Cours 4 : Évaluation et intervention auprès des jeunes Flashcards
les infractions les plus communes que l’ado commet à une loi fédérale
- Loi sur les drogues;
- Loi sur les contraventions
Les droits de l’ado lors de l’arrestation
-Silence -Avocat -Savoir pourquoi - L’accompagnement(parent ou adulte)
v ou f: l’ado a plus de droits que l’adulte lors de l’arrestation
faux, l’ado a les même
v ou f :80% sont des garçons en LSJPA
v
pour quelle raison le policier ne donne aucune mesure
car l’arrestation est assez
l’ado en lsjpa commet une infraction à une loi…
fédérale
les 3 options des mesures extrajudiciaires
1-aucune mesure
2-avertissement
3-renvoi à un programme ou à un organisme communautaire en collaboration avec les OJA
pour qu’elle raison on demanderait la détention avant comparution
1-La gravité de l’infraction ou des procédures en cours
2-Le risque pour l’adolescent de ne pas se présenter au tribunal
3-Rien n’est possible dans la communauté pour assurer la protection du public
quand le dossier du jeune est dans les mains du dpcp qu’elles sont leurs 3 options
1-fermer le dossier du jeune
2-envoyer le jeune vers le programme de sanctions extrajudiciaires
3-autoriser la poursuite
c’est quoi les sanctions extrajudiciaires
des sanctions données par le DP. Dans le cadre de ce programme, ce sont les intervenants sociaux (du CIUSSS) qui rencontrent les ado
les objectifs des sanctions extrajudiciaires
-conscientisation
-éducation
-responsabilisation
c’est quoi les avantages des sanctions extrajudiciaires
-intervention rapide et efficace
-favorise la participation de la collectivité
v ou f : une minorité d’ado vont devant le dpcp et reçoivent des sanctions extrajudiciaires
faux, une majorité
v ou f : une minorité de jeunes complètent avec succès leur sanction
faux, une majorité à 94%
c’est quoi trajet
c’est l’organisme qui est principal collaborateur pour la mise en place des mesures et sanctions extrajudiciaires. Ils s’occupent de trouver l’endroit ou placer le jeune pour ses travaux et collaborent avec les délégués jeunesses.
la différence entre les travaux communautaires et bénévoles
dans les travaux bénévoles le jeune remet à la communauté sans contrainte légales officielles et les travaux communautaires le jeune a une ordonnance de cour qui l’oblige à faire les travaux
v ou f : les travaux communautaires et bénévoles ont les même conséquences
faux, les conséquences sont différentes allant de rien à de la garde
v ou f: les travaux sont différents dépendamment si c’est bénévole ou communautaire
faux, les travaux sont les mêmes
le jeune qui comparaît devant le juge est devant quelle cour
cour du québec, chambre de la jeunesse
si le jeune est détenu, la comparution doit se faire à l’intérieur de combien de temps
dans les 24h, il y a des comparutions 6 jours sur 7 pour permettre le respect de ces délais. La loi prévoit par contre le prolongement de la détention pour les jours fériés ou l’arrestation du samedi soir.
c’est quoi l’assujettissement
c’est une étape facultative, mais dans la majorité des cas ça n’arrive pas soit que ce soit la peine applicable aux adultes
à quelle étape le jeune enregistre son plaidoyer de culpabilité
à l’étape de l’assujettissement soit de plaider coupable ou non coupable
quel est le minimum de la peine pour qu’on considère l’assujettissement
minimum de 2 ans
v ou f : le procès des ados est différent que celui des adultes
faux, il se déroule de la même manière
à quel étape on retrouve le rapport prédécisionnel(rpd)
à l’étape du procès
qui prépare le rpd
le dp, (un délégué jeunesse qui le fait au nom du dp)
à quoi sert le rapport prédécisionnel
c’est un outil qui permet au juge de mieux connaître la situation personnelle de l’ado. Ça vise à l’aider à rendre une peine approprié
c’est quoi un rpd
une évaluation différentielle du jeune traduite dans un rapport de 10 pages. Il y a une collecte d’infos prévue par la loi soit qui se fait auprès du jeune, des parents, des membres de sa famille rapprochés (si pertinent), un entretien avec la victime, l’école ou l’employeur. Le contenu est une évaluation différentielle et les recommandations du professionnel
c’est quoi de la délinquance épiphénoménique
de la conduite délinquantes occasionnelles ou de transition qui font partie du développement normal pendant l’adolescence
c’est quoi la délinquance distinctive
conduites délinquantes chez un ado dont les difficultés personnelles sont si grandes qu’elles amènent un engagement délinquant
c’est quoi qui permet de distinguer les 2 types de délinquance
l’évaluation différentielle
c’est quoi les 2 types de délinquance
délinquance distinctive et délinquance épiphénoménique
c’est quoi les objectifs de l’évaluation différentielle
1.examiner le comportement de l’ado dans les différentes sphères de sa vie
2.faire une prédiction quant au risque de récidive
3.déterminer quels services seraient les plus appropriés pour le jeune
qu’est ce qu’on regarde dans l’évaluation différentielle
1-les caractéristiques personnelles du jeune
2-la signification du geste commis
3-la réceptivité de l’adolescent et de son milieu
v ou f: les dp ne sont pas obligé de se baser sur une intervention différentielle de la situation
faux, toute les interventions faites auprès d’ado dans le cadre de la LSJPA doivent être basées sur une intervention différentielle
v ou f: il faut seulement faire l’évaluation différentielle à certains moments
faux, on doit se permettre cette évaluation à toute les phases de l’intervention
2 caractéristiques de l’évaluation différentielle
continue et individualisée
dans l’évaluation différentielle, c’est quoi par rapport au délit qu’il faut noter
-la nature
-gravité
-circonstances
-degré de participation
-raisons
dans l’évaluation différentielle, par rapport à la délinquance du jeune, c’est quoi qu’il faut noter
-judiciarisation passé mais aussi non-officielle
-précocité
-persistance
-l’aggravation
-polymorphisme
v ou f : au rpd on retrouve les charges ainsi que la description factuelle du délit et de la participation du jeune
v
dans le rpd, les facteurs sur la délinquance du jeune se retrouvent dans quelle section
dans l’analyse (sauf les judiciarisation passées qui sont listées en début de rapport)
dans le rpd, les facteurs sur la personnalité de l’ado se retrouvent dans quelle section
dans l’analyse
dans l’évaluation différentielle, qu’est qu’on évalue sur la personnalité de l’ado
-la manière dont il réagit face à une frustration
-comment il exprime son mécontentement
-son positionnement face à l’autorité
-ses capacités d’adaptation
-demande (et accepte)-t-il de l’aide
dans le rpd, les facteurs sur la famille se retrouvent dans quelle section
dans la partie sur l’histoire de vie du jeune
dans l’évaluation différentielle, qu’est ce qu’on évalue par rapport à la famille
-les relations entre les membres
-capacités parentales
-les valeurs de la famille
-les forces et les faiblesses du milieu
v ou f: dans le rpd il n’y a pas de section scolaire
faux, il y a une section à cet effet
dans l’évaluation différentielle, qu’est ce qu’on évalue au niveau scolaire
-le comportement de l’ado
-son rendement
-relation avec les autres étudiants et professionnels
-niveau, retard (si l’ado ne va pas à l’école mais travaille on le fait avec l’employeur)
v ou f: dans le rpd, la section sur la vie sociale fait partie de l’analyse
faux, de l’analyse ou de l’histoire de vie du jeune
dans l’évaluation différentielle, qu’est ce qu’on évalue au niveau de la vie sociale
-qui sont ses amis
-ses loisirs
-il est ou quand il est pas à la maison
v ou f: dans le rpd, la consommation n’est pas obligatoirement présente car elle est personnelle
faux, ces infos doivent s’y retrouver
dans l’évaluation différentielle, qu’est ce qu’on évalue au niveau de l’histoire de consommation
-évaluation de la conso
-effet de la conso sur les différentes sphères de vie du jeune
dans l’évaluation différentielle, qu’est ce qu’on évalue au niveau du développement sexuel
-les comportements sexuels du jeune (dans le cas d’un délit à caractère sexuel)
dans l’évaluation différentielle, qu’est ce qu’on évalue au niveau du risque de récidive
-le professionnel se prononce sur le risque de récidive selon les outils cliniques
-on prend en considération les facteurs de protection du jeune
v ou f: on attribue une section particulière au rapport pour nommer les facteurs de protection
faux, les facteurs de protection sont nommés dans les différentes sections du rapport
c’est quoi le yls-cmi
l’outil principal utilisé pour faire l’évaluation du risque de récidive de l’ado. c’est l’outil le plus actuel, il a ses limites mais fait ses preuves pour l’instant. il explore aussi les volets mentionnés dans les diapos précédentes et l’addition des facteurs de risque donne un pointage qui permet d’évaluer le risque de récidive.
les 3 principes du modèle r-b-r
1-principe du risque: adapter le niveau de service au risque de récidive du délinquant
2-principe des besoins: évaluer les facteurs criminogènes faire une intervention ciblée sur ces derniers
3-principe de la réceptivité: adapter l’intervention au délinquant. Tenir compte de son style d’apprentissage, sa motivation, ses aptitudes et ses points forts
-il a été prouvé que la récidive diminue en agissant sur ces 3 facteurs
c’est quoi les forces dans le modèle rbr
les facteurs de protection
ça veut dire quoi une évaluation structurée dans le modèle rbr
d’utiliser des outils qui ont fait leur preuve pour faire l’évaluation
c’est quoi une dérogation clinique dans le modèle rbr
peut être utilisée dans des cas ou il y a des raisons sérieuses de croire que l’évaluation n’est pas exacte
v ou f : l’évaluation en milieu fermé est plus performante
faux, plus exacte en milieu ouvert, dans la collectivité
v ou f: il n’est pas nécessaire pour les intervenants d’avoir du savoir
Faux, leur savoir et savoir-être leur permettent de comprendre l’évaluation qui est faite et de mener une intervention
v ou f : en lsjpa le jeune est vu comme un délinquant
faux, à l’introduction des services sociaux, le délinquant n’est pas qu’une délinquant et l’intervention ne sert pas juste à le neutraliser mais il y a une réadaptation qui est nécessaire
qu’est ce qui se dit sur les théories psychologiques par rapport au modèle rbr
que les ateliers qu’on fait faire aux délinquants doivent avoir fait leurs preuves
qu’est ce qu’on dit par rapport à l’envergure dans le modèle rbr
que les animations touchent le plus de facteurs de risque possibles
pourquoi on doit tenir compte des facteurs risque, besoin et réceptivité
car ça donne de l’info sur le risque de récidive lors de l’évaluation de la situation