Cours 6 Flashcards
Qu'est-ce que la couleur ? ; Mélange des couleurs ; Classification des couleurs ; Théories de la vision des couleurs, Anomalies de la vision des couleurs, Constance des couleurs
Lumière
Énergie électromagnétique dont la longueur d’onde peut activer les photorécepteurs de notre rétine.
Cette énergie est soit :
- émise par les objets (source lumineuse, ex. ampoule)
- réfléchie par les objets
- transmise (par transparence)
longueurs d’ondes visibles
entre 400 et 700 nm
Lumière monochromatique
Lumière composée d’une seule longueur d’onde.
Cette situation est extrêmement rare et normalement la lumière dans notre environnement contient une grande étendue de longueurs d’ondes.
Composition spectrale
Distribution de l'intensité de l'énergie lumineuse à travers différentes longueurs d'onde visibles.
La composition spectrale décrit combien de lumière une source émet pour chaque longueur d’onde, de 400 nm (bleu) à 700 nm (rouge).
Couleur achromatique
Couleur produite avec une intensité égale à toutes les longueurs d’ondes visibles. Les couleurs achromatiques sont celles situées dans l’étendue entre le blanc et le noir.
blanc = 3 cônes stimulés au même niveau (ou vrm bcp de longueurs d’ondes en même temps) ; noir = aucun cône stimulé pcq toutes les ondes sont absorbés (pas d’ondes réfléchies)
Couleur chromatique
Couleur produite par une intensité plus forte pour certaines longueurs d’ondes que pour d’autres.
qui suis-je ? : Énergie électromagnétique dont la longueur d’onde peut activer les photorécepteurs de notre rétine.
Lumière
Qui suis-je ? : je suis soit : émise, réfléchie ou transmise
lumière
qui suis-je ? : Lumière composée d’une seule longueur d’onde.
lumière monochromatique
qui suis-je ? : Distribution de l’intensité de l’énergie lumineuse à travers différentes longueurs d’onde visibles.
composition spectrale
qui suis-je ? : Couleur produite avec une intensité égale à toutes les longueurs d’ondes visibles. Situées dans l’étendue entre le blanc et le noir.
couleur achromatique
qui suis-je ? : Couleur produite par une intensité plus forte pour certaines longueurs d’ondes que pour d’autres.
couleur chromatique
courbe de réflectance (ou de transmission)
Propriété de la surface d’un objet qui concerne la proportion de l’énergie lumineuse transmise qui est réfléchie (ou transmise) à travers l’ensemble des longueurs d’ondes constituant le spectre visible. La réflectance (ou transmission) sélective produit des couleurs chromatiques.
La composition spectrale de la lumière qui est réfléchie ou transmise par un objet est fonction de quoi ?
Fonction à la fois de sa courbe de réflectance et de la composition spectrale de la source lumineuse qui l’éclaire.
(la couleur perçue d’un objet dépend de sa capacité à réfléchir certaines longueurs d’ondes)
Mélange soustractif
Produit par le mélange de pigments (e.g. peintures) ou par la superposition de filtres colorés, chacun absorbant (pigments) ou bloquant (filtres) certaines longueurs d’ondes.
qui suis-je ? : Propriété de la surface d’un objet qui concerne la proportion de l’énergie lumineuse transmise qui est réfléchie (ou transmise) à travers l’ensemble des longueurs d’ondes constituant le spectre visible. La réflectance (ou transmission) sélective produit des couleurs chromatiques.
courbe de réflectance (ou de transmission)
qui suis-je ? : Produit par le mélange de pigments (e.g. peintures) ou par la superposition de filtres coloés, chacun absorbant (pigments) ou bloquant (filtres) certaines longueurs d’ondes.
mélange soustractif
mélange additif
Produit par la superposition faisceaux lumineux. Ce procédé additionne l’énergie comprise dans les faisceaux qui sont superposés. La couleur résultante correspond à l’addition des compositions spectrales de chaque faisceau.
qui suis-je ? : Produit par la superposition faisceaux lumineux. Ce procédé additionne l’énergie comprise dans les faisceaux qui sont superposés. La couleur résultante correspond à l’addition des compositions spectrales de chaque faisceau.
mélange additif
mélange moyen
Mélange produit par la juxtaposition spatiale ou temporelle de couleurs. La couleur résultante présente une courbe de réflectance qui est la moyenne des couleurs qui sont mélangées.
qui suis-je ? : Mélange produit par la juxtaposition spatiale ou temporelle de couleurs. La couleur résultante présente une courbe de réflectance qui est la moyenne des couleurs qui sont mélangées.
mélange moyen
mélange moyen spatial
C’est un type de mélange où les couleurs sont juxtaposées (placées côte à côte) de manière à ce que l’œil humain les perçoive comme une couleur unique lorsqu’il les regarde à distance. Par exemple, dans une image en pointillisme, de petits points de différentes couleurs sont placés proches les uns des autres, et notre œil les “mélange” en une seule couleur perçue.
mélange moyen temporel
Ce type de mélange se produit lorsque des couleurs sont présentées successivement dans le temps à une vitesse suffisamment rapide pour que l’œil perçoive une couleur moyenne. Par exemple, si un disque tourne rapidement avec des sections rouges et bleues, il peut être perçu comme violet à cause du mélange temporel.
qui a proposé le premier système de classification des couleurs ?
Newton
Quel a été le premier système de classification des couleurs ?
Cercle des couleurs (Newton)
Couleurs complémentaires
Paire de couleurs qui, lorsqu’additionnées, produisent du blanc. Sur le cercle des couleurs, les couleurs complémentaires sont situées en des positions diamétralement opposées l’une à l’autre
limite du cercle des couleurs (Newton)
Le cercle des couleurs demeure toutefois limité dans sa capacité de représenter l’ensemble des couleurs que l’on arrive à discriminer. C’est pourquoi un autre système de classification, plus élaboré, a été développé par la suite.
qui suis-je ? : Paire de couleurs qui, lorsqu’additionnées, produisent du blanc. Sur le cercle des couleurs, nous sommes situés en des positions diamétralement opposées l’une à l’autre
couleurs complémentaires
on distingue quels 3 dimensions par lesquelles une couleur peut être caractérisée ?
- tonalité
- brillance
- saturation
tonalité
(1 des 3 dimensions par lesquelles une couleur peut être caractérisée)
Dimension au niveau de laquelle se distinguent le rouge, du vert, du jaune, etc.
brillance
(1 des 3 dimensions par lesquelles une couleur peut être caractérisée)
Réfère à l’intensité lumineuse de la couleur - une couleur dite très claire se rapproche du blanc, une couleur moins claire (ou + sombre) se rapproche du noir.
Saturation
(1 des 3 dimensions par lesquelles une couleur peut être caractérisée)
Degré de différence entre une couleur donnée et un gris neutre.
qui suis-je ? : Dimension au niveau de laquelle se distinguent le rouge, du vert, du jaune, etc.
tonalité
(1 des 3 dimensions par lesquelles une couleur peut être caractérisée)
qui suis-je ? : Réfère à l’intensité lumineuse de la couleur - une couleur dite très claire se rapproche du blanc, une couleur moins claire (ou + sombre) se rapproche du noir.
brillance
(1 des 3 dimensions par lesquelles une couleur peut être caractérisée)
qui suis-je ? : Degré de différence entre une couleur donnée et un gris neutre.
saturation
(1 des 3 dimensions par lesquelles une couleur peut être caractérisée)
avantages et désavantages de la ségrégation et de l’organisation perceptive des couleurs
Avantages :
- La perception de la couleur aide à distinguer les objets les uns des autres.
- Elle contribue également à la perception de la continuité de surfaces présentant des contrastes d’intensité importants.
Désavantages :
- À l’inverse, la couleur peut également contribuer au groupements perceptifs par similarité
signalisation
L’utilisation des couleurs pour transmettre des informations importantes et aider à reconnaître certains objets ou adopter un comportement approprié.
Cette image montre à quel point la couleur est importante pour identifier les objets. Si une banane est violette ou une carotte verte, cela crée une confusion, car ces couleurs ne correspondent pas à ce que nous attendons pour ces objets.
Combien de couleurs notre système visuel peut-il discriminer ?
Il est estimé que notre système visuel peut discriminer des centaines de tonalités un total de 10 millions de couleurs.
Ces couleurs peuvent toutefois être décrites en termes de proportions relatives de 4 couleurs fondamentales : rouge, jaune, vert et bleu.
les 4 couleurs fondamentales
rouge, jaune, vert, bleu
les études interculturelles appuient quoi, en lien avec les couleurs fondamentales ?
Des études interculturelles appuient la notion que ces couleurs soient fondamentales pour les mécanismes responsables de la vision des couleurs.
Théorie trichromatique (Young-Helmoltz)
EN GROS : Cette théorie repose sur les résultats d’expériences d’appariement de couleurs.
MÉTHODOLOGIE : Tâche de Maxwell
RÉSULTATS : La couleur de n’importe quelle longueur d’onde du spectre visible peut être reproduite en ajustant les proportions relatives de 3 longueurs d’ondes dans le stimulus de comparaison. Par contre, il n’est pas possible de reproduire toutes les couleurs visibles en utilisant seulement 2 longueurs d’onde pour faire les mélanges de couleurs.
Ce résultat peut être répliqué avec n’importe quelle combinaison de 3 longueurs d’ondes dans la mesure où aucune des couleurs correspondant à ces longueurs d’ondes ne peut être reproduite par un mélange des 2 autres.
CONCLUSION : À partir de ces observations, la théorie trichromatique propose que notre vision des couleurs repose sur le fonctionnement de 3 types de photorécepteurs, chacun présentant une sensibilité spectrale différente. C’est le pattern de réponse produit à travers les 3 types de photorécepteurs qui nous informe sur la composition spectrale de la lumière atteignant l’oeil.
Tâche utilisée en lien avec la théorie trichromatique (Young-Helmoltz)
Tâche de Maxwell
Tâche de Maxwell
Ajuster l’intensité relative des longueurs d’ondes (monochromatiques) constituant le stimulus de comparaison afin de produire une couleur d’apparence identique au stimulus test (monochromatique)
Le mélange de couleur au niveau du stimulus de comparaison est additif.
Les couleurs appariées sont des métamères (couleur d’apparence identique mais de composition spectrale différente).
Métamères
Couleur d’apparence identique mais de composition spectrale différente.
qui suis-je ? : Couleur d’apparence identique mais de composition spectrale différente.
métamère
résultats de la tâche de Maxwell
(théorie trichromatique (Young-Helmoltz))
La couleur de n’importe quelle longueur d’onde du spectre visible peut être reproduite en ajustant les proportions relatives de 3 longueurs d’ondes dans le stimulus de comparaison.
Par contre, il n’est pas possible de reproduire toutes les couleurs visibles en utilisant seulement 2 longueurs d’onde pour faire les mélanges de couleurs.
Ce résultat peut être répliqué avec n’importe quelle combinaison de 3 longueurs d’ondes dans la mesure où aucune des couleurs correspondant à ces longueurs d’ondes ne peut être reproduite par un mélange des 2 autres.
À partir des observations de la tâche de Maxwell, que propose la théorie trichromatique de Young-Helmoltz ?
À partir de ses observations, la théorie trichromatique propose que notre vision des couleurs repose sur le fonctionnement de 3 types de photorécepteurs, chacun présentant une sensibilité spectrale différente. C’est le pattern de réponse produit à travers les 3 types de photorécepteurs qui nous informe sur la composition spectrale de la lumière atteignant l’oeil.
Le déclenchement d’une réponse par un photorécepteur se produit lorsque quoi ?
Lorsque le pigment qu’il contient absorbe la lumière.
Quels sont les différents pigments au niveau des bâtonnets et combien de ces pigments sont nécessaires pour discriminer les couleurs ?
Tous les bâtonnets contiennent le même pigment et un seul pigment est insuffisant pour discriminer les couleurs (principe d’univariance).
principe d’univariance
Le principe d’univariance stipule qu’un photorécepteur répond uniquement à l’intensité de la lumière qu’il absorbe, sans pouvoir différencier la longueur d’onde (couleur) de cette lumière.
Combien de pigments sont nécessaires pour assurer une capacité de discrimination des couleurs ?
Au moins 2 pigments différents sont nécessaires pour assurer une capacité de discrimination des couleurs.
Combien de cônes sont impliqués dans la perception des couleurs ?
Trois classes de cones (bleus, verts, rouges) ont pu être isolées sur la base de la courbe d’absorption spectrale des pigments qu’ils contiennent.
photorécepteurs impliqués dans la vision des couleurs
cônes
Qu’est-ce qui signale la couleur au niveau de la rétine ?
Au niveau de la rétine, c’est le niveau relatif d’activité des 3 types de cônes qui signale la couleur.
Les métamères produits dans l’expérience d’appariement de couleurs de Young résultent de quoi ?
Les métamères produits dans l’expérience d’appariement de couleurs de Young résultent du fait que, même en ayant des compositions spectrales différentes, les couleurs du stimulus test et du stimulus de comparaison produisent des patterns d’activité identiques au niveau des 3 types de cônes.
Théorie des processus antagonistes (Hering)
Cette théorie repose sur une série d’observations phénoménologiques suggérant une opposition (antagonisme) entre le rouge et le vert et entre le jaune et le bleu.
Observations :
- Images consécutives
- Contraste chromatique simultané
- Annulation des couleurs
Sur la base de telles observations, Hering propose donc 3 mécanismes antagonistes pour expliquer la vision des couleurs. Ces mécanismes mettent en opposition les paires de coulers suivantes :
- rouge-vert
- jaune-bleu
- blanc-noir
Qui suis-je ? : Cette théorie repose sur une série d’observations phénoménologiques suggérant une opposition (antagonisme) entre le rouge et le vert et entre le jaune et le bleu.
théorie des processus antagonistes (Hering)
images consécutives
La fixation oculaire prolongée d’une surface colorée donne ensuite lieu à la perception d’une image de couleur complémentaire, qui est comme “imprimée sur la rétine”.
qui suis-je ? : La fixation oculaire prolongée d’une surface colorée donne ensuite lieu à la perception d’une image de couleur complémentaire, qui est comme “imprimée sur la rétine”.
images consécutives
Contraste chromatique simultané
L’apparence d’une surface colorée est modifiée par les autres couleurs qui l’entourent.
Toute couleur tend à induire la perception de sa complémentaire dans les couleurs qui lui sont contiguës. L’illusion de contraste simulané met également en évidence les oppositions rouge-vert et jaune-bleu.
Annulation de couleurs
La tâche consiste à ajouter (par mélange additif) une couleur complémentaire à une composante de la couleur initiale pour annuler cette composante.
qui suis-je ? : La tâche consiste à ajouter (par mar mélange additif) une couleur complémentaire à une composante de la couleur initiale pour annuler cette composante.
annulation de couleurs
Que révèle la technique d’annulation de couleurs ?
Cette technique révèle 4 couleurs dites “pures”, ou fondamentales (bleu, vert, jaune et rouge), chacune étant décrite par l’action d’un mécanisme chromatique spécifique (le mécanisme y étant complémentaire se trouvant à son point neutre - i.e. aucun signal chromatique).
quelles sont les 3 observations de Hering, en lien avec la théorie des processus antagonistes ?
Observations :
- Images consécutives
- Contraste chromatique simultané
- Annulation des couleurs
Sur la base des observations de Hering (images consécutives, cotnraste chromatique simultané, annulation des couleurs), quels sont les 3 mécanismes antagonistes qu’il propose pour expliquer la vision des couleurs ?
Sur la base de telles observations, Hering propose donc 3 mécanismes antagonistes pour expliquer la vision des couleurs. Ces mécanismes mettent en opposition les paires de coulers suivantes :
- rouge-vert
- jaune-bleu
- blanc-noir
Selon Hering et la théorie des processus antagonistes, quelle couleur est en opposition avec le rouge ?
vert
Selon Hering et la théorie des processus antagonistes, quelle couleur est en opposition avec le vert ?
rouge
Selon Hering et la théorie des processus antagonistes, quelle couleur est en opposition avec le jaune ?
bleu
Selon Hering et la théorie des processus antagonistes, quelle couleur est en opposition avec le bleu ?
jaune
Selon Hering et la théorie des processus antagonistes, quelle couleur est en opposition avec le blanc ?
noir
Selon Hering et la théorie des processus antagonistes, quelle couleur est en opposition avec le noir ?
blanc
qui suis-je ? : théorie qui propose que le rouge et le vert sont en oppositon
théorie des processus antagonistes
qui suis-je ? : théorie qui propose que le jaune et le bleu sont en oppositon
théorie des processus antagonistes
qui suis-je ? : théorie qui propose que le blanc et le noir sont en oppositon
théorie des processus antagonistes
quelle théorie propose Hering ?
théorie des processus antagonistes
Quel est le rôle du corps genouillé latéral et les processus antagonistes ?
Parmi les cellules ganglionnaires et au niveau du CGL, il existe des populations neuronales opérant suivant le principe des processus antagonistes. Ces neurones ont des champs récepteurs concentriques présentant une sélectivité spectrale opposant soit le rouge et le vert, soit le jaune et le bleu.
Dans les champs récepteurs des cellules ganglionnaires et au niveau du CGL, il existe des population neuronales opérant suivant le principe des processus antagonistes. À quel point un neurone B+Y- s’activera si il y a du bleu ?
+++ bcp
Dans les champs récepteurs des cellules ganglionnaires et au niveau du CGL, il existe des population neuronales opérant suivant le principe des processus antagonistes. À quel point un neurone B+Y- s’activera si il y a du vert
moyennement
Dans les champs récepteurs des cellules ganglionnaires et au niveau du CGL, il existe des population neuronales opérant suivant le principe des processus antagonistes. À quel point un neurone B+Y- s’activera si il y a du jaune ?
presque pas
Dans les champs récepteurs des cellules ganglionnaires et au niveau du CGL, il existe des population neuronales opérant suivant le principe des processus antagonistes. À quel point un neurone B+Y- s’activera si il y a du rouge ?
presque pas (mais un peu plus que quand il y a du jaune)
Dans les champs récepteurs des cellules ganglionnaires et au niveau du CGL, il existe des population neuronales opérant suivant le principe des processus antagonistes. À quel point un neurone G+R- s’activera si il y a du bleu ?
+++ bcp (mais moins que s’il y a du vert)
Dans les champs récepteurs des cellules ganglionnaires et au niveau du CGL, il existe des population neuronales opérant suivant le principe des processus antagonistes. À quel point un neurone B+Y- s’activera si il y a du vert
moyennement
Dans les champs récepteurs des cellules ganglionnaires et au niveau du CGL, il existe des population neuronales opérant suivant le principe des processus antagonistes. À quel point un neurone B+Y- s’activera si il y a du jaune ?
presque pas
Dans les champs récepteurs des cellules ganglionnaires et au niveau du CGL, il existe des population neuronales opérant suivant le principe des processus antagonistes. À quel point un neurone B+Y- s’activera si il y a du rouge
presque pas
Dans les champs récepteurs des cellules ganglionnaires et au niveau du CGL, il existe des population neuronales opérant suivant le principe des processus antagonistes. À quel point un neurone Y+B- s’activera si il y a du bleu
presque pas
Dans les champs récepteurs des cellules ganglionnaires et au niveau du CGL, il existe des population neuronales opérant suivant le principe des processus antagonistes. À quel point un neurone B+Y- s’activera si il y a du vert
moyennement
Dans les champs récepteurs des cellules ganglionnaires et au niveau du CGL, il existe des population neuronales opérant suivant le principe des processus antagonistes. À quel point un neurone B+Y- s’activera si il y a du jaune
presque pas
Dans les champs récepteurs des cellules ganglionnaires et au niveau du CGL, il existe des population neuronales opérant suivant le principe des processus antagonistes. À quel point un neurone B+Y- s’activera si il y a du rouge
presque pas
Dans les champs récepteurs des cellules ganglionnaires et au niveau du CGL, il existe des population neuronales opérant suivant le principe des processus antagonistes. À quel point un neurone R+G- s’activera si il y a du bleu ?
presque pas (mais un ptit mini peu plus que vert)
Dans les champs récepteurs des cellules ganglionnaires et au niveau du CGL, il existe des population neuronales opérant suivant le principe des processus antagonistes. À quel point un neurone B+Y- s’activera si il y a du vert ?
moyennement
Dans les champs récepteurs des cellules ganglionnaires et au niveau du CGL, il existe des population neuronales opérant suivant le principe des processus antagonistes. À quel point un neurone B+Y- s’activera si il y a du jaune
presque pas
Dans les champs récepteurs des cellules ganglionnaires et au niveau du CGL, il existe des population neuronales opérant suivant le principe des processus antagonistes. À quel point un neurone B+Y- s’activera si il y a du rouge
presque pas
combien de nm pour la couleur bleue ?
450nm
combien de nm pour la couleur vert ?
510nm
combien de nm pour la couleur jaune ?
580nm
combien de nm pour la couleur rouge ?
660 nm
L’antagonisme chromatique au niveau des neurones du CGL résulte de quoi ?
d’afférences convergentes des différents types de cônes
La composante blanc-noir (intensité lumineuse) des processus antagonistes repose principalement sur quoi ?
La composante blanc-noir (intensité lumineuse) des processus antagonistes repose principalement sur une combinaison des signaux des cônes “verts” et “rouges”. Les cônes bleus ne ne participent que très peu à la perception de l’intensité.
qui suis-je ? : type de cône qui participe que très peu à la perception de l’intensité lumineuse
cônes bleus
v ou f : les couleurs optimales pour les cellules antagonistes du CGL sont les couleurs fondamentales
faux :
On remarque que les couleurs optimales pour les cellules antagonistes du CGL ne correspondent pas aux couleurs fondamentales (i.e. bleu, vert, jaune et rouge purs) déterminées par la méthode d’annulation de couleurs.
On remarque que les couleurs optimales pour les cellules antagonistes du CGL ne correspondent pas aux couleurs fondamentales (i.e. bleu, vert, jaune et rouge purs) déterminées par la méthode d’annulation de couleurs. Ceci s’explique comment ?
Ceci s’explique par un traitement chromatique additionnel qui se produit au-delà du CGL, dans le cortex visuel.
Expliquez l’extension des processus antagonistes au niveau du cortex visuel primaire
Certaines populations neuronales dans le cortex strié présentent également des champs récepteurs ayant une sélectivité chromatique antagoniste. Une minorité des cellules a des chamos récepteurs similaires à ceux retrouvés au niveau du CGL.
La majorité par contre présente un double antagonisme chromatique dans un champ récepteur concentrique. Ce double antagonisme permet la détection de bordures colorées, ce qui n’est pas possible avec un antagonisme simple.
Dans l’aire V1, les régions “blobs” (réagissant au cytochrome oxydase) constituent des colonnes chromatiques. Ce sont dans ces colonnes chromatiques que s’effectue le traitement de la couleur dans l’aire V1. Une colonne chromatique (“blob”) donnée ne contient que des cellules présentant un antagonisme rouge-vert ou jaune-bleu. Les 2 types d’antagonisme ne se retrouvent pas dans la même colonne chromatique.
à quel niveau trouve-t-on un double antagonisme chromatique ?
cortex visuel primaire
que permet le double antagonisme chromatique dans un champ récepteur concentrique, au niveau du cortex visuel primaire ?
Ce double antagonisme permet la détection de bordures colorées, ce qui n’est pas possible avec un antagonisme simple.
anomalies de la vision des couleurs (dyschromatopsie)
Atteinte congénitale de la vision des couleurs résultant d’une anomalie au niveau des cônes.
qui suis-je ? : Atteinte congénitale de la vision des couleurs résultant d’une anomalie au niveau des cônes.
anomalies de la vision des couleurs (dyschromatopsie)
% d’hommes souffrant de dyshcromatopsie
8-9%
% de femmes souffrant de dyschromatopsie
0,5%
8-9% des hommes souffrent de dyschromatopsie vs seulement 0,5% des femmes. Comment expliquer cette différence ?
Cette différence est attribuable au fait que les formes les plus fréquentes de dyschromatopsie (affectant les cônes verts ou rouges) sont transmises génétiquement sur le chromosome X et qu’un seul chromosome X normal suffit pour avoir des cônes verts et rouges normaux.
un test couramment utilisé pour détecter la dyschromatopsie
le test des planches isochromatiques Ishihara
mise à part le test des planches isochromatiques de Ishihara, quel autre teste peut être utile pour détecter la dyschromatopsie ?
méthode des appariements métamériques
(c’est à travers les performances à cette tâche que l’on caractérise les différentes formes de dyschromatopsie)
qui suis-je ? : c’est à travers les performances à cette tâche que l’on caractérise les différentes formes de dyshcromatopsie
méthode des appariements métamériques
les 3 grandes classes de dyshcromatopsie
- protanomalie
- deuteranomalie
- trianomalie
trichromatisme anormal
Anomalie affectant l’un des types de cônes (bleus, verts ou rouges).
Le sujet a besoin de 3 longueurs d’ondes pour faire un appariement métamérique avec n’importe quelle longueur d’onde du spectre visible. Cependant, les proportions relatives des longueurs d’ondes contribuant au mélange sont anormales.
qui suis-je ? : Anomalie affectant l’un des types de cônes (bleus, verts ou rouges)
trichromatisme anormal