Cours 5 - Les attributions Flashcards

1
Q

Une attribution correspond à une explication _______ d’un événement.

a) objective,
b) subjective.

A

b) Il s’agit d’une explication subjective.

En effet, les gens peuvent tous avoir des explications différentes pour un même événement.

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2
Q

Vrai ou faux :

Les différences entre les attributions d’une situation peuvent mener à des conséquences distinctes.

A

Vrai

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3
Q

Comment défini-t-on le concept de l’attribution (4 caractéristiques) :

A
  1. Les explications que l’on donne ou les raisons que l’on attribue aux événements,
  2. Une inférence ayant pour but d’expliquer pourquoi un événement a eu lieu,
    (Inférer : tirer une conclusion)
  3. Implique le comportement de soi ou d’autrui,
  4. Explication subjective.
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4
Q

Pourquoi faire des attributions ? (x4) :

A
  1. Comprendre le monde autour de nous et faire du sens avec les stimuli sociaux,
  2. Prévenir les événements et expliquer des événements inattendus,
  3. Prévenir les échecs futurs et excuser notre comportement (plutôt stratégique),
  4. Exprimer nos perceptions du monde aux autres.
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5
Q

Selon le manuel, il existe trois catégories d’attributions, lesquelles sont-elles ?

A
  1. Attributions de causalité (recherche des causes d’un événement).
  2. Attributions dispositionnelles (déterminer dans quelle mesure l’action qui a été accomplie par un individu nous permet d’inférer des caractéristiques à celui-ci).
  3. Attributions de responsabilité (blâme).
    (p.140)
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6
Q

Quelles sont les 4 dimensions attribuables à chaque attribution ?

A
  1. Lieu de causalité (interne/externe),
  2. Stabilité (stable, instable),
  3. Contrôlabilité (contrôlable, incontrôlable),
  4. Niveau de généralité (global, spécifique).
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7
Q

À quoi correspond la dimension «lieu de causalité »?

A

Elle permet de distinguer la perception de l’origine de la cause de l’action. Elle est soit :

  • Interne : dû à la personne,
  • Externe : dû à la situation, la chance, les autres, etc.
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8
Q

À quoi correspond la dimension «stabilité »?

A
  • Instable : qui pourrait changer éventuellement,
  • Stable : risque peu de changer à l’avenir.
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9
Q

À quoi correspond la dimension « contrôlabilité »:

A
  • Contrôlable : élément contrôlable par l’attributeur,
  • Incontrolable : élément incontrôlable par l’attributeur.
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10
Q

À quoi correspond la dimension «niveau de généralité » :

A
  • Globale : si elle perçue comme récurrente d’une situation à l’autre.
  • Spécifique : si elle ne concerne qu’une situation bien précise.
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11
Q

Quels sont les avantages d’avoir différentes dimensions pour les d’attributions ?

A

Permet de classer et de comparer les différences.

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12
Q

Comment mesure-t-on les attributions ? (x2)

A

Deux possibilités :

  • Causal dimension scale CDS (Russell 1982) :
    Permet de mesurer les dimensions sous-jacentes aux attributions (12 énoncés).
  • Attributional style questionnaire ASQ (Peterson & Seligman, 1984) :
    Permet de mesurer le style attributionnel d’une personne à partir de situations hypothétiques.
    (p.142)
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13
Q

Quels sont les deux types de théories de l’attribution ?

A
  1. Les théories de l’attribution : postulent la nature des processus qui MÈNENT à la formation d’attributions.
  2. Les théories attributionnelles : PRÉDISENT et EXPLIQUENT la nature des conséquences découlant de l’émission de différentes attributions.

(p.145)

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14
Q

Quels sont les trois principes sur lesquels reposent la théorie des inférences correspondantes ?

A
  1. Elle ne s’intéresse qu’aux attributions faites par un observateur (acteur).
  2. Ils se limitent uniquement aux attributions de type dispositionnel (comme trait de personnalité de l’acteur).
  3. Ils analysent les attributions faites à partir d’UNE seule observation.
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15
Q

Si l’observateur perçoit l’action comme un élément résultant d’une seule disposition de l’acteur, le comportement possède alors un ______ degré de correspondance.

a) haut
b) faible

A

a) haut (car le comportement correspond à la disposition inférée).

p.146

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16
Q

À quoi correspondent les attributions dispositionnelles et que permettent-elles de faire ?

A

Les attributions dispositionnelles (internes) nous permettent de connaitre et d’inférer la personnalité d’une autre personne.

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17
Q

Quelles sont les 3 facteurs que propose la théorie comme déterminants de l’attribution de correspondance :

A
  1. Désirabilité sociale,
  2. Effets distinctifs,
  3. Choix.
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18
Q

Quelle est la particularité avec le déterminant « choix » de la théorie de l’attribution de correspondance ?

A

Il représente un genre de « préalable ». Dans la mesure ou l’individu a accompli l’action en toute libert, il est possible de passer à l’analyse des deux autres facteurs ( désidérabilité sociale et effets distinctifs) afin de déterminer s’il y a correspondance. (p.146)

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19
Q

Selon le manuel, à quoi correspond le biais de correspondance ?

A

La tendance à accentuer l’impact du rôle de l’acteur dans l’émission de son comportement et à négliger l’influence de la situation (p.146).

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20
Q

Quel est le principe central de la théorie de la correspondance ?

A

LA CORRESPONDANCE (Est-ce que le comportement correspond à qqchose d’interne?)

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21
Q

À quoi correspond la désidérabilité sociale ?

A

La tendance qui consiste à vouloir se présenter sous un jour favorable devant les autres.

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22
Q

Complète :
Plus un comportement est adopté en accord avec une norme de désirabilité sociale, ________ l’observateur peut faire une attribution de correspondance.

a) plus,
b) moins.

A

MOINS ! (p.146)

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23
Q

Vrai ou faux :

Plus nos attentes envers l’émission d’un comportement sont faibles, plus on devrait émettre des attributions de correspondance, si le comportement est effectivement adopté.

A

Vrai (p.146)

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24
Q

À quoi correspond le déterminant « effets distinctifs »?

A

L’observateur juge des conséquences de l’action choisie et les compare avec celles découlant des solutions délaissées (*options possibles). (p.147)

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25
Q

À quel moment devient-il impossible d’inférer une disposition en lien avec le facteur « effets distinctifs » ?

A

Si de nombreux effets distinctifs sont associés avec la solution choisie par l’acteur, il devient alors IMPOSSIBLE d’inférer la disposition. (p.147)

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26
Q

Vrai ou faux :

Moins il y a d’effets distinctifs résultant du comportement de l’acteur, plus on peut émettre une attribution fortement correspondante.

A

Vrai (p.147)

Les attributions de correspondance sont extrêmes et confiantes lorsque le nombre d’effets distinctifs est faible. (p.147)

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27
Q

Quand les gens s’opposent aux normes sociales, ça en dit _______ sur leurs caractéristiques internes.

A

Ça en dit Beaucoup !

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28
Q

Il semble que nos jugements sur la personne soit plus influencés par les effets distinctifs au comportement _____1____ que ceux reliés aux comportements _____2____ .

a) rejetés,

b) choisis

A
  1. b)
  2. a)
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29
Q

Quelle est la théorie de (Kelley, 1967)

A

La covariation et les dimensions de l’information.

30
Q

Que permet de faire la théorie de la covariation et les dimensions de l’information ?

A

Elle permet d’expliquer comment les observateurs font des attributions lorsque PLUSIEURS sources d’informations leur sont disponibles. Lorsque les observations s’étalent dans le temps.

31
Q

Explique le principe de base de la covariation (x2)

A
  1. lorsque deux phénomène ont lieu en même temps ou au même endroit.
  2. Lorsqu’un effet est attribuable à des causes possibles avec lesquelles il covarie.
32
Q

À quel concept fait référence cet exemple :

À chaque fois que je porte mon pantalon rose, le gens se retournent sur mon passage. Alors que lorsque je ne porte pas mon pantalon rose, je n’attire pas le regard des gens. Je conclue donc, que c’est mon pantalon rose qui amène les gens à se retourner !

A

Le principe de covariation (p.148)

33
Q

Quelles sont les 3 dimensions de l’information utilisées pour analyser la covariance ?

A
  1. Le consensus (comportement pareil ou différents des autres personnes),
  2. La distinction (comportement pareil ou différent dans les autres activités ou situations),
  3. La consistance (comportement pareil ou différent dans le temps pour le même genre d’activité).
34
Q

À quoi correspond la dimension de l’information « le consensus » *Théorie de la covariation.

A

L’ensemble de l’information recueillie en comparant le comportement de la personne étudiée avec celui d’autres personnes :

  • Pareil (consensus élevé) : attribution externe.
  • Différent (consensus faible) : attribution interne.
35
Q

À quoi correspond la dimension de l’information « la distinction » *Théorie de la covariation.

A

Est-ce que le comportement de la personne est pareil ou différent dans les autres situations/activités :

  • Pareil (distinction faible) : attribution globale,
  • Différent (distinction élevée) : attribution spécifique.
36
Q

À quoi correspond la dimension de l’information « la consistance » *Théorie de la covariation.

A

Comportement pareil ou différent dans le temps pour le même genre d’activité :

  • Pareil (consistance élevée) : attribution interne,
  • Différent (consistance faible) : attribution externe.
37
Q

Quelles sont les dimensions de l’information en lien avec les sources de covariation qui permettent d’établir une attribution dispositionnelle (interne) ? x3

A
  1. Consensus faible (différent des autres personnes).
  2. Distinction faible (pareil dans les autres situations).
  3. Consistance élevée (pareil dans le temps et le même genre d’activité).
38
Q

À quoi correspond le concept de « schéma causal » (Kelley, 1972) :

A

Les gens n’utilisent pas toujours toute l’information disponible pour arriver à une attribution. Nous utilisons souvent des raccourcis

39
Q

À quoi correspond le principe d’augmentation ?

A

Pour un effet donné, une cause inhibitrice et une cause facilitante sont présentes en même temps. La cause facilitante sera jugée alors plus importante que si elle avait été présentée comme seule cause du comportement.

40
Q

La cause inhibitrice a pour effet ________ la cause facilitante.

A

d’amplifier !

41
Q

À quel principe cet exemple peut-il être associé, explique ta réponse :

Un étudiant se présente très malade à un examen difficile et le réussit haut la main, on attribuera alors son succès à son intelligence, et ce, encore plus que s’il avait réussi l’examen alors qu’il était en pleine forme.

A

Il s’agit du principe d’augmentation.

Dans ce contexte, la variable facilitante est l’Intelligence et la variable inhibitrice est la maladie.

(p.150)

42
Q

(Selon le manuel) À quoi correspond le principe d’ignorement ?

A

Le principe d’ignorement se produit dans la mesure où le rôle d’une cause donnée dans la production d’un effet est ignoré si d’autres causes plausibles sont aussi présentes.

Pas dans les notes de cours

43
Q

À quoi correspond le biais égocentrique ?

A

Attributions internes pour nos succès (situations plaisantes), attributions externes pour nos échecs.

44
Q

À quel biais attributionnel fait référence cet exemple :

Lors d’un travail de groupe, les individus prennent la responsabilité personnelle du succès de leur groupe, mais nient leur responsabilité personnelle lorsque leur groupe échoue.

A

Biais égocentrique.

45
Q

Vrai ou faux :

Les gens font plus souvent preuve d’un biais égocentrique lorsque leur égo (ou soi) est menacé.

A

Vrai, l’utilisation du biais égocentrique peut s’expliquer par la volonté de la personne à protéger son estime de soi. (p.155)

46
Q

À quoi correspond l’erreur attributionnelle fondamentale ?

A

Lorsque nous expliquons le comportement d’autrui, nous surestimons l’importance des causes dispositionnelles et sous-estimons l’importance des causes situationnelles.

47
Q

Est-ce que l’erreur attributionelle fondamentale s’applique uniquement aux comportements négatifs ?

A

Non ! Elle s’applique aussi à des comportements positifs. (p.155)

48
Q

Quel est le nom d’une étude très importante portant sur le principe de l’erreur fondamentale ?

A

Étude de Jones et Harris (1967)

49
Q

Explique l’étude de Jones et Harris et ce qu’on peut en conclure :

A

Au cours de cette étude, on informe les participants que la personne qui avait écrit un essai en faveur de Fidel Castro avait eu le droit d’écrire ce qu’elle pensait, alors qu’à d’autres on indique que la personne n’avait pas eu ce choix.

Les participants doivent ensuite déterminer la véritable attitude (attribution dispositionnelle) de l’auteur vis-à-vis Fidel Castro.

Les études montrent que les participants ont cru que l’essai reflétait la véritable attitude de la personne à l’égard de Castro, PEU IMPORTE que le participant ait eu le choix ou non d’écrire ce qu’Il voulait.

  • Confirme l’erreur d’attribution fondamentale (les participants ne tiennent pas comptent des contraintes situationnelles dans leur jugement).
50
Q

Vrai ou faux :

Les études montrent qu’Il y a une différence entre la fréquence d’utilisation de l’erreur fondamentale d’attribution entre différentes cultures.

A

Vrai, voir p.156.

51
Q

Pourquoi utilisons-nous le biais « erreur attributionnelle fondamentale » ? (x2)

A
  • Centre d’attention & information disponible,
  • Indices saillants.
52
Q

En lien avec les inégalités sociales, quel mythe faut-il défaire et à quoi correspond-il ?

A

Il faut défaire le mythe de la méritocratie qui repose sur le principe de s’attribuer les succès et expliquer les erreurs par le contexte (biais erreur attributionnelle fondamentale & biais égocentrique).

53
Q

À quoi correspond le biais acteur-observateur ? :

A

La tendance que nous avons à attribuer nos actions à la situation et celles des autres à des facteurs dispositionnelles. (Ces différences peuvent mener à des conflits inter-personnels)

54
Q

Quels éléments peuvent expliquer pourquoi nous avons recours au biais acteur-observateur ? (x2)

A
  1. Différentes perspectives (la quantité d’informations peut différer et expliquer pourquoi l’acteur et l’observateur émettent des attributions différentes).
  2. Focus sur des éléments différents (le centre de l’attention des deux personnes émettant l’attribution diffère).
    - Acteur : dirige son attention sur l’environnement,
    - Observateur : dirige son attention sur l’acteur.
55
Q

À quoi correspond le biais de l’attribution de responsabilité injustifiée ?

A

La tendance à blâmer les victimes suite à un événement négatif (existe deux types : blâme direct & indirect).

56
Q

Le biais de l’attribution de responsabilité injustifiée repose sur deux mécanismes, quels sont-ils ?

A
  1. Hypothèse du monde juste : nous vivons dans un monde juste où les gens méritent ce qu’ils leur arrivent. (L’attributeur protège ses propres croyances et sentiments en blâmant les victimes).
  2. Attribution défensive : lorsque l’on s’identifie à la victime, nous aurons tendance à la juger plus sévèrement. *AMBIGUITÉ avec cahier
    (p.159)
57
Q

Quels sont les biais attributionnels abordés durant le cours (x6) :

A
  1. Schémas causales
  2. Principe d’augmentation,
  3. Biais égocentrique,
  4. Erreur attributionnelle fondamentale,
  5. Biais acteur-observateur,
  6. Attribution de responsabilité injustifiée.
58
Q

Selon le manuel, il existe aussi le biais temporel, décrit le brièvement :

A

Le temps influence les attributions émises (elles risquent de devenir de moins en moins valides à mesure que le temps passe), pleins de détails disparaissent de la mémoire à court terme, les attributions émises par l’observateur deviennent de plus en plus dispositionnelles avec le temps.

59
Q

Quel(le)s concepts/théories permettent d’expliquer les différentes conséquences liées aux attributions suite à un événement négatif ? (x2)

A
  1. La théorie de la résignation acquise,
  2. Le concept de blâme personnel.
60
Q

À quoi correspond la théorie de la résignation acquise ? (Seligman, 1975) :

A

Ce qui se produit lorsque nous vivons un événement négatif : résignation acquise.

Résignation acquise : état psychologique qui a lieu lorsque l’individu croit que les événements sont incontrôlables (non-contingents).

Selon cette théorie, ce sont les attributions émises pour expliquer la non-contingence de la situation qui mèneront (ou pas) à diverses conséquences négatives. (p.167)

61
Q

Selon la théorie de la résignation acquise, quelles sont les 3 dimensions d’une attribution qui amène à avoir des problèmes psychologiques importants ?

A

Attribution ….
1. Internes,

  1. Stables,
  2. Globales.
62
Q

Selon la théorie de la résignation acquise, quel type d’attribution risque d’amener les problèmes psychologiques les plus importants ?

A) Externes, instables, spécifiques.

B) Externes, stables, globales,

C) Internes, instables, spécifiques,

D) Internes, stables, globales.

A

La personne vivra une plus grande résignation acquise lorsqu’elle émet des attributions :

D) Internes, stables & globales.

… pour expliquer l’incontrolabilité de la situation.
(p.167)

63
Q

Quelle expérience à permise de mettre de l’avant le concept de résignation acquise ?

A

L’expérience de (Seligman, 1975) :

Dans le cadre d’étude portant sur l’apprentissage chez le chien. Les chiens dans un premier temps avait reçu des chocs électriques sans pouvoir les éviter acceptaient dans un second temps des chocs électriques passivement, alors qu’ils auraient pu les éviter ! (p.166).

64
Q

Vrai ou faux :

Il existe certains types de blâme personnel qui contribuent positivement à l’ajustement psychologique.

A

Vrai, p.168.

65
Q

Quels sont les deux types de blâmes personnels ?

A
  1. Blâme personnel caractériel (global).
  2. Blâme personnel comportemental (spécifique).
66
Q

À quoi correspond le concept de blâme personnel caractériel ?

A

Blâmer les aspects stables de notre personnalité pour expliquer l’événement négatif qui vient de survenir.

67
Q

À quoi correspond le concept de blâme personnel comportemental ?

A

Blâmer le comportement que nous avons adopté et non notre personnalité.

68
Q

« Les personnes qui s’adaptaient le mieux psychologiquement à la suite d’un événement négatif étaient celles qui effectuaient des attributions de blâme personnel de type _______ »

A

Comportemental ! (p.168)

69
Q

Pourquoi l’attribution de blâme de type comportemental a un effet moins négatif sur la personne ?

A

La personne est …

  1. En mesure de comprendre et expliquer ce qui s’est produit,
  2. Reconstruire une image positive d’elle même puisque l’événement n’est pas dû à sa personnalité, mais plutôt à un comportement qu’elle pourra modifier et changer à l’avenir (sentiment de contrôle, maintient estime de soi).

p.168

70
Q

Les couples heureux ne font pas le même type d’attribution que les couples malheureux. Quelles sont les différentes dimensions des attributions faites par chacun pour expliquer comportement négatif ?

  • Couples heureux : _____, ________ , ______ .
  • Couples malheureux : ______ , ________ , ______.
A

Couples heureux : externes, instables spécifiques.
Couples malheureux : internes, stables, globales.

p.170.

71
Q

À quoi correspondent les attributions dysfonctionnelles de personnalisation, de « catastrophizing » ? Comment y remédier ?

A

Croyances que les événements négatifs sont dues à notre personne, que les événements négatifs vont se répéter dans le futur.

  • Travail de restructuration cognitive en thérapie cognitive-comportementale