cours 5 Flashcards

1
Q

fin cours 4
la reconnaissance d’objets est rapides

A

Des études indiquent que la reconnaissance d’objets se produit en aussi peu que 150 ms.

C’est un laps de temps si court qu’il ne peut pas y avoir beaucoup de rétroaction des zones cérébrales ultérieures.

Processus “feed-forward” : un processus qui effectue un calcul (par exemple, la reconnaissance d’objets) une étape neuronale après l’autre, sans avoir besoin de rétroaction d’une étape ultérieure à une étape antérieure.

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2
Q

cb % de l’info qui arrive dans le LGN quitte pour v1 ?

A

40 %
moins de 0,04% de l’information dans la lumière visible parvient au cortex extrastrié

Donc le monde n’est pas tel que nous le percevons.

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3
Q

solution au pseudo-paradoxe de la perception

A

Les représentations d’objet (mesurées à l’aide d’apprentissage machine et de l’IRMf) sont unique aux individus et prédisent le comportement

Mesure les représentations avec la Representational Similarity Analysis, puis compare les participants pour identifier les idiosyncrasies.

Les représentations d’objets dans le cortex IT peuvent être perçues comme une “empreinte” qui reflète nos différences individuelles en lien avec nos expériences uniques.

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4
Q

ce qu’on voit d’une scène visuelle

A

Stade olympique pas description complète de la scène visuelle

Peut pas juste avec catégorie de l’objet
Doit faire phrase descriptive = richesse de l’image

objet animé ou inanimé
encombré ou non

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5
Q

Mouvements oculaires et diète visuelle

A

À chaque instant de notre vie, on échantillonne notre environnement environ trois à cinq fois par seconde par des mouvements oculaires saccadés.
- Saccade oculaire = prend échantillon environnement
- Échantillon = scène visuelle

Chaque fixation produit une scène, une riche collection d’objets, de surfaces, d’agents, de structures, de textures et de couleurs.

Différents types de scènes émergent, notamment séparées en deux catégories principales.

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6
Q

2 catégories de scènes visuelles

A

Scène urbaine et rurale

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7
Q

les scènes naturelles (4)

A

Paysages : Montagnes, forêts, plages, déserts, prairies. Ces scènes évoquent typiquement des émotions et souvenirs distincts, s’appuyant fortement sur l’agencement spatial, la couleur et les textures naturelles.

Étendues d’eau : Océans, lacs, rivières, chutes d’eau. Le mouvement de l’eau ajoute des aspects dynamiques à la perception des scènes, ainsi que des reflets et des paysages sonores uniques.

Conditions météorologiques : Journées ensoleillées, pluie, neige, brouillard. Les phénomènes atmosphériques ont un impact significatif sur notre perception des scènes, affectant la visibilité, les conditions de lumière et l’esthétique générale.

Biomes : Savanes, forêts tropicales, récifs coralliens. Reconnaître des biomes spécifiques implique d’intégrer des informations sur la végétation, la vie animale et les caractéristiques du terrain.

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8
Q

scènes artificielles (4)

A

Environnements urbains : Rues, bâtiments, places, parcs. Ces scènes nécessitent le traitement de relations spatiales complexes, d’indices de navigation et d’interactions sociales.

Environnements intérieurs : Maisons, bureaux, cafés, bibliothèques. La reconnaissance implique de comprendre les activités humaines et la fonction des différents espaces en fonction du mobilier, de la décoration et de l’agencement.

Lieux culturels : Bâtiments religieux, monuments historiques, musées. Ces scènes déclenchent souvent des connaissances et émotions spécifiques associées à une importance culturelle.

Scènes dynamiques : Carrefours, marchés bondés, événements sportifs. Le traitement de ces scènes nécessite des changements rapides d’attention et l’intégration des informations de mouvement dans la compréhension de la scène.

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9
Q

différence entre reconnaissance des scènes et reconnaissance des objets ?

A

Impliquent deux processus cognitifs distincts, chacun jouant un rôle crucial dans notre interaction avec l’environnement.

La principale différence entre ces deux processus réside dans la manière dont notre cerveau traite et interprète les informations visuelles.

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10
Q

qu’est ce que la reconnaissance d’objet implique ?

A

Ce processus implique l’identification et la catégorisation d’éléments individuels dans notre champ visuel, tels que des objets, des personnes ou des animaux.

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11
Q

La reconnaissance d’objets se concentre sur quels les caractéristiques spécifiques de ces éléments ?

A

la forme,
la taille,
la couleur,
la texture

C’est par le traitement de ces caractéristiques que l’on peut distinguer les objets les uns des autres.

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12
Q

quelle est une autre différence entre la reconnaissance d’objet et de scène ? (complexité)

A

Contrairement à la reconnaissance d’objets, la reconnaissance des scènes englobe une compréhension plus large et plus globale de l’environnement visuel.

Elle ne se limite pas à identifier des éléments individuels, mais inclut également l’interprétation du contexte, la compréhension des relations spatiales entre les objets, et la capacité à saisir le sens global ou l’essence d’un environnement.

Les scènes sont souvent complexes et contiennent de multiples objets qui interagissent dans un espace partagé, ce qui nécessite une intégration des informations visuelles à un niveau supérieur

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13
Q

quel est le rôle du contexte ?

A

Le contexte:
Joue un rôle crucial dans la reconnaissance des scènes, car il fournit des informations supplémentaires qui aident à interpréter les objets dans leur environnement.

  • Par exemple, voir une tasse sur une table dans une cuisine est attendu, ce qui facilite la reconnaissance de la scène comme une cuisine.

Aide à prédire quels objets sont susceptibles d’être présents et comment ils sont disposés, améliorant ainsi notre capacité à comprendre et à interagir avec notre environnement.

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14
Q

quel est le rôle des relations spatiales ?

A

Font référence à la disposition et à l’organisation des objets dans l’espace.

Comprendre la disposition des objets est essentiel pour interpréter une scène.

Ces relations aident à déterminer la structure d’une scène et à comprendre comment naviguer ou interagir avec l’environnement.

Par exemple, la reconnaissance qu’une chaise est sous une table peut indiquer un espace de salle à manger et influencer notre interaction avec cet espace (par exemple, en tirant la chaise pour s’asseoir).

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15
Q

qu’est ce que la théorie des affordances ?

A

Cette théorie met l’accent sur l’information “affordée” par l’environnement pour l’action.

La reconnaissance des scènes ne se base pas sur une analyse détaillée des éléments visuels, mais sur la perception des affordances, c’est-à-dire les possibilités d’action offertes par l’environnement

Cette théorie explique bien la rapidité et l’efficacité de la reconnaissance des scènes dans la vie quotidienne.

Cependant, elle ne prend pas en compte la capacité à reconnaître des scènes complexes ou ambiguës

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16
Q

théorie autour traitement info:
qu’est ce que la théorie des images intrinsèques ? (Harry Barrow)

A

Une image peut être décomposée en un ensemble d’« images intrinsèques », chacune représentant une propriété fondamentale de la scène qu’elle dépeint.

Ces propriétés incluent :
- Réflectance : La proportion de lumière réfléchie par les surfaces de la scène (albédo).
- Illumination : La quantité et la direction de la lumière tombant sur les surfaces.
- Distance : La distance des surfaces par rapport à la caméra (profondeur).

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17
Q

théorie autour traitement info:
qu’est ce que la théorie des composantes ? (Biederman)

A

Tout comme dans la reconnaissance des objets, la théorie des composantes de Biederman joue un rôle dans la reconnaissance des scènes.

On peut reconnaître une scène rapidement de par les relations entre les objets qui la constituent.

18
Q

5 classes de relations entre les objets selon biederman

A

l’Interposition (les objets interrompent leur arrière-plan).

le Support (les objets ont tendance à reposer sur des surfaces).

la Probabilité (les objets ont tendance à se trouver dans certaines scènes mais pas dans d’autres).

la Position (étant donné qu’un objet est probable dans une scène, il est souvent trouvé dans certaines positions et pas dans d’autres).

la Taille familière (les objets ont un ensemble limité de relations de taille avec d’autres objets).

19
Q

théorie autour traitement info:
qu’est ce que la théorie des propriétés de l’enveloppe spatiale ? ( Olivia)

A

scène-Gist:
Un modèle computationnel de la reconnaissance de scènes du monde réel qui ne repose pas sur la segmentation et le traitement d’objets ou de régions individuels.

Identifie un ensemble de dimensions perceptuelles (naturalité, ouverture, rugosité, expansion, rudesse) qui représentent la structure spatiale dominante d’une scène.

Ces dimensions peuvent être estimées de manière fiable en utilisant des informations spectrales et grossièrement localisées.
Le modèle génère un espace multidimensionnel dans lequel les scènes partageant une appartenance à des catégories sémantiques (par exemple, rues, autoroutes, côtes) sont projetées à proximité les unes des autres.

La performance du modèle d’enveloppe spatiale montre que des informations spécifiques sur la forme ou l’identité des objets ne sont pas une exigence pour la catégorisation des scènes et que la modélisation d’une représentation holistique de la scène informe sur sa catégorie sémantique probable.

20
Q

qu’est ce que la théorie de la grammaire des scènes ? (Melissa Vo)

A

Désigne les règles structurelles et les relations sémantiques au sein d’une scène qui guident notre perception et compréhension.

Elle nous permet de déchiffrer des scènes complexes en identifiant comment les objets interagissent et se rapportent les uns aux autres dans des contextes spécifiques.

Ce concept aide à expliquer notre capacité à interpréter rapidement les scènes, à reconnaître les anomalies et à anticiper la position des objets, même dans des environnements inconnus.

La grammaire de scène joue un rôle clé dans l’allocation de l’attention, la mémoire des objets et de leurs emplacements, et le traitement cognitif des informations visuelles.

21
Q

résultat de l’expérience de trouver la craie

A

Seulement 14% de la scène est couverte. Donc une économie de 86%!

Notre connaissance de la localisation habituelle des objets dans une scène nous permet de faire des prédictions efficaces et très rapides.

22
Q

qu’est ce que la théorie de rapid serial visual presentation ? (Mary C potter)

A

Avec seulement 13 ms de présentation, on peut facilement détecter dans une séquence rapide de scènes, la scène du mariage.

Dans cet exemple, par contre, il est nécessaire de connaître d’abord la cible.

Les travaux de Molly Potter ont un impact majeur dans notre compréhension de la reconnaissance des scènes.

23
Q

selon Simon Thorpe le cerveau a besoin de cb de sec pour différencier des scènes de différentes catégories ?

A

moins de 150 ms

24
Q

Vrai ou Faux ? encore selon Thorpe en moins de 120 ms, une saccade oculaire est faite vers la scène d’une catégorie spécifique ?

25
Les régions impliquées dans la reconnaissance des scènes ? (5)
- le lobe occipital - cortex parahipocampique - cortex inférotemporal - cortex rétrosplénien - cortex préfrontal médian
26
lobe occipital
Traite les informations visuelles de base comme les lignes, les couleurs et les textures. Les premières étapes du traitement de la scène se déroulent ici.
26
le cortex parahippocampique
Joue un rôle crucial dans le traitement de la disposition de la scène, des relations spatiales et de l'essence d'une scène
27
expérience PPA et une pièce ?
- Région préfère - Contraste de scène - Présenté différent type de scènes qui varient selon nb objets par exemple - Comptait c'est arrangement spatial = grammaire de la scène - Cortex parahippocampique
28
le cortex inférotemporal
Impliqué dans la reconnaissance d'objets et contribue à la compréhension de la scène en identifiant les objets dans la scène.
29
le cortex rétrosplénien
Intègre les informations spatiales de différentes zones, facilitant la navigation et la compréhension de la scène - Contribuer à la facilitation de la navigation et reconnaissance
30
cortex préfrontal médian
Intègre divers aspects du traitement de la scène (objets, disposition spatiale, contexte) avec les connaissances et les souvenirs antérieurs, ce qui permet la compréhension de la scène - Prise de décision
31
travaux dans le laboratoire sur la reconnaissance de scènes
Démontrer représentation de haut niveau Ensemble de donnée IRMFf (très bon spatial) 5 participants et 73 milles scènes visuelles (bcp de scènes) Comment pourrait représenter ses scènes mieux qu'une collection objets ? Conclusion phrase descriptive dans modèle de langage pourrait amener la Images venait d'une banque Chaque image avait une phrase descriptive
32
qu'est ce que les mécanisme de géolocalisation ? (3)
Cellules de lieu hippocampiques. Cellules de direction de la tête. Cellules de grille.
33
les cellules de lieu hippocampiques (John O'Keefe)
S'activent à des endroits spécifiques d'une scène, contribuant à la navigation spatiale et à la reconnaissance de la scène
34
cellules de direction de la tête (Jeff Taube)
Les cellules de direction de la tête (CDT) sont un groupe spécialisé de neurones trouvés dans des zones du cerveau telles que le thalamus, le cortex entorhinal et le cortex rétrosplénial. Elles jouent un rôle crucial dans la navigation spatiale en fournissant au cerveau un signal constant de l'orientation de notre tête dans l'espace, agissant comme une boussole interne.
35
les cellules de grille (Edvard Moser et May-Britt Moser)
Trouvées dans le cortex entorhinal, elles forment une représentation en grille de l'espace, contribuant à la navigation dans la scène et aux cartes mentales.
36
expérience cellule grille
Cellule mesure active pas à un lieu spécifique mais a une collection de lieu  Certaine organisation spatiale en grille 
37
expérience mécanisme géolocalisation
Effet popcorn Lorsque cellule répondent entend signaux sonne comme du popcorn Cellule grille agisse comme GPS interne
38
Vrai ou faux ? John O’Keefe, Edvard et May-Britt Moser reçoivent en 2014 un prix Nobel pour leur découverte des cellules de lieu et des cellules de grilles ?
Vrai
39
les cellules de bordures
Les cellules frontalières sont un autre groupe fascinant de neurones trouvés dans la formation hippocampique, spécifiquement dans des régions comme le subiculum, le présubiculum et le cortex entorhinal. Elles jouent un rôle distinct dans la navigation spatiale en codant la présence de limites environnementales, agissant essentiellement comme des gardiens des bords au sein de notre carte mentale - Surtout subiculum, pré subiculum et cortex entorhinal - Mette toutes les cellules = système complet permet naviguer dans notre environnement