Cours 6 Flashcards

1
Q

École du feu et la ligne

A

Les fantassins sont armés d’un fusil qui fait feu et au bout de ces fusils, il y a une baïonnette qui permet de combattra corps à corps (le choc). La première école privilégie le feu, d’optimiser le feu au détriment du choc. L’idée est de déployer l’infanterie en ligne le plus mince possible pour qu’il y ait le plus grand nombre de fantassins possible qui utilise leur feu. À cette époque c’est trois rangs, dont le premier est à genoux, mais il faut retenir la longue ligne. Premier avantage la ligne fournit une grande surface de feu et elle crée un mur de balles, ce qui impose un feu collectif pour créer ce mur. Première contrainte, feu collectif qui est parfois compliqué quand des fantassins prennent peur et tir avant. Deuxième contrainte, la ligne doit être homogène qui peut être difficile du au terrain. Ensuite, la ligne permet de minimiser les effets du feu adversaire, les balles perdues son inefficaces c’est-à-dire celle qui passe les trois lignes, puis les boulets sont très peu efficaces qui ne sont pas explosif à cette époque. Concrètement les armées se font face à face jusqu’à la guerre de 7 ans dans une formation parallèle. Ensuite, on se déploie en ligne en amont, car on ne manœuvre pas sur place dû à la grande organisation qu’il faut des milliers d’homme. Puis, les lignes avancent très lentement, on la voit de loin, car elle se défait (cause le terrain, les accident) on doit arrêter et reformer la ligne. La ligne s’immobilise à 300 mètres où l’on se tire, pas de corps à corps et la victoire revient à celui qui se retire le premier. Toute repose, sur la capacité d’une ligne à tirer, on forme un soldat à tirer trois coups par minute, on ne vise pas on tire en ligne droite de toute façon on ne voit pas beaucoup avec la poussière de canon.

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2
Q

École du choc et de la colonne

A

autours de 1750 de nombreux auteurs comme Folard et Maurice de saxe critique le feu et la ligne, ils publient des ouvrages très savants qui démontre l’inefficacité. Ceux-ci proposent le choc grâce à la formation de la colonne qui sont des formations massives avec 18 rang minimum de profondeur. Ces colonnes sont censées agir grâce à leur baïonnette au corps à corps. Ce contacte doit créer une rupture de la ligne adverse. Auteur suisse Pictet analyse presque psychologiquement cette théorie, c’est que la simple vue de la colonne chargeante devrait suffire à faire peur à l’adversaire. On pense dans cette école la balle n’est pas sure, elle ne tue pas passer 250 mètres, alors que la baïonnette est sure. Système français par Mesnil-Durand qui dit que les Français ne sont passé assez discipliner pour la ligne c’est pourquoi la colonne est plus adapté pour eux. On va discuter que la colonne est trop vulnérable au feu adversaire, on calcule qu’en une demi-heure une colonne correctement bombardé va être défaite. La réponse est que la colonne est une forme de manœuvre, elle ne reste pas immobile.
*variante entre école du feu et du choc apparu en 1773 avec Guibert un auteur français, il réfléchi à la guerre de 7 ans et il dit qu’il faut pouvoir passer d’un à l’autre, donc il privilégie le ploiement et le déploiement. Toutefois, Guibert est plus attaché à l’ordre de la ligne
La querelle va durer d’environ 1750 à 1770 entre les auteurs pour savoir qui est la meilleure formation qui va mener à la solution de Frédéric II, contester par quelque personne.

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3
Q

Solution frédéricienne

A

l’ordre oblique, c’est une manœuvre en ligne. On se met de manière oblique à la ligne de l’adversaire. C’est une manœuvre de débordement de l’adversaire qui doit changer de position pour ne pas se tourner (« règle » on perd quand on se retroune). Manœuvre très complexe en ligne comme la manœuvre de conversion qui est un cauchemar pour les généraux, donc contrainte est le dressage de l’infanterie prussienne appelé drill pour assurer la réussite des manœuvres. Autre, difficulté pas de choc, les soldats prussiens tire en marchant, ils doivent être entrainé pour tirer, recharger en marchant. Toutefois, le feu qui n’était déjà pas très efficace, il les encore moyens en marchant, en plus de demander beaucoup d’entrainement. Conséquence, les soldats contre très chers ils sont longtemps formés, donc très rapidement le roi de Prusse va être confronter à des difficultés de recrutement. Toutefois, l’ordre oblique à été un pari de succès Frederic II remporte de nombreuses batailles avec cette technique. Il y a toutefois eu quelques désastres comme la bataille de Kunersdorf, l’aile de déploiement se perd dans un marais, donc le reste de l’armée prussienne arrive sur une ligne ennemie non-affaibli et 21 000 hommes prussiens meurt. On met au cœur de cette tactique la manouvre, mais ce n’est pas une mécanique de victoire, on ne gagne pas forcément.

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