Cours 6 Flashcards

1
Q

Statistiques sur le Cannabis

A

Adolescents et les jeunes adultes représentent les groupes où l’on retrouve la plus grande proportion de consommateurs de cannabis

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2
Q

Mise en garde

A

La majorité ne subissent pas les conséquences négatives de cet usage
Facteurs semblent en favoriser l’apparition chez certaines personnes
Problèmes de santé mentale surviennent surtout à la suite d’une consommation répétée pendant plusieurs mois ou plusieurs années

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3
Q

Facteurs de risque

A
  • Les prédispositions personnelles ou familiales à un trouble de santé mentale, par exemple la psychose ou la maladie affective bipolaire;
  • la fréquence de consommation du cannabis ;
  • le type de produit consommé : les produits dont le contenu en THC est plus élevé pourraient être plus nuisibles;
  • l’âge à partir duquel la personne consomme du cannabis : la consommation à l’adolescence est généralement associée à un risque accru de conséquences négatives;
  • le contexte de la consommation
  • le mode de consommation (effet plus lent = plus grande consommation pour ressentir les effets)
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4
Q

Prudence

A

Il faut être prudent avant d’attribuer au cannabis la cause d’une difficulté ou d’un problème de santé. (est-ce que le cannabis cause la dépression ou est-ce que la dépression amène la consommation de cannabis)
C’est possible que la difficulté/le problème
- Existait avant la consommation de cannabis
- Soit la conséquence d’une consommation de cannabis
- Soit influencé par la consommation du cannabis OU qu’il influence la consommation de cannabis

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5
Q

Conséquences importantes: cognition

A
Jugement
Attention
Mémoire
Capacité à prendre des décisions
Donc sur certaines activités : 
- Travail
- Apprentissage
- Situations impliquant des gestes/actions nécessitant de la coordination et de la rapidité
Consommation de cannabis affecte le développement cognitif jusqu'à 25 ans -> adolescents conduisent gelés et plus de troubles crâniens cérébraux légers
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6
Q

Effets

A

Les effets d’une consommation de cannabis débutent dans les minutes qui suivent l’inhalation et un peu plus tard si le cannabis est ingéré.
Ces effets se prolongent souvent sur plusieurs heures et sont habituellement réversibles.
Certaines études soutiennent qu’un moins bon fonctionnement cognitif pourrait persister plus longtemps si la consommation est répétée et soutenue, surtout si l’usage commence à l’adolescence.

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7
Q

Risques : santé physique

A

La consommation de cannabis peut amplifier certains problèmes de santé existants, comme certaines maladies chroniques.
La consommation de cannabis augmente la fréquence cardiaque et peut en altérer le rythme. Elle favorise aussi la haute pression artérielle.
L’inhalation de la fumée de cannabis peut aggraver certaines maladies respiratoires déja existantes et même en favoriser l’apparition.
La fumée produite par la combustion du cannabis contient, comme celle du tabac, plusieurs produits néfastes pour la santé, dont certains cancérigènes.
Les plus récentes évaluations scientiques ne permettent toutefois pas de prouver que le risque de développer un cancer (poumon, gorge, cou)

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8
Q

Santé mentale : psychose

A

Une personne sous l’effet du cannabis peut présenter des symptômes psychotiques tels que :
des hallucinations, avec des perceptions visuelles, auditives ou tactiles erronées;
des idées paranoïdes, qui semblent détachées de la réalite.
Dans la majorité des cas, ces expériences psychotiques sont limitées à la période où la personne est intoxiquée et cessent par elles-mêmes. D’autres personnes peuvent présenter des symptômes persistants à long terme et beaucoup plus graves. Selon les experts, l’usage de cannabis n’est pas nécessaire au développement d’un trouble psychotique, mais il peut y contribuer chez certaines personnes.

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9
Q

Santé mentale : dépression

A

Les individus qui consomment régulièrement du cannabis peuvent présenter un manque d’intérêt pour d’autres activités que la consommation (études, travail, loisirs, etc.). Ils peuvent aussi présenter des symptômes dépressifs, par exemple :
- une grande tristesse;
- de la fatigue;
- de l’irritabilité
- 
le sentiment d’être dévalorisé.
Certaines personnes atteintes de dépression pourraient être tentées de consommer du cannabis afin de soulager leurs symptômes. À ce jour, les données scientifiques n’ont pas permis de prouver que le cannabis pouvait traiter la dépression. Il n’est pas conseillé de l’utiliser à cet effet.

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10
Q

Santé mentale : anxiété

A

Certaines études suggèrent que les consommateurs de cannabis ressentent plus fréquemment des symptômes d’anxiété que les personnes qui ne consomment pas. Il est toutefois difficile de prévoir si le cannabis aura ou non une influence sur leur niveau d’anxiété.
Certaines personnes peuvent vivre des crises de panique lorsqu’elles consomment du cannabis, alors que pour d’autres, cela procure une détente.

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11
Q

Prévalence

A

Environ 1 personne sur 11 qui consomme du cannabis présentera un trouble lié l’usage de ce produit au cours de son existence.
Chez les adolescents, c’est 1 jeune consommateur sur 6 qui présentera une consommation problématique. L’usage et la dépendance à d’autres produits, particulièrement l’alcool et le tabac, sont rencontrés plus fréquemment chez les utilisateurs de cannabis.
Problème est qu’une personne consomme rarement que du cannabis (pas consommation sporadique) -> effets négatifs quand consommation d’alcool et de médicaments, etc.

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12
Q

Sommeil et adolescence

A

On apprend que les habitudes de sommeil seraient associées au volume dematière grise dans le cerveauainsi qu’auxrésultats scolairesdes jeunes adolescents (diminue déjà à cause du « nettoyage » du cerveau à l’adolescence, mais sinon surnettoyage)
En effet, le fait de se coucher à des heures plus tardives et de réduire le nombre d’heures de sommeilla fin de semaine serait associé à un plus petit volume de matière grise dans le cerveau.
Les chercheurs ont notamment observé que plus les adolescents dormaient tard la fin de semaine, plus le volume de matière grise ducortex orbitofrontalet ducortex cingulaire antérieurétait petit. Ces régions ducortex préfrontal médianseraient également impliquées dans les troubles du sommeil comme l’apnée du sommeil, l’insomnie chronique, etc.

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13
Q

Lien avec l’apprentissage et le sommeil

A

Lecortex préfrontal médianest impliqué dans lecontrôle cognitif et émotionnel, ainsi que dans l’attention sélective. Le manque de sommeil pourrait donc affecter ces fonctions du cerveau.
C’est également l’une des régions du cerveau qui se développe le plus longtemps chez l’être humain, soit jusqu’à l’adolescence, ce qui la rend particulièrement vulnérable aux habitudes de sommeil durant cette période de vie.

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14
Q

Sommeil et mémoire

A

Le sommeil affecte la «consolidation» ou le renforcement de la mémoire, laquelle nous permet d’apprendre ou de développer des compétences. La privation de sommeil peut perturber cette consolidation, ralentissant la formation de la mémoire et inhibant les processus d’apprentissage.
Des études menées sur des adultes ont clairement prouvé que la mémorisation de renseignements nouveaux avait lieu pendant le sommeil. Toutefois, nous ne comprenons pas encore complètement le rôle du sommeil sur l’apprentissage et la mémoire chez les enfants et les jeunes.

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15
Q

Sommeil et comportement

A

Desétudesont montré que le manque de sommeil affaiblit la capacité des élèves à gérer leurs émotions. D’autresencore ont constaté que les jeunes qui ont des problèmes de sommeil sont plus enclins aux troubles de l’humeur et à la dépression. Les enfants qui ont été diagnostiqués d’un trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) ou d’un trouble de l’anxiété se plaignent souvent de problèmes de sommeil.
Région en commun : le cortex préfrontal

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16
Q

Sommeil et attention

A

L’attention peut être affectée de diverses façons lorsque les enfants manquent de sommeil. Les fonctions suivantes de l’attention contribuent toutes au fonctionnement diurne et sont toutes affaiblies en cas de manque de sommeil :
la vivacité d’esprit, qui est notre degré d’éveil et de conscience
l’attention exécutive, qui correspond à notre capacité de concentration en présence de stimuli perturbateurs
la vigilance, qui est notre capacité à nous concentrer longtemps sur certaines choses
À l’inverse, les enfants qui souffrent d’un trouble du déficit de l’attention (TDAH) ont souvent des problèmes de sommeil. Certaines découvertes suggèrent que la structure de leur sommeil est instable, qu’ils ont plus de mal à s’endormir et qu’ils ressentent plus de somnolences pendant la journée.

17
Q

Sexualité

A

Connaissances, croyances, attitudes, valeurs et comportements sexuels des individus – incluent également l’anatomie, la physiologie et la biochimie des réponses sexuelles.
Elles concernes l’identité, l’orientation, les rôles, les sentiments et les relations.
*Santé sexuelle : État de bien être physique, mental et social dans le domaine de la sexualité.

18
Q

4 fondements de la santé sexuelle des adolescents

A

Accepter son corps
Accepter ses désirs sexuels
Comprendre que les activités sexuelles sont des actes volontaires (pour soi et son partenaire)
Adopter des comportements sexuels sécuritaires

19
Q

Relations sexuelles

A

Mythe: précocité des relations sexuelles
Problème de conception
- Donc: données difficiles à interpréter/généraliser (prennent en compte juste la pénétration)
Statistiques
- 37% des adolescents de 14 ans et plus disent avoir eu une relation sexuelle consensuelle

20
Q

Graphique

A

Progression selon l’âge, liée à la poussée hormonale et à la maturation sexuelle
Garçons amorcent leur trajectoire plus tôt, mais avec les années les écarts s’estompent
On observe même des proportions plus élevées d’activité sexuelle chez les filles que chez les garçons (à partir du milieu de l’adolescence)
Attention : cela ne signifie pas que la société est aussi tolérante envers les filles qu’envers les garçons en termes d’exploration sexuelle

21
Q

Précocité de la sexualité

A

Âge moyen du début des relations sexuelles (complète) : 16 ans
Précocité : 15 ans
Canada: 9% des jeunes (avant 15 ans)
6% des garçons et 2% des filles avant 12 ans
Les jeunes précoces agissent plus souvent sous la pression et sont plus souvent non consentants
Précocité liée à : plus de partenaires sexuels dans la vie, consommation de drogue/alcool et au fait de ne pas utiliser de condom (pas systématique mais association)
Jeunes précoces se sentent souvent moins compétents, milieux de faibles SSE (parent a pas le temps d’éduquer l’enfant sur la sexualité), parents moins présents et chaleureux

22
Q

Nombre de partenaires

A

Est un facteur de risque d’inadaptation associé à la présence d’autres facteurs de risque
- Précocité sexuelle
- Alcool
- Drogues
1/3 des adolescents disent avoir eu au moins deux partenaires sexuels durant la dernière année
Les garçons affirment généralement avoir eu plus de partenaires sexuels au cours de leur vie (âge plus précoce de leur initiation)
Mais… les jeunes sont surtout des monogames en série
- Relations monogames, mais de courte durée

23
Q

Contextes des premières relations

A

Majorité expérimentent la sexualité dans un contexte de relations amoureuses et d’engagement émotionnel
Quelques différences:
- Filles: souvent par amour ou avec quelqu’un qu’elles fréquentent sérieusement
- Garçons: aussi vrai, mais déclarent aussi souvent que c’est arrivé avec quelqu’un qu’ils venaient de rencontrer ou avec qui ils n’étaient pas dans une relation sérieuse
17% des filles de 16 ans avouent avoir consenti à des relations sous pression; 5% chez les garçons
11% des filles de 16 ans disent avoir été obligées (pression, harcèlement, force physique)

24
Q

Facteurs sociaux influant sur les comportements sexuels

A

Garçons, testostérone, corrélation avec le niveau d’activité sexuelle
Filles, les taux d’hormones sont associés à l’intérêt sexuel, mais pas nécessairement aux comportements sexuels
Laisse supposer que les filles sont plus sensibles que les garçons aux facteurs sociaux/culturels
- Manipulation plus possible chez la fille que chez le garçon (le contexte social va avoir un effet parce que intérêt par direct au comportement)

25
Q

Facteur 1: Famille

A

Parents désengagés, permissifs, mauvaise qualité de communication et mauvaise supervision  favorise la précocité sexuelle
Relations parents-enfants de bonne qualité, bonne communication, supervision active, soutien parental constant  meilleurs comportements sexuels
Parents séparés  ados plus actifs sexuellement (surtout via stress, pauvreté, difficulté à assurer une bonne supervision, conflits parentaux)
- L’ado cherche à chercher des gratifications ailleurs et à s’engager plus à fond sur le plan émotionnel

26
Q

Facteur 2: Pairs

A

Les ados sont plus susceptibles d’être actifs sexuellement si leurs amis le sont OU s’ils CROIENT que leurs amis le sont
Valorisant, surtout chez les garçons (garçons vs hommes)
L’influence normative des pairs peut être positive
- Contraception

27
Q

Facteur 3: Médias

A

On exploite la sexualité de façon à attirer, exciter, séduire le téléspectateur
- Stéréotypes
On passe sous silence les effets négatifs: grossesses, ITS
Accès à Internet – disponibilité de matériel
Peut être positif: exploration et sites d’informations
Sollicitations non désirées (1/4 des jeunes rapporte avoir été exposé à du matériel pornographique sans l’avoir voulu)
Incidence de l’exposition au matériel sexuel sur les comportements
- Tout le monde le fait – banalisation
- Stéréotypes sur les apparences et comportements attendus
- Modèles de comportements
* Tous les jeunes ne sont pas exposés à la même quantité de matériel et Ne sont pas des récipients passifs

28
Q

Homosexualité

A

L’adolescence donne lieu à la découverte de pulsions, d’affects, d’attachements ou de comportements à l’égard des deux sexes devant s’intégrer dans un modèle sexuel masculin ou féminin
Orientation sexuelle: attirance physique ET émotionnelle envers d’autres personnes en fonction du sexe; ces personnes peuvent être du même sexe, de sexe opposé ou à la fois du même sexe et de sexe opposé
Se situe sur un continuum

29
Q

Prévalence

A

10-20% des jeunes se déclarent non exclusivement hétérosexuels
Trois dimensions importantes
- Attirance
- Comportements
- Identification
La plupart des études ne mesurent pas toutes ces dimensions à la fois, ce qui rend difficile l’estimation de la prévalence des diverses orientations sexuelles
Pas fixe: plus des 2/3 des répondants à une étude sur l’orientation sexuelle ont modifié au moins une fois leur réponse au sujet de leur orientation sexuelle (étude de 10 ans)

30
Q

Risques associés

A

Homophobie
Hostilité psychologique et physique à l’égard des personnes qui appartiennent à la diversité sexuelle
Violence: réprobation, rejet, dénigrement et agression verbale et physique
Autodépréciation
Difficulté de vivre
Résultat: abus de drogue, comportements sexuels à risque, anxiété, dépression, suicide

31
Q

Pratiques contraceptives

A

Raison no1 : manque de planification
Discussion sur la contraception moins habituelle chez les ados que chez les adultes
En parlent souvent après la relation sexuelle
Prédicteurs de l’utilisation du condom: l’intention d’en utiliser un et ouverture à communiquer cette intention à son/sa partenaire

32
Q

Contraception: influences

A

L’âge: utilisation plus constante de la contraception avec l’âge
Précocité: plus ils commencent tôt, moins ils sont susceptible d’utiliser une contraception régulière
Stabilité de la relation: relation stable = souvent l’utilisation régulière de moyens contraceptifs
Différence d’âge entre partenaires: moins régulière (surtout chez les filles) avec un partenaire plus âgé
Communication (partenaire): pratiques sexuelles sécuritaires
Communication (parents): attitude responsable chez les ados
Sentiment de compétence: compétence, bons résultats et aspirations élevés  plus tendance à utiliser les moyens de contraception
SES: parents scolarisés et meilleurs revenus  plus tendance à utiliser les moyens de contraception
Contexte: consommation de drogues/alcool, nouveauté d’une situation

33
Q

Infections transmissibles sexuellement et par le sang

A

15-24 ans, un des groupes les plus à risque au Canada
Chlamydia (1ère rapportée) : jeunes de 15-24 ans
51% des cas masculins
72% des cas féminins
Gonorrhée (2e): jeunes de 15-24 ans
35% des cas masculins
68% des cas féminins
Syphilis: 15-24 ans; taux passé de 9% en 2008 à 24% en 2012
VIH: 14% des nouveaux diagnostics (15-24 ans)
VPH, la plus courante, mais pas à déclaration obligatoire (prévalence?)

34
Q

Grossesse

A

Société qui valorise la scolarisation post secondaire
- Vision: entrave au développement de la jeune femme qui entrainera des conséquences négatives à court et long terme – pour elle et son enfant
Problèmes fréquents: abandon scolaire, insertion sociale/professionnelle difficile, plus faibles revenus, monoparentalité
Adolescentes enceintes étaient souvent dans une situation sociale et économique précaire
Conséquences de la grossesse à l’adolescence sont souvent ses causes (éducation, emploi, revenu, aide sociale)
Agressions sexuelles/maltraitance
MAIS: ça reste un défi
Commence à étudier le phénomène dans un contexte plus positif : en regardant les circonstances
- Peut devenir une source de motivation
- Soutien de l’entourage et solidarité (amis, école, environnement)
Trajectoires positives seraient marginales

35
Q

Avortement

A
Dépend de son état d’esprit et de son contexte social (et culturel?)
Séquelles psychologiques quand:
- Pressions de l’entourage
- Mauvaise compréhension des enjeux
- Culpabilité
- Ambivalence 
- Manque de temps
Environnement respectueux, non culpabilisant, sécurisant et apte à la soutenir 
- Meilleure adaptation
36
Q

Naissance

A

Désir d’enfant souvent après l’annonce de la grossesse
Trois catégories de motivation
- Désir planifié (moins fréquent)
- Devenir enceinte accepté: mener à terme la grossesse pour diverses raisons comme les valeurs personnelles, le retard à confirmer la grossesse, etc.
- Accident désiré: désir ambivalent qui devient un désir véritable (souvent chez des personnes qui utilisaient les moyens de contraception de façon irrégulière)

37
Q

Risques de la grossesse

A

Risque plus élevé de problèmes de santé chez la mère
- Anémie, hypertension, problèmes urinaires, hémorragies post-partum, etc.
Prématurité, faible poids, anomalies physiologiques chez le bébé
Dépend du moment dans l’adolescence (14 ans vs 18 ans)

38
Q

Risques : mère

A

Clandestinité et stigmatisation
- Suivi
Conditions socioéconomiques défavorables avant et après la grossesse et l’absence de réseaux d’entraide
Plus de stress et de dépression, plus tendance à avoir une faible estime d’elles-mêmes (pré- et post-grossesse)
Perte des amis, du partenaire, éloignement social/familial contribue à la détresse post-grossesse
Moins de chance d’obtenir leur diplôme secondaire et collégial
- Plus de risque d’être au chômage, de vivre dans la pauvreté et d’avoir d’autres grossesses non désirées

39
Q

Risques: enfants

A

Plus de troubles du développement
- Difficultés scolaires, pubertaires, risques de grossesses adolescentes
Encore une fois: plusieurs trajectoires possibles