COURS 4 Flashcards

1
Q

processus égocentrés -comparaison sociale
définition?

A

En l’absence de normes objectives définies, nous déterminons et évaluons nos habiletés et nos caractéristiques personnelles en nous comparant aux autres.

-pour savoir si on est bon, ou autre il nous faut des points de comparaison

-si on a des normes objectives, on a pas besoin de se comparer aux autres

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2
Q

2 sortes de comparaison sociale?

A

comparaison ascendante:
-Se comparer à des personnes que nous jugeons supérieures à soi.
-conséquences + (idéal à atteindre, motivant) et négatives (se sentir inférieur) *meilleure pour la motivation

comparaison descendante:
-Se comparer à des personnes que nous jugeons inférieures à soi
-conséquences + (estime de soi) et négatives (nuit à la motivation) *meilleure pour l’estime de soi

*on doit se comparer à des gens du même niveau que nous = point de comparaison pertinent (devrait être ça habituellement et comparaisons ascendantes/descendantes sont des exceptions)

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3
Q

3 théories de la comparaison sociale
1.nom théorie accent sur la similitude?

A

La Théorie des processus de comparaison sociale postule que « qui se ressemble s’assemble ». Et si la ressemblance est faible dans un premier temps, elle doit s’accentuer au cours du temps. (Festinger)

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4
Q

3 propositions principales de la théorie des processus de comparaison sociale?

A

1.Il existe chez tout individu une tendance à évaluer ses opinions et aptitudes personnelles
*opinion: quest ce que je pense de qqchose, peut évoluer, on ne cherche pas à faire améliorer
*aptitude: quelque chose quon a tendance à vouloir s’améliorer

2.Façons d’évaluer nos opinions et aptitudes :
Par des moyens objectifs non sociaux (Critères qui permettent de mesurer objectivement ex: notes scolaires, nb erreurs à la guitare, faits, demander à médecin)
Sinon…
En les comparant avec les opinions et aptitudes des autres ((meilleur avec qqn qui est au meme niveau que nous (niveau pertinent))
Sinon
Si ya pas de points de comparaison sociale, la personne éprouve de la difficulté à se définir

3.À l’intérieur d’un champ de comparaison donné, nous choisissons de préférence comme terme de comparaison ceux dont l’opinion ou l’aptitude est plus proche de notre opinion ou aptitude.
La tendance à se comparer à autrui décroît à mesure qu’augmente la différence entre soi et cet autre.
Si le seul terme de comparaison possible est très éloigné, l’évaluation manquera de précision subjective.
*on se compare plus aux membres de notre endogroupe
*plus nous point de référence est loin de nous, on a moins d’intérêt à se comparer
*Si le seul terme de comparaison possible est très éloigné (mais on ressent un besoin de se comparer), l’évaluation manquera de précision subjective => pression à l’uniformité (besoin de créer des liens avec mon point de comparaison)

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5
Q

Trop de divergence intragroupe mène à pression à l’uniformité.
Pression à l’uniformité se fait de 3 façons ?

A

1.En tentant de ressembler davantage à notre endogroupe
2.Influencer les personnes de l’endogroupe pour qu’ils ressemblent plus à nous-même
3.Trouver d’autres points de ressemblances

Exemple: Paul est pour le parti Libéral mais ses amis plus pour le parti Québécois; conflits, se sent exclu, personne à qui discuter
-soit il se laisse convaincre et prend pour le parti Québécois
-essaye de convaincre ses amis de prendre pr le parti Libéral
-chacun garde son parti mais recherche les points communs entre les deux partis; se compare sur les bases de ces points communs

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6
Q

Dans la comparaison sociale, pour les aptitudes, est-il possible d’atteindre un état d’équilibre? selon la théorie des processus de comparaison sociale

A

NON
Pour les aptitudes, la pression à l’uniformité ne débouche pas sur un état d’équilibre car il existe un mouvement unidirectionnel vers le haut, une tendance à vouloir toujours faire mieux (qui n’existe pas pour les opinions). Nous n’arrivons donc jamais à un état de repos social.

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7
Q

les pressions à l’uniformité dans un groupe dépendent de 2 choses? (selon théorie des processus de comparaison sociale)

A

l’importance du groupe pour l’individu

la pertinence de l’opinion ou de l’aptitude pour le groupe

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8
Q

théorie sur la comparaison sociale
-celle avec accent sur la différence, points généraux?

A

La référence à autrui conduit à de la différenciation lorsqu’elle fait peser une menace sur l’identité. La restauration de cette identité se fait à travers la recherche de la différence, de l’altérité, de la création puis de l’accentuation de l’hétérogénéité. (Lemaine)

-lorsqu’une personne ressent une menace à son identité
-on va tenter de démontrer que notre différence est importante

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9
Q

étapes processus de différenciation dans la théorie de comparaison sociale qui met l’accent sur la différence (Lemaine)? (4)

A

1.L’individu se sent infériorisé par rapport aux autres membres du groupe (menace à son identité)
*menace à son identité = identité moins bonne, moins valorisée
*peut etre un groupe d’individu

2.Il y a divergence, création de nouveaux critères dans les façons de penser, de sentir, d’agir.

3.tentative de faire reconnaître et de faire accepter ces nouveaux critères (cela englobe le prosélytisme, le recrutement ou le rassemblement des personnes qui sont ou sont devenues semblables afin d’avoir plus de poids dans la lutte pour faire admettre la légitimité de ces nouveaux critères)

4.tentative, lorsque les nouvelles dimensions sont admises socialement, de les substituer aux critères primitifs afin de renverser en sa faveur une situation initialement défavorable, tentative de substituer à « l’ordre ancien » un « ordre nouveau ».
*tentative de substituer à « l’ordre ancien » un « ordre nouveau » ; valoriser les différences, valoriser la différence nouvelle et cela change les critères de base, ca change pas que ce qui était valorisé avant ne l’est plus ex: sport et sciences sont valorisés et non juste les sports comme avant

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10
Q

Prosélytisme?

A

aller chercher des adeptes, recrutement

(dans le processus de différenciation dans la théorie de comparaison sociale qui met l’accent sur la différence)

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11
Q

théorie de comparaison sociale qui étudie l’articulation entre similitude et différence
-son nom?
-idées principales?

A

Selon le Modèle de la conformité supérieure de soi,

pour un ensemble défini d’individus, il existe en général une importante tendance de chacun à affirmer qu’il est lui-même plus conforme aux normes en vigueur dans cet ensemble que ne le sont, de façon générale, les autres personnes. (Codol)

*uniformité mais malgré son uniformité, il va encore plus faire démarquer

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12
Q

processus de la conformité supérieure de soi? (3 étapes)

A

1.L’individu tend à se valoriser face aux autres.

2.Il y a un conflit entre :
le désir de plaire;
la volonté de préserver son identité personnelle.

3.Il n’y a qu’une seule façon de solutionner ce conflit : c’est de s’affirmer comme étant en plus grande conformité que les autres aux normes sociales.

*lien avec dépersonnalisation (identité sociale, vouloir plaire) et unicité (identité personnelle)

*Exemple en plus grande conformité que les autres aux normes sociales: tous mes amis aiment un groupe de musique mais moi je me paye un billet pour aller voir le concert à LA car je les aime tellement

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13
Q

attribution?
+ 2 façons dont elle peut être faite?

A

Jugement (inférence) porté sur un événement; interprétation personnelle de la réalité

attribution peut être faite…
Pour soi-même : il s’agit alors d’une attribution de l’acteur ou d’une auto-attribution.
Pour autrui : il s’agit alors d’une attribution de l’observateur ou d’une hétéro-attribution

En identité, les attributions nous permettent davoir des informations sur nous-mm (celles faites pour autrui nous aident pas pour notre identité => pour que ca serve à notre identité, faut que l’autre nous communique son attribution)

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14
Q

attribution
acteur vs observateur? tiennent compte de quelles informations?

A

Si l’acteur et l’observateur disposent des mêmes informations, l’auto-attribution et l’hétéro-attribution sont relativement semblables.
Mais, dans les faits, nous n’avons pas tendance à tenir compte des mêmes informations….

Acteur : tendance à se juger lui-même à partir de ce qu’il voit : le contexte en premier, lui-même en second.

Observateur : tendance à juger autrui à partir de ce qu’il voit : l’acteur en premier, le contexte en second

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15
Q

Weiner a examiné les attributions en tenant compte de 3 dimensions causales?

A

*impactent sur notre perception de notre identité

1.Lieu de causalité (à cause de moi ou qqchose dautre; origine de la cause)
-interne ou externe

2.Contrôle (si j’aurais pu contrôler la situation ou non)
-contrôlable ou incontrôlable

3.Stabilité (dans le temps)
-stable ou instable

**TRÈS SUBJECTIF

Exemple:
Si succès -> attribution interne -> fierté, augmente estime
Si échec -> attribution interne -> baisse estime
Si échec -> attribution contrôlable et interne (pas fait assez d’efforts) -> culpabilité
*donc les dimensions influencent la façon de nous percevoir

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16
Q

biais de complaisance?
-fait par acteur ou observateur?

A

Tendance à attribuer nos succès à des facteurs internes et nos échecs à des facteurs externes

*adaptatif mais devient nocif si trop utilisé/ permet de nous percevoir de manière positive

par acteur

17
Q

erreur d’attribution fondamentale?
-fait par acteur ou observateur?

A

Tendance à exagérer l’importance des facteurs internes et à sous- estimer l’influence des facteurs externes dans l’explication du comportement d’autrui.

fait par observateur

18
Q

biais de responsabilité injustifiée?
fait par acteur ou observateur?

A

Tendance à porter le blâme à la victime

par observateur

19
Q

croyance en un monde juste?
fait par acteur ou observateur?

A

Croyance selon laquelle chacun est responsable de ce qu’il lui arrive

par observateur (pourrait aussi par acteur)

20
Q

autodépréciation?
fait par acteur ou observateur?
inverse de quel biais?

A

La personne émet, sincèrement ou non, des jugements défavorables à son propre égard

par acteur

inverse du biais de complaisance

21
Q

résignation acquise?
fait par acteur ou observateur?

A

Réponse apprise résultant de l’exposition répétée à des situations désagréables ou douloureuses impossibles à combattre, à fuir ou à éviter.

Situations désagréables ou douloureuses.
Situations perçues comme incontrôlables par la personne.
États émotionnels, cognitifs et motivationnels déficitaires.
Passivité, apathie, inhibition

par acteur

22
Q

attribution sociale?
favoritisme endogroupe et exogroupe?

A

La personne peut aussi faire des attributions en fonction des caractéristiques des groupes sur lesquels elle porte un jugement (endogroupes ou exogroupes).

*Favoritisme endogroupe:
Évaluation plus positive de l’endogroupe que de l’exogroupe

*Favoritisme exogroupe
Évaluation plus positive de l’exogroupe que de l’endogroupe.

*Façons de faire:
Favoritisme endogroupe:
-valoriser l’endogroupe
Ou
-dévaloriser l’exogroupe

Favoritisme exogroupe:
-valoriser l’exogroupe
Ou
-dévaloriser l’endogroupe

23
Q

erreur d’attribution ultime?

A

Un comportement désirable est attribué à une causalité interne lorsqu’il est fait par un membre de l’endogroupe et à une causalité externe lorsqu’il est fait par un membre de l’exogroupe. Dans le cas d’un comportement indésirable, c’est l’inverse qui se produit.

résumé:
Comportement indésirable:
-causalité externe si membre endogroupe
-causalité interne si membre exogroupe

Comportement désirable:
-causalité interne si membre endogroupe
-causalité externe si membre exogroupe

24
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques
1.Processus selon Breakwell? (en propose 2)

A

Breakwell suggère que deux processus sont à la base du développement de l’identité :

Assimilation-accommodation :
l’assimilation désigne l’absorption d’informations nouvelles dans la structure de l’identité;
l’accommodation réfère à l’ajustement qui se produit dans
la structure existante pour placer cette information.

Évaluation :
elle implique l’attribution d’une valeur aux éléments qui sont assimilés dans l’identité.

*contexte aussi peut d’adapter en fonction de l’individu
*Assimilation: reçoit une nouvelle information
*Accommodation: combine la nouvelle information avec celles qu’on connaissait déjà
*Évaluation: porte un jugement de si c’est important pour soi ou non la nouvelle information
Exemple: femme qui a le cancer et avoir un changement dans son corps pr la chirurgie ca peut dépendre si elle trouve ca important ou non

25
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques
2.Processus selon Grotevant:
-La probabilité qu’une personne s’engage dans un travail identitaire est déterminée par l’interaction entre 3 choses?
-l’accent est mis sur le caractère …?

A

Grotevant examine et décrit le développement de l’identité dans différents domaines (ex : famille, école, travail).

La probabilité qu’une personne s’engage dans un travail identitaire est déterminée par l’interaction entre :
1.les caractéristiques individuelles;
2.les facteurs contextuels;
3.les processus de formation de l’identité dans d’autres domaines (attributions, comparaisons, … -> quand on a tendance à utiliser un type de processus dans un contexte, on a plus tendance à l’utiliser dans un autre contexte)

L’accent est mis sur le caractère transactionnel du processus : le contexte influence continuellement la personne en développement, et la personne influence continuellement le contexte dans lequel elle évolue.

26
Q

caractéristiques individuelles dans le processus selon Grotevant? (6)

A

Estime de soi
Contrôle de soi
Ouverture (aux nouvelles informations sur nous)
Résilience
Capacités cognitives
Identité actuelle

27
Q

4 principaux facteurs contextuels (plus proximal à plus général) dans le processus selon Grotevant?

A

Pressions sociales qui nous viennent de nos groupes sociaux primaires

Style de communication qu’on a développé dans notre famille (façon dont les parents ont agi avec nous)

Croyances véhiculées dans les milieux qu’on côtoie

Culture (croyances, valeurs, attentes véhiculées dans la culture)

28
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques
-processus selon Berzonsky
-3 styles de traitements de l’information?

A

Style orienté vers l’information :
-la personne explore activement et évalue l’information pertinente avant de s’engager.(personne ouverte)
-la personne fait de l’assimilation-accommodation et évaluation

Style orienté vers la norme :
-la personne se centre sur les attentes normatives d’autres personnes significatives pour elle.
-important = suivre la norme et être accepté

Style orienté vers la diffusion :
-la personne tend à retarder et à faire traîner les choses jusqu’à ce que des valeurs hédonistes dans la situation immédiate lui dictent une voie de comportement.
-prennent pas de temps à penser à eux-mm sauf si cest qqchose qui apporte du bien-être et du plaisir

29
Q

formation de l’identité prend différentes formes selon le style de traitement de l’information de l’individu
-individus orientés vers l’information?
sur le plan de
1.traitement 2.adaptation 3.perception de soi

A

individus orientés vers l’information sont ouverts au feedback et ils sont prêts à réviser leurs schémas d’eux-mêmes. Ils ont une perception de soi qui est bien différenciée et intégrée.

Traitement: assimilation, accommodation et évaluation

Adaptation: bien adaptée dans le contexte dans lequel elle se retrouve, connait bien ses caractéristiques/ bonne adaptation psychologique et sociale, meilleure bien-être psychologique

Perception de soi: perception claire d’elle-même

30
Q

formation de l’identité prend différentes formes selon le style de traitement de l’information de l’individu
-individus orientés vers la norme?
sur le plan de
1.traitement 2.adaptation 3.perception de soi

A

Les individus orientés vers la norme ont une théorisation de soi plus dogmatique et ils défendent leurs croyances centrales. Ils ont une perception de soi plutôt rigide.

dogmatique (change pas bcp d’idées), rigide/ quand reçoivent infos sur eux-mm -> réfléchissent pas mais infos sur le groupe (écoutent) mettent accent sur identité sociale plutôt que l’identité personnelle

Traitement: traite que les informations sociales et sur l’endogroupe; moins sur choses personnelles

Adaptation: bien adaptée à leur endogroupe, suit bien les règles, facette d’eux-mm en accord avec leur groupe mais adaptation psychologique moins bonne (moins de bien-être) car moins authentiques

Perception de soi: perception moins claire, car son identité sociale est claire (connait ses ressemblances avec le groupe) mais moins pour ses propres caractéristiques

31
Q

formation de l’identité prend différentes formes selon le style de traitement de l’information de l’individu
-individus orientés vers la diffusion?
sur le plan de
1.traitement 2.adaptation 3.perception de soi

A

individus orientés vers la diffusion présentent des schémas de caméléon aux influences situationnelles. Cependant, les modifications impliquent des actes éphémères de conformité verbale ou comportementale. Ces individus ont une perception de soi manquant de cohérence et d’unité.

Aime moins réfléchir aux new infos sauf si ca apporte dekoi de positif
Caméléon; fait comme la situation demande pour que les choses se passent bien, éviter de s’attirant des problèmes/ cest éphémère

Traitement: peu de traitement; les informations négatives sont ignorées et prend plus compte les positives, ya des distorsions cognitives (réinterprétations) *ex: fait souvent biais de complaisance

Adaptation: pas adaptée, superficielle/ adaptation psychologique basse

Perception de soi: manque de clarté, confuse, incohérence

32
Q

Théories sur les processus relationnels et dynamiques
-Processus selon Kunnen et Bosma?

A

La personne et le contexte réagissent l’un à l’autre.

Nature itérative de ce processus : le développement de l’identité est un enchaînement de transactions : le même mécanisme se répète encore et encore, de telle façon que le développement à long terme est déterminé par une séquence de processus à court terme.

À chaque fois qu’il y a une interaction entre la personne et le contexte, les deux sont amenés à changer. La nouvelle identité affecte, à son tour, l’interaction.

Les changements dans la personne ou le contexte peuvent conduire à des changements dans les engagements.

*pas un processus cyclique, on évolue à chaque fois
*-cuisinier et tout va bien mais la y se fait engager pour un banquet de 100 pers (événement déstabilisant)
-il va aller chercher des compétences de plus, chercher de l’aide, des idées ou changer de contexte (s’entourer d’une équipe si habituellement seul)
-il va développer sa perception de se voir

schéma:
*P et le C = identité (comment la personne est dans un contexte précis)
*P et C + F = une itération

33
Q

différentes étapes du processus selon Kunnen et Bosma
selon si adéquation ou conflit après la transaction sur les engagements?

A

1.Contexte et engagement: où la personne se situe en ce moment

Exemple; une étudiante qui s’inscrit en psycho à l’Uni
-contexte: nouveau programme
-engagement: veut réussir, avoir en haut de la moyenne ds tt les cours

2.transaction: événement survient, ex: premier examen

3.si elle réussit son examen et cest selon son engagement (au-dessus de la moyenne) = ADÉQUATION (succès, maintien engagement, bien-être)
Si elle ne réussit pas à atteindre ses objectifs -> CONFLIT (émotions négatives) -> mal être ->

4.elle va faire de l’ASSIMILATION (stratégie pr changer elle-même ou changer qqchose du contexte pour que ca aille mieux la prochaine fois) -> si réussit -> succès

5.Si assimilation fonctionne pas -> ÉCHEC (malaise se maintien)

6.Si ÉCHEC; 2 choses possibles:
6.1.Retirer ses engagements (RETRAIT) ex: arrete d’étudier

6.2.ACCOMMODATION (quest ce que je peux faire d’autre qu’un bac en psycho?)
=> ACCORD (est ce que cest possible?; pt qu’elle va pas réaliser la nouvelle orientation -> si elle peut changer son orientation, ya changement d’engagements)

*quand changement engagement, ca recommence (cest itératif)