Cours 4 Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qu’un corrélât?

A

Variable associée à un comportement à un moment dans le temps (aucune preuve qu’une variable précède l’apparition de l’autre)

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2
Q

Qu’est-ce qu’une cause?

A

Influence l’apparition ou la manifestation d’un comportement donné (directement ou indirectement)

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3
Q

Qu’est-ce qu’une corrélation?

A

Ce sont deux choses qui varient en même temps, une corrélation n’a pas toujours de précédence temporelle (précédence temporelle : une chose arrive avant l’autre)

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4
Q

Que fait la variable modératrice?

A

Elle modifie la force et la direction du lien entre deux autres variables (ex : la variable du sexe va venir changer la force du lien entre la sévérité de l’abus physique)

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5
Q

Que fait la variable médiatrice?

A

Elle explique le processus, le mécanisme ou le moyen par lequel une variable est associée à une autre, explique le lien entre les deux variables (va expliquer le processus et mécanisme qui fait que deux variables vont être reliées). Ex : symptômes dépressifs chez la mère et les problèmes de comportements chez la mère. (Pourquoi les choses surviennent)

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6
Q

Qu’est-ce que le coping? Et le processus.

A

Efforts cognitifs/comportementaux pour maîtriser, tolérer ou réduire les demandes internes/externes et les conflits entre ces demandes. Processus:
1- Détection et interpréter la situation
2- Réponse
3- Évaluation, détermine dans quelles mesures nous avons atteint les réponses que l’on voulait

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7
Q

Les deux interprétations du stress

A

1- La réaction/interprétation d’une personne par rapport à une situation donnée
2- Un événement -> un stresseur

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8
Q

Types de coping : centré sur le problème

A

Stratégies qui tente de modifier ou confronter directement l’événement stressant (ex : résolution de problème, action directe), essayer de résoudre le problème en particulier.

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9
Q

Types de coping : centré sur les émotions

A

Réponses qui servent à contrôler les réactions internes au stress. Essayer d’arrêter de penser à un problème, se demander si c’est si grave que ça (réévaluation cognitive).

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10
Q

Types de coping : coping d’approche + primaire et secondaire

A

Efforts cognitifs/comportementaux pour contrôler le stress ( ex : résolution de problème, réévaluation cognitive)
-Primaire : stratégies pour changer la situation
-Secondaire : stratégies pour s’accommoder à la situation

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11
Q

Types de coping : Coping d’évitement

A

Efforts cognitifs/comportementaux pour éviter la situation/circonstance qui cause de la détresse (ex : distraction, minimisation, déni)

Évitement : éviter de reconnaître qu’il y a un problème, éviter d’y penser, minimiser la situation, déni ( ex : avoir un trouble d’anxiété sociale et éviter les situations sociales)

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12
Q

Développement lié à l’âge : 0-1 an coping extrême à interpersonnel

A

-Détresse de l’enfant provoque réponse du parent
-Parent qui répond de façon sensible
-Recherche de proximité est une stratégie plus active qui permet à l’enfant de demander de l’aide à son parent
-Stratégie de coping omnibus : stratégie utilisée dans toutes les situations, quand l’enfant va aller voir le parent quand il a besoin de quelque chose

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13
Q

Développement lié à l’âge : 1-4 ans coping interpersonnel à intrapersonnel

A

-Motivations deviennent extrinsèques : guidées par émotions centrées sur l’autre (honte, culpabilité, fierté), permet d’adapter émotions/comportements prépotents en fonction des besoins/attentes d’autrui
-Coping interpersonnel : l’enfant consulte son parent à distance pour évaluer le danger d’une situation nouvelle, l’enfant délègue une action à son parent en communicant son désir
-Coping volontaire : après ++ expériences l’enfant associe des stresseurs et des stratégies de coping particulières, permet de planifier des réponses avant de commencer
-Rôle des parents : coaching émotionnel, conseils p/r aux évaluations cognitives, épisodes de coping
-Coping centré sur le problème : capacité à garder un but en tête et adopter des comportements pour l’atteindre
-Coping centré sur les émotions : capacité à réguler ses émotions en orientant son attention vers autre chose

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14
Q

Développement lié à l’âge : 5-7 ans coping réflexif

A

-Développement des capacités réflexives : distraction mentale plutôt que comportementale, coping peut se faire mentalement au lieu de requérir une action
-Rôle des parents : participation mentale, le parent doit aider l’enfant s’aider lui-même afin de lui permettre de devenir plus indépendant. Discussion, parler de comment régler des problèmes, parent encore dispo mais moins d’une façon dépendante, régulation des émotions, leur donner des stratégies.

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15
Q

Développement lié à l’âge : 8-12 ans coping robuste

A

-Coping robuste : (+ résilience), sentiment de contrôle, sentiment de sécurité/appartenance (désir de vouloir résoudre ses problèmes seuls tout en sachant que l’aide externe est dispo au besoin), sentiment d’autonomie/autodétermination (besoin sentiment de compétence, autonomie, motivation intrinsèque, avoir l’impression d’être important pour les autres)

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16
Q

Développement lié à l’âge : adolescence coping proactif

A

-Période de réactivité plus forte : déséquilibre, fin de période d’hyporéactivité
-Développement de métacognition : métacognition (capacité de réfléchir sur ses pensées/cognitions), méta-émotions (réfléchir sur ses émotions)
-Coping proactif : anticipation des conséquences prévues qui permet de réévaluer les situations dans lesquels on se met et les capacités de coping nécessaires, permet de réagir p/r à une situation ou nos réactions avant qu’elles surviennent

17
Q

Adaptation à la mort d’un parent : 5 aspects du concept de mortalité

A

1) Non fonctionnalité : Toutes les fonctions de vie cessent après la mort (se développe à 4 ans)
2) Irréversibilité : On ne peut pas vivre de nouveau (se développe à 5 ans)
3) Universabilité : Toutes les choses vivantes meurent (développé à 5 ans)
4) Causalité : C’est causé par quelque chose (vieillesse, maladie) (se développe à 5 ans)
5) Mortalité personnelle : L’enfant comprend qu’il va aussi mourir lui-même (se développe à 5-8 ans)

18
Q

Comment faciliter l’adaptation?

A

-Éviter d’utiliser les euphémismes
-Parler de la mort en terme biologiques diminue p/r à la mort
-Encourager le parent survivant à exprimer ses émotions, mais en expliquer la cause
-Encourager la stabilité dans l’environnement/routines