

20
Q

Que prouve l’étude de Back, Schmukle et Egloff (2008) sur la proximité dans l’attirance interpersonnelle?

A

Les personnes étant à proximité ont plus de chances de développer une relation interpersonnelle.

En effet, dans l’étude, il a été observé que le fait d’être assis près ou loin de quelqu’un en classe influençait la probabilité d’être amis un an plus tard.

21
Q

Que prouve l’effet d’exposition sur la familiarité dans l’attirance interpersonnelle? Donner un exemple d’étude.

A

Plus une personne nous a été exposé, plus il est probable que nous ayons une attirance envers cette personne.

L’étude de Moreland et Beach en 1992, a montré cet effet en demandant à une personne d’aller dans un classe 5 fois, dans une autre 10 fois, dans une autre 15 fois et dans une dernière de ne pas y aller. Les élèves de la classe ont trouvé la personne moins attirante si elle n’était jamais ou peu été dans la classe que lorsqu’elle s’y était rendue souvent.

22
Q

Quelles sont les points de similarité qui peuvent augmenter l’attirance interpersonnelle?

A
  • Démographique
  • Intérêts, activités
  • Attitudes, valeurs
  • Apparence (beauté) physique (Théorie de l’appariement)
23
Q

Qu’est-ce que l’égotisme implicite?

A

Similarité banale, quelconque

Associations positives avec objets liés à soi (Premières lettres de son nom et son prénom, Chiffres de date de fête)

On favorise ce qui porte sur nous, sans qu’on le sache.

24
Q

Qu’observe-t-on dans les données d’archives américaines de mariages qui appuient l’égotisme implicite?

A

• Comparativement à ce qui est prévisible par le
hasard, on observe une probabilité plus élevée
que, avant leur mariage, les conjoints avaient…
– un nom commençant par la même lettre
– le même nom de famille

25
Q

Lors d’une évaluation d’une personne de même sexe sur la base d’information limitée, qu’a pour effet le code expérimental du dossier dépendamment à s’il correspond ou non à sa propre date de fête sur l’appréciation globale?

A

L’appréciation globale est plus élevée lorsque le code expérimental du dossier correspond ou à sa propre date de fête, ce qui témoigne de l’égotisme implicite.

26
Q

Dans quelle situation la complémentarité dans une relation interpersonnelle est davantage observée?

A

A. Complémentarité des traits
– Ex., dominant & soumis

B. Domaines de performance / compétence
– Modèle du maintien de l’estime de soi (cours 3)
– Favorise réflexion et expansion de soi
– Évite comparaison et menace au sentiment de
compétence

27
Q

Quelle la théorie de la complémentarité des besoins par rapport à la sélection de partenaires dans des couples hétérosexuels?

A

La complémentarité de besoins serait le reflet de certains stéréotypes des rôles de la femme et de l’homme.

– Hommes plus âgés & femmes plus jeunes

– Échange « beauté‐pour‐statut »

Dérivée de théories évolutionnistes (source
darwinienne)

28
Q

La beauté physique est‐elles réellement plus importante pour les hommes ?

A

Selon les études sur la préférence pour beauté physique, de façon explique les hommes accordaient plus d’importance à la beauté physique que les femmes. Toutefois, de façon implicite, les hommes et les femmes accordaient une importance similaires à la beauté physique.

29
Q

Existe-t-il un lien entre la beauté physique de son/sa partenaire et la satisfaction relationnelle à long terme pour les hommes et pour les femmes?

A

Les résultats sont incohérents. Selon l’étude de Meltzer, McNulty, Jackosn & Karney
(2014), il y aurait DAVANTAGE un lien pour les hommes entre la beauté physique de sa partenaire et la satisfaction relationnelle à long terme que pour les femmes. Toutefois, l’étude de Eastwick, Luchies, Finkel, & Hunt (2013,2014), a résultée qu’il y aurait AUTANT un lien pour les hommes entre la beauté physique de sa partenaire et la satisfaction relationnelle à long terme que pour les femmes.

30
Q

Quels sont les deux grands types d’amour (Berscheid

et Hatfield, 1974)?

A
  • Amour‐passion: sentiment de désir intense pour quelqu’un, accompagné d’une excitation physiologique.
  • Amour‐tendresse: sentiment d’intimité et d’affection envers une personne d’importance dans notre vie.
31
Q

Quelles sont les caractéristiques de l’amour les plus populaires (Fehr, 1988)?

A
Confiance 
Prendre soin de l’autre (caring)
Honnêteté 
Se soucier du bien-être de
l’autre
Amitié 
Respect
Loyauté 
Accepter l’autre tel qu’il est
Engagement 
Soutenir l’autre
32
Q

Quelles sont les caractéristiques de l’amour les moins populaires (Fehr, 1988)?

A
Épeurant 
Dépendance
Incertitude 
Papillons aux ventre
Euphorie 
Regarder fixement l’autre
Accélération du rythme cardiaque
Voir seulement les belles
qualités de l’autre
Énergie Penser constamment à l’autre
33
Q

Que peut-on conclure de l’étude de Fehr sur les caractéristiques populaires de l’amour?

A

L’amour que les gens considèrent comme le « vrai amour » est l’amour-tendresse.

34
Q

Quelles sont les composantes de base de la théorie triangulaire de l’amour de Sternberg (1988)?

A

Intimité
Engagement
Passion

35
Q

Quelles sont les types de relations amoureuses possibles selon la théorie triangulaire de l’amour de Sternberg (1988)?

A

Intimité: Amitié

Engagement: Amour responsable (amour vide)

Passion: Coup de foudre

Intimité+Engagement: Amour-tendresse

Engagement+Passion: Amour hollywoodien

Passion+Intimité: Amour-passion

Intimité+Passion+Engagement: AMOUR IDÉAL

36
Q

Quelle est la théorie de l’équité de la satisfaction relationnelle et engagement?

A

• Plus heureux dans une relation lorsque ses propres
bénéfices et ses coûts face à la relation sont égaux
à ceux de son partenaire.

37
Q

Qu’est-ce qu’une relation «échange»?

A

Relation caractérisée par la

réciprocité immédiate. On donne dans l’attente de recevoir. Souci d’équité.

38
Q

Qu’est-ce qu’une relation «communion»?

A

Relation caractérisée par une

réponse aux besoins de l’autre et un souci général de l’autre. Aider l’autre a un effet positif sur notre humeur.

39
Q

Quels sont les déterminants de la satisfaction relationnelle selon la théorie de l’échange social?

A
  • Bénéfices versus coûts – équilibre (ratio)
  • Niveau de comparaison – ce que je mérite (devrais avoir dans cette relation)
  • Niveau de comparaison des autres options – ce que j’aurais dans une autre relation
40
Q

Qu’est-ce que le modèle d’investissement de l’engagement de Rusbult (1983)?

A

Rusbult soutient que la stabilité relationnelle peut être définie
comme l’intention de persister dans la relation, un sentiment d’attachement et des manifestations comportementales dans
le sens de continuer dans la relation, donc de s’engager.

L’engagement dépendrait de trois variables:
1-le niveau de satisfaction correspond au bilan des aspects positifs (bénéfices) et
négatifs (coûts) relatifs aux besoins pouvant être comblés dans la relation (camaraderie, intimité, sécurité, sexualité, appartenance). La satisfaction augmente lorsque la relation présente beaucoup de récompenses et des coûts réduits, ainsi que quand elle correspond ou dépasse les attentes de l’individu face à la qualité d’une relation intime. Rusbult affirme que plus l’individu est satisfait, plus il sera engagé;

2- la qualité des alternatives se rapporte à la perception d’options plus désirables en dehors de la relation pour répondre à ces mêmes besoins. Si la qualité des alternatives est élevée, un engagement plus faible est perçu. Par exemple, si un individu est peu satisfait de sa relation et qu’il se sent plus confortable lorsqu’il passe du temps tout seul ou avec ses amis, il sera probablement moins engagé; et

3- le niveau d’investissement représente le degré et d’importance des ressources qui ont été investies dans la relation pour qu’elle fonctionne et s’améliore. Plus l’individu investit dans la relation, plus les coûts sont grands s’il décide d’y mettre fin.

41
Q

Quels sont les comportements liés à l’engagement qui favorise le maintien de la relation?

A

• Promouvoir les intérêts du partenaire et de la relation, même à un coût personnel

Par ex.:
– Sacrifier ses propres intérêts
– Pardonner les transgressions de l’autre
– Ne pas réagir aux indélicatesses de l’autre
– Fidélité
– Dévaluer des partenaires alternatifs potentiels

42
Q

Quels sont les 3 arguments liés à l’interdépendance (Rusbult et
coll.) qui explique pourquoi on favorise la maintien d’une relation?

A

– Orienté vers relation: bien de la relation
– Orienté vers soi: perspective élargie de ses intérêts
– Orienté vers partenaire: perspective de communion

43
Q

Qu’est-ce que l’effet Manhattan?

A

Plus l’engagement relationnel est élevé, plus le fait que quelque chose menace ou non la relation va faire en sorte que le soutien des buts de son/sa partenaire soit élevé ou faible. Par exemple, si l’engagement dans une relation est élevé et que le but du partenaire menace la relation, moins qu’il y aura un soutien de l’autre par rapport a ce but. VOIR DIAPO 49

44
Q

Quel est l’effet Manhattan par rapport à la menace pour soi-même?

A

Plus l’engagement est élevé, plus les personnes d’une relation auront tendance à supporter les buts de leur partenaire même s’il y a menace à soi-même. VOIR DIAPO 50

45
Q

Quel est l’effet Manhattan dans la situation fictive d’activités importantes pour son/sa partenaire susceptibles de créer un certain conflit dans la relation?

A

Plus l’engagement relationnel est élevé, plus le fait que quelque chose crée un conflit ou non va faire en sorte que le soutien des buts de son/sa partenaire soit élevé ou faible. Par exemple, si l’engagement dans une relation est élevé et que le but du partenaire crée un conflit, moins qu’il y aura un soutien de l’autre par rapport a ce but. VOIR DIAPO 51

46
Q

Que peut-on conclure de l’effet Manhattan?

A

En somme, engagement relationnel élevé :

• FAVORISE le soutien des buts de l’autre, SI ses buts
ne menacent pas la relation;

• NUIT au soutien des buts de l’autre en situation de conflit entre intérêts de relation versus partenaire
– Orientation vers relation mène à NE PAS soutenir
l’autre dans ses buts