Cours 5 : Troubles obsessionnels-compulsifs et troubles lié à des traumatismes ou à des facteurs de stress Flashcards

1
Q

Quels sont les critères du trouble obsessionnels-compulsifs (TOC) (4) + spécifier si.

A

A. Présence d’obsessions, de compulsions, ou des deux : Obsessions définies par (1) et (2) :

  1. Pensées, pulsions ou images récurrentes et persistantes qui, à certains moments de l’affection, sont ressenties comme intrusives et inopportunes, et qui entraînent une anxiété ou une détresse importante chez la plupart des sujets.
  2. Le sujet fait des efforts pour ignorer ou réprimer ces pensées, pulsions ou images, ou pour les neutraliser par d’autres pensées ou actions (c.-à-d. en faisant une compulsion).

Compulsions définies par (1) et (2) :

  1. Comportements répétitifs (p. ex. se laver les mains, ordonner, vérifier) ou actes mentaux (p. ex. prier, compter, répéter des mots silencieusement) que le sujet se sent poussé à accomplir en réponse à une obsession ou selon certaines règles qui doivent être appliquées de manière inflexible.
  2. Les comportements ou les actes mentaux sont destinés à neutraliser ou à diminuer l’anxiété ou le sentiment de détresse, ou à empêcher un événement ou une situation redoutés ; cependant, ces comportements ou ces actes mentaux sont soit sans relation réaliste avec ce qu’ils se proposent de neutraliser ou de prévenir, soit manifestement excessifs.

B.Les obsessions ou compulsions sont à l’origine d’une perte de temps considérable (p. ex. prenant plus d’une heure par jour) ou d’une détresse cliniquement significative, ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.

C. Les symptômes obsessionnels-compulsifs ne sont pas imputables aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. une substance donnant lieu à abus ou un médicament) ni à une autre affection médicale.

D. Pas mieux défini par un autre trouble mental (p.ex., soucis excessif du TAG etc.

Spécifier si:
• Bonne ou assez bonne prise de conscience ou insight
• Mauvaise prise de conscience ou insight
• Absence de prise de conscience ou insight/présence de croyances délirantes

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2
Q

TOC : On pourrait voir des __ sans __, mais c’est très rare de voir ___ sans ____

A

Compulsions sans obsessions

Obsession sans compulsions

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3
Q

Vrai ou Faux : En raison de ces particularités, on a séparé le TOC des troubles anxieux.

A

Vrai : Il y a des compulsions, de l’obession, en plus de l’anxiété.

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4
Q

Donnez un exemple d’une action TOC.

A

• Action/comportement : cacher couteau si peur de tuer son conjoint, ce qui diminue l’anxiété lié à l’obsession.

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5
Q

Les gens qui ont des TOC ont des grandes _____ très stricts, sévères.

A
Moralité. 
◦ Surmoi très exigeant
◦ Symptômes physiques
(sommatiques)
‣ compulsions
‣ douleurs intestinals
‣ shakes
◦ Les sx anxieux de l'ordre
du TAG, bcp de dépression
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6
Q

Quels sont les thèmes d’obsession? (7)

A

(1) Contamination (saletés, microbes, sécrétions corporelles, produits chimiques, insectes, substances poisseuses ou collantes, maladie causée par la contamination, etc.)
(2) Perte de contrôle (se faire du mal, mal aux autres, images de violence ou d’horreur, dire des obscénités, comportement qui met dans l’embarras, voler, impulsions agressives, responsable d’un drame, etc.)
(3) Sexuelles (inceste, homosexualité, bestialité, agressivité sexuelle envers d’autres, etc.)
(4) Symétrie, exactitude, ordre (avec ou sans pensée magique)
(5) Collection,accumulation
(6) Religion (blasphème, moralité)
(7) Variées (oublier, ne pas se souvenir ou savoir, égarer des choses, exactitude des mots, dérangement par des bruits ou mots, superstitions)

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7
Q

Donnez la différence entre une obsession égodystones ou égosyntones.

A

(1) Egodystones = vont à l’encontre des valeurs • P.ex., peur de poignarder son partenaire

(2) Égosyntones = en concordances avec les valeurs et les croyances
• P.ex., se laver les mains pour par attraper de maladie: « vois-tu, je me lavais déjà les mains et je n’ai pas attraper le covid… ceux qui l’ont attrapé ne le faisais probablement pas »
• Plus complexe à traiter lorsque c’est égosyntone.

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8
Q

Quels sont les thèmes de compulsions? (8)

A

(1) Lavage/nettoyage (mains, rituel de toilette, objets)
(2) Vérification (portes, serrures, cuisinière, appareils ménagers, rien ne fait du tort à
soi ou autres, pas d’erreur commise)
(3) Répétition (relire, réécrire, répéter des actions)
(4) Compter
(5) Ordre/rangement
(6) Collection
(7) Rituels mentaux
(8) Comportements superstitieux

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9
Q

Quels sont les deux types de compulsions?

A

(1) Manifestes (comportements observables) • Lavage des mains excessifs
• Ranger et ordonner
• Etc.

(2) Discrètes (actions mentales)
• Compter
• Ruminer
• Etc.

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10
Q

Prévalence du TOC :

(1) V ou F : USA : 10%
(2) V ou F : Un peu plus de femmes que d’hommes
(3) Âge d’apparition moyen : 14 ans.

A
  1. Faux. 1,2%
  2. Vrai
  3. Faux, 19,5 ans.
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11
Q

Quelles sont les différences liées au sexe quant à la prévalence des TOC?

  • Contamination
  • Thèmes sexuels et symétriques
A

• Davantage d’obsessions de contamination chez les femmes

• Davantage d’obsessions de thèmes sexuels et symétriques chez
les hommes

Pourquoi? Femme plus verbal et homme plutôt non-verbal (Hypothèse lié à notre histoire, femme à la maison, ménage)

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12
Q

Quels sont les facteurs de risques du TOC ? (3)

A

(1) Tempérament
• Émotionnalité négative à l’enfance (irritable, colérique, etc.)
• Inhibition comportementale à l’enfance (fait pas ça c’est pas correct)
• Symptômes internalisés à l’enfance
(Enfants qui s’expriment peu, sx physique et
compulsions pour s’autoréguler pour diminuer les sx.)

(2) Environnement
• Abus sexuels, événement stressant ou traumatique à l’enfance

(3) Génétique et physiologique
• Facteurs génétiques (10x plus avec parents 1er degré ayant un TOC)
• Dysfonctionnement cortex orbitofrontal, cortex cingulaire antérieur
et striatum

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13
Q

Quels sont les caractéristiques de la pharmacologie lié au TOC ? (4)

A

(1) Lorsque le TOC est léger = pas toujours rx

(2) Constitué d’antidépresseurs
• ISRS = plus efficaces et plus prescrits
• Souvent dose dans les cas TOC est plus élevés que dans les autres
troubles anxieux (rx prendrait plus de temps à faire effet, la sx diminue moins)

(3) Lorsque le patient est très anxieux on peut voir aussi une benzodiazépine en ajout à l’antidépresseur
(4) Parfois antipsychotique lorsque tics concomitants ou symptômes psychotiques
- ça diminue mais ne traite pas, d’où importance psychothérapie.

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14
Q

Décrivez le modèle du TCC du TOC.

A

Un élément déclencheur provoque une obsession, qui a son tour provoqué une interprétation (induisant de l’anxiété) qui provoque une compulsion et on retour à l’obession. L’effet chameau se trouver entre la compulsion et l’obsession.

EXEMPLE D’UNE FILLE QUI A PEUR DE TUER SON CHUM :
(1) Déclencheur : contrarié que son chum a
pas fait la vaiselle
(2) Obsession : Je veux tuer mon chum
‣ Arguments qui appuient : j’ai déjà tué mon chat quand j’étais jeune. Des fois j’ai des images mentales de poignarder.
(3) Interprétation : je suis dangereuse, probablement une psychopathe. Je vais me ramasser en prison si je fais ça.
(4) Anxiété : Bouffé de chaleur, panique. Sx de panique. Inconfortable dans mon corps
(5) Compulsions : Cacher les couteaux. Dire à son chum d’aller se cacher aux toilettes lorsqu’elle est en colère.

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15
Q

Quel est le but du traitement des toc en TCC?

A

Le traitement est de prévenir les compulsions pour modifier les croyances vs d’agir sur les pensées intrusives.
◦ Le but est de montrer à la personne que ce n’est pas grave d’être en colère et d’avoir des pensées comme ça, le but c’est de ne pas agir dessus.

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16
Q

Décrire l’effet chameau.

A

◦ C’est difficile ou imossible d’arrêter de

penser à qqchose sur demande. Il faut contrer l’effet chameau.

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17
Q

Décrire le modèle TBI du TOC.

A
On vient travailler le doute.
◦ On amène la personne à prendre
conscience du moment où la colère monte ; à ce moment là, on fait un choix
      ‣ Faire la compulsion ou non. 
◦ Le doute est la dans la moment.
◦ Le toc craint le moment présent.

Un déclencheur (pensée situation qui attire l’attention) provoque le doute (doute que tout est correct) qui provoque des conséquences imagininées (si tout n’est pas correct = conséquences négatives) qui provoque de l’anxiété qui provoque une action compulsive (sentiment de devoir agir)

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18
Q

Quels sont les traitements du toc ? (4)

A
(1) TCC : 
• Éducation psychologique 
• Exposition cognitive
• Exposition in vivo avec prévention de la réponse (exposer le patient à ne pas faire la compulsion) 
• Restructuration cognitive
• Prévention de la rechute

(2) ACT – défusion cognitive
(3) Thérapie basée sur les inférences (TBI)
(4) Thérapie psychodynamique

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19
Q

Quels sont les critères d’une obsession d’une dysmorphie corporelle (4) ?

A

A. Préoccupation excessive pour une imperfection ou défaut de l’apparence physique peu ou pas apparent pour autrui
- p.ex., bouton, quelques choses d’anodin (pas une grosse déformation liée à un accident ou autres).

B. Comportements répétitifs (vérification dans le miroir, toilette excessive, excoriation de la peau, recherche de réassurance) ou actes mentaux (comparaison)

C. Détresse significative, altération du fonctionnement social, professionnel ou autre

D. Ne s’explique pas par un autre trouble

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20
Q

Quels sont les «spécifier si » de l’obsession d’une dysmorphie corporelle. (4)

A

(1) Avec peur dysmorphie musculaire
• Idée que son corps est trop mince ou pas suffisamment musclé

(2) Avec bonne ou assez bonne prise de conscience
• Reconnait que ses croyances ne correspondent certainement ou probablement pas à la réalité, ou qu’elles pourraient être vraies ou fausses

(3) Mauvaise prise de conscience
• Ses croyances correspondent probablement à la réalité

(4) Absence de prise de conscience avec idées délirantes
• Convaincu que ses croyances sont vraies

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21
Q

Quels sont les thèmes de préoccupation d’une obsession d’une dysmorphie corporelle? (5)

A
  • Apparence de la peau
  • Cheveux et poils
  • Parties du corps
  • Organes génitaux
  • Symétrie
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22
Q

Quels sont les types de compulsions qu’une personne atteinte d’une obsession d’une dysmorphie corporelle pourrait faire? (7)

A
  • Vérifications excessives (miroir, toucher)
  • Toilette (rasage, coiffure, épilation)
  • Camouflage (maquillage, vêtements)
  • Réassurance
  • Achats compulsifs (cosmétiques, vêtements)
  • Recherche de solutions cosmétiques ou chirurgicales
  • Traitements dermatologiques et chirurgies
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23
Q

Le avec spécificateur dysmorphie musculaire… Vrai ou Faux.

(1) Presque exclusivement masculin
(2) De musculation normale ou développée
(3) Diètes, exercices, levers de poids
(4) Utilisation de stéroïdes anabolisants

A

Tous vrai

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24
Q

Prévalence de l’obsession d’une dysmorphie corporelle.

(1) Vrai ou Faux : USA: 12%
(2) Patients dermatologie: __ et __%
(3) Vrai ou Faux : Patients chirurgie esthétique: 7-8%
(4) Vrai ou Faux : Patients chirurgie orthodontique: 8%
(5) Vrai ou Faux : Patients chirurgie maxillo-faciale: 6%

A
  1. Faux. 2,4%
  2. 9-15%
  3. Vrai
  4. Vrai
  5. Faux 10%
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25
Q

Quels sont les facteurs de risque de l’obsession d’une dysmorphie corporelle (3) ?

A

(1) Environnement
• Négligence et abus à l’enfance
- Génération, tendance, mode

(2) Génétique et physiologique
• Parent de 1er degré avec TOC

(3) Comorbidité
• Dépression majeure
• Trouble anxiété sociale
• Abus substance

26
Q

Quels sont les critères de la thésaurisation pathologique (sillogomanie) (5) ?

A

A. Difficulté persistante à jeter ou se séparer de certains objets indépendamment de leur valeur réelle

B. Besoin ressenti de conserver les objets et souffrance associée au fait de les jeter

C. Accumulation d’objets qui envahissent et encombrent les lieux d’habitation compromettant de manière importante leur fonction première

D. Détresse cliniquement significative ou dysfonctionnement social, professionnel ou autre (maintien d’un environnement sécuritaire pour soi ou les autres)

E. Ne s’explique pas par un autre trouble

27
Q

Quels sont les «spécifier si» de la Thésaurisation pathologique (sillogomanie)? (4)

A

(1) Avec acquisitions excessives
• Acquisitions excessives d’objets qui ne sont pas nécessaires ou pour lesquels il n’y a pas d’espace disponible

(2) Avec bonne ou acceptable prise de conscience
• Reconnait que ses croyances et comportements posent problème

(3) Mauvaise prise de conscience
• La plupart du temps convaincu que ses croyances et comportements ne
posent pas de problèmes en dépit de preuves du contraire

(4) Absence de prise de conscience avec idées délirantes
• Totalement convaincu que ses croyances et comportements ne posent pas
de problème en dépit de preuves du contraire

28
Q

Prévalence thésaurisation pathologique :

a. V ou F : USA et Europe 15%
b. V ou F : Légèrement plus d’hommes que de femmes

A

a. Faux 2-6%

b. Vrai

29
Q

Quelles sont les comorbidité possible avec la thésaurisation pathologique (sillogomanie)? (4)

A
  • Dépression majeure (50%)
  • Trouble d’anxiété sociale
  • Trouble d’anxiété généralisée
  • Trouble obsessionnel-compulsif (20%)
30
Q

Quels sont les critères de la Tricotillomanie ? (5)

A

A. Arrachage répété de ses propres cheveux aboutissant à une perte de cheveux

B. Tentative répétée de réduire ou d’arrêter l’arrachage

C. Détresse cliniquement significative ou altération du fonctionnement social, professionnel ou autre

D. Ne s’explique pas par une autre affection médicale

E. N’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental

31
Q

Quels sont les types de poils arraché dans la Tricotillomanie ? (5)

A
  • Cheveux
  • Cils
  • Sourcils
  • Poils pubiens et péri-rectaux
  • Poils du visage
32
Q

Vrai ou Faux : il y a un rituel pour l’arrachage, mais pas de rituel avec le poil arraché.

A

Faux. Il y a un rituel pour les deux.

33
Q

Nommez des émotions qui peuvent être associé selon les étapes de la Tricotillomanie?

A

anxiété ou ennui, tension ou pulsion, plaisir, soulagement, culpabilité

34
Q

Quel est le traitement de la Tricotillomanie et Dermatillomanie?

A

Similaire au traitement du TOC.

  • Envie irrésistible qui s’apparente à une impulsion
  • Aider à contenir l’obsession
  • Prise de conscience des déclencheurs (p.ex., ennuie)
  • Principalement des interventions comportementales
    * Prévention de la réponse
35
Q

Quels sont les critères du Trouble stress-post-traumatique (TSPT) ? (8)

A

A. Exposition à la mort effective ou à une menace de mort, à une blessure grave ou à des violences sexuelles ou qui menace l’intégrité de la personne d’une (ou de plusieurs) des façons suivantes :
1. En étant directement exposé à un ou à plusieurs événements traumatiques.
2. En étant témoin direct d’un ou de plusieurs événements traumatiques survenus à d’autres
personnes.
3. En apprenant qu’un ou plusieurs événements traumatiques sont arrivés à un membre de la
famille proche ou à un ami proche. Dans les cas de mort effective ou de menace de mort d’un membre de la famille ou d’un ami, le ou les événements doivent avoir été violents ou accidentels.
4. En étant exposé de manière répétée ou extrême aux caractéristiques aversives du ou des événements traumatiques (p. ex. intervenants de première ligne rassemblant des restes humains, policiers exposés à plusieurs reprises à des faits explicites d’abus sexuels d’enfants).

N.B. : Le critère A4 ne s’applique pas à des expositions par l’intermédiaire de médias électroniques, télévision, films ou images, sauf quand elles surviennent dans le contexte d’une38 activité professionnelle.

B. B. Présence d’un (ou de plusieurs) des symptômes envahissants suivants associés à un ou plusieurs événements traumatiques et ayant débuté après la survenue du ou des événements traumatiques en cause :
1. Souvenirs répétitifs, involontaires et envahissants du ou des événements traumatiques
provoquant un sentiment de détresse.
2. Rêves répétitifs provoquant un sentiment de détresse dans lesquels le contenu et/ou l’affect
du rêve sont liés à l’événement/aux événements traumatiques.
3. Réactions dissociatives (p. ex. flashbacks [scènes rétrospectives]) au cours desquelles le
sujet se sent ou agit comme si le ou les événements traumatiques allaient se reproduire. (De telles réactions peuvent survenir sur un continuum, l’expression la plus extrême étant une abolition complète de la conscience de l’environnement.)
4. Sentiment intense ou prolongé de détresse psychique lors de l’exposition à des indices internes ou externes évoquant ou ressemblant à un aspect du ou des événements traumatiques en cause.
5. Réactions physiologiques marquées lors de l’exposition à des indices internes ou externes pouvant évoquer ou ressembler à un aspect du ou des événements traumatiques.

C. Évitement persistant des stimuli associés à un ou plusieurs événements traumatiques, débutant après la survenue du ou des événements traumatiques, comme en témoigne la présence de l’une ou des deux manifestations suivantes :

  1. Évitement ou efforts pour éviter les souvenirs, pensées ou sentiments concernant ou étroitement associés à un ou plusieurs événements traumatiques et provoquant un sentiment de détresse.
  2. Évitement ou efforts pour éviter les rappels externes (personnes, endroits, conversations, activités, objets, situations) qui réveillent des souvenirs des pensées ou des sentiments associés à un ou plusieurs événements traumatiques et provoquant un sentiment de détresse.

D. Altérations négatives des cognitions et de l’humeur associées à un ou plusieurs événements traumatiques, débutant ou s’aggravant après la survenue du ou des événements traumatiques, comme en témoignent deux (ou plus) des éléments suivants :
1. Incapacité de se rappeler un aspect important du ou des événements traumatiques (typiquement en
raison de l’amnésie dissociative et non pas à cause d’autres facteurs comme un traumatisme crânien,
l’alcool ou des drogues).
2. Croyances ou attentes négatives persistantes et exagérées concernant soi-même, d’autres personnes
ou le monde (p. ex. : « je suis mauvais », « on ne peut faire confiance à personne », « le monde
entier est dangereux », « mon système nerveux est complètement détruit pour toujours »).
3. Distorsions cognitives persistantes à propos de la cause ou des conséquences d’un ou de plusieurs
événements traumatiques qui poussent le sujet à se blâmer ou à blâmer d’autres personnes.
4. État émotionnel négatif persistant (p. ex. crainte, horreur, colère, culpabilité ou honte).
5. Réduction nette de l’intérêt pour des activités importantes ou bien réduction de la participation à ces
mêmes activités.
6. Sentiment de détachement d’autrui ou bien de devenir étranger par rapport aux autres.
7. Incapacité persistante d’éprouver des émotions positives (p. ex. incapacité d’éprouver bonheur,
satisfaction ou sentiments affectueux). 41

E. Altérationsmarquéesdel’éveiletdelaréactivitéassociésàunou plusieurs événements traumatiques, débutant ou s’aggravant après la survenue du ou des événements traumatiques, comme en témoignent deux (ou plus) des éléments suivants :

  1. Comportement irritable ou accès de colère (avec peu ou pas de provocation) qui s’exprime typiquement par une agressivité verbale ou physique envers des personnes ou des objets.
    1. Comportement irréfléchi ou autodestructeur.
  2. Hypervigilance.
  3. Réaction de sursaut exagérée.
  4. Problèmes de concentration.
  5. Perturbation du sommeil (p. ex. difficulté d’endormissement ou sommeil interrompu ou agité).

F. La perturbation (symptômes des critères B, C, D et E) dure plus d’un mois.

G. La perturbation entraîne une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.

H. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. médicament, alcool) ou à une autre affection médicale.

36
Q

Nommer les spécifications du Trouble stress-post-traumatique (TSPT).

A

(1) Spécifier le type :
- Avec symptômes dissociatifs : Les symptômes présentés par le sujet répondent aux critères d’un trouble stress post-traumatique ; de plus et en réponse au facteur de stress, le sujet éprouve l’un ou l’autre des symptômes persistants ou récurrents suivants :
1. Dépersonnalisation : Expériences persistantes ou récurrentes de se sentir détaché de soi, comme si l’on était un observateur extérieur de ses processus mentaux ou de son corps (p. ex. sentiment d’être dans un rêve, sentiment de déréalisation de soi ou de son corps ou sentiment d’un ralentissement temporel).
2. Déréalisation : Expériences persistantes ou récurrentes d’un sentiment d’irréalité de l’environnement (p. ex. le monde autour du sujet est vécu comme irréel, onirique, éloigné, ou déformé).

(2) Spécifier si :
- À expression retardée : Si l’ensemble des critères diagnostiques n’est présent que 6 mois après l’événement (alors que le début et l’expression de quelques symptômes peuvent être immédiats).

37
Q

Quels sont les critères du trouble stress aigu? (5)

A

A. Exposition à la mort effective ou à une menace de mort, à une blessure grave ou à des violences sexuelles d’une (ou de plusieurs) des façons suivantes :
1. En étant directement exposé à un ou à plusieurs événements traumatiques.
2. En étant témoin direct d’un ou de plusieurs événements traumatiques survenus à d’autres
personnes.
3. En apprenant qu’un ou plusieurs événements traumatiques sont arrivés à un membre de la
famille proche ou à un ami proche. Dans les cas de mort effective ou de menace de mort d’un membre de la famille ou d’un ami, le ou les événements doivent avoir été violents ou accidentels.
4. En étant exposé de manière répétée ou extrême aux caractéristiques aversives du ou des événements traumatiques (p. ex. intervenants de première ligne rassemblant des restes humains, policiers exposés à plusieurs reprises à des faits explicites d’abus sexuels d’enfants).
N.B. : Le critère A4 ne s’applique pas à des expositions par l’intermédiaire de médias électroniques, télévision

B. B. Présence de neuf (ou plus) des symptômes suivants de n’importe laquelle des cinq catégories suivantes : symptômes envahissants, humeur négative, symptômes dissociatifs, symptômes d’évitement et symptômes d’éveil, débutant ou s’aggravant après la survenue du ou des événements traumatiques en cause :

  • Symptômes envahissants**
    1. Souvenirs répétitifs, involontaires et envahissants
    2. Rêves répétitifs provoquant détresse
    3. Réactions dissociatives (flashbacks)
    4. Détresse psychologique à des stimuli internes ou externes
  • Humeur négative**
    5. Incapacité persistante à éprouver des émotions négatives
  • **Symptômes dissociatifs**
    6. Sens altéré de la réalité et l’environnement
    7. Incapacité à se rappeler un aspect important
  • **Symptômes d’évitement**
    8. Efforts pour éviter les souvenirs, pensées ou sentiments associés
    9. Effort pour éviter les stimuli
  • Symptômes d’éveil*
    10. Perturbation du sommeil
    11. Comportement irritable ou accès de colère
    12. Hypervigilance
    13. Difficultés de concentration
    14. Réaction de sursaut exagéré

C. La durée de la perturbation (des symptômes du critère B) est de 3 jours à 1 mois après l’exposition au traumatisme.

N.B. : Les symptômes débutent typiquement immédiatement après le traumatisme mais ils doivent persister pendant au moins 3 jours et jusqu’à 1 mois pour répondre aux critères diagnostiques du trouble.

D.La perturbation entraîne une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.

E. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. médicament, alcool) ou à une autre affection médicale.

38
Q

Différence et ressemblance entre critères du trouble stress aigu et PTSD.

A
  • Même critère A

- Le critère B du trouble stress aigu et comme les critère BCDEF du PTSD

39
Q

Vrai ou Faux : Près de 90% vivront au moins un événement traumatique ou profondément bouleversan

A

Vrai.

40
Q

Quels sont les événements traumatiques les plus prévalent? (5)

A
  • Annonce de la mort soudaine et imprévisible d’un proche (60% des gens)
  • Agression physique subie (40%)
  • Assister à la mort ou une blessure grave d’une autre personne (29%)
  • Accident de véhicule grave (28%)
  • Désastre naturel (17%)
41
Q

Prévalence du TSPT :

(1) V ou F : Canada: 9,2%
(2) V ou F : USA: 13,7%
(3) Plus fréquent chez les _____ (9x +)
(4) Plus élevé dans les ____ à haut risque

A
  1. V
  2. F. 8,7%
  3. Femmes
  4. Emploi à haut risque (militaires, policiers, pompiers,
    paramédics)
42
Q

Quels sont les événements traumatiques causant un TSPT les plus fréquents au Canada? (3)

A

(1) Mort inattendue d’un proche
(2) Agression sexuelle
(3) Voir quelqu’un gravement blessé ou tué

43
Q

Données sur la nature des traumas.

(1) 13 % des femmes = victime de viol ____
(2) __% des femmes utre type d’AS (tentative de viol, contact non désiré, molestation) (Resnick et al., 1993)
(3) V ou F : 55% des femmes victimes d’une forme d’AS depuis l’âge de 16 ans (Statistique Canada, 1993)
des femmes
(4) V ou F : 32 à 65% des victimes de viols développent un TSPT

A

(1) Grave
(2) 14
(3) Faux. 39%
(4) Vrai.
(4)

44
Q

Quelle raison les femmes et les hommes se différencie pour le diagnostic de TSPT?

A

(1) Homme :
Combat militaire (29%);
Témoin de mort (25%)

(2) Femme:
Viol (30%);
Agression sexuelle (19%)

45
Q

Comorbidité : Lorsqu’on a un dx de TSPT, on a __% de risque de présenter au moins un autre trouble. Quels sont ces troubles? (4)

A

(1) 80%
(2) • Dépression
• Abus d’alcool
• Abus de substances
• Trouble de la personnalité
- Le trouble de la personnalité (souvent TPL) peut amener la personnes à avoir moins tendance à être moins conscient, surtout dans le clivage. Ainsi, ils peuvent se mettre et se retrouver dans des situations plus à risque.

46
Q

Prévalence du trouble stress aigu :
V ou F :

  1. Accidents de voiture: 13-21%
  2. Lésion cérébrale traumatique légère: 14%
  3. Agression physique: 60%
  4. Brûlures graves: 10%
  5. Accidents industriels: 10-12%
  6. Traumatisme interpersonnels (agression, viol, fusillade de masse): 20 à 50%
A
  1. V
  2. V
  3. Faux 19%
  4. V
  5. F. 6-12%
  6. V
47
Q

Quelles sont les facteur de risque PRÉ-TRAUMATIQUE (prédisposant) associé à un troubles liés à un traumatisme. (2)

A

(1) Tempéramentaux et génétiques
• Problèmes émotionnels antérieurs
• Troubles mentaux antérieurs (trouble anxieux, dépression, TOC)

(2) Environnementaux
• Milieu socio-économique et scolarité plus basse (associé à + de problèmes de santé mentale)
• Conditions défavorables dans l’enfance (famille dysfonctionnelle,
séparation des parents,
• Faible support social

48
Q

Quelles sont les facteur de risque PÉRI-TRAUMATIQUE (déclencheur) associé à un troubles liés à un traumatisme. (1)

A
(1) Environnementaux
• Sévérité du trauma
• Réactions dissociatives lors du trauma
• Être le responsable de la violence (militaire, policier, etc.)
• Menace à la vie

-L’horreur présent lors de l’événement de même que les aspects imprévisibles et incontrôlables peuvent rende encore plus dévastateur et entrainer + de séquelles (Brillon, 2017)

49
Q

Quelles sont les facteur de risque POST-TRAUMATIQUE (maintien) associé à un troubles liés à un traumatisme. (2)

A

(1) Tempéramentaux
• Stratégies d’adaptation inadéquates
• Développement d’un trouble de stress aigu
• Évaluation négative de soi

(2)Environnementaux
• Faible support social
• Exposition à des rappels répétés bouleversants
• Événements de vie défavorables (séparation, difficultés financières, etc.)

50
Q

Quelles sont les deux modèles de compréhension des troubles liés à un traumatisme ?

A

(1) Modèle de conditionnement de Mowrer

(2) Modèle d’Horowitz

51
Q

Qu’est-ce que le modèle de conditionnement de Mowrer?

A

(1) Conditionnement classique
• Stimuli neutre + trauma = conditionnement aversif
-Stimulus neutre : barbe homme, car agresseur avait barbe

(2) Conditionne opérant
• Évitement = renforcement négatif
• Modèle permettant d’expliquer les réactions anxieuses des victimes à des stimuli inoffensifs -> exposition
- Traitement : exposition avec gestion de la réponse

52
Q

Qu’est-ce que le Modèle d’Horowitz?

A

(1) Sx post-traumatiques = réactions au nombre excessifs de données que constitue l’expérience traumatique
• Incapacité de la victime d’intégrer adéquatement ces nouvelles informations au sein de ses schémas cognitifs antérieurs (sur soi, les autres, le monde)
• Tendance intrinsèque à l’individu de traiter l’information tant que ce n’est pas intégré

(2) La résorption des sx dépend de l’intégration de l’expérience traumatique
• Mais peut s’avérer incompatible avec la représentation que se fait la victime de soi, des autres et du monde

(3) Avant l’intégration: les données de l’événement demeurent dans l’inconscient avec retour dans la conscience (souvenirs; ruminations; cauchemars) -> processus normal = pensées intrusives diminuent en fréquence et en intensité

NOTES : • p.ex., se faire battre dans une rue à montréal. Si je pensais que les gens à Montréal sont si gentils, il va y avoir un conflit entre ce que je pensais du monde et l’événements, donc je vais souvent resasser l’événement.

53
Q

Décrire les caractéristiques de la pharmacothérapie en TSPT.

A

Utilie pour la diminution des sx thymiques et l’hypervigilence :
• Antidépresseurs sont les premières lignes du traitement pharmacologique du
TSPT (Katzman et al., 2014)
• On ne recommande pas les Benzodiazépines.
- Sont pourtant souvent prescrites
- Pourraient diminer les bénéfices des exercices d’exposition
- p.ex, ça entre encore dans une technique d’évitement et on veut que le patient s’expose.

54
Q

Quels sont les traitements du TSPT ? (2)

A

(1) TCC
• Éducation psychologique
• Travail des émotions reliées au TSPT • Travail des pensées reliées au TSPT • Faciliter la détente et l’apaisement
• Exposition in vivo graduelle
• Exposition au souvenir du trauma
• Favoriser la digestion émotionnelle du trauma
• Prévention de la rechute et maintien des acquis

(2) Autres approches pertinentes
• EMDR
• Thérapie psychodynamique

55
Q

Vrai ou Faux : N’importe quel psychologue peut faire le traitement du tspt.

A

Faux. Très difficile de faire ce traitement. Pas tous les psychologues qui peuvent le faire. Très dangereux d’empirer les sx.

56
Q

Qu’est-ce que l’exposition au souvenir du trauma?

A

Tant qu’on essaie d’éviter les images traumatisante, elles vont revenir constamment. La personne est pris avec ça. On s’expose pour s’habituer de façon
systématique. Le souvenir ne va jamais devenir heureux, mais on va pouvoir en parler sans douleurs.

57
Q

Quels sont les critères du trouble de l’adaptation ? (5)

A

A. Symptômes émotionnels ou comportementaux en réponse à un ou plusieurs facteurs de stress indentifiables dans les trois mois suivants l’exposition aux facteurs de stress
-Facteur de stress : nouveau travail, séparation, un changement de gestionnaire, nouveau mandat, déménagement…

B. Symptômes ou comportements cliniquement significatifs selon au moins un des éléments suivants

  1. Détresse marquée hors de proportion par rapport à la gravité ou l’intensité du facteur de stress, compte tenu du contexte externe et des facteurs culturels
  2. Altération significative du fonctionnement social, professionnel ou autre domaine

C. Ne répond pas au critère d’un autre trouble ou n’est pas une exacerbation d’un autre trouble

D. Les symptômes ne sont pas ceux d’un deuil normal

E. Une fois le facteur stress ou ses conséquences terminées, les symptômes ne persistent pas au-delà d’une période additionnelle de 6 mois
• P.ex., quelques semaines après l’arrêt de travail, les sx dépressifs sont résorbés. On fait alors référence à un trouble de l’adaptation.

58
Q

Quels sont les « spécifier si » du trouble de l’adaptation? (6)

A

1, 2 et 3 : Les plus communs. Souvent vu avec arrêt de travail/burn out

(1) Avec humeur dépressive: baisse de l’humeur, larmoiement,
sentiment de désespoir au premier plan

(2) Avec anxiété: nervosité, inquiétudes, énervement au premier plan
(3) Mixte avec humeur dépressive et anxiété
(4) Avec perturbation des conduites
(5) Avec perturbation mixtes des émotions et des conduites
(6) Non spécifié

59
Q

La prévalence du trouble de l’adaptation est de __ à 20% selon la population étudiée.

A

5%

60
Q

Vrai ou Faux : Le TOC est le diagnostic le plus fréquent dans les consultations en hôpital psychiatrique,
atteignant souvent 50%.

A

FAUX. C’est le trouble de l’adaptation.

61
Q

Comment faire un diagnostic différentiel entre le trouble de l’adaptation et la dépression majeure?

A

(1) Comment différencier dépression caractérisée et trouble de l’adaptation? Sx de stress qui perdurent lorsque le stresseur n’est plus présent = dépression.
(2) Si le diagnostic de dépression majeure est rencontré, le diagnostic de trouble de l’adaptation est non-applicable
(3) MAIS, si ça ne correspond pas parfaitement au trouble dépressif caractéristique, on pourrait dire trouble de l’adaptation (si facteur de stress).

62
Q

Comment différencier le trouble de l’adaptation du trouble stress post-traumatique et trouble stress aigu? (2)

A

(1) Trouble de l’adaptation diagnostiqué si les critères ne sont pas tous rencontrés
(2) Trouble de l’adaptation si l’individu n’a pas été exposé au trauma mais présente des symptômes de stress aigu ou post-traumatique (Facteur A du PTSD. Si on a pas d’exposition à un traumatisme qui répond au critère A.)