cours 5 Flashcards
qu’est-ce qu’un code de mémoire?
le format de l’info encodée dans la mémoire
- il existe divers code de mémoire, : physique, phonémique, sémantique
est-ce que l’amnésie touche également tous les types de codes de mémoire?
- expliquer l’expérience de Baddeley, Pagagno et Vallar
patiente P.V, empan de mémoire auditive limité
2-3 mots… la norme = +/- 7
- sujet contrôle sans trouble de mémoire
qu’est-ce qu’un empan de mémoire auditive?
le nombre d’items rappelés à partir de la MCT immédiatement après leur présentation auditive ( dans l’ordre)
expliquer l’expérience de Baddeley, Pagagno et Vallar, sur les types de code de mémoire (L,expérimentation)
tâche; apprentissage de paire de mot associé : écouter OU lire
- présentation auditive mot - non-mot (rosa - svieti)
- présentation visuelle mot - non-mot
- présentation visuelle mot-mot
test: présentation du mot de la première paire, et le sujet doit nommer l’item associé
l’expérience de Baddeley, Pagagno et Vallar, dites les résultats des graphique
phonémique (a): le pire
visuel (b): amélioration de la performance
sémantique (c); le mieux
la théorie des niveaux de traitement
expliquer.
les stimuli sont analysé-encodé à des niveau de traitement différents:
- niveau superficiel (caractéristique physique / sensorielle / structurelle)
- niveau profond (reconnaissance de forme / signification / sémantique)
- chaque niveau d’analyse conduirait à un code de mémoire différent
quels sont les principale modalité de la théorie des niveaux de traitement de Craik et Lockhart?
- format de lInfo : chevauchement entre MCT et MLT (code sémantique aussi en MCT)
- capacité variable dans le MCT (regroupement)
- vitesse de dégradation
la théorie des niveaux de traitement de Craik et Lockhart
- le produit final de cette analyse est une (…)
- trace mnésique
- la persistance de la trace mnésique augmente en fonction de la profondeur de l’analyse :
- niveau superficiel (trace fragile)
- niveau profond (trace plus durable)
vrai ou faux: chaque niveau d’analyse a son code mémoire et sa vitesse de dégradation propre
vrai, la façon dont la matière est traité détermine le type de code de mémoire formé, ce qui en retour détermine la qualité du rappel
est-ce que la répétition entraîne automatiquement un apprentissage? (selon Atkinson-Shiffrin et la théorie des niveaux de traitement)
Atkinson: oui
traitement: non
expliquer l’expérimentation de Craik et Watkins sur la théorie des niveaux de traitement (tâche)
tâche: écoute de la liste de mots, rapporter le dernier mot entendu commençant par une lettre précise, la lettre était indiquée avant la présentation de la liste
- présentation d’un total de 27 liste
- après les liste : test surprise de rappel libre (MLT)
expliquer l’expérimentation de Craik et Watkins sur la théorie des niveaux de traitement (manipulation)
- nombre d’items (de 1 à 12) entre deux mot commençant pas la lettre cible (=durée de répétition)
- la probabilité de rappel d’un mot à la fin devrait changer en fonction de la durée de maintien en MCT
expliquer l’expérimentation de Craik et Watkins sur la théorie des niveaux de traitement (condition)
- peu d’items entre mots-cible: peu de répétition/ courte durée en MCT
- beaucoup d’items entre mots-cible : plus de répétition / longue durée en MCT
quels sont les résultats de l’expérience de Craik et Watkins sur la théorie des niveaux de traitement
les mots immédiatement suivis par un autre mot-cible : 12% de mots rappelé
- les mots séparés par 12 items avant un autre mot-cible : 15% de mots rappelé
quelle est la conclusion de expliquer l’expérimentation de Craik et Watkins sur la théorie des niveaux de traitement
faible différence de rappel selon le nombre de répétition
- le rappel ne dépend pas directement de la répétition
( la répétition n’entraîne pas automatiquement un apprentissage)
preuve en faveur, expliquer l’expérimentation de Noice
apprentissage d’une scène de dialogue par acteur et non-acteur
condition:
- apprentissage par cœur (une ligne à la fois, sans possibilité de retour en arrière ou apprentissage pour une audition fictive
*pause + distraction
preuve en faveur, expliquer l’expérimentation de Noice, le test et les résultats
écrire les ligne dont ils se rappelle et leur état d’esprit associé à l’apprentissage des lignes
RÉSULTATS: plus de rappel dans les audition fictives vs apprentissage par cœur
- plus d’élaboration chez les acteurs dans la condition audition (émotion et interaction entre les personnage et définition des traits physique et mentaux du personnage
Hyde et Jenkins
apprentissage incident : définition
tâche dans laquelle le participant doit porter des jugement au sujet de stimuli sans savoir que par la suite, son rappel de ces stimuli sera testé
qu’est-ce que l’apprentissage incident permet?
permet d’étudier le processus d’encodage indépendamment de l’intention de mémoriser un matériel donné
- l’accent est mis sur le type de traitement effectué et son résultat sur l’apprentissage
Hyde et Jenkins
apprentissage incident : expliquer la tâche et les condition
tâche : apprentissage de 24 mots (12 paires de mots associée ex: rouge-vert, table-chaise) présenté dans un ordre aléatoire
- rappel libre
CONDITION/ groupe:
1. jugement agréable/ désagréable (traitement sémantique profond)
2. présence de lettre E (traitement structural = superficiel)
3. estimation du nombre de lettre (traitement structural = superficiel)
Hyde et Jenkins
apprentissage incident : expliquer les résultats
groupe intentionnel = groupe incident sémantique (l’intention de mémoriser n’a pas eu d’effet direct sur la mémorisation)
( ce sont les activités cognitive de l’encodage (niveau de traitement) qui déterminent la mise en mémoire des items)
- groupe intentionnel et incident sémantique > incident structural et structural ( le groupe qui a effectuer un traitement sémantique lors de l’apprentissage a utilisé la signification lors du rappel
preuve en faveur de la théorie, Craik et Tulving
expliquer l’expérimentation
tâche: apprentissage incident de mots (présentation visuelle brève)
chaque mot est précédé d’une question qui favorisait une des 3 conditions
CONDITION
1. traitement structural: le mot est-il en majuscule
2. traitement phonémique: le mot rime-t-il avec fête
3. traitement sémantique: le mot peut-il s’intégrer dans la phrase?
preuve en faveur de la théorie, Craik et Tulving
expliquer le test et l’hypothèse
test: test de reconnaissance sur les mots présenté: (on mesure la proportion de reconnaissance correcte, on mesure aussi la vitesse de réaction, vitesse de réponse)
HYPOTHÈSE:
la performance devrait changer en fonction de la profondeur du traitement
preuve en faveur de la théorie, Craik et Tulving
expliquer les résultats
reconnaissance -> profondeur de traitement: structural < phonémique < sémantique
- la durée de traitement (temps de réaction) = meilleure rétention?
- la rétention est due à un approfondissement de l’analyse
- c’est la qualité du traitement qui est critique et non sa durée
preuve en faveur de la théorie, Craik et Tulving
expliquer la variante de leur expérience
créer une tâche structural qui demande du temps (tâche d’apprentissage d’incident, même que précédemment)
CONDITION: traitement structural: le mot correspond-t-il à la séquence voyelle-consonne: CCVVC
traitement sémantique: le mot peut-il s’intégrer dans la phrase
preuve en faveur de la théorie, Craik et Tulving
expliquer la variante de leur expérience (les résultats)
temps de réaction plus long pour traitement superficiel
- traitement sémantique s’est avéré plus court
- mais traitement sémantique était plus efficace ( c’est la qualité du traitement qui est critique et non sa durée)
la théorie des niveaux de traitement, limite de la théorie
- degré d’élaboration:
- singularité:
- degré d’élaboration: les codes plus élaboré permettent une meilleure mémoire
- singularité: les codes les plus distinctif entrainent une meilleure mémoire
l’élaboration des code de mémoire
- le rôle de la complexité de l’élaboration
Craik et Tulving, expliquer la tâche et les conditions
tâche: jugement sémantique: est-ce qu’un mot peut compléter une phrase? OUI ou NON
conditions: encodage à 3 niveau de complexité sémantique (1. simple, elle a cuit la. 2. moyen la …mure avait un gout. 3. complexe, la petite dame ramassa la ,,, rouge) rappel non-indicé et indicé
l’élaboration des code de mémoire
- le rôle de la complexité de l’élaboration
Craik et Tulving, expliquer les résultats
la proportion de rappel correcte augmente en fonction de la complexité de l’élaboration
- la performance est meilleure pour les cas OUI et encore meilleure avec le rappel indicé
- un phrase plus complexe = code de mémoire élaboré = meilleur rappel
l’élaboration des code de mémoire
- le rôle de l’élaboration spécifique de Stein et Bransford expliquer la tâche et les conditions
tâche: apprentissage incident de mots inclus dans des phrase (n=10)
condition:
1. contrôle: le gros homme lisait le panneau)
2. élaboration non-spécifique :le gros homme lisait le panneau dont la hauteur était de …
- matériel additionnel sans lien avec le matériel remémoré
3. élaboration spécifique : le gros homme lisait le panneau qui l’avertissait de la minceur de la glace
- info supplémentaire en rapport avec le matériel remémoré
4. élaboration générée : le sujet génère lui-même un élaboration
l’élaboration des code de mémoire
- le rôle de l’élaboration spécifique de Stein et Bransford expliquer les résultats
- contrôle : 4,2 mots
- élaboration non-spécifique : 2,2 mots
- élaboration spécifique : 7,8 mots
- élaboration générée : 5,8 mots
l’élaboration des code de mémoire
- le rôle de l’élaboration spécifique de Stein et Bransford expliquer les conclusion
la précision de l’élaboration spécifique est déterminante pour le rappel
- une élaboration en lien avec les items à encoder favorise un meilleur rappel
- l’élaboration non-spécifique semble nuire au rappel
- élaboration auto-générée; meilleure que non-spécifique
la singularité des codes de mémoire donne quoi?
la singularité diminue l’interférence avec les autres souvenirs
* un item distinctif, un item dont l’apparence ou la signification se distingue des autres
énumérer la classification de la singularité de Schmidt
- singularité primaire
- singularité secondaire
- singularité émotionnelle
- singularisation
qu’est-ce que la singularité primaire?
la différence est relative au contexte immédiat
(ex: table, crayon, assiette, fenêtre)
qu’est-ce que la singularité secondaire?
dépend des info contenue dans la MLT
-un forme orthographique inhabituelle (lymphe khaki afghan) mais disparaît si (lymphe, khaki, afghan)(auditif ou si en majuscule)
qu’est-ce que la singularité émotionnelle
items produisant une forte réaction émotionnelle (flashbulb memory : souvenir d’un évènement important ayant causé une réaction émotionnelle
expliquer le questionnement de la singularité émotionnelle selon Weaver)
- tester mémoire d’un évènement émotionnel et d’un évènement ordinaire 3mois et 1 ans:
- aucune différence au niveau de l’exactitude entre les 2 types de souvenirs
- différence au niveau de la confiance (+grande pour souvenir émotionnel) amygdale
qu’est-ce que la singularisation?
création d’un code de mémoire qui rend un souvenir encore plus distinct des autres
ex: nous nous souvenons des visages sous une forms caricaturé, en exagérant leur trait distinctif afin de les rendre plus singuliers
expliquer pourquoi les codes sémantique > les codes phonémique
le nombre relativement restreint de phonèmes implique que les codes phonémique se chevauchent plus (moins singuliers)
- le nombre de signification est illimité (plus singulier)
l’efficacité d’un indice de rappel dépend de la (…) dans laquelle il établit un bon rapport avec (…) initial d’un items
- mesure
- l’encodage
la relation entre indice de rappel et les caractéristique des trace mnésique: le meilleur indice de rappel est :
un indice qui reproduit le contexte original
ex mémoire en fonction de l’humeur
le rappel est meilleur lorsque les sujet sont testé dans des condition:
reproduisant leur humeur au moment de l’encodage
le principe de spécificité de l’encodage
- Fisher et Craik, expliquer l’expérimentation
tâche: apprentissage incident: encodage de mot dans des jugement différents: par exemple de rime (phonémique) ou d’association (sémantique)
rappel: exemple avec encodage phonémique: indice de rappel: identique, similaire ou différent
HYPOTHÈSE: le contexte d’encodage identique devrait fournir le meilleur rappel, suivi du contexte similaire et le contexte différent sera le mois efficace
l’efficacité d’un indice de rappel dépend de la :
façon dont un mot a été encodé
le traitement approprié au transfert, expliquer
encodage du matériel qui tient déjà compte de la façon dont celui-ci sera utilisé ultérieurement
qu’est-ce que l’acquisition en vue de la résolution de problème?
encodage du matériel sous une forme qui rend utile dans le cadre d’une résolution de problème ultérieur
qu’est-ce que l’acquisition en vue de la restitution des faits?
encodage du matériel sous une forme accentuant la connaissance factuelle et non ses applications
spécificité de l’encodage et traitement approprié au transfert, nommez les similitude et différence
les 2 maximiser la similarité entre encodage et rappel, mais traitement approprié au transfert: étape de l’encodage
spécificité de l’encodage: étape de rappel