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intervention de groupe > cours 4 > Flashcards

cours 4 Flashcards

1
Q

À quoi fait-on référence : capacité d’influencer les autres

A

leadership

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Q

À quoi fait-on référence : autorité formelle fondée sur un statut imposé l’autorité accorde un pouvoir légitime, mais ne garantit pas le leadership

A

Pouvoir

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3
Q

À quel style de leadership fait-on référence :
- S’attribue tout le pouvoir dans le groupe, formule les objectifs, prend les décisions, assigne les tâches, structure les rencontres
- Coopération = faible
- Risque : conflits… insatisfactions
- Mais … efficacité dans des situations où il y a large ambiguïtés
- Ex : le petit « boss » dans les rencontres
- Souvent va parler en premier et prendre les décisions

A

autocratique

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4
Q

À quel style de leadership fait-on référence :
- Recherche le maximum de participation des membres dans les prises de décisions, favorise la discussion et partage des responsabilités, sait recevoir les critiques
- Produit une atmosphère amicale, centrée sur le groupe, orientée vers la tâche
- Bonne productivité
- Généralement efficace dans les groupes de tâche, de soutien, d’éducation et de socialisation
- À une idée, mais demande l’opinion au reste du groupe
- Le plus efficace dans un groupe

A

démocratique

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5
Q

À quel style de leadership fait-on référence :
- Laisse tout l’espace aux membres dans la prise de décision, sa participation se limite à fournir le matériel dont le groupe a besoin et à donner des informations sur demande
- Peut fonctionner si le groupe a des membres très structurés
- Cause ++ de frustrations lorsque les membres ont besoin de soutien
- Contre-indiqué si individus pas habitués à travailler ensemble ou si ont des ressources limitées pour atteindre leurs objectifs

A

laisser-faire

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6
Q

Quels sont les deux pôles du leader?

A
  • Centré sur la tâche
  • Centré sur le monde socio-économique
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7
Q

À quel pôles du leader fait-on référence :
o Préoccupé par la définition des objectifs du groupe
o Organise le travail des membres vers l’atteinte des objectifs.

A

centré sur la tâche

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8
Q

À quel pôles du leader fait-on référence :
o Préoccupé par le bien-être des autres
o Favorise harmonie dans le groupe

A

Centré sur le monde socio-économique

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9
Q
A
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10
Q
  • Le leadership optimal intègre quoi?
A

Les deux pôles

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11
Q

Le meilleur style de leadership est celui qui répond à quoi?

A

le mieux aux besoins du groupe

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12
Q

Quels sont les 3 moyens d’influence du leader?

A
  • ton de voix
  • corps
  • Regard
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13
Q

À quel moyen d’influence du leader fait-on référence :
o Pour signifier qu’il est temps d’être sérieux
o Pour « énergiser » le groupe
o Calmer certains membres
o Encourager à aller plus en profondeur
o Interrompre fermement
o Dynamisme de la rencontre

A

ton de voix

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14
Q

À quel moyen d’influence du leader fait-on référence :
o Regarde affectueux, attentionné
o Fuit du regard un membre qui parle trop
o Éviter que l’on vous regarder trop et ainsi augmenter la cohésion
o Récompenser par un sourire chaleureux
o Balayages visuels
o Regarder d’autres membres que celui qui s’exprime pour susciter leurs réactions

A

regard

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15
Q

À quel moyen d’influence du leader fait-on référence :
o Se placer à côté d’une personne critiquée
o Se placer près d’une personne pour la supporter
o Soulever l’intérêt général par du dynamisme

A

corps

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16
Q

Quels sont des composantes du leadership?

A
  • La flexibilité
  • L’équité
  • L’empathie
  • L’ouverture
  • L’esprit de décision
  • L’entraide
  • Les connaissances
  • Le discernement
  • Le dévouement
  • La présence d’esprit
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17
Q

À quoi fait-on référence :
- Gendreau (2001)
o Donner vie aux conditions mises en place lors de l’organisation
o Rendre significatives pour l’individu les interactions afin de l’aider à en dégager, sur-le-champ, tout ce qui peut être de nature à la stimuler dans sa démarche
o Provoquer chez l’individu ce déséquilibre stimulant qui lui permettra d’exercer et de développer son potentiel d’adaptation
- Renou (2005)
o Opération qui permet la réalisation de l’intervention telle que planifiée. Elle permet d’en vérifier la pertinence dans le vécu, de faire sur-le-champ les réajustements possibles en vue de l’atteinte des objectifs…

A

l’animation en psychoéducation

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18
Q

À quoi fait-on référence :
- Utiliser les observations du vécu partagé sur le moment ou en suivi
- En cours d’animation, l’intervenant a pu observer des interactions et des résultats qui ont fait ressortir certaines forces, habiletés, vulnérabilités ou difficultés de la personne ainsi que certaines richesses du contexte
- Un retour sur ce vécu partagé peut favoriser la généralisation de tout ce qu’il comporte de positif et de richesses d’apprentissage
- L’utilisation est une opération rétroactive

A

la spécificité et l’utilisation

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19
Q

À quoi fait-on référence :
o Développement individuel
o Fonctionnement de la personnalité
o Adaptation normale et anormales
o Dynamique des groupes
o De la problématique et les facteurs de risque et de protection

A

savoir en psychoéducation

20
Q

À quoi fait-on référence :
o Opérations professionnelles
o Habiletés spécifiques au groupe

A
  • Savoir-faire (ça s’expérimente)
21
Q

À quoi fait-on référence :
o Maturité personnelle
o Rigueur
o Schèmes relationnels

A

savoir être (crucial à avoir ou à travailler)

22
Q

À quel fonction du savoir faire fait-on référence :
- Production/ contenu
o Veille à l’atteinte des objectifs
- Facilitation/ processus
o Facilite la participation et l’utilisation du potentiel de chaque membre dans l’atteinte des objectifs
- Régulation/ climat
o Veille au respect des règles et normes. Sentiment de sécurité des membres

A

Savoir-faire –> principales fonctions dans l’animation

23
Q

À quel fonction du savoir faire fait-on référence :
- Production/ contenu
o Organiser le travail
o Définir les objectifs
o Fixer les buts collectivement et les rappeler au groupe
o Mettre le groupe au travail
o Faire le point sur le chemin parcouru
o Favoriser, engager et guider les échanges
o Reformuler
o Faire des liens
o Résumer
o Ne pas présumer
- Facilitation / processus
o Balayage visuel
o Impliquer le groupe comme un tout
o Diriger les communications
o Tenir compte des messages non-verbaux (reflet)
o Favoriser l’expression adéquate du vécu (si pas pertinent au moment validé et dire « on s’en reparle plus tard)
o Faciliter la participation collective
o Faciliter le passage des moments difficiles
o Susciter et réfréner la participation
- Régulation/ climat (monde socio-émotif)
o Établir les règles et les normes avec le groupe
o Clarifier les rôles
o Soutenir les membres dans leurs efforts
o Favoriser l’expression des réactions à l’expérience de groupe
o Facilité le passage des moments difficiles
o Favoriser la résolution de conflits
o Ce qui se passe dans le groupe, se règle dans le groupe

A

Savoir-faire –> les tâches et habiletés

24
Q

À quoi fait-on référence :
- Congruence : modèle d’être
- Empathie : écoute active
- Considération : respect de la clientèle, accueil inconditionnel de tous les membres
- Confiance : faire confiance au groupe et favoriser un climat de confiance au sein du groupe
- Sécurité : s’adapter à différentes situation (affective, …)
- Disponibilité : qualité de présence, ouverture et tolérance,
- Rigueur
- Absence de dogmatisme (flexibilité intellectuelle, ouverture à autrui, créativité…)

A

Savoir-être –> qualités de l’animateur

25
Q

À quoi fait référence cette citation :
- « Les meilleurs intervenants trouvent un équilibre entre la mise en place d’un cadre et la spontanéité, entre la participation directe et le feedback »

A

intégration des 3 savoirs

26
Q

À quoi fait-on référence dans la coanimation :
- Modèles positifs de communication et de résolution de conflits
- Expérimentent différents styles d’interaction avec les thérapeutes et plusieurs types de stratégies d’intervention
- Universalise les valeurs lorsque les thérapeutes sont des deux sexes

A

avantages pour les membres

27
Q

À quoi fait-on référence dans la coanimation :
- À deux, meilleurs capacités cognitives et observationnelles
- Peuvent générer plus de stratégies d’intervention
- Ajoute soutien mutuel et permet le partage des responsabilités
- Diminue l’anxiété

A

avantages pour les intervenants

28
Q

À quoi fait-on référence :
- Modeling
- Rétroaction fréquente : développement professionnel
- Permet de polariser les rôles des thérapeutes
o Ex : réprimande v.s soutien, contrôle vs. Écoute empathique… (bon cop, bad cop)
- S’aider mutuellement dans la gestion des réactions inadéquates envers divers participants

A

la coanimation

29
Q
  • Comment le clinicien peut aider un groupe qui l’attaque à faire une utilisation constructive de cet élan?
A

o Lorsque tu as le fusil pointé vers toi, il se peut que tu te sentes trop menacé pour clarifier le sens de l’attaque avec le participant ou pour encourager encore plus d’attaque sans apparaître défensif ou condescendant.
o C’est désarçonnant d’entendre quelqu’un soumis aux faux de colère qui dit : « c’est très bon pour toi que tu réussisses à m’attaquer. Continues. »
o Un co-thérapeute peut être particulièrement utile pour aider les membres à continuer l’expression de leurs sentiments négatifs envers un thérapeute mais aussi, à analyser la source et la signification de ces sentiments.

30
Q

À quoi fait-on référence dans la coanimation :
- Permet le travail interdisciplinaire et donc le partage des expertises
- Permet le travail inter-établissements. À une époque où les troubles concomitants sont la norme, la co-animation de groupe d’intervention par des professionnels issus d’établissements distincts est avantageuse.

A

avantages pour l’organisation

31
Q

À quoi fait-on référence dans la coanimation :
- Le plaisir et l’aisance à travailler ensemble (le plus important selon Yalom et Leszcz, 2005) –> va aider à la dynamique de groupe
- La capacité à donner et à recevoir du feedback au sujet de la manière de travailler
- Une maturité suffisante pour privilégier la centration sur les objectifs du groupe et non sur mes besoins inassouvis
- Aptitude à partager le pouvoir : tant la capacité à céder le pouvoir qu’à le prendre
- Capacité à examiner la relation entre coanimateurs, à titre d’égaux
- Aptitude à gérer seul le groupe en cas d’absence du collègue

A

choix du Co animateur

32
Q

À quoi fait-on référence dans la coanimation :
- Modèle privilégié par plusieurs thérapeutes
- Exposition à un modèle de collaboration entre un homme et une femme menée dans le respect et la considération d’autrui
- Il vaut mieux coanimer avec quelqu’un de même sexe avec qui on s’entend suffisamment bien qu’avec quelqu’un de l’autre sexe avec qui nous sommes en conflit.

A

choisir quelqu’un de l’autre sexe

33
Q

À quoi fait-on référence dans la coanimation :
- Au minimum (Yalom et Leszxz, 2005)
o Prendre quelques minutes avant chaque intervention de groupe pour parler des agendas personnels de chaque thérapeute
o Prendre 15-20 minutes après chaque groupe pour faire un retour et parler des comportements de chacun.

A

nécessite d’avoir du temps pour parler de la relation entre cothérapeutes

34
Q

Quels sont les limites de la coanimation?

A
  • Essentiel : s’entendre avant une animation de groupe
  • Dans le cas d’une relation conflictuelle
    o Les membres détecteront les tensions
    o Pourront vouloir se rallier à un animateur contre l’autre
    o Deviendront absorbés par le conflit plutôt que pas les objectifs de leur présence dans le groupe
  • Nécessité d’une entente de base sur la définition des problèmes et les façons d’y remédier, d’un certain partage de valeurs. Bref, s’entendre en regard de l’orientation théorique
    o Sinon, expression de désaccords pendant l’animation
    o Peut-être lutte de pouvoir pour prendre le contrôle du groupe
  • Quand l’intervention des coanimateurs est plus axée sur leurs propres besoins
    o Prendre le contrôle du groupe
    o Besoins de domination, de se montrer comme expert
  • Besoin de l’autre comme coussin de sécurité
    o Besoins d’être rassuré, sécurité, je me réfugie derrière l’autre
35
Q
  • Devrait-on exprimer ouvertement devant le groupe, un désaccord entre coanimateurs?
A

non jamais

36
Q

Quels sont les raisons de ne pas accepter d’être cothérapeute?

A
  • Avec quelqu’un que vous ne connaissez pas bien
  • Avec quelqu’un que vous n’aimez pas
  • Par pression de la part du milieu de travail
  • Parce que vous n’êtes pas capable de dire non
  • Vous êtes bien mieux de mener un groupe en solo avec une bonne supervision que d’être empêtré dans une relation de cothérapie incompatible
  • Des couples choisissent d’être cothérapeutes. Nécessité de stabilité de la relation et une large dose de maturité. Déconseillé pour les couples plus récemment formés
  • Totalement déconseillé pour les anciens partenaires amoureux
37
Q

À quoi fait-on référence :
- Pour certains participants, cette scène peut réactiver des expériences infantiles où les parents étaient en conflits de façon destructive. Ils peuvent revivre lors de la rencontre, diverses réactions émotivo-cognitives
- Lors des premières rencontres, cette pratique est déconseillée puisque le groupe est trop instable et a une trop faible cohésion pour tolérer une telle division au sein du leadership
- Par la suite toutefois, la pratique peut être curative. L’effet de modèle peut être puissant, les individus étant exposé à un conflit ouvert entre individus qu’ils respectent tout en les observant résoudre le différend avec dignité, tact et respect.
- On peut voir un groupe stagnant se revitaliser après que deux thérapeutes se soient individualisés l’un face à l’autre.

A

Les effets de la coanimation sur le groupe

38
Q

À quoi fait-on référence dans la co-animation :
- Il est important que les coanimateurs puissent rencontrer ensemble, en entrevue individuelle, les futurs membres du groupe.
o Situe le futur membre vis-à-vis les responsables du groupe
o Aide les coanimateurs à développer une vision commune et se fixer des objectifs au sujet de ce nouveau membre

A

Les rencontres pré-groupe

39
Q

Quels sont les étapes de développement de la relation cothérapeute?

A
  • Créer un contrat
  • Formation de l’identité
  • Construire une équipe coopérative
  • Développer plus d’intimité
  • Définir les forces et les limites
  • Explorer les potentiels
  • Supporter les confrontations de Soi
  • Intégrer et implanter les changements issus de la phase précédente
  • Fin et/ou réorganisation
    *pas toujours dans cet ordre
40
Q

Quels sont les stades de développement dans l’évolution du groupe?

A
  1. Le stade de pré affiliation/confiance
  2. le stade de pouvoir et de contrôle/ autonomie
  3. le stade d’intimité/ proximité
  4. Le stade de différenciation/interdépendance
  5. Le stade de séparation
41
Q

À quel stade de développement de l’évolution du groupe fait-on référence :
o Ça va me donner quoi?
o Vais-je être capable de répondre à la demande?
o Les gens s’évaluent mutuellement
o Le groupe est plutôt source de stress
o Passablement centré sur l’intervenant (y veulent que l’intervenant donne, parle)
o Commencent à établir des normes pour le fonctionnement de groupe
o L’intervenant :
* Clarifie le but du groupe (St-Arnaud dirait obtenir une cible commune)
* Crée climat de confiance(bienveillance) (St-Arnaud dirait favoriser les liens)
* Clarifier les normes, détails et les buts

A
  1. Le stade de pré affiliation/ confiance
42
Q

À quel stade de développement de l’évolution du groupe fait-on référence :
o Va durer + ou – longtemps dépendamment la maturité du groupe
o Compétition dans la recherche d’un statut –> les membres commence à se différencier
o L’énergie consacrée à établir le niveau de pouvoir et le degré d’autonomie
o Hiérarchie se met en place (ordre social)
o Moment d’interactions hostiles envers l’intervenant (négociation du pouvoir et de l’autonomie)
o Lorsque les membres perçoivent que l’intervenant est plus intéressé par la réalisation des objectifs du groupe que par l’affirmation de son autorité, ils font alors de même
o But : passer d’une compétition dans la recherche de statut à une participation à la réalisation des objectifs du groupe
o Energie sur le pouvoir et la recherche de pouvoir
o Comment en tant que participant, tu peux faire évoluer le groupe

A
  1. Le stade de pouvoir et de contrôle/autonomie
43
Q

À quel stade de développement de l’évolution du groupe fait-on référence :
o Cohésion, intérêt mutuel plus marqué
o Abordent plus facilement sujets intimes
o Confiance envers le groupe
o Absences soulignées
o Plus de fermeture à nouveaux membres
o Certaines difficultés à aborder conflits
* Consensus recherché et valorisé
o Moins d’animosité qu’à l’étape précédente
o Expression de soi valorisée et détermine le statut
o Difficulté si groupe est ouvert + complexe pour l’intégration de nouveaux
o Énergie sur le maintien des relations
o Complexité : difficile de passer au stade suivant

A
  1. Le stade d’intimité/proximité
44
Q

À quel stade de développement de l’évolution du groupe fait-on référence :
o Le stade le plus productif (les gens vont commencer à se détacher tranquillement)
o Maintien de rapports interpersonnels harmonieux et la réalisation des activités nécessaires à l’atteinte des objectifs
o Équilibre entre attention aux besoins individuels et de groupe
o La réalisation de ces deux sphères est souvent reliée
* La satisfaction des besoins individuels est associée à la réalisation des objectifs de groupe et vice versa

A
  1. Le stade de différenciation/ interdépendance
45
Q

À quel stade de développement de l’évolution du groupe fait-on référence :
o Stade souvent causé par des facteurs externes
* Fin de l’année scolaire
* Objectifs atteints
* Atteinte du nombre de rencontres planifiées
o Si séparation
* Après le stade d’interdépendance : sentiment de compétence
* Avant le stade d’interdépendance : impressions négatives
o Sentiments de perte (comment faire sans le groupe?)  Larme…
o L’intervenant doit aider les membres à tirer profit de cette expérience :
* Aider à utiliser l’acquis en groupe, à l’extérieur du groupe
* Aider à exprimer les sentiments liés à la séparation
* Faire synthèse des acquis
o Dès la première rencontre, annoncer la fin, la date

A
  1. Le stade de séparation
46
Q

Qu’est-ce que le groupe peut apporter?

A
  • Sortir de ma zone de confort
  • Introspection ++
  • Écoute
  • Relations avec des personnes qui vivent des choses similaires à moi
  • Communication
  • Stratégies
  • Nouveaux points de vue, élargir ma vision, nouvelles perspectives +++
  • Entraide
  • Confiance en moi
  • Mieux me connaître (valeurs, forces, etc.)
  • Socialisation
  • Partage
  • Aisance avec les autres
  • Normaliser le sentiment d’imposteur et trouver des stratégies
  • Développer mes schèmes relationnels

intervention de groupe (5 decks)

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