cours 4 déficits cognitifs et trbles associés 1/2 Flashcards
quels sont les différents niveaux pour interpréter des déficits ?
- conseq sociales
- comportemental
- cognitif
- biologique
- -> environnement qui joue role protecteur ou de facteur de risque a tous les niveaux
pourquoi les modèles à cause unique posent-ils problème ?
Ne permettent pas d’expliquer :
- la variabilité qualitative et quantitative
- la variabilité développementale, l’expression du trouble au cours du temps
- le phénomène de comorbidité : si dysL et TDA, n’explique qu’un des 2
pennington : modèle à déficit multiple
- étiologie des trbles comportementaux sont multiples et complexes –> interaction de facteurs de risque/protection, génétiques et environnementaux
- aucun facteur étiologique seul peut créer un trouble, car sinon va être compensé
- fort risque de comorbidité entre trbles comportementaux car partagent même facteurs de risque cognitifs et étiologiques
- distribution des responsabilité est continue et quantitative (vs unique et catégorielle), un seuil serait arbitraire
influence des processus dans modèle de pennington
différentes couches :
- niveau génétique : facteurs de risque/protection GxE
- système neuronaux, influence des neurones entre eux –> pléiotropie (rien ne se développe seul)
- processus cognitifs
- trbles comportementaux : trbles comorbides
- -> interaction inter-niveaux mais aussi intra-niveaux
développement atypique du cerveau DAC
- avec dev de la technologie, on a pu voir qu’il n’y avait PAS de lésions dans le cerveau
- pas une dysfonction du cerveau, juste atypie, orga différente du cerveau
- atypie serait congénitale ou précoce, enfant nait avec ca
- permettrait d’expliquer aussi pq certains sont extremement bons
le DAC permettrait d’expliquer …
- principe d’hétérogénéité –> pas de correspondance 1:1 entre lésion et trouble
- principe comorbidité –> si atypie du cerveau, qqch de diff ne peut aps toucher qu’un seul domaine
- cette variabilité naturelle du cerveau pourrait etre un trouble dans certaines cultures mais très adaptée et valorisée dans d’autres
quels sont els troubles associés et secondaires aux TAp?
- troubles associés/comorbidité (mais pas systématique !) : TDL, TDAH, TAp du nbre, trble d’acquisition coordination motrice
- trbles secondaires : démoralisation, faible estime de soi, dépression, cmpt d’opposition
- -> si déficit du SNC, ne peut pas toucher qu’un seul domaine
- -> parfois trbles secondaires qui prennent bcp de place donc se demander quelle est la priorité thérapeutique ?
capacités en lecture sous tendues par :
- compréhension texte/phrases : lexique, grammaire, discours
- identification mot : DRA, mct phono, cs phono
relation dyslexie et TDL ?
forte comorbidité entre LO et LE (testés en lecture + syntaxe + sémantique)
50% des enfants avec dyslexie, réunissent les caractéristiques pour avoir aussi diag TDL
- -> mais autre 50% non, aussi indépendance entre les 2 troubles
- -> chevauchement entre els 2 domaines
différence entre dylexie et TDL
TDL toucherait phono, lexique, grammaire, discours VS dyslexie toucherait phono pure
Modèle développemental de Scarborough 2005
voir le lien entre dev LE et LO
- certains enfants auront dès le début de leur apprentissage du LO des diff avec la cs phono, la mémoire, DRA –> conseq après sur ID mots écrits, LE
- d’autres auront des diff avec le lexique, la sémantique –> qui aura des conseq plus tardives sur le LO et compréhension
FAUX de penser que lexique/sémantique se développent séparément de la phono –> relation interactive, influence réciproque entre 2 domaines
si un enfant vient pour TDL, évaluer tjrs LE aussi
lien entre dyslexie et dyscalculie
- ces 2 caté auraient des diff à retrouver les nombres/mots dans le MLT –> déficit d’accès et de récupération des faits
- -> co-occurence des 2 troubles, pb ID mots et répercussion sur accès au nbre
- mais ca ne veut pas pour autant dire que ces deux systèmes neuronaux sous jacents soient les memes
- ca ne serait pas associés aux meme régions sous jacentes, plutot juste association statistique
dyslexie et TDAH
compare différents cas de TDAH, avec ou sans inattention, ou avec hyperactivité + inattention
TDA avec inattention avaient plus de probabilités de présenter des TAp (lecture, maths, ortho)
- -> mais ne signifie pas que l’inattention explique les TAp, seulement association statistique
- -> une certaine combinaison de gêne, génèrerait simultanément des diff d’apprentissages et des pb d’attention mais sans causalité entre attention et TAp
dyslexie et dev socio-émotionnel
- voit que statistiquement, plus de signes cliniques chez enfants avec dyslexie –> mais pas systématique
- par ex estime de soi, auraient une bonne estime d’eux globale mais en ce qui concerne les perf académiques, aurait une estime d’eux même plus basse
- -> mais dépend des personnes
quelle est l’hypothèse majoritaire de la dyslexie ?
hypo phonologique, les dyslexiques auraient des diff avec :
- MCTP
- CS phono
- DRA
- déficits pas détectable avant contact avec LE mais présents dès la naissance
- débat pour savoir si hypo suffisante pour expliquer la dyslexie, pour certains ne seraient pas la seul hypothèse
cs phono
Capacité à identifier les composants phonologiques de la parole
- tache de jugement/substitution/suppression/inversion de phonèmes (seulement jugement ne requiert pas MCT)
- développement cs phonémique est plus long : pas juste découper mot en syllabe mais mots en phonèmes, comprendre les phonèmes et que chaque lettre fait un son
- capacités précoces en CP permettrait de prédire capacité en LE 3 ans plus tard –> influence réciproque
- apprendre son/nom des lettres aide pour le dev de la cs phono, qui va aider pour LE mais aussi LE va aider au dev de cette cs phono
- -> co-construction des compétences lecture/écriture et cs phono
l’émergence de la cs phonémique requiert…
- représentation phono précises
- apprentissage LE avec e système alphabétique
quelles sont els différences entre les NL et dysL en cs phono ?
- diff a identifier un phonème dans un groupe consonantique
- quelque soit la langue (meme si transparente), diff de faire des exos de suppression de phonèmes ou contre-pétrie (même si enfant appareillés en âge de langage)
MCTP
- sert à maintenir info vb en code phonologique en mémoire pdt 1-2sec sans être rafraichie
- s’évalue avec tache de répétition mots, PSDM
- rôle dans l’ap LE mais causalité réciproque –> une bonne MCTP aiderait pour de dev du LE mais LE serait un drill pour cette mémoire et permettrait de la développer aussi
- permettrait de prédire capacités en LE
pourquoi la mémoire MCTP est-elle déficitaire chez dysl mais pas chez NL ?
MCTP serait déficitaires chez dysL par rapport aux NL et différences persistent à l’âge adulte
Deux possibilités :
- pb de encodage : répétition de PSDM et la lecture nécessite d’encoder rapidement de nvelles formes phono –> encodage rapide qui poserait pb
- pb stockage : n’utiliserait pas de techniques (chuncking) pour stocker les infos ou aurait des capacités de stockage limitées
- -> pas de réponse claire, dépend des sujets
DRA
- dénommer rapidement uns série d’objets
- prédirait niveau ultérieur de lecture, 2e partie d’apprentissage lecture (1ere étapes de la lecture plutot prédites par la CP)
- diff entre dysL et NL
quelle serait l’explication de la corrélation entre capacités en DRA et en lecture/ortho ?
- déficit des représentations phonologiques et donc vitesse d’accès au mot
- déficit vitesse de traitement qui permet l’intégration des processus de bas niveau (attentionnels, visuels, moteurs) et de haut niveau (phono, sémantiques) –> déficit d’automatisation processus de lecture
va dans le sens de la double deficit hypothesis :
- deficit phono –> dysl phono
- déficit DRA –> dysL de surface
- double déficit : dysL mixte
quelle serait la nouvelle capacité qui permettrait de prédire compétences en lecture ?
Dénomination verbale
- décalage entre capacités de compréhension et de production des mots
–> s’ils doivent choisir parmi 4 images celle qui correspond au mot dit –> pas de différence avec les DT
MAIS
si on montre une image et doit la dénommer –> TR plus longs
–> auraient un lexique aussi dev que NL MAISaurait un déficit d’accès au mot
distribution des responsabilités pour un trouble est…
continue et quantitative plutot que d’être unique et catégorielle (seuil est arbitraire)