cours 6 code de mémoire Flashcards
code de mémoire def
le format de l’info encodée dans la mémoire (divers codes, comme physique, phonétique, sémantique)
baddely, papagno, valar (amnésie et codes de mémoire)
empan de mem auditive: nbr d’items rappelés a partir de la mct tt suite apres leur presentation auditive (ds l’ordre) moy de +/- 7
patiente pv (italienne): empan limitée (2-3 mots) + sujets controle sans problemes
tache apprentissage de 8 paires de mots associé, ecouter ou liee
a. pres auditive mot/nonmot
b. pres visuelle mot/nonmot
c. pres visuelle mot/mot
test: pres du premier item, sujet doit nommer le 2
resultats phonémique (a) le pire, visuel (b) amélioration, sémantique (c) le mieux.
théorie des niveaux de traitements (craik et lockart)
trace mnésique
la persistence de la tm augmente en fct de la profondeur de l’analyse (superficiel : fragile, profond : durable)
chaque niv d’analyse a son code de mem et sa vitesse de dégradation propre.
la facon dont la memooire est traitée détermine le type de code de mémoire formé, ce qui en retour determine la qualité du rappel
estce que repetition entraine automatiquement un apprentissage
modele d’atkinson shiffrin: oui
theorie des niv de traitement: non
Craik et Watkins (repetition et apprentissage)
tache
ecouter liste mots, rapporter dernier mot entendu qui commencait par lettre précise (g) et lettre était indiqué avant la présentation de la liste
manipulation
-nbr d’item (1 a 12) entre deux mots commencant par lettre cible (durée de repet)
-probab de rappel d’un mot a la fin de lexpé devrait changer rn fct de la durée du maintien en mct
conditions
peu d’item entre mots cibles: peu repetition/courte durée en mct
bcp d’item entre mots cibles: plus repetition/longue durée en mct
a la fin (27 listes) test surprise du rappel libre (mlt)
resultats
mots immédiatement suivi d’un autre mot cible : 12% des mots rappelés
mots séparés par 12 items avant un autre mot cible: 15% des mots rappelés
**conclusions generales*
faible diff de rappel selon le nbr de repe
rep n’entraine pas automatiquement un apprentissage
rappel depend pas direct de la repetition
Noice (acteurs)
apprentisaage de dialogues, acteurs et non acteurs
conditions
apprentissage par coeur (ligne a la fois sans retourner) ou apprentissage pr audition fictive, puis pause + distraction
test: ecrire les lignes qui se rappelle et leur etat d’esprit associé a l’apprentissage
resultat
-plus d’elaboration chez les acteurs (elabo et interaction entre perso, def des traits des perso)
-plus de rappel ds la condition d’autiton fictive que d’apprentissage par coeur
hyde et jenkins (app. incident)
app. incident: tache des laquelle le partic doit porter jugements aux sujets de stimuli sans savoir que par la suite, son rappel sera testé (permet d’etudier le processus d’encodage indépendament de l’intention de mémorisé, accent est mis sur type de traitement et non sur resultat)
tache présentation de 24 mots (12 pairs) dans ordre aléatoire, rappel libre apres l’app.
conditions/grps:
1. app intentionel
2. app incident
a. jugement agréable/désagréable (t. sémantique: profond)
b. présence du e (t. structual: superficiel)
c. estim. du nbr de lettee (t. structural: duperficiel)
**hyptohese* t semantique entraine meilleur rappel que t structural
résultats/discussion
gr 1 = gr 2 a
- intention de memorisation a pas eu deffet direct sur memorisation
- cest les activ. cognitive de l’encodage qui det. la mise en memoire des items
gr 1 et 2a > 2b,2c
- le gr qui a fait t. semantique lors d’apprentissage a utilisé signification lors du rappel.
craik et tulving (apprentissage incident?)
tache
app incident des mots, chq mot precedé d’une question qui favorise une condition
conditions
t structural: en masjucal
t phonemique: rime avec fete
t sémantique: peut s’integ ds phrase
test: mesure vitesse de reaction (vitesse de reponse aux questions), et tests dee recon sur mots presentés mesure la proportion de reconnaissance correcte
hypothese: perfo devrait changer en fct de la profondeur du traitement
resultats
temps de reponse: semantique est plus long, structural est moins long
reconnaissance - profondeur du traitemenet
structural < phonémique < sémantique
durée traitemwtn selon tnt
- retention a yn approfondissement de l’amalyse
- qualité du traitement est critique et non sa durée.
variante de craik et tulving
Créer une tâche structurale qui demande du temps TÂCHE d’apprentissage incident (même que précéd.)
CONDITIONS:
• Traitement structural:
Ø Le mot correspond-t-il à la séquence voyelle-consonne: CCVVC ? (plaid – OUI, foire – NON)
• Traitement sémantique:
Ø Le mot peut-il s’intégrer dans la phrase….?
RÉSULTATS:
Traitement sémantique s’est avéré plus court mais plus efficace
C’est la qualité du traitement qui est critique et non sa durée
pk certains codes sont plus efficaces que d’autres
Solutions suggérées:
1. Degré d’élaboration
Ø les codes plus élaborés permettent une meilleure mémoire
2. Singularité
Ø les codes les plus distinctifs entraînent une meilleure mémoire
craik et tulving (degré d’élaboration)
TÂCHE:
• Jugement sémantique: est-ce qu’un mot peut compléter une
phrase?
CONDITIONS - 3 niveaux de complexité sémantique:
1. Simple: Elle a cuit la _____
2. Moyen: La _____ mûre avait un goût délicieux
3. Complexe: La petite dame ramassa la _____ rouge avec colère
Résultats principaux:
- La proportion de rappel correct augmente en fonction de la
complexité
- La performance est encore meilleure avec le rappel indicé
elaboration des codes de memoire (stein et bransford)
TÂCHE:
• Apprentissage incident de mots inclus dans des phrases (n = 10) CONDITIONS:
1. Contrôle:
Le gros homme lisait le panneau 2. Élaboration non-spécifique:
Le gros homme lisait le panneau dont la hauteur était de soixante centimètres
Ø Matériel additionnel sans lien avec le matériel remémoré 3. Élaboration spécifique:
Le gros homme lisait le panneau qui l’avertissait de la minceur de la glace
Ø Information supplémentaire, en rapport avec le matériel remémoré
4. Élaboration générée:
Ø Le sujet génère lui-même une élaboration
test results diapo 28
CONCLUSIONS:
• La précision de l’élaboration est déterminante pour le rappel
• Une élaboration en lien avec les items à encoder favorise un meilleur rappel (gros homme dans le contexte glace peu épaisse)
• L’élaboration non-spécifique semble nuire au rappel
• Les élaboration auto-générées semblent aussi être efficaces
singularité des codes de mem (def + 4)
La singularité diminue l’interférence avec les autres souvenirs
Un item distinctif – un item dont l’apparence ou la signification le distingue des autres
Classification de Schmidt (1991):
1. Singularité primaire
2. Singularité secondaire
3. Singularité émotionnelle
4. Singularisation
singulaeité primaire
La différence est relative au contexte immédiat • Ex., table crayon assiette fenêtre livre tableau
singulairté secondaire
Dépend des informations contenues dans la MLT Ex., une forme orthographique inhabituelle:
lymphe khaki afghan>maire pannel outrée MAIS effet disparait si:
LYMPHE, KHAKI, AFGHAN = MAIRE, PANNEL, OUTRÉE (majuscule)
lymphe, khaki, afghan = maire, pannel, outrée (auditif)