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Aspects environnementaux et communautaires > Cours 6 > Flashcards

Cours 6 Flashcards

1
Q

Quelles sont les dimensions structurelles de l’organisation sociale?

A
  1. Réseau de soutien
  2. Réseau social personnel
  3. Réseaux d’aide:
    - Semi-formel
    - Informel
  4. Réseau d’aide formel
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Q

Qu’est-ce que le réseau de soutien?

A

Réseau de soutien: ensemble des liens fournissant différentes formes de soutien à la personne.

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3
Q

Qu’est-ce que le réseau social personnel?

A

Réseau social personnel: ensemble des liens avec l’entourage immédiat et distant fournissant ou non du soutien.

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4
Q

Qu’est-ce que le réseau d’aide?

A

Réseaux d’aide:

  • Semi-formel: personnes ou groupes offrant du soutien dans des cadres plus ou moins organisés.
  • Informel: personnes dont le soutien spontané en cas de besoin dépasse le mandat habituel.
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5
Q

Qu’est-ce que le réseau d’aide formel?

A

Réseau d’aide formel: personnes fournissant le soutien prévu dans le cadre de leurs fonctions rémunérées.

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6
Q

Donnez des exemples de réseau informel d’aide.

A 
● La voisine serviable
● Un voisin de table à la bibliothèque
● La gérante de caisse ou banque
● La coiffeuse
● Le commis au dépanneur
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7
Q

Donnez des chiffres concernant l’aide informelle.

A

Aide informelle directe %

Travaux à domicile 61%

Soins de santé ou personnels 53%

Accompagnement 47%

Tâches administratives 29%

Enseignement 17%

Autre 24%

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8
Q

Quelles sont les interventions possibles dans le réseau d’aide informel? Donnez deux exemples.

A

Organiser le réseau informel d’aide pour qu’il exerce davantage un rôle de soutien en l’appuyant concrètement.

Premier exemple : Des coiffeuses ont été invitées à dépister les problèmes de santé et à informer les
clients/es des ressources.
○ Cowen et al. (1979). Hairdressers as caregivers.
○ McLaren et al. (2010). Hairdressers as a resource in addressing family violence

Deuxième exemple : Des propriétaires de dépanneurs d’un quartier ont reçu de l’information sur les conditions associées à la schizophrénie et les
ressources à contacter en cas de besoin de leurs clients.

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9
Q

Donnez des exemples de réseau semi-formel d’aide.

A
  1. Les personnes pivots
  2. Les groupes d’entraide
  3. Les ressources dirigées et gérées par les pairs aidants
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10
Q

Quelles sont les caractéristiques des personnes-pivot?

A

● Aptitudes naturelles à aider
● Brièvement formées
● Suivies

Elles agissent dans le cadre d’un programme soutenu par le milieu.

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11
Q

Donnez un exemple de personne-pivot.

A

Sentinelle : un collègue de travail ayant accepté de participer à un programme de sentinelles
○ Citoyen adulte qui s’implique bénévolement dans son milieu
○ Agit comme un relais entre la personne suicidaire et les ressources d’aide

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12
Q

Il est important de distinguer la personne pivot et l’intervenant professionnel pivot. Alors, donnez les caractéristiques d’un intervenant professionnel pivot.

A

● Un intervenant professionnel pivot :
○ travaille au sein d’une équipe en santé mentale
○ à assurer la liaison (d’où le mot pivot) entre les ressources (spécialisées ou < génériques et celles des proches) et la personne qui a le problème de santé mentale
○ « et s’assure que la personne et ses proches sont accompagnées et soutenues dans l’expression de leurs besoins et préférences et les aide à faire des choix ».
● Peut détenir un diplôme ou encore une expérience pertinente.

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13
Q

Qu’est-ce qu’un groupe d’entraide?

A

Les membres des groupes d’entraide sont des gens comme vous et moi qui, motivés par un problème partagé et une volonté de changer la situation, se sont réunis et ont inventé une façon de faire face.

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14
Q

Qu’est-ce que les gens des groupes d’entraide ont-ils en commun?

A

● Le courage de faire une analyse différente de la source des problèmes et des solutions.
● Une révolte face aux manques de ressources ou services.
● Une croyance au potentiel des gens vivant le problème et aux solutions au niveau local.

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15
Q

Donnez des exemples de groupes d’entraide.

A 
● Les Alcooliques Anonymes
● APUR (Association de personnes utilisatrices des services en santé
mentale de la région de Québec)
● Les Amis compatissants
● La Boussole
● Fondation de la maladie coeliaque
● ManKind Project International (MKPI)
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16
Q

Quelles sont les valeurs et principes communs de l’entraide et de la psychologie communautaire?

A
  • Favoriser l’expression des personnes aux prises avec une problématique
  • Viser l’amélioration de la vie des personnes et le changement social
  • Valoriser les forces des membres et des collectivités
  • Respecter et valoriser le partage de connaissances expérientielles
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17
Q

Quelles sont les perspectives possibles de l’entraide en psychologie communautaire?

A
  • Une révolution des consommateurs de soins qui deviennent des producteurs de soins
  • Une alternative à la psychothérapie
  • Une communauté de référence et de partage par et pour les personnes
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18
Q

À quoi réfère un groupe d’entraide? Quelles sont ses caractéristiques?

A
  • Petite structure non-hiérarchique favorisant la participation active
  • Petit groupe qui se rejoigne régulièrement
  • Privilégiant l’aide mutuelle entre pairs et le dialogue en groupe
  • Chaque personne aidé peut devenir aidante
  • Basée sur le partage d’un savoir découlant de l’expérience avec le problème (savoir expérientiel)
  • Dont le leadership repose entre les mains des membres eux-mêmes.
  • Sentiment d’appartenance, les gens partagent les mêmes problématiques.
  • Libre et gratuit
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19
Q

À quoi réfère un groupe de soutien? Quelles sont ses caractéristiques?

A
  • Forme d’organisation des services professionnels et des échanges entre les gens.
  • Alliant connaissances professionnelles et échanges entre membres du groupe :
  • Ces échanges peuvent comprendre de l’entraide sous forme de partage d’expériences
  • Mais de façon générale, la source du savoir et l’existence du groupe dépendent de professionnels.
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20
Q

Est-il possible de distinguer les groupes d’entraide des groupes de soutien?

A

Chaque groupe à son histoire particulière, rarement possible de les regrouper en 2 catégories aussi précise.

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21
Q

Quelles activités sont pratiquées par un groupe d’entraide?

A

Les activités les plus importantes :

  • Rencontres de groupe (face à face / internet) et parrainage
  • Activités éducatives pour les membres et pour le public
  • Exercice de pressions auprès des pouvoirs publics

Les autres activités possibles :

  • Visites à domicile ou à l’hôpital
  • Écoute téléphonique (warm lines : avant la crise, géré par les pairs)
  • Conférences publiques
  • Services concrets (gardiennage, transport, échanges de biens, etc.)
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22
Q

Quelle est la typologie des groupes d’entraide?

A

Les groupes peuvent être uniques et spécifiques, ou organisés en réseaux :

  • Problèmes de dépendance (alcool, drogue, jeu, etc.)
  • Problèmes psychosociaux ou mentaux à long terme (dépression, schizophrénie, etc.)
  • Situations de crise (deuil, divorce, etc.)
  • Perte d’autonomie (de personnes âgées, présentant des déficiences intellectuelles, etc.)
  • Maladies physiques chroniques (cancer, maladies dégénératives, etc.)
  • Situations de remise en question (liée à la vie en général, au genre, à l’âge, etc.)
23
Q

Quels sont les facteurs aidants expliquant que les groupes d’entraides soient aidants?

A
  • Le soutien émotif : empathie, partage les valeurs, accepter, réassure la personne, celle-ci se sent accepter et non stigmatisée
  • La révélation de soi : trouver les mots pour s’exprimer, choses intimes
  • La rencontre de semblables :
    1. comparaison sociale,
    2. apprentissage par l’observation de modèles (anciens membres qui ont réussis), apprentissages des autres
    3. nouer de nouveaux liens.
  • La clarification d’un problème : analyser les antécédents et les conséquences, essayer des solutions avec la rétroaction des autres
  • L’obtention d’information (important dans l’emporwerment), situer le problème dans une phase dans la vie, les ressources etc.
  • La découverte de sens : nouveau sens à leur vie
24
Q

Quels sont les effets positifs possibles des groupes d’entraides?

A
  • Amélioration des symptômes chez les gens qui ont des problèmes chroniques, dépression, dépendance à une substance
  • Réduction des taux de réhospitalisation
  • Diminution de la stigmatisation en modifiant l’attitude des gens et à répondre à la stigmatisation
  • Augmentation et bonification du réseau de soutien
  • Acquisition de nouvelles connaissances ou habiletés
25
Q

Quelle question de valeur se pose sur les effets des groupes d’entraide?

A

Il y a une controverses autour des groupes d’entraide qui prétendent traiter l’homosexualité comme une maladie (ex. Homosexuals Anonymous)

26
Q

Quels sont les défis des groupes d’entraide?

A
  1. Variabilité sur le plan des ressources :
    - Les personnes affichant des problèmes multiples ou défavorisées sur plusieurs plans n’ont pas l’énergie de participer
    - Les milieux ruraux ou les petites villes ne peuvent pas offrir un éventail de groupes spécialisés
  2. Problèmes de continuité, manque de relève
  3. Difficulté du groupe à devenir un groupe d’affiliation et de référence pour des membres
  4. Difficulté financière
  5. Problèmes communs aux regroupements en général
  6. Effets négatifs possibles sur certaines personnes
27
Q

Quelles sont les caractéristiques des ressources dirigées et gérées par les pairs-aidants?

A
  • Une entité juridique autonome qui est dirigée et gérée par des personnes ayant le problème en question
  • Employant habituellement du personnel salarié et des bénévoles
  • Et offrant une grande variété de types de services.
28
Q

Quel est le but de la fonction de soutien des ressources dirigées et gérées par les pairs-aidants?

A

But : favoriser l’accès au logement, à la nourriture, au transport, aux loisirs, aux services.
(ex: regroupement des ressources alternatives en santé mentale du Québec où la mission est de favoriser l’accès à certaines ressources)

29
Q

Quel est le but de la fonction de défense des droits des ressources dirigées et gérées par les pairs-aidants?

A

But : militer contre le traitement psychiatrique obligatoire et involontaire, participer à des tables de concertation sur la planification en santé mentale ou militer pour accéder aux éléments de base de la citoyenneté.
(ex: association des groupes d’intervention en défense des droits)

30
Q

Quels sont les effets des ressources dirigées et gérées par les pairs-aidants?

A
  • Diminution de l’utilisation des services hospitaliers d’urgence et des hospitalisations
  • Amélioration de l’expérience des symptômes psychiatriques
  • Augmentation des réseaux sociaux
  • Amélioration de la qualité de vie
  • Augmentation de l’estime de soi
  • Amélioration du fonctionnement social
31
Q

Nomme 2 exemples du réseau formel d’aide

A
  1. Les travailleurs pairs-aidants

2. Les psychologues

32
Q

Quelles est la définition d’un pair-aidant?

A

personne qui présente ou qui a présenté un problème de santé mental et dont les aptitudes personnelles, professionnelles et la formation de pair-aidant en font un modèle de rétablissement positif pour l’équipe soignante et pour les personnes utilisatrices de services

33
Q

Quelle est la définition d’un travailleur pair-aidant?

A

poste d’intervenant où le fait de s’identifier comme pair ayant présenté un problème de santé mentale est considéré comme un critère essentiel de l’emploi, on doit avoir vécu la problématique et qui s’est inscrit dans une démarche de rétablissement
**Pas besoin d’avoir de formation, mais recommander pour préserver son expertise.

34
Q

Le rétablissement est défini comme une expérience… (5 caractéristiques)

A

o Globale de santé orientée à la fois vers la restauration et la promotion de la santé;
o Relativement courante du moins chez les gens qui sont atteints d’une maladie mentale
o Possible même si des symptômes sont encore présents;
o Unique, la façon de se rétablir varie d’une personne à l’autre
o Favorisée par des conditions de vie décentes en lien avec le logement, les transports etc.

35
Q

Quel est l’un des indicateurs d’une ressource axée sur le rétablissement?

A

La présence de pairs-aidants

36
Q

Quels sont les effets probants pour les aidés du réseau formel d’aide? (6)

A
  • Espoir comme la croyance en un avenir meilleur
  • Reprise du pouvoir d’agir : capacité des gens à surmonter la stigmatisation, nouvelle façon d’agir.
  • Soutien social et fonctionnement social, car souvent l’isolement est une grande problématique.
  • Empathie et reconnaissance réelle acquise par les relations en lien avec le partage
  • Réduction de la stigmatisation
  • Réduction du taux d’admission et maintien dans la communauté
37
Q

Quels sont les effets probants pour les pairs-aidants du réseau formel d’aide?

A

Consolidation et poursuite du rétablissement

38
Q

Quels sont les effets probants pour le réseau de services du réseau formel d’aide?

A
  • Conscientisation : conviction que les pairs aidant peuvent aider les professionnels et les patients donc permet la
  • Réduction de la charge de travail du personnel
39
Q

Quels sont les défis des travailleurs pairs-aidants? (5)

A
  • Expériences négatives vécues dans le système à propos de leur rôle présent d’aidant
  • Se sentir stigmatisé ou traité injustement par ses collègues professionnels
  • Devoir composer avec des limites floues et du double rôle de prestataire de service et de patient
  • Devoir composer avec des politiques de confidentialité et de la révélation d’avoir vécu soi-même un problème de santé mentale
  • Se faire reprocher par ses pairs son statut de salarié
40
Q

Quels sont les prérequis des psychologues et autres intervenants sociaux? (4)

A
  • Ouverture d’esprit et conviction quant au potentiel de l’aide naturelle
  • Connaissances générales (historique, lois, expériences)
  • Connaissances pratiques (ressources, principaux acteurs)
  • Attitudes de respect et d’empathie
41
Q

Quels sont les rôles possibles que les psychologues et les autres intervenants sociaux peuvent avoir auprès des réseaux informels d’aide? (7)

A

o Identifier et soutenir dans le quotidien les personnes jouant le rôle d’aidant naturel dans une communauté.
o Respecter leurs limites.
- Ne donner des formations qu’en cas d’absolue nécessité. Lors de formation, ne pas leur faire perdre confiance en leurs moyens.
- Ne pas survaloriser le savoir d’expert face au savoir profane ou expérientiel.
- Reconnaître leur apport dans la communauté.
- Faire connaître ce type de contribution aux administrateurs en santé.
- Faire en sorte que divers citoyens se reconnaissent et s’impliquent dans un tel rôle.

42
Q

Quels sont les rôles possibles que les psychologues et les autres intervenants sociaux peuvent avoir auprès des groupes d’entraide? (9)

A

o Mettre sur pied ou aider à la mise sur pied d’un groupe d’entraide.
o Se rendre disponible pour conseiller les membres du groupe.
o Offrir de faire de la co-animation (groupes « hybrides »).
o Référer des personnes vers les groupes d’entraide.
- Réévaluer la nécessité de sa présence, et accepter de se retirer.
- Laisser le processus de prise de décision aux mains des membres.
- Fournir de l’information vulgarisée aux groupes d’entraide qui la demande.
- Aider tout en ne prenant pas la responsabilité à la place des membres.
- Respecter l’autonomie du groupe et la confidentialité dans les limites des règles de déontologie professionnelle.

43
Q

Quels sont les rôles possibles que les psychologues et les autres intervenants sociaux peuvent avoir auprès des travailleurs pairs-aidants? (2)

A
  • Prendre en considération les préférences de la personne utilisatrice face au soutien offert par des pairs.
  • Informer la personne utilisatrice sur les services offerts par des pairs disponibles sur le territoire.
44
Q

Vrai ou faux : les groupes d’entraide peuvent être efficaces à aider les personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale chroniques.

A

Vrai

45
Q

Vrai ou faux : En établissement, les pairs-aidants peuvent également offrir des services aux individus ayant un diagnostic de trouble mental.

A

Vrai

46
Q

Vidéo : À l’origine, le projet LETS a été fondé dans quel but et comment cet objectif s’est-il transformé ?

A

i dunno

47
Q

Vidéo : Le suicide d’une adolescente est l’un des événements qui est à l’origine du projet LETS. Selon des données présentées par Mme Kaufman, quels sont les facteurs les plus importants dans la prévention du suicide?

A

Des organismes qui soutiennent les gens, soutiens de proche

48
Q

Vidéo : Expliquer brièvement la métaphore du bébé et de la grenade utilisée par Mme Kaufman pour illustrer la façon dont les institutions académiques perçoivent les étudiants présentant un problème de santé mentale.

A

Les étudiants sont vu comme les bébés qui demande beaucoup et qui ont besoin de beaucoup d’accommodations, qui exagère les symptômes et les bombes sont…

49
Q

Vidéo : Mme Kaufman dénonce ce qu’elle considère comme une culture de surveillance et de gestion du risque présente dans les universités américaines. Cette attitude peut être en partie attribuable à quel événement dramatique ? Expliquer brièvement.

A

Le Virigina Tech crisis, c’est un attentat dans une école

50
Q

Vidéo : Selon Mme Kaufman, qu’est-ce qui affecte le plus les étudiants qui souffrent de problèmes de santé mentale : les symptômes de leurs troubles ou la stigmatisation ?

A

stigmatisation

51
Q

Vidéo : Qu’est-ce que le modèle Peer Mental Health Advocate ou PMHA?

A

C’est un groupe pour les gens qui ont des problèmes mentaux

52
Q

Vidéo : Selon Mental Health America, l’intégration de pair-aidants dans le système de soins peut entraîner un changement de perspective à l’égard des personnes présentant un problème de santé mentale. Expliquer brièvement.

A

i dunno

53
Q

Vidéo : Nommer et définir brièvement les quatre principes qui contribuent à expliquer l’efficacité de la pairaidance.

A

1- Support social
2- L’expérience
3- La théorie de la comparaison sociale
4- La thérapie d’aide principale

Aspects environnementaux et communautaires (5 decks)

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