Cours 3 - Le soi Flashcards

1
Q

À quoi correspond le soi ?

A

Une entité à l’Intérieur du corps (intra-individu) qui évalue le monde pour nous, qui enregistre l’information perçue et qui guide nos actions.

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2
Q

Vrai ou faux :

Le soi joue un rôle crucial dans la régulation de nos pensées, de nos émotions et de notre comportement ? (Manuel, p.62)

A

Vrai

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3
Q

Nomme quelques thèmes liés au soi qui sont étudié en psychologie sociale :

A

estime de soi, conscience de soi, autoefficacité, schémas sur le soi, autorégulation du soi, autodétermination, etc. (Manuel, p.62)

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4
Q

Quels sont les deux aspects qui composent le soi ?

A

1) Le soi comme contenu

2) Le soi comme processus

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5
Q

À quoi correspond le soi comme contenu ?

A

Les informations que nous avons sur nous mêmes résultant d’évaluations, de nos interactions et de prises de conscience.
(Les caractéristiques que nous possédons sur nous-même en tant qu’individu)

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6
Q

Quelles sont les 3 grandes sphères qui composent le soi comme contenu ?

A

1) Le soi social,

2) Le soi spirituel,

3) Le soi matériel

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7
Q

À quoi correspond le soi social ?

A

L’image que l’on projette ainsi que les différents rôles que l’on joue devant les gens (il peut y avoir plusieurs soi sociaux).

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8
Q

À quoi correspond le soi spirituel ?

A

Aux expériences intérieures, aux habilités, aux goûts, aux valeurs et aux idéaux qui représentent des aspects relativement stables de nous-mêmes.

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9
Q

À quoi correspond le soi matériel ?

A

Inclut les aspects de notre corps (apparence physique), de nos vêtements et de nos possessions

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10
Q

Comment mesure-t-on le concept de soi ?

A

Une des techniques : demander aux participants de répondre librement à la question « Qui suis-je ? »(Gordon, 1968)

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11
Q

À quoi correspond la « clarté » du concept de soi ?

A

La mesure dans laquelle le concept de soi est clairement défini, cohérent et stable à travers le temps.

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12
Q

Quels sont les avantages d’une bonne clarté du concept de soi ? (x3)

A

1) Diminue la comparaison sociale
(Butzer et al., 2006),

2) Augmentation du bien-être psychologique
(Usborne & Taylor; 2010),

3) Tendance à acquérir de nouvelles connaissances, à élargir le soi
(Emery et al., 2023)

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13
Q

Quels sont quelques uns des désavantages d’une mauvaise clarté du soi ? (x2)

A

1) Augmentation des comportements de consommation (Mittal, 2015),

2) Moins grande résilience/persistance lors de moments difficiles/d’échec
(Jiang et al., 2023)

*L’intensité de l’usage de fb prédit une moins bonne clarté du concept de soi (Appel et al., 2016)

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14
Q

Le concept de soi porte sur les perceptions que nous entretenons à notre sujet, ____________ se réfère à l’ÉVALUATION, bonne ou mauvaise, que nous faisons de ces perceptions.

A

estime de soi (Manuel, p.64)

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15
Q

Quelles sont les 4 dimensions de l’estime de soi ?

A

1)
- État : moment précis (variation ponctuelle selon les situations)
- Disposition : dimension stable (habituellement, généralement)

2)
- Personnelle : évaluation subjective des attributs qui nous sont propres.
- Collective : évaluation à l’égard des caractéristiques du groupe auxquels elle appartient.
*Relationnelle : relations interpersonnelles.

3)
- Spécifique à un domaine.
- Globale : évaluation multidimensionnelle.

4)
- Explicite : consciente.
- Implicite : attitudes automatiques (inconscientes)

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16
Q

Comment mesure-t-on l’estime de soi explicite vs implicite ?

A
  • Explicite : questionnaire/entrevue
  • Implicite : temps de réaction dans la prise de décision (TAI ou préférences pour certaines lettres, etc.)
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17
Q

Distinction entre narcissisme et estime de soi :

A

Les gens ayant une bonne estime de soi, contrairement aux narcissiques, leur évaluation positive d’eux mêmes ne dépend pas de faire mieux que les autres (Manuel, p.67)

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18
Q

À quoi l’estime de soi est-elle associée positivement ? (x4)

A
  • Clarté du concept de soi,
  • L’humeur positive,
  • Résilience lors de l’échec,
  • Attributions adaptatives et meilleure gestion du stress,

*Petit lien négatif entre l’estime de soi et l’usage des réseaux sociaux.

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19
Q

À quoi est associé TROP d’estime de soi ?

A
  • Agressivité (surtout si l’ES est instable)
  • Manque d’habiletés sociales
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20
Q

Selon l’étude (sociomètre; Leary et al., 2003) l’estime de soi est considérée comme une _______du degré d’inclusion sociale.

A) Cause
B) Conséquence

A

conséquence

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21
Q

Selon l’étude (sociomètre; Leary et al., 2003), l’estime de soi joue quel rôle ?

A) Variable médiatrice,
B) Variable indépendante,
C) Variable dépendante,
D) Variable modératrice

A

C) Variable dépendante

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22
Q

À quoi correspondent les sois possibles ? (Manuel, p.67)

A

À des actions présentes et futures. Ils sont ce que nous voulons, pourrons devenir et ce que nous avons peur de devenir.

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23
Q

Donne des exemples de sois possibles :

A

Voulons : Un soi mince, riche, aimé, admiré, etc.

Ne voulons pas : Un soi dépressif, sans emploi alcoolique, etc.
(Manuel, p.67)

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24
Q

Vrai ou faux :

Les sois possibles désirés produisent un effet bénéfique sur les émotions positives et sur la motivation à s’engager volontairement sur le chemin de la réalisation de l’objectif. (Manuel, p.67)

A

Vrai

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25
Q

À quoi correspondent les schémas sur le soi ?

A

Schéma : « Une structure cognitive qui représente, de manière organisée, les connaissances que nous avons sur nous-mêmes »

Schéma sur le soi : « Des généralisations cognitives à propos de soi issues d’expériences passées qui organisent et guident le traitement de l’information », (Markus, 1977).

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26
Q

Quelles sont les 4 caractéristiques des schémas ?

A

1- Organisent l’informations sur nous-mêmes,

2- Peuvent être changés par nos expériences,

3- Sont plus complexes pour les aspects plus développés de notre soi,

4- Guident l’attention et l’activité de la personne.

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27
Q

Vrai ou faux :

Les schémas sont à la fois contenu et processus ?

A

Vrai, on peut connaitre les schémas à un moment précis, mais ils peuvent aussi changer avec le temps.

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28
Q

Est-ce que les animaux ont aussi des schémas spécifiques ?

A

On pourrait croire que oui, puisque certains animaux ont une conscience d’eux-mêmes (point rouge dans le miroir = touche leur front).

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29
Q

Complète :
Lorsqu’une personne possède un schéma sur une dimension précise, on dit alors qu’elle est _________ quant à cette dimension. Par contre, lorsqu’elle ne possède pas de schéma détaillé sur une dimension, alors elle est dite : ________ ou _________ .

A
  • Schématique,
  • Non-schématique ou aschématique.

(Manuel, p.69)

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30
Q

Quand considère-t-on que la représentation de soi est plus complexe ? (x2)

A

1- Un grand nombre d’éléments (rôles, traits, comportements typiques, etc.), qui sont :
2- Indépendants les uns des autres (non-reliés).

À noter :Avec le temps, les études ont montré que ce qui réellement bénéfique était d’avoir plusieurs éléments, l’indépendance de ceux-ci est plus ou moins conseillée, puisqu’une trop grande indépendance risque de causer une fragmentation du soi (préférable que les éléments se chevauchent)!

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31
Q

Pourquoi est-il important d’avoir une complexité du soi ?

A

Pour deux raisons :
1) La condition de perméabilité (indépendance),
2) La condition de compensation (plusieurs schémas).

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32
Q

Est-ce que l’indépendance (le non chevauchement) des éléments dans les schémas est bénéfique ?

A

Non, la complexité du soi ne doit pas vouloir dire la fragmentation du soi (sinon perte du fil conducteur), (Lutz & Ross, 2003).

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33
Q

Qu’est-ce qu’implique une instabilité de l’estime de soi ?

A
  • Sensibilité accrue devant les situations d’évaluation,
  • Une tendance à se rehausser et à se protéger suite à un feedback (-),
  • Un bien-être psychologique plus faible,
  • Liens avec la personnalité.
34
Q

Quelle peut-être une alternative à l’estime de soi ?

A

La compassion envers soi.

35
Q

Vrai ou faux :

« La compensation envers soi prédit et cause une plus grande authenticité »

A

Vrai (Zhang et al., 2019)

36
Q

D’où vient le soi ? (3 aspects)

A

1) Observation de soi-même,

2) Évaluation de soi,

3) Contexte social et culturel.

37
Q

Qui est derrière la théorie de la perception de soi par auto-observation ?

A

Daryl Bem (1972)

38
Q

Explique la théorie de la perception de soi par auto-observation :

A

Comme nous avons très peu accès à nos états intérieurs (faibles ou ambigus), il faut agir de la même façon qu’un observateur le ferait afin d’apprendre à nous connaître. Autrement dit, on apprend à se connaitre en observant son comportement (lorsque nous n’avons pas de source extérieure (pression sociale) évidente qui nous incite à agir.

39
Q

Que permet de faire l’auto-observation ?

A
  • Observer comment et pourquoi nous agissons,
  • Inférons certaines de nos caractéristiques
40
Q

Vrai ou faux :

L’auto-observation permet à la fois de découvrir des aspects de notre soi déjà présents, mais flous ou incertains, et de créer de nouveaux éléments de notre soi (comme dans le cas des enfants).

A

Vrai (Manuel, p.70)

41
Q

À quoi correspond l’auto-évaluation ?

A

Processus nous incitant à déterminer la valeur de l’information que nous avons sur nous-mêmes.

42
Q

Dans quel contexte nous comparons nous à des gens pires que soi ?

A

Un désir de rehaussement de soi, lorsque notre estime est menacée et que nous désirons avoir une évaluation favorable de nous même.

42
Q

Quelles sont les deux méthodes d’auto-évaluations ?

A

1) Se tester soi-même selon des critères objectifs.

2) S’évaluer en se comparant aux autres.

43
Q

Dans quel contexte nous comparons nous à des gens semblable à soi?

A

Besoin d’une évaluation relativement objective, une information précise, confirmer une auto-perception, etc.

44
Q

Dans quel contexte nous comparons nous à des gens meilleurs?

A

Désire de s’améliorer, de se surpasser.

45
Q

À quoi correspond le contexte social & culturel ?

A

Le contexte social dans lequel une personne vit peut représenter un ensemble de déterminants extrêmement puissants des caractéristiques distinctives de la personne et de son soi (Manuel, p.72).

  • Interactionnisme symbolique.
  • Principe de distincitvité
  • La culture
46
Q

Selon le modèle du sociomètre, quels sont les deux déterminants de l’estime de soi ? (Manuel, p.74)

A
  • Statut social,
  • Inclusion sociale.
47
Q

À quoi correspond l’interactionnisme symbolique ?

A

Notre conception de nous-mêmes est le fruit de nos interprétations des rétroactions symboliques exprimées par les autres dans leurs interactions avec nous (les autres nous offrent un reflet de nous-mêmes), Manuel, p.72 (Cooley, 1902).

48
Q

À quoi correspond le principe de distinctivité (McGuire, 1984) :

A

Notre désir d’être unique et de se distinguer, les caractéristiques qui nous distinguent des autres sont donc plus caractéristiques de notre soi.

49
Q

Complète :

La culture de l’Est de l’Asie est orientée vers ________ de soi, alors que la culture nord américaine favorise le ________ du soi (Manuel, p.76)

A
  • amélioration,
  • rehaussement.
50
Q

Vrai ou faux :

Les normes prévalentes dans les cultures jouent un rôle fondamental dans l’estime de soi des gens.

A

vrai

51
Q

Sur quelles dimensions les cultures se distinguent ?

A
  • Individualiste, collectiviste.
52
Q

À quoi correspond une culture collectiviste vs individualiste ?

A
  • Collectiviste : valorise la coopération et l’interdépendance et l’enfance sur le soi collectif (identités sociales).
  • Individualiste : valorise la volonté personnelle, l’indépendance et l’importance du soi personnel (identités personnelles).
53
Q

Vrai ou faux ;

Les différences entre cultures collectivistes et individualistes ont tendance à diminuer ?

A

Vrai (Cheng et al., 2011)

  • Les tendances individualistes ont tendance à augmenter à travers le monde.
54
Q

À quoi correspond le soi comme processus ?

A

À la partie de nous qui prend connaissance de qui nous sommes, de ce que nous faisons et désirons devenir et qui détermine l’apparence que nous voulons projeter.

55
Q

Lorsque notre attention est orientée vers nous même notre comportement est réglé par ____________, alors que quand notre attention est dirigée vers l’environnement, notre comportement est plutôt influencé par les __________ (Manuel, p.81)

A
  • valeurs internes, croyances, etc.
  • règles implicites ou explicites liées à la situation données
56
Q

Vrai ou faux :

La conscience de soi a un rôle important dans le développement, l’organisation et la régulation de notre soi.

A

Vrai, (Manuel, p.81)

57
Q

En quelles composantes se subdivisent la conscience de soi ? (x2)

A
  • Conscience de soi privée : les différents aspects qui ne sont pas directement accessibles aux autres (attitudes, sentiments, pensées, désirs, motivations, valeurs, etc.).
  • Conscience de soi publique : éléments permettant aux autres de se faire une idée de notre personne (habillement, manières, comportements, etc.).

(Manuel, p.81)

58
Q

Quelles sont les deux sources d’influence de la conscience de soi ? (x2)

A

1) Les influences situationnelles (lorsque des objets ou personnes dans notre environnement nous font penser à nous-mêmes).
- Aspects privés : miroirs, interrogatoire, etc.
- Aspects publics : caméras, appareils photos, etc.

2) Les influences dispositionnelles :

59
Q

Quels sont les 3 constats ayant été mis de l’avant quant aux différentes formes de conscience de soi ? (Manuel, p.83)

A

1) La conscience de soi privée amplifie les émotions (+ ou -)

2) les deux types de conscience mènent à des conséquences différentes.

3) Les influences situationnelles et dispositionnelles mènent à des résultats similaires.

60
Q

Quels sont les deux types d’attention sur soi ? (Manuel, p.83)

A
  • Rumination & auto-réflexion
61
Q

À quoi correspond « l’effet de référence à soi » (manuel, p.85)

A

L’idée que l’on se rappelle plus facilement de l’information liée à notre soi que celle relative à des objets ou d’autres personnes.

62
Q

Explique l’étude « Schémas sur le soi »de (Markus, 1977) :

A

On cherche à comprendre comment les schémas dirigent notre attention.

1ere étape : les participantes doivent remplir un questionnaire sur leur degré d’indépendance/de dépendance.

2e étape : Les femmes doivent associer les différents mots présentés à l’écran (ex: ambitieuse, timide, collaboration, etc.) à « moi » ou « pas à moi ».

Observations :
1- Les femmes qui étaient schématiques (selon questionnaire) à l’indépendance ont associé plus rapidement les adjectifs comme confiantes, etc. à elles-mêmes.

2- Les femmes qui étaient schématiques à la dépendance ont plutôt associés plus rapidement les adjectifs comme coopération, etc. à elles-mêmes.

3- Les femmes aschématique n’ont montré aucune différence dans leur temps de réaction.

63
Q

Pourquoi certaines personnes réagissent moins (semble moins les affecter) que d’autres lorsqu’ils vivent un échec (en lien avec la complexité du soi), *p.s : nomme deux conditions présentes :

A
  1. La condition de PERMÉABILITÉ est davantage présente, c-à-d qu’il y a une certaine indépendance entre leurs schémas.

2- La condition de COMPENSATION est davantage présente, c-à-d qu’ils ont plusieurs schémas, sphères de vie, ce qui leur permet de « compenser » dans d’autres domaines.

64
Q

Nomme les dimensions de l’estime de soi présente dans cet énoncé :

Présentement, j’ai confiance en mes capacités.

A
  • État,
  • globale,
  • personnelle,
  • explicite.
65
Q

Nomme les dimensions de l’estime de soi présente dans cet énoncé :

En ce moment, je suis fière d’être employée à l’UQAM.

A
  • État,
  • Spécifique,
  • Collective,
  • explicite.
66
Q

Nomme les dimensions de l’estime de soi présente dans cet énoncé :

De manière générale, je me considère comme une bonne étudiante.

A
  • Disposition,
  • Personnelle,
  • Spécifique,
  • Explicite.
67
Q

Nomme les dimensions de l’estime de soi présente dans cet énoncé :

Généralement, j’ai une attitude positive vis-à-vis moi-même.

A
  • Disposition,
  • personnelle,
  • globale,
  • explicite.
68
Q

Explique l’étude de « la stabilité de l’estime de soi » de (Kernis, et al., 1993, 2000) :

A

À quel point l’estime de soi est stable à travers le temps.

On demande aux participants de compléter une mesure d’estime de soi globale deux fois par jour pendant 4 jours (estime de soi variable ou stable).

On observe : une estime de soi instable implique …

  • Une sensibilité accrue devant les situations d’évaluation (négative, positive).
  • Une tendance à se rehausser et à se protéger suite à un feedback négatif.
  • Un bien-être psychologique plus faible.
  • Liens avec certaines caractéristiques de la personnalité (Zeigler-Hill et al., 2015).
69
Q

À quoi correspond la contingence de l’estime de soi ?

A

Lorsque notre estime de nous-mêmes dépend de certains événements extérieurs à nous-mêmes (notre performance, acceptation par les autres) dans des domaines spécifiques.

Ex : Apparence physique, accomplissements académiques, approbation des proches, etc.

70
Q

Explique l’étude «La contingence de l’estime de soi (Crocker, Sommers, & luhtanen, 2002) »

A

Question :
Comment les gens réagissent à travers le temps à une lettre de refus ou d’acceptation, dépendamment de leur contingence de soi.

Sujets
Les étudiants qui attendent leur réponse acceptation/refus quant à leur admission au cycle supérieur.

Mesure :
- Initialement :
La contingence de l’estime de soi.

  • Sur deux mois :
    Compléter une mesure d’estime de soi à chaque fois qu’ils recevaient une lettre d’admission ou de refus.

Observations
Pour les étudiants dont l’estime de soi collective est élevée

Le refus/acceptation a plus de répercussions :
Le refus prédit une diminution plus forte de l’ES globale et une augmentation des émotions négatives.
L’acceptation prédit une augmentation plus forte de l’ES globale et une augmentation des émotions positives.

71
Q

Explique l’étude « Étude de l’estime de soi implicite vs explicite (Jordan, et al., 2003) »

A

Question
Est-ce que le fait d’avoir une estime de soi explicite élevée, mais une estime de soi implicite faible amène à un style d’estime de type « réactive ».

Hypothèse
Les gens ayant une estime de soi explicite élevée, mais une estime de soi implicite faible devraient être ceux rapportant les plus aux scores de narcissisme.

Mesure
Estime de soi implicite (questionnaires auto-rapportés)
Estime de soi explicite (temps de réaction)
Narcissisme

Observations
Confirme l’hypothèse de recherche.

72
Q

Donne des exemples de cultures individualistes (qui valorisent davantage la volonté personnelle, l’indépendance et l’importance du soi personnel).

A

Canada, États-Unis, Australie, Europe de l’Ouest, etc.

73
Q

Donne des exemples de cultures collectivistes (qui valorisent davantage la coopération, l’interdépendance, mettent l’accent sur le soi collectif).

A

Asi, Afrique, Amérique du Sud, etc.

74
Q

Explique l’étude « Qui suis-je » (Cousins, 1989)

A

Des participants japonais et américains ne répondent pas de la même façon au test de concept de soi «Qui suis-je ».

Les participants américains répondent surtout à des éléments se rattachant à des attributs personnels et plus stables,

Les participants japonais font référence davantage à leurs relations interpersonnelles et font preuve de plus de variabilité.

75
Q

Explique l’étude «Faire le pont entre le soi comme contenu et comme processus (Amiot, 2004) » :

A

Est-ce que le fait d’avoir un sens du soi mieux défini va prédire la manière qu’ils vont réagir à leur première session.

Qui : Nouveaux participants à l’université.

Au temps 1 : (questionnaire au début de la session) on mesure le sens du soi (clarté du concept de soi, stabilité de l’estime de soi et motivation autodéterminée).

Au temps 2 : (questionnaire suite aux examens intrus)

Au temps 3 : (questionnaire avant les examens finaux)

Le sens du soi bien défini prédit des transitions plus positives (moins de sentiments de menaces, etc.) ce qui prédit aussi un coping orienté vers la tâche (les gens s’engagent dans la tâche, vont chercher l’informations nécessaire, etc.) –> augmentation dans le sentiment d’être un étudiant universitaire au cours de la session (développement d’une nouvelle identité).

Le sens du soi moins défini prédit des transitions plus négatives, ce qui prédit aussi un coping orienté vers un désengagement (moins d’efforts, etc.).

76
Q

Explique l’étude « Étude CIEL Montréal (Amiot,
Doucerain, Zhou, & Ryder, 2018) »

A

Contexte : Qu’est-ce qui amène une personne arrivant dans un nouveau pays à changer/développer une nouvelle identité culturelle ?

Question :
Quelle nouvelle identité culturelle est intégrée
par les étudiants internationaux à Montréal? (e.g.,
québécoise, canadienne, montréalaise)

Qui : étudiants internationaux à Montréal (UQAM, Concordia), arrivés au Canada depuis moins d’un an suivis sur une année universitaire complète.

En ordre, ils s’identifient davantage à :
1. Montréalais,
2. Québécois,
3. Canadiens.

3 possibilités/configuration identitaire :
- Catégorisation : Une identité prédomine sur les autres dans la façon dont je me définie.

  • Compartimentation : j’expérience chacune de mes identités culturelles dans leur contexte respectif (fragmentation de soi).
  • Intégration : Les différences entre mes identités culturelles se complémentent (j’établie des similarités entre ces différentes identités).

Observations :
- Quand les besoins sont satisfaits, cela prédit davantage d’INTÉGRATION (diminue compartimentation & catégorisation).

  • Vivre de la discrimination prédit davantage une compartimentation et catégorisation.

Le contexte social influence donc l’identité à laquelle se rattache les gens.

77
Q

Quelles sont les 3 possibilités de configuration identitaire ? (Étude CIEL)

A

3 possibilités/configuration identitaire :

  • Catégorisation : Une identité prédomine sur les autres dans la façon dont je me définie « tout ou rien ».
  • Compartimentation : j’expérience chacune de mes identités culturelles dans leur contexte respectif (fragmentation du soi).
  • Intégration : Les différences entre mes identités culturelles se complémentent (j’établie des similarités entre ces différentes identités).
78
Q

Explique l’étude « les changements dans le soi (Strauss & Goldberg, 1999) » menée auprès des nouveaux pères.

A

Les transitions de vie, comme par exemple devenir père, amènent des changements dans le soi.

Dans leur division de la tarte, selon l’importance qu’ils attribuent à chaque dimension d’eux-mêmes, à la phase post-natale, les pères s’identifiaient (accordaient) une bien plus grande partie de la tarte à l’importance de leur identité de père au détriment de celle qu’Ils accordaient à leurs loisirs.

79
Q

Lorsque l’on mesure l’estime de soi de façon objective, de façon plus critique, qu’observe-t-on ?

A

Il existe plusieurs études, mais de type corrélationnel sur l’estime de soi. Elles ne nous permettent donc PAS d’inférer une causalité.

Les études davantage objectives les liens deviennent moins significatifs. L’estime de soi n’est donc pas nécessairement associée à ces croyances positives (humeur positive, meilleure gestion du stress, etc.).