Cours 5 Flashcards

1
Q

Dès l’enfance, la personne se construit dans une incessante confrontation entre l’identique et l’altérité, la similitude et la différence.

C’est quoi qu’on veut dire par la?

A

Il faut ainsi parfois minimiser l’affirmation de soi et assumer les règles collectives pour faciliter sa propre intégration sociale.

Toujours une question d’équilibre à refaire.

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2
Q

“Chacun a besoin d’être original, de ne ressembler à aucun autre, mais aussi, pour être reconnu par les autres, intégré dans des groupes ou des communautés, de développer des objectifs communs, de croire ensemble, de développer des valeurs communes “

On fait référence à quoi dans l’identité?

A

être comme quelques uns, et, sans doute aussi, plus ou moins comme tout le monde dans une dynamique intégrative, plus ou moins assimilatrice

Le besoin d’être identique aux autres et différent à la fois

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3
Q

Dans ce contexte, pour construire sa propre identité, l’enfant va devoir apprendre à se décentrer pour établir des relations de réciprocité avec les autres.

On veut dire quoi par la?

A

Il doit arrêter de croire que le monde tourne autour de lui. Des habiletés cognitives qui se développe, fonction cognitive qui se développe, on réalise des choses et on voit qu’il y a d’autres éléments autour de nous.

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4
Q

La notion de décentration telle qu’évoquée par Piaget est d’abord ___

A

cognitive

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5
Q

Quels sont les 2 types de décentration?

A

cognitive
affective

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6
Q

C’est quoi la décentration cognitive?

A

dépasser l’égocentrisme pour accéder à la réversibilité opératoire (pensée formelle) et à la logique des propositions). Comprendre qu’on est un élément parmi tant d’autre.

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7
Q

C’est quoi la décentration affective?

A

(dépasser les affects intuitifs fondés sur la contrainte et l’obéissance pour accéder aux affects normatifs développés à partir du respect mutuel, de la réciprocité et de la coopération).

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8
Q

C’est quoi les affects intuitif?

A
  • Au début enfant obéisse par contrainte, peur de la punition, sa serait comme une émotion cette peur, spontanément c’est le premier outil et sa lui permet de s’intégrer minimalement.
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9
Q

C’est quoi les affects normatif

A

normatif : transgresser les normes nous fait sentir coupable. On a pas besoin d’une entité qui nous punit, on se punit nous-même, culpabilité et honte (affect normatif). Nous permet d’agir en fonction des normes de la société.

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10
Q

Cette double décentration (cognitive et affective) amène l’enfant à ___ et __.

A

élargir ses perspectives identitaires et à construire sa personnalité.

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11
Q

La question du changement identitaire trouve sa réponse dans la dynamique particulière des rapports entre ____ et l’identification à des personnes, à des valeurs, à des croyances (_____)

A

l’identité personnelle
(identité collective).

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12
Q

L’identification est l’histoire de la cavalcade (suite plus ou moins sans fin) des identifications dont il faudra toujours, comme autant d’illusions, se défaire pour se (re)faire.

on veut dire quoi par la

A

c’est le processus de se défaire de des identification pour ensuite t’en refaire des nouvelles.

Tu crois que ton identité est stable, mais au final elle est dynamique

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13
Q

La fiction d’un soi tout puissant postule quoi?

A

que l’humain croit pouvoir avoir toute, on croit qu’on est stable dans ton identité, mais au final non

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14
Q

La principale fonction de la mémoire humaine serait plutôt …

A

de raconte des histoire pour que nos souvenir soit cohérent, réduire niveau anxiété et garder un bon équilibre.

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15
Q

Le rôle du récit chez l’enfant et dans la mise en scène de son identité. C’est quoi?

A

Le langage donne la capacité d’utiliser des mot pour se définir, se comprendre, pour parler de leur émotions et créer ton identité. Si tu as pas de langage, tu peux pas te créer un identité précise et complexe.

donc construction de l’identité avec l’appropriation du langage.

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16
Q

identité narrative s’articule autour de 3 choses. Lesquelles + explique le lien.

A

réalité, fiction (perception) et récit (cohérence).

le récit c’est ce qui reste après le ménage, ce qui est cohérent de tes perceptions de la réalité objective.

17
Q

En termes identitaires, on met ici l’accent sur deux aspects important:

  1. L’importance du langage et de la communication, en particulier l’importance du récit dans la construction identitaire

On veut dire quoi par la?

A

donner du sens comme dans la construction d’un roman.

Tu as besoin d’avoir un langage pour te former un script de ton histoire

18
Q

En termes identitaires, on met ici l’accent sur deux aspects:

  1. Le soucis de soi qui peut être perçu négativement (narcissisme, besoin de notoriété, etc.) ou positivement (l’intérêt de la compréhension et de la connaissance de soi) et, grâce à cet intérêt, la décentration, l’intérêt porté aux autres (essentiel à la connaissance véritable de soi (entre autres en lien avec les processus de comparaison)).

on veut dire quoi par la

A

Le besoin de comprendre ta personne, cette curiosité à te connaître. Pour te connaître, tu te compares aux autres. Grâce à cet intérêt de se comprendre, l’intérêt pour les autres se développe.

l’intérêt : toi –> autre

connaissance : autre –> soi

19
Q

 Ici, l’identité se caractérise en termes dynamiques (en mouvement), par la présence simultanée et concurrentielle (en même temps et s’oppose) dans le récit d’une exigence de concordance, d’unité dans la mise en intrigue (donner du sens, une signification qui vient lier tout cela) et de discordance qui, jusqu’à la clôture du récit, mettent en péril cette identité.

on veut dire quoi par la?

A
  • Besoin de sentir identité stable (concordance), mais pas la sentir définitive (discordance). Je dois être en mesure de retrouver éléments de discordance, croire que mes actions peuvent avoir une influence.
20
Q

Dans nos sociétés, tout comportement inégalitaire est interprété comme un comportement___, ____ (racisme, homophobie, etc.).

A

transgressif de l’ordre, de la non-moralité

21
Q

L’exclusion est ainsi vécue comme une ____

A

maltraitance injuste.

22
Q

Comment Carl Rogers à reflété la flexibilité et l’adaptation?

A

Carl Roger c’est intéressé à ces questions. Nous rapporte à l’empathie. Roger disait que la principale compétence était l’acceptation + inconditionnelle, la capacité du thérapeute à abandonner son propre cadre de référence pour adopter lui du client. Montre de la flexibilité et de l’adaptation. Notion d’empathie.

23
Q

Plus que 2 personnes ne se ressemble pas au niveau de l’identité, = plus c’est difficile d’être empathique. Pourquoi?

A

Plus l’autre est différent de point de vue, choix, comportement, attitude, plus c’est difficile d’abandonner mon cadre et voir son point de vue.

Plus écart identitaire et culturelle = plus relation demande un effort empathique et flexibilité. On augmente les défi de l’empathie.

24
Q

On dira qu’un système est intégré s’il y a de la ___, de la ___ dans l’articulation, et ____ entre les sous-systèmes. Chacun de ces sous-systèmes conservant une identité, une position et une fonction différenciées.

A

souplesse
flexibilité
interdépendance fonctionnelle

tu veux un équilibre entre pareille pour travailler ensemble, mais différent aussi car c’est des valeurs ajouté.

Capacité des uns et autre à reconnaitre différence et de les voir comme une richesse. Voir ces différence comme permettant d’améliorer nos richesses, s’améliorer.

25
Q

La véritable intégration ne peut donc être confondue ni avec ___(où les sous-systèmes ne seraient plus différentiés), ni avec la ___

A

l’assimilation

différenciation individualiste

26
Q

Il a 3 grandes stratégies pour diminuer les préjugés, discrimination. Lesquelles?

A
  1. Stratégie d’information : Donnée informations au gens, conférences
  2. Stratégie de contact : faire cohabiter des gens de vision et origine différente. On ne force pas interaction, juste la logique d’être ensemble
  3. Stratégie d’interaction : gens d’origine, culture différente et travailler a des projets commun. Ce sont les plus efficace pour réduire préjugés.
27
Q

L’intégration est évidemment incompatible avec l’exclusion pourquoi?

A

implique la possibilité d’accueillir de nouveaux membres qui pourront tisser des liens et gérer des fonctions en relation avec les anciens.

28
Q

Le terme d’intégration est utilisé à propos de l’accueil des personnes immigrantes mais il s’applique théoriquement à tous les …

A

groupes et institutions (famille, école, entreprise, quartier, etc.).

29
Q

La flexibilité est donc l’une des caractéristiques d’un système __.

A

intégratif.

30
Q

Au niveau individuel, comment peut se définir la flexibilité?

A

elle peut être définie comme l’habileté de l’individu à développer de nouvelles stratégies et à abandonner les anciennes si elles sont devenues inefficaces, non pertinentes ou dangereuses, ce qui va favoriser une bonne adaptation.

C’est au niveau des stratégies que tu adoptes pour favoriser ton adaptation.

31
Q

Cette souplesse adaptative implique la capacité de ____, à ____ (dans le partage de l’espace public par exemple).

A

faire des concessions

composer au mieux avec des exigences contradictoires

32
Q

Il ne fait aucun doute que les ___ et ____dont bénéficie ou que subit la personne dans ses différents milieux de vie jouent un rôle majeur dans sa façon de percevoir, d’assumer, de dépasser ou de rejeter l’exclusion dont elle est victime (ou dont elle a le sentiment d’être victime).

A

conditions d’existence et les styles relationnels

33
Q

Il faut chercher à comprendre comment les individus vivent la situation d’exclusion (réelle ou perçue), de quelles ___ ils disposent et quelles ___ ils développent (ou peuvent développer)?

A

ressources
stratégies

34
Q

Si l’individu peut lutter ou non efficacement contre l’exclusion dont il est victime, il importe de voir comment il se sert de ses ressources internes.

Nommes 2 choses utiles

A

(résilience: capacité de contrôle et de réflexion critique de la situation;

coping : capacité de composer positivement avec son stress; etc.).

35
Q

Le soutien social face à l’exclusion

Il est aussi important pour ceux qui désirent l’aider de voir quel est l’effet de l’aide qu’il reçoit ou qu’il peut recevoir (ressources externes).

on veut dire quoi par la?

A
  • Premier réflexe est toujours de se mettre dans la peau de l’autre, mais sa peut être dangereux et devenir inefficace. Donc on doit être empathique dans ce cas.
36
Q

 Les conflits facilitent la dynamique subjective (être sujet, non assujetti, non aliéné (ne pas se perdre et garder un équilibre)) et la capacité personnelle de faire des choix, de s’orienter par des projets, de donner sens à ses difficultés (sans oublier que l’individu a toujours des difficultés à faire des choix).

on veut dire quoi par la?

A
  • On nous dit : arrêtons de voir les conflits comme la fin du monde. Les conflits c’est une occasion de se remettre en mouvement, prise de vue. On doit les voir comme de l’information, façon de voir que des gens ne sont pas content, des opportunités. Ensuite essayons de s’entendre.
37
Q

 Plusieurs auteurs évoquent le fait que le même processus psychologique peut aboutir au meilleur ou au pire en termes moraux ou sociaux.

explique plus en détail

A
  • Esprit humain a besoin de ses défenses, il ne peut pas toujours se remettre en question. Si ces mécanismes prennent toutes la place, on devient avec incapacité de se remettre en question. Incapable d’un minimum de flexibilité et d’adaptabilité.
38
Q

 De plus, tout cela implique l’acceptation d’une complexité où l’un n’est pas tout noir et l’autre tout blanc, où chacun est, à la fois, en quête d’amour, de pouvoir et de reconnaissance et, où l’histoire personnelle se tisse à partir du lien social et de processus narcissiques (tout cela de façon indissociable).

on veut dire quoi par la?

A
  • On est dans un monde de perception, une des premières chose qu’on doit reconnaitre c’est d’arrêter d’essayer de se convaincre qu’on est dans réalité objective. Les perceptions de soi-même et des autres deviennent déterminantes, aussi la capacité d’adaptation et de flexibilité. Donc arrêter d’être autant objectif.