Cours 12 Flashcards
perception cutanée
perception cutanée
perception de stimulations appliquées sur la peau
Somesthesie
La somesthésie concerne la perception de stimulations appliquées sur la peau (perception cutanée), de la position de notre corps dans l’espace (proprioception) et des mouvements corporels (kinesthésie).
proprioception
perception de la position de notre corps dans l’espace
kinesthésie
perception des mouvements corporels
qui suis-je ? : La somesthésie concerne la perception de stimulations appliquées sur la peau (perception cutanée), de la position de notre corps dans l’espace (proprioception) et des mouvements corporels (kinesthésie).
somesthésie
qui suis-je ? : perception de stimulations appliquées sur la peau
perception cutanée
qui suis-je ? : perception de la position de notre corps dnas l’espace
proprioception
qui suis-je ? : perception des mouvements corporels
kinesthésie
On divise la question de la perception cutanée en quels 3 sous-thèmes ?
1- perception tactile : toute sensation, sauf la douleur, qui est causée par un déplacement mécanique de la peau.
2- perception de la température
3- perception de la douleur
perception tactile
Toute sensation, sauf la douleur, qui est causée par un déplacement mécanique de la peau.
Pourquoi les différentes formes de perception sont-elles essentielles ?
Pour des interactions efficaces avec l’environnement et pour notre survie.
nociception
La nociception est le processus par lequel le système nerveux détecte des stimuli potentiellement nocifs (comme une brûlure ou une coupure) via des récepteurs spécialisés appelés nocicepteurs. Elle consiste à transmettre ces signaux au cerveau pour évaluer un danger potentiel, mais ce n’est pas encore la perception consciente de la douleur.
Quelle est la différence entre la nociception et la douleur ?
La nociception est un processus automatique qui détecte et transmet les signaux de dommage au cerveau, via les nocicepteurs. La douleur, en revanche, est une expérience subjective qui inclut une interprétation consciente et des émotions associées au signal nociceptif. La nociception ne garantit pas toujours une sensation de douleur.
Que démontre l’étude de Hikosaka et al. (1985) concernant la coordination des doigts après une injection de muscimol dans le cortex somatosensoriel ?
L’étude montre que l’injection de muscimol (un agoniste du GABA qui inhibe la transmission synaptique) dans la région 2 de Brodmann du cortex somatosensoriel entraîne une désorganisation de la coordination des doigts du côté contralatéral à l’injection (main droite). En revanche, la main ipsilatérale reste capable de coordonner ses mouvements normalement pour ramasser un objet.
Où sont situés les récepteurs contribuant à la perception cutanée ?
Les récepteurs contribuant à la perception cutanée sont situés dans l’épiderme ou le derme.
Comment nomme-t-on un récepteur qui est impliqué dans la perception tactile ? Quels sont les 4 types ?
Les mécanorécepteurs sont impliqués dans la perception tactile.
Les mécanorécepteurs sont :
- Récepteurs de Merkel
- Corpuscules de Meissner
- Cylindres de Ruffini
- Corpuscules de Pacini
Quels sont les 3 types de récepteurs contribuant à la perception cutanée ?
- Mécanorécepteurs
- Thermo-récepteurs
- Nocicepteurs
Les thermo-récepteurs et les nocicepteurs sont constitués par quoi ?
Les thermorécepteurs et les nocicepteurs sont constitués par les terminaisons nerveuses libres que l’on retrouve dans l’épiderme et le derme.
Quels sont les de types de récepteurs qui sont constitués par les terminaisons nerveuses libres que l’on retrouve dans l’épiderme et le derme ?
2
- Thermo-récepteurs
- Nocicepteurs
De par leur structure physique et leur emplacement dans la peau, les mécanorécepteurs se distinguent par quoi ?
Les mécanorécepteurs se distinguent au niveau de :
- leur vitesse d’habituation
- la taille de leur champ récepteur (résolution spatiale)
- la fréquence temporelle à laquelle ils sont le plus sensible
Les fibres nerveuses émergeant des mécanorécepteurs sont toutes de quel type ?
sont toutes de type A-beta
Diamètre des fibres nerveuses émergeant des mécanorécepteurs
grand diamètre permettant ainsi une vitesse de conduction élevée
Que permet le grand diamètre des fibres nerveuses émergeant des mécanorécepteurs ?
le grand diamètre permet une vitesse de conduction élevée
Ceci = quel type de mécanorécepteur ?
récepteurs de Merkel
Ceci = quel type de mécanorécepteur ?
corpuscule de Meissner
Ceci = quel type de mécanorécepteur ?
cylindres de Ruffini
Ceci = quel type de mécanorécepteur ?
corpuscules de Pacini
L’étude de la réponse des firbes mécano-réceptives (originant des mécano-récepteurs) chez l’humain est effectuée comment ?
Par la technique de microneurographie, où l’on insère une micro-électrode sous la peau pour enregistrer l’activité d’une fibre nerveuse.
À travers la technique de microneurographie, on a identifié quoi ?
4 classes de fibres qui se distinguent par leur vitesse d’adaptation, la taille de leurs champs récepteurs et leur profil de sensiblité temporelle.
- récepteurs de Merkel
- corpuscules de Meissner
- cylindres de Ruffini
- corpuscules de Pacini
La technique de microneurographie
Technique où l’on insère une micro-électrode sous la peau pour enregistrer l’activité d’une fibre nerveuse.
qui suis-je ? : Technique où l’on insère une micro-électrode sous la peau pour enregistrer l’activité d’une fibre nerveuse.
technique de microneurographie
La technique de microneurographie nous a permise de découvrir quoi sur les récepteurs de Merkel ?
vitesse d’adaptation = lente
taille du champ récepteur = petite
(SA I)
ceci = quel mécanorécepteur ? : vitesse d’adaptation lente et champ récepteur petit
récepteurs de Merkel
La technique de microneurographie nous a permise de découvrir quoi sur les corpuscules de Meissner ?
vitesse d’adaptation = rapide
taille du champ récepteur = petite
(FA I)
ceci = quel mécanorécepteur ? : vitesse d’adaptation rapide et taille du champ récepteur petite
corpuscules de Meissner
La technique de microneurographie nous a permise de découvrir quoi sur les cylindres de Ruffini ?
vitesse d’adaptation = lente
taille du champ récepteur = large
(SA II)
ceci = quel mécanorécepteur ? : vitesse d’adaptation lente et taille du champ récepteur large
cylindres de Ruffini
La technique de microneurographie nous a permise de découvrir quoi sur les corpuscules de Pacini ?
vitesse d’adaptation = rapide
taille du champ récepteur = large
(FA II)
ceci = quel mécanorécepteur ? : vitesse d’adaptation rapide et taille du champ récepteur large
corpuscule de Pacini
ceci = quel type de mécanorécepteur ? : SA I
récepteurs de Merkel
ceci = quel type de mécanorécepteur ? : SA II
cylindres de Ruffini
ceci = quel type de mécanorécepteur ? : FA I
corpuscules de Meissner
ceci = quel type de mécanorécepteur ? : FA II
corpuscule de Pacini
Comment les récepteurs FA I et FA II se différencient-ils en termes de fonction et de fréquence de sensibilité ?
- Les FA I sont sensibles aux vibrations de fréquence moyenne (30-50 Hz) et détectent les textures fines.
- Les FA II sont sensibles aux vibrations de haute fréquence (environ 200 Hz) et détectent des vibrations subtiles sur de grandes surfaces cutanées.
Quel type de récepteur cutané est le plus sensible aux basses fréquences, et quelle est sa fonction principale ?
Les récepteurs SA I (Slowly Adapting Type I) sont les plus sensibles aux basses fréquences. Leur fonction principale est de détecter les pressions statiques et prolongées.
Quel récepteur cutané est spécialisé dans la détection des vibrations de haute fréquence, et pourquoi est-il important ?
Le récepteur FA II (Fast Adapting Type II) est spécialisé dans la détection des vibrations de haute fréquence (environ 200 Hz). Il est important car il permet de percevoir des vibrations fines et subtiles, souvent transmises sur de grandes surfaces cutanées.
Quels récepteurs cutanés sont impliqués dans la perception des textures fines, et à quelle fréquence sont-ils les plus sensibles ?
Les récepteurs FA I (Fast Adapting Type I) sont impliqués dans la perception des textures fines. Ils sont les plus sensibles aux vibrations de fréquence moyenne, autour de 30-50 Hz.
Qu’est-ce qui distingue les récepteurs SA I des récepteurs FA I et FA II en termes de réponse au stimulus ?
Les récepteurs SA I (Slowly Adapting Type I) répondent de manière prolongée aux pressions statiques, tandis que les récepteurs FA I et FA II s’adaptent rapidement et répondent principalement aux vibrations transitoires ou répétées.
Quelle est la sensiblité maximale du mécanorécepteur SA I (Merkel), et quelle est la caractéristique des stimuli qu’il détecte le mieux ?
sensiblité maximale : < ~5 Hz
caractéristique des stimuli qu’il détecte le mieux : sensibles à la pression soutenue et aux déformations spatiales
Quelle est la sensiblité maximale du mécanorécepteur FA I (Meissner), et quelle est la caractéristique des stimuli qu’il détecte le mieux ?
sensibilité maximale : ~5-50 Hz
caractéristique des stimuli qu’il détecte le mieux : sensibles aux changements temporels de la peau, de basse fréquence
Quelle est la sensiblité maximale du mécanorécepteur FA II (Pacini), et quelle est la caractéristique des stimuli qu’il détecte le mieux ?
sensibilité maximale : ~50 à 700 Hz
caracéristiques des stimuli qu’il détecte le mieux : sensibles aux changements temporels de la peau, de haute fréquence
Quelle est la sensiblité maximale du mécanorécepteur SA II (Ruffini), et quelle est la caractéristique des stimuli qu’il détecte le mieux ?
sensibilité maximale : faible sensibilité aux vibrations à travers toute les fréquences
caractéristiques des stimuli qu’il détecte le mieux : sensibles aux pressions continues et étirements latéraux de la peau.
fonction primaire du mechanorécepteur SA I (Merkel)
perception de texture
fonction primaire du méchanorécepteur FA I (Meissner)
détection de patterns et de formes +
détection de vibrations à basses fréqiuences
fonction primaire du mécanorécepteur FA II (Pacini)
détection de vibrations à haut fréquence (contact)
fonction primaire du méchanorécepteur SA II (Ruffini)
position du doigt, préhension stable
qui suis-je ? : méchanorécepteur avec sensiblité maximale de < ~ 5 Hz
SA I (Merkel)
qui suis-je ? : méchanorécepteur qui est sensible à la pression soutenue et aux déformations spatiales
SA I (Merkel)
qui suis-je ? : méchanorécepteur avec sensibilité maximale de ~ 5-50 Hz
FA I (Meissner)
qui suis-je ? : mécanorécepteur sensible aux changements temporels de la peau, de basse fréquence
FA I (Meissner)
qui suis-je ? : mécanorécepteur avec sensibilité maximale de ~50-700 Hz
FA II (Pacini)
qui suis-je ? : mécanorécepteur sensible aux changements temporels de la peau, de haute fréquence
FA II (Pacini)
qui suis-je ? : méchanorécepteur ayant comme fonction primaire la perception de textures
SA I (Merkel)
qui suis-je ? : méchanorécepteur ayant comme fonction primaire la détection de patterns et de formes, ainsi que la détection de vibrations à basses fréquences
FA I
qui suis-je ? : méchanorécepteur ayant comme fonction primaire la détection de vibrations à haute fréquence (le contact)
FA II (Pacini)
qui suis-je ? : méchanorécepteur ayant comme fonction primaire la position du doigt et la préhension stable
SA II (Ruffini)
quelle est la sensation avec stimulation d’une seule fibre nerveuse du méchanorécepteur SA I (Merkel) ?
pression
qui suis-je ? : méchanorécepteur pour lequel la sensation avec stimulation d’une seule fibre nerveuse est la pression
SA I (Merkel)
quelle est la sensation avec stimulation d’une seule fibre nerveuse du méchanorécepteur FA I (Meissner) ?
battement (« flutter »)
qui suis-je ? : méchanorécepteur pour lequel la sensation avec stimulation d’une seule fibre nerveuse est le battement (« flutter »)
FA I (Meissner)
quelle est la sensation avec stimulation d’une seule fibre nerveuse du méchanorécepteur FA II ?
Buzz – vibration
qui suis-je ? : méchanorécepteur pour lequel la sensation avec stimulation d’une seule fibre nerveuse est un buzz – vibration
FA II
quelle est la sensation avec stimulation d’une seule fibre nerveuse pour le mécanorécepteur SA II (Ruffini) ?
aucune
ça demande la stimulation de fibres multiples
qui suis-je ? : méchanorécepteur pour lequel la sensation avec stimulation d’une seule fibre nerveuse est nulle, puisque je demande la stimulation de fibres multiples
SA II (Ruffini)
L’enregistrement de l’activité de fibres individuelles dans les nerfs périphériques a permis d’isoler 2 types de fibres thermo-réceptives. Lesquels ?
- Fibres sensibles à la chaleur
- Fibres sensibles au froid
L’enregistrement de l’activité de fibres individuelles dans les nerfs périphériques a permis d’isoler 2 types de fibres thermo-réceptives : fibres sensibles à la chaleur et fibres sensibles au froid. Quelle est la différence entre les 2 ?
Fibres sensibles à la chaleur : La fréquence d’influx nerveux est augmentée par une augmentation de la température et diminuée par une diminution de température. La réponse de ces fibres est soutenue lorsqu’une température élevée est maintenue et aucune réponse n’est observée lors de stimulations mécaniques. Sensibilité maximale : 44°C.
Fibres sensibles au froid : Environ 30x plus nombreuses que les fibres sensibles à la chaleur. La fréquence d’influx nerveux est augmentée par une réduction de la température et demeure soutenue par le maintien d’une température froide. Sensibilité maximale: 26°C.
décrivez les fibres sensibles à la chaleur
La fréquence d’influx nerveux est augmentée par une augmentation de la température et diminuée par une diminution de température. La réponse de ces fibres est soutenue lorsqu’une température élevée est maintenue et aucune réponse n’est observée lors de stimulations mécaniques. Sensibilité maximale : 44°C.
décrivez les fibres sensibles au froid
Environ 30x plus nombreuses que les fibres sensibles à la chaleur. La fréquence d’influx nerveux est augmentée par une réduction de la température et demeure soutenue par le maintien d’une température froide. Sensibilité maximale: 26°C.
qui suis-je ? : fibre thermo-réceptive pour qui la fréquence d’influx nerveux est augmentée par une augmentation de la température et diminuée par une diminution de température.
fibres sensibles à la chaleur
qui suis-je ? : fibre thermo-réceptive pour qui la réponse est soutenue lorsqu’une température élevée est maintenue et aucune réponse n’est observée lors de stimulations mécaniques.
fibres sensibles à la chaleur
que se passe-t-il lorsqu’une fibre sensible à la chaleur a une stimulation mécanique ?
aucune réponse n’est observée lors de stimulations mécaniques
qui suis-je ? : fibre thermo-réceptive avec sensibilité maximale de 44°C
fibres sensibles à la chaleur
quel fibre thermo-réceptive est plus nombreuse ?
fibres sensibles au froid sont environ 30x plus nombreuses que les fibres sensibles à la chaleur
qui suis-je ? : fibre thermoréceptive pour laquelle la fréquence d’influx nerveux est augmentée par une réduction de la température soutenue par le maintien d’une température froide.
fibres sensibles au froid
qui suis-je ? : fibre thermo-réceptive avec sensiblité maximale d’environ 26°C
fibres sensibles au froid
fibres nociceptives
Répondent seulement à une pression cutanée très intense, une température inférieure à 15°C ou supérieure à 45°C ou à des produits chimiques provoquan tune brûlure de la peau.
qui suis-je ? : fibre qui répond seulement à une pression cutanée très intense
fibre nociceptive
qui suis-je ? : fibre qui répond seulement à une température inférieure à 15°C ou supérieure à 45°C ou à des produits chimiques provoquant une brûlure de la peau
fibre nociceptive
Il existe 2 classes de fibres nociceptives. Lesquelles ?
fibres A-delta
fibres C
décrivez les 2 classes de fibres nociceptives
toutes 2 ont un petit diamètre
Fibres A-delta : sensibles à la forte pression et aux hautes températures et sont myélinisées, leur permettant une conduction rapide.
Fibres C : sensibles à toutes sortes de stimulations douloureuses et ne sont pas myélinisées, impliquant une basse vitesse de conduction des influx nerveux.
qui suis-je ? : classe de fibre nociceptive sensible à la forte pression
A-delta
qui suis-je ? : classe de fibre nociceptive sensible aux hautes températures
A-delta
qui suis-je? : classe de fibre nociceptive myélinisée, me permettant une conduction rapide
A-delta
qui suis-je ? : classe de fibre nociceptive sensible à toutes sortes de stimulations douloureuses
fibres C
qui suis-je ? : classe de fibre nociceptive qui n’est pas myélinisée, impliquant une basse vitesse de conduction des influx nerveux
fibre C
où sont situés les récepteurs kinesthésiques ?
dans les muscles, tendons et articulations
qui suis-je ? : mécanorécepteurs situés dans les muscles, les tendons et les articulations
récepteurs kinesthésiques
l’angle d’une articulation est signalé par quoi ?
L’angle d’une articulation est signalé principalement par les fuseaux neuromusculaires, qui signalent le niveau d’allongement des muscles.
les fuseaux neurmusculaires sont constitués de combien de quoi ?
Les fuseaux neuromusculaires sont constitués de 3-12 fibres musculaires intrafusoriales (intrafusal) autour desquelles des neurones afférants sont enroulés.
les fuseaux neuromusculaires sont constitués de combien de fibres intrafusoriales (intrafusal) ?
3-12, autour desquelles des neurones afférents sont enroulés
qu’est-ce qui se trouve autour des fibres musculaires intrafusoriales (intrafusal) ?
des neurones afférants
Les fuseaux neuromusculaires sont constitués de 3-12 fibres musculaires intrafusoriales (intrafusal) autour dequelles des neurones afférants sont enroulés. Ces neurones comportent quels genre de canaux ?
Ces neurones comportent des canaux ioniques sensibles à l’étirement des fibres musculaires.
v ou f : les seuls récepteurs qui se trouvent dans les tendons sont les récepteurs kinesthésiques
faux
-> d’autres récepteurs de tension musculaire se retrouvent dans les tendons.
v ou f : les seuls récepteurs qui se trouvent dans les articulations sont les récepteurs kinesthésiques
faux
–> des récepteurs dans les articulations ont comme fonction de signaler leur angle.
Les fibres nerveuses originant des récepteurs cutanés se regroupent pour former quoi ?
Les fibres nerveuses originant des récepteurs cutanés se regroupent pour former les nerfs périphériques.
Les fibres nerveuses originant des récepteurs cutanés se regroupent pour former les nerfs périphériques, qui pénètrent quoi ?
Les fibres nerveuses originant des récepteurs cutanés se regroupent pour former les nerfs périphériques, qui pénètrent la moelle épinière par sa racine dorsale.
complétez la phrase : Les fibres nerveuses originant des récepteurs cutanés se regroupent pour former les nerfs périphériques, qui pénètrent la moelle épinière par sa racine dorsale. À l’entrée dans X de la moelle épinière, il y a synapse.
Les fibres nerveuses originant des récepteurs cutanés se regroupent pour former les nerfs périphériques, qui pénètrent la moelle épinière par sa racine dorsale. À l’entrée dans corne dorsale de la moelle épinière, il y a synapse.
complétez la phrase : Les fibres nerveuses originant des récepteurs cutanés se regroupent pour former les nerfs périphériques, qui pénètrent la moelle épinière par sa racine dorsale. À l’entrée dans corne dorsale de X il y a synapse.
Les fibres nerveuses originant des récepteurs cutanés se regroupent pour former les nerfs périphériques, qui pénètrent la moelle épinière par sa racine dorsale. À l’entrée dans la corne dorsale de la moelle épinière, il y a synapse.
Les fibres nerveuses originant des récepteurs cutanés se regroupent pour former les nerfs périphériques, qui pénètrent la moelle épinière par sa racine dorsale. À l’entrée dans la corne dorsale de la moelle épinière, il se passe quoi ?
Les fibres nerveuses originant des récepteurs cutanés se regroupent pour former les nerfs périphériques, qui pénètrent la moelle épinière par sa racine dorsale. À l’entrée dans la corne dorsale de la moelle épinière, il y a synapse.
Les fibres nerveuses originant des récepteurs cutanés se regroupent pour former les nerfs périphériques, qui pénètrent la moelle épinière par sa racine dorsale. À l’entrée dans la corne dorsale de la moelle épinière, il y a synapse. À partir de ce point, que se passe-t-il ?
Les fibres nerveuses originant des récepteurs cutanés se regroupent pour former les nerfs périphériques, qui pénètrent la moelle épinière par sa racine dorsale. À l’entrée dans la corne drsale de la moelle épinière, il y a synapse. À partir de ce point, les projections ascendantes vers le cerveau se divisent en deux voies : voie spinothalamique et voie lemniscale médiane.
Les fibres nerveuses originant des récepteurs cutanés se regroupent pour former les nerfs périphériques, qui pénètrent la moelle épinière par sa racine dorsale. À l’entrée dans la corne dorsale de la moelle épinière, il y a synapse. À partir de ce point, les projections ascendantes vers le cerveau se divisent en quelles 2 voies ?
voie spinothalamique et voie lemniscale médiane
voie spinothalamique
Constituée de fibres plus petites (transmission lente) impliquées dans la perception de la température et de la douleur.
ceci = quelle voie nerveuse ? : constituée de fibres plus petites (transmission lente)
voie spinothalamique
ceci = quelle voie nerveuse ? : constituée de fibres impliquées dans la perception de la température et de la douleur
voie spinothalamique
voie lemniscale médiane
Constituée de grosses fibres (transmission rapide) impliquées dans la perception tactile et la proprioception/kinesthésie.
ceci = quelle voie nerveuse ? : constituée de grosses fibres (transmission rapide)
voie lemniscale médiane
ceci = quelle voie nerveuse ? : voie impliquée dans la perception tactile et la proprioception/kinesthésie
voie lemniscale médiane
Dans leur trajet vers le thalamus, les voies spinothalamique et lemniscale médiane croisent où ? Ça fait quoi ?
Dans leur trajet vers le thalamus, les fibres constituant les voeis spinothalamique et lemniscale médiane croisent vers le côté opposé du corps, faisant ainsi que le thalamus droit reçoit des fibres en provenance de l’hémicorps gauche, et vice versa.
Complétez la phrase : Dans leur trajet vers le thalamus, les fibres constituant les voeis spinothalamique et lemniscale médiane croisent vers le côté X, faisant ainsi que le X droit reçoit des fibres en provenance de l’hémicorps gauche, et vice versa.
Dans leur trajet vers le thalamus, les fibres constituant les voeis spinothalamique et lemniscale médiane croisent vers le côté opposé du corps, faisant ainsi que le thalamus droit reçoit des fibres en provenance de l’hémicorps gauche, et vice versa.
Quel est le principal noyau thalamique, où la majorité des fibres constituant les voies spinothalamiques et lemniscale médiane font synapse ?
noyau ventro-postérieur
Le principal noyau thalamique, où la majorité des fibres constituant les voies spinothalamique et lemniscale médiane font synapse est le noyau ventro-postérieur. Quels sont les autres noyaux thalamiques par lesquels transitent certaines fibres somesthésiques ?
Les autres noyaux thalamiques par lesquels transitent certaines fibres somesthésiques sont les noyaux intralaminaire et postérieur.
À partir du thalamus, l’information somesthésique est finalement transmise où ?
À partir du thalamus, l’information somesthésique est finalement transmise au cortex somatosensoriel primaire (S1), qui est situé dans le lobe pariétal.
dans quel lobe est situé le cortex somatosensoriel primaire (SI) ?
lobe pariétal
S1 envoie la majorité de ses projections vers où ?
S1 envoie la majorité de ses projections vers le cortex somatosensoriel secondaire (S2).
S1
cortex somatosensoriel primaire
S2
cortex somatosensoriel secondaire
Quel est le trajet des fibres constituant les voies spinothalamique et lemniscale médiane vers le thalamus ?
Dans leur trajet vers le thalamus, les fibres constituant les voies spinothalamique et lemniscale médiane croisent vers le côté opposé du corps, faisant ainsi que le thalamus droit reçoit des fibres en provenance de l’hémicorps gauche, et vice versa.
où se produit la synapse des fibres constituant les voies spinothalamique et lemniscale médiane ?
2
Le principal noyau thalamique, où la majorité de ces fibres font synapse est le noyau ventro-postérieur. Les autres noyaux thalamiques par lesquels transitent certaines fibres somesthésiques sont les noyaux intralaminaire et postérieur.
Quel est le trajet des fibres constituant les voies spinothalamique et lemniscale médiane à partir de la synapse au niveau du thalamus, jusqu’au cortex somatosensoriel secondaire (S2) ?
À partir du thalamus, l’information somesthésique est finalement transmise au cortex somatosensoriel primaire (S1), qui est situé dans le lobe pariétal. S1 envoie la majorité de ses projections vers le cortex somatosensoriel secondaire (S2).
Quel est le trajet des voies nerveuses, du champ récepteur jusqu’au cortex somatosensoriel secondaire ?
Les fibres nerveuses originant des récepteurs cutanés se regroupent pour former les nerfs périphériques, qui pénètrent la moelle épinière par sa racine dorsale. À l’entrée dans la corne dorsale de la moelle épinière, il y a synapse. À partir de ce point, les projections ascendantes vers le cerveau se divisent en deux voies : voie spinothalamique et voie lemniscale médiane.
Dans leur trajet vers le thalamus, les fibres constituant les voies spinothalamique et lemniscale médiane croisent vers le côté opposé du corps, faisant ainsi que le thalamus droit reçoit des fibres en provenance de l’hémicorps gauche, et vice-versa.
Le principal noyau thalamique, où la majorité de ces fibres font synapse est le noyau ventro-postérieur. Les autres noyaux thalamiques par lesquels transitent certaines fibres somesthésiques sont les noyaux intralaminaire et postérieur.
À partir du thalamus, l’information somesthésique est finalement transmise au cortex somatosensoriel primaire (S1), qui est situé dans le lobe pariétal. S1 envoie la majorité de ses projections vers le cortex somatosensoriel secondaire.
Le cortex somatosensoriel primaire est organisé de quelle façon ?
selon une carte somatotopique (neurones près les uns des autres répondent à des régions corporelles proches) appelé homoncule
homoncule
Carte somatotopique (neurones près les uns des autres répondent à des régions corporelles proches) du cortex somatosensoriel primaire.
carte somatotopique
neurones près les uns des autres répondent à des régions corporelles proches
qui suis-je ? : neurones près les uns des autres répondent à des régions corporelles proches
carte somatotopique
Expliquez l’homoncule
Le cortex somatosensoriel primaire est organisé selon une carte somatotopique (neurones près les uns des autres répondent à des régions corporelles proches) appelée homoncule.
La distorsion entre surface corporelle et surface corticale (effet de magnification corticale) fournit une meilleure sensibilité tactile à certaines parties du corps étant donné la plus grande quantité de ressources neuronales dont elles disposent.
effet de magnification corticale
La distorsion entre surface corporelle et surface corticale (effet de magnification corticale) fournit une meilleure sensibilité tactile à certaines parties du corps étant donné la plus grande quantité de ressources neuronales dont elles disposent.
La surface corticale dédiée à une partie du corps semble dépendre de quoi ?
La surface corticale dédiée à une partie du corps semble en partie dépendre du niveau de stimulation reçue. Cette surface corticale peut être affectée par l’expérience et l’entraînement (plasticité)
La surface corticale dédiée à une partie du corps peut être affectée par quoi ?
par l’expérience et l’entraînement (plasticité)
Les champs récepteurs des neurones rencontrés dans le système somesthésique présentent des ressemblances marquées avec ceux de quel système ?
le système visuel
Les champs récepteirs du système visuel présentent des ressemblances marquées avec ceux de quel système ?
système somesthésique
les 2 types de champs récepteurs pour la perception tactile
- champs récepteurs concentriques
- champs récepteurs complexes
champs récepteurs concentriques
Constitués par une région centrale excitatrice ou inhibitrice, et une région périphérique de polarité opposée. Les neurones présentant ce type de champ récepteur sont retrouvés au niveau du thalamus et du cortex somato-sensoriel primaire
les neurones présentant un type de champ récepteur concentrique sont retrouvés à quel niveau ?
2
- thalamus
- cortex somatosensoriel primaire
champs récepteurs complexes
Certains neurones présentent une réponse sélective à l’orientation ou à la direction de mouvement. Ceux-ci sont retrouvés seulement dans le cortex somatosensoriel.
les neurones présentant un type de champ récepteur complexe sont retrouvés à quel niveau ?
ceux-ci sont retrouvés seulement dans le cortex somato-sensoriel
dans quelle situation est-ce que certains neurones du cortex somatosensoriel ne répondent pas ?
Certains neurones du cortex somatosensoriel ne répondent pas lors d’une stimulation passive et ont une réponse sélective à la forme de l’objet lors de la préhension
v ou f : certains neurones du cortex somatosensoriel ont une réponse à la stimulation tactile qui est modulée par l’attention - i.e. attenton dirigée vers la modalité tactile vs visuelle.
vrai
seuil d’acuité tactile
Le seuil d’acuité tactile est mesuré soit par la distance minimale entre deux points sur la peau qui soit discriminable ou par la fréquence spatiale la plus élevée pour laquelle une discrimination d’orientation est possible.
le seuil d’acuité tactile varie en fonction de quoi
Le seuil d’acuité tactile (min. approx. 1 mm) varie en fonction de l’endroit du corps où il est mesuré.
Ce seuil est partiellement fonction de la magnification corticale - i.e. étendue corticale dédiée au traitement d’une région du corps.
Il existe un rapport entre le seuil d’acuité tactile et quels récepteurs ?
Il existe un rapport entre le seuil d’acuité tactile et la densité des récepteurs de Merkel / SA-I et des corpuscules de Meissner/FA-I (petits champs récepteurs) à travers le corps.
On note un rapport direct entre le seuil d’acuité tactile et quoi ?
On note un rapport direct entre le seuil d’acuité tactile et la taille des champs récepteurs des neurones du cortex somato-sensoriel primaire chez le singe.
haptique
L’haptique (ou perception haptique) concerne le traitement perceptif reposant conjointement sur les voies tactiles et kinesthésiques/proprioceptives. La perception haptique est habituellement supérieure lors de l’exploration active de l’objet (“active touch”) que lors d’une exposition passive. La classe de mouvement exploratoire préférée est fonction de la nature de l’information recherchéeé
En touchant une surface, il est possible d’en estimer la texture. Les textures grossières, telles les dents d’un peigne ou le Braille sont détectées sur quelles bases ? Quels sont les récepteurs impliqués ?
Sont détectées sur la base d’indices spatiaux - i.e. taille, forme et distance entre les éléments de texture.
Les récepteurs de Merkel/SA-I et corpuscules de Meissner/FA-I semblent implqués dans la perception de textures grossières.
quels sont les récepteurs impliqués dans la perception de textures grossières ?
2
Merkel/SA-I
Corpuscules de Meissner/FA-I
En touchant une surface, il est possible d’en estimer la texture. Pour la discrimination de textures fines, il est nécessaire d’utiliser quels indices ? Quels sont les récepteurs impliqués ?
Pour la discrimination de textures fines, il est nécessaire d’utiliser des indices temporels produits par les mouvents exploratoires de l’observateur, par lesquels la texture peut produire une vibration sur la surface cutanée.
Les textures fines seraient détectés par les corpuscules de Pacini/FA-II
quel est le récepteur impliqué dans la perception de textures fines ?
corpuscules de Pacini/FA-II
L’adaptation sélective à des vibrations de haute intensité et haute fréquence altère la perception de textures fines (qui apparaissent lisses) à cause de quoi ?
en raison de la fatigue qu’elle induit au niveau des récepteurs de Pacini/FA-II.
que cause l’adaptation sélective à des vibrations de haute intensité et haute fréquence ?
L’adaptation sélective à des vibrations de haute intensité et haute fréquence altère la perception de textures fines (qui apparaissent lisses) en raison de la fatigue qu’elle induit au niveau des récepteurs de Pacini/FA-II.
L’adaptation sélective à des vibrations de basse fréquence (ne stimulant pas les récepteurs de Pacini/FA-II) cause quoi ?
n’a aucun impact sur la détection de textures fines
que cause l’adaptation sélective à des vibrations de basse fréquence ?
L’adaptation sélective à des vibrations de basse fréquence (ne stimulant pas les récepteurs de Pacini/FA-II) n’a aucun impact sur la détection de textures fines.
stéréognosie
Il nous est possible de reconnaître (habituellement en 1-2 secondes) les objets tridimensionnels par voie factile. Cette capacité est appelée la stéréognosie. La texture et la température de la surface de l’objet contribuent beaucoup à la stéréognosie. Le rôle de la forme y est donc moins important qu’en vision.
qui suis-je ? : capacité à reconnaître (habituellement en 1-2 secondes) les objets tridimensionnels par voie factile.
stéréognosie
L’exploration haptique a été étudiée par l’utilisation de tâches de recherche tactile. Les résultats révèlent quoi ?
Les résultats révèlent une détection préattentive (i.e. pas d’effet du nombre de doigts stimulés) pour des propriétés telles la texture (lisse vs rugueuse), la dureté (dur vs mou), la température (froid vs chaud) et la présence d’un bord (vs surface plate).
Par contre, la discrimination d’orientation (verticale vs horizontale) entraîne un effet du nombre de doigts stimulés
v ou f : la localisation tactile semble impliquer des mécanismes similaires à ceux sous-tendant la perception de la texture/forme des objets.
faux
–> La localisation tactile semble impliquer des mécanismes distincts de ceux sous-tendant la perception de texture/forme des objets.
La localisation tactile semble impliquer des mécanismes distincts de ceux sous-tendant la perception de texture/forme des objets. Ainsi, que se passe-t-il lors d’atteintes cérébrales ?
Ainsi, certaines atteintes cérébrales peuvent donner lieu à un déficit de localisation alors que d’autres peuvent entraîner un déficit de la perceptin de la texture/forme.
la localisation tactile semble reposer sur quoi ?
Sur un cadre de référence variable selon l’effecteur concerné et la tâche à réaliser.
Ex : si on cherche à localiser la main au-dessus de la table en pointant avec l’autre main en-dessous de la table, l’erreur de pointae se fait toujours vers le côté opposé à la main qui pointe. Ceci impliquerait que le cadre de référence pour la localisation tactile change selon la main qui fait le pointage. L’hypothèse proposée est que le cadre de référence est centré sur l’épaule de la main faisant le pointage.
douleur
Expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à un dmmage tissulaire potentiel ou effectif, ou qui est décrite en termes d’un tel dommage.
Il existe une variété de types de douleur
Il existe une variété de types de douleur. Lesquels ?
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Nociceptive
Inflammatoire
Neuropathique
douleur nociceptive
Causée par la stimulation des nocicepteurs de la peau. Il existe une variété de types de nocicepteurs.
ceci = quel type de douleur ? : Causée par la stimulation des nocicepteurs de la peau. Il en existe une variété
douleur nociceptive
douleur inflammatoire
Causée par un dommage tissulaire, des inflammations ou des cellules tumorales. Ceux-ci libèrent des substances dites « inflammatoires », qui stimulent les nocicepteurs.
ceci = quel type de douleur ? : Causée par un dommage tissulaire, des inflammations ou des cellules tumorales. Ceux-ci libèrent des substances dites « inflammatoires », qui stimulent les nocicepteurs.
douleur inflammatoire
douleur neuropathique
causée par des lésions au système nerveux
ceci = quel type de douleur ? : causée par des lésions au système nerveux
douleur neuropathique
théorie du portillon (“gate control theory”)
Selon la théorie du portillon (“gate control theory”), certains neurones (SG+ et SG-) situés dans la substance gélatineuse (“substancia gelatinosa”) de la corne dorsale de la moelle épinière modulent l’activité des cellules de transmission (cellules T) de l’information nociceptive vers le cerveau. Les neurones SG+ sont activés par les fibres nociceptives (A-delta et C) de la voie spinothalamique. Les neurones SG+ activent les cellules T et ouvrent donc le “portillon” de percpetion de la douleur.
Les neurones SG- sont activés par les fibres originant des mécanorécepteurs (A-beta) et par des signaux descendants en provenance du cerveau, qui ne transmettent aucune information nociceptive.
L’activité des neurones SG- inhibe les cellules T et ferme le “portillon”, expliquant ainsi l’effet de divers facteurs modulant la perception de la douleur.
Au niveau cérébral, quelles sont les régions activées par la stimulation douloureuse ?
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- hypothalamus
- système limbique
- thalamus
- cortex somatosensoriel
- insula
- cortex cingulaire antérieur
expliquez l’effet de la suggestion hyponatique sur l’aspect désagréable de la douleur
Effet de suggestions hypnotiques sur l’aspect désagréable de la douleur :
L’aspect sensoriel de la douleur est associé à une activation de S1/S2 où l’activation n’est pas affectée par la suggestion. La composante émotive de l’expérience de la douleur est associée à l’activité du cortex cingulaire antérieur, dont l’activité est modulée par les suggestions hypnotiques.
Des observations récentes suggèrent que le cortex cingulaire est activé non seulement par la douleur physique mais également par le malaise social (sentiment de rejet) et par l’empathie pour la douleur ressentie par autrui.
Complétez la phrase : L’aspect sensoriel de la douleur est associé à une activation de X où l’activation n’est pas affectée par la suggestion.
L’aspect sensoriel de la douleur est associé à une activation de S1/S2 où l’activation n’est pas affectée par la suggestion.
complétez la phrase : La composante émotive de l’expérience de la douleur est associée à l’activité du X, dont l’activité est modulée par les suggestions hypnotiques.
La composante émotive de l’expérience de la douleur est associée à l’activité du cortex cingulaire antérieur, dont l’activité est modulée par les suggestions hypnotiques.
Complétez la phrase : Des observations récentes suggèrent que le cortex cingulaire est activé non seulement par la douleur physique mais également par le X et par X.
Des observations récentes suggèrent que le cortex cingulaire est activé non seulement par la douleur physique mais également par le malaise social (sentiment de rejet) et par l’empathie pour la douleur ressentie par autrui.
La perception de la douleur n’est pas exclusivement fonction du stimulus nociceptif. Expliquez.
Elle dépend des stimulations concurrentes et des facteurs cognitifs, qui peuvent avoir un effet analgésique.
La perception de la douleur n’est pas exclusivement fonction du stimulus nociceptif. Elle dépend des stimulations concurrentes et des facteurs cognitifs, qui peuvent avoir un effet analgésique. Qu’est-ce que les stimulations concurrentes ?
2 pts
L’intensité perçue d’une stimulation douloureuse est réduite par le massage ou par l’application de vibrations de faibles amplitude (analgésie produite par la stimulation - effet ascendant).
L’application d’une stimulation douloureuse concurrente affecte également la perception de la douleur (contrôle inhibiteur diffus - effet descendant).
La perception de la douleur n’est pas exclusivement fonction du stimulus nociceptif. Elle dépend des stimulations concurrentes et des facteurs cognitifs, qui peuvent avoir un effet analgésique. Qu’est-ce que les facteurs cognitifs ?
- Le contexte cognitif associé à la stimulation douloureuse affecte les réactions à la douleur.
Par exemple, seulement 25% des soldats blessés gravement à la guerre font appel à l’usage de narcotiques. À l’opposé, 80% des civils subissant une chirurgie demandent l’usage d’un narcotique.
- Un autre type d’effet cognitif sur la perception de la douleur concerne l’effet des attentes, qui se manifeste par l’effet placebo, qui soulage environ 35% des patients souffrant de douleur chronique.
Ces effets semblent pouvoir s’expliquer par l’effet des endorphines, qui bloquent les transmissions synaptiques du signal nociceptif vers le cerveau.
Comment expliquer les effets des facteurs cognitifs qui peuvent avoir un effet analgésique ?
Ces effets semblent pouvoir s’expliquer par l’effet des endorphines, qui bloquent les transmissions synaptiques du signal nociceptif vers le cerveau.
endorphines
Les endorphines sont des substances dont la structure moléculaire s’apparente à la morphine et qui sont secrétées naturellement dans notre corps.
lien entre le nalaxone et les placebos
L’administration de nalaxone, qui inhibe les effets des opiacés (ex : morphine ou héroïne), réduit de façon marquée l’efficacité d’un placebo ou de l’analgésie produite par stimilation concurrente.
La stimulation de production d’endorphines amène l’effet inverse. Il apparaît donc que ces effets sont liés à la sécretion d’endorphines.
À quoi sont liés les effets des opiacés ? Comment on le sait ?
L’administration de nalaxone, qui inhibe les effets des opiacés (ex : morphine ou héroïne), réduit de façon marquée l’efficacité d’un placebo ou de l’analgésie produite par stimilation concurrente.
La stimulation de production d’endorphines amène l’effet inverse. Il apparaît donc que ces effets sont liés à la sécretion d’endorphines.
effet de distraction sur la sensation douloureuse
Le fait d’être distrait de la sensation douloureuse par d’autres stimulations ou activités réduit la sensation de douleur. Cet effet varie selon l’aspect agréable/désagréable des stimuli distracteurs. Le réconfort émotif et le « toucher agréable » entraînent eux-aussi une réduction de la réponse nociceptive.
différences individuelles en lien avec la perception de la douleur
Il existe des différences individuelles (ex : athète vs non athlète) et culturelles importantes au niveau de la perception de la douleur