Cours 3 : TA éval Flashcards

1
Q

PA et PFD

A

Problème d’alimentation (PA)
Pediatric feeding disorder (PFD)

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2
Q

Prévalence des problèmes alimentaires

A

= Étape du développement normal pour la majorité des enfants
 4-6 mois : 19% difficultés à l’introduction des solides ; Lorsque les réflexes disparaisse et que l’alimentation devient plus volontaire
 19-24 mois : 50% des parents rapportent des problèmes d’alimentation chez leur enfant
 2 à 10 ans : 75% auront un épisode de néophobie alimentaire

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3
Q

Néophobie alimentaire

A

Néophobie: Peur de la nouveauté, de l’inconnu = Réaction de protection

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4
Q

Néophobie alimentaire : Étape normale du développement de l’enfant (4)

A

 ↑2-3 ans, → 4-7 ans, ↓10-11 ans
 Comportements typiques : tourner la tête, recracher l’aliment
 Souvent rejetées: viandes, fruits & légumes, épicés, amer
 Transitoires et sans conséquences, sauf pour 3-10%

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5
Q

Néophobie alimentaire : *Facteurs personnels et environnementaux peuvent contribuer (3)

A

Approche du parent, exposition à divers aliments, manger a table avec la famille

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6
Q

consultations tardives dû à … (2)

A

 Tolérance
 Méconnaissance

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7
Q

Impacts au niveau de (10)

A

 Santé ; Anémie / carence nutritionnelle
 Sommeil
 Développement
 Activité physique
 Humeur
 Routines et rituels
 Participation sociale
 Stress
 Isolement, exclusion
 Autant enfant que la famille/parents !

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8
Q

Conseils généraux : Comportements favorables au développement du goût (4)

A

 Parler des aliments  Familiarisation  Moins de craintes
 Expositions répétée, variées, intéressantes, ludiques, AGRÉABLES (ne pas forcer l’enfant, rester dans le plaisir)
 Repas agréables, pas de pression à manger
 Modèles positifs = Voir d’autres personnes manger l’aliment, amis à la garderie mange l’aliment

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9
Q

Étiologie des problèmes alimentaires (2)

A

 Littérature scientifique : La compréhension de la problématique, de l’enfant qui évite ou restreint son alimentation, est grandement influencée par le champ d’expertise professionnel.
 Généralement multifactoriel

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10
Q

Prévalence des problèmes alimentaires (4)

A

Troubles neurodéveloppementaux: populations surreprésentées:
 Retards de développement (70-80%, 26-38% ARFID)
 Trouble du spectre de l’autisme (46-100% ont PA* ou PFD*)
o n=536: 58,3% des usagers ayant ARFID et 41,7% des usagers ayant d’autres troubles d’alimentation
o Rétrospectivement: PA avant suspicion TSA, avant 1 an (plusieurs avant 6 mois)
 TDAH (3-39% des enfants référés pour ARFID)
 Troubles d’apprentissages (10-31% des enfants référés pour ARFID)

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11
Q

TSA : Apparition précoce des PA (3)

A

 Période (2-5 ans) particulièrement difficile au quotidien pour les parents
 Souvent en attente d’évaluation diagnostique/de services
 Âge où plusieurs sont non-verbaux, ou ont une utilisation non-fonctionnelle du langage

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12
Q

Des recherche rétrospectives relèvent des difficultés avant même les premières transitions.
Entre … , les problèmes alimentaires des enfants autistes s’intensifient.

A

Des recherche rétrospectives relèvent des difficultés avant même les premières transitions.
Entre 15-36 mois, les problèmes alimentaires des enfants autistes s’intensifient.

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13
Q

Problèmes d’alimentation communément rencontrés (10)

A

 #1 – Nombre restreint d’aliments (sélectivité)
 Refus changements et nouveauté (ex: biberon)
 Refus textures, odeurs, température, …
 Réactions comportementales (ex: crises)
 Difficultés à rester assis à la table
 Réactions aversives (ex: haut le cœur)
 Refus selon les contextes/personnes (ex. : veut seulement avec papa, à la garderie)
 Refus selon la présentation
 Consommation moindre calcium, protéines, vitamines, fibres
 Surpoids

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14
Q

Problèmes d’alimentation = X chez les parents

A

= STRESS PARENT +++++ (comportements difficiles à table, refus….)

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15
Q

Vulnérabilités biologiques : MODÈLE TRI DIMENSIONNEL DE ˆTHOMAS ET AL. (2017) (4)

A

 = Modèle qui permet d’orienter les intervention et mieux comprendre = IMAGE
 Profil sensoriel de la personne, comment elle traite les stimuli sensoriel
 Faible appétit ; personne qui ressente moins la faim ; moins faim = moins envie de manger
 Fear of aversive conséquences : personne qui a peur des conséquences de manger qqc de pas bon ; prédisposition à l’anxiété ; anxiété par anticipation

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16
Q

Traitement des stimuli sensoriels et PA (2)

A

 67,5% des enfants référés pour des problèmes d’alimentation présentaient des difficultés de traitement des informations sensorielles
 Une meilleure capacité à détecter les saveurs amères et sucrées chez des enfants d’âge préscolaire est corrélée avec une alimentation plus sélective et au rejet des légumes amers

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17
Q

Traitement des stimuli sensoriels : Associations entre les problèmes alimentaires et les difficultés sensorielles, notamment chez

A

Associations entre les problèmes alimentaires et les difficultés sensorielles, notamment chez personnes autistes

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18
Q

réflexe nauséeux (gag reflex) = hypersensibilité ?

A

≠ «hypersensibilité»

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19
Q

Quelques mots sur le réflexe nauséeux (gag reflex) : causes possibles (5)

A

Coordination et timing, hyperréactivité, structurelle, communication (voit avec expérience que le gag met fin au repas), émotion
Gag par anticipation VS gag à la bouche (plus moteur le 2e)

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20
Q

Quelques mots sur le réflexe nauséeux (gag reflex) :quoi faire (6)

A

 Augmenter la prévisibilité
 Donner plus de contrôle à l’enfant
 Désensibilisation
 Développer habiletés motrices
 Distractions, ignorance intentionnelle
 Rythme/volume des bouchées

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21
Q

Régulation (tempérament)

A

 Problèmes significatifs de régulation en bas âge qui persistent (> 3 mois) augmentent le risque de troubles de l’alimentation plus tard (Nygrenet al., 2021)

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22
Q

Trouble du comportement alimentaire restrictif ou évitant =

A

Perturbation persistante de l’alimentation qui se manifeste par la restriction ou l’évitement d’aliments/groupe d’aliments.

23
Q

Trouble du comportement alimentaire restrictif ou évitant : Comportements qui peuvent s’expliquer en partie par (4)

A

 manque d’intérêt envers la nourriture, faible appétit ou difficultés à reconnaître les signaux de la faim.
 aversion liée à des propriétés sensorielles des aliments (ex: odeur, apparence, texture,…)
 D’appréhensions de conséquences liées à la consommation de certains aliments (ex: étouffement, vomissement) qui peuvent provenir d’expériences passées.
 Une grande distractibilité, une hypervigilence ou une extrême résistance

24
Q

Trouble du comportement alimentaire restrictif ou évitant : Critères diagnostics (au moins 1 critère sur 4) :

A

Quantité ou variété d’aliments consommés est insuffisante d’aliment pour rencontrer les besoins caloriques et/ou nutritionnels :
 Perte de poids (incapacité à atteindre le poids escompté ou ralentissement de la croissance)
 Carences nutritionnelles(selon tests laboratoires ou nutritionniste)
 Dépendance envers une alimentation entérale ou des suppléments nutritionnels oraux (déterminé par nutritionniste)
 Nuit considérablement au fonctionnement ou la participation sociale

25
Q

Trouble du comportement alimentaire restrictif ou évitant : Critères d’exclusions (4)

A

 Même si les parents sont très inquiets/perturbés, un enfant très sélectif ne sera pas diagnostiqué ARFID s’il n’y a pas d’impacts significatifs sur sa santé ou son fonctionnement.
 Accès restreint à des aliments en lien avec pratiques culturelles ou manque de ressources.
 Préoccupations en lien avec poids ou image corporelle (boulimie et anorexie)
 Ne peut s’expliquer par diagnostic, conditions médicales ou médication (à moins que les impacts du PA excèdent ceux attendus)

26
Q

Processus d’évaluation «classique» (5)

A
  1. Lecture dossier/évaluations antérieures, carnet de santé
  2. Entrevues + Questionnaires
  3. Observations d’un repas ou d’une collation ; Vidéo, apporter collation en clinique, aller à la maison si possible ++, voir aliment refusé mais aussi aliment aimé pour voir comment ça va quand ça va bien
    a. Facteurs personnels, environnementaux, performance
    b. Rôles du parent vs rôle de l’enfant
  4. Évaluations complémentaires ciblées
  5. Expérimentation (ex: stratégies)
27
Q

EVAL : 1. Éliminer / Stabiliser (4)

A

 Conditions médicales (systèmes respiratoire, digestif, cardiaque, neurologique…)
 Nutrition et hydratation suffisantes
 Sécurité à la déglutition (étouffement, aspiration)
 Positionnement qui favorise 1) sécurité et 2) développement des habiletés

28
Q

EVAL : 1. Éliminer / Stabiliser : Signes cliniques à surveiller et à transmettre au médecin

A

*L’enfant ne progresse pas ou régresse malgré interventions
*ARFID suspectée
*Constipation, diarrhée, incontinence fécale
*Refus de manger ou d’avaler
*Fièvre soudaine et récurrente, sans autres symptômes viraux, même l’été
*Congestion nasale ou toux chronique, respiration bruyante
*Infections respiratoires, sinusites, laryngites, mal de gorge, vomissements
*Hoquets, Haut le cœur (gag), quasi-étouffements ou étouffements
*Voix mouillée, raclement de la gorge
*Signes cliniques de gastrite, reflux gastro-oesophagien (RGO), oesophagite à éosinophiles (OeE), dysphagie
*Hypersalivation ou sialorrhée (> 4 ans)
*Santé bucco-dentaire
*Symptômes nocturnes (fièvre inexpliquée, sueurs, toux, respiration sifflante)
*Irritabilité, signes de détresse ou de douleur
*Pâleur, fatigue, faiblesse, guérison lente (infections, blessures)

29
Q

EVAL : 2. Comprendre et soutenir (6)

A

 Profil de l’enfant
 Facteurs environnementaux, incluant famille (comportements, croyances, valeurs)
 Développement (capacités, compétences)
 Autonomie
 Participation, routines, rituels
 COLLABORATION AVEC LES PARENTS = Dès l’évaluation

30
Q

Défis que l’on retrouve chez les personnes TSA (2)

A

Aire A : Difficultés de communication & interactions sociales
Aire B : Comportements, intérêts ou activités atypiques, restreints ou répétitifs
 Hyper ou hypo réactivité sensorielle / Intérêts inhabituels (aspects sensoriels)
 Intolérance aux changements, inflexibilité (routines, aliments)

31
Q

TSA ; caractéristiques qui peuvent interférer (5)

A

Difficulté à traiter de façon consciente et intégrée les informations provenant de lui et de l’environnement
–> Associations erronées

Traitement de l’information

Besoin de savoir à quoi s’attendre

Mécanisme d’apprentissage

Stimulations sensorielles lors des repas

32
Q

TSA ; caractéristiques qui peuvent interférer: Difficulté à traiter de façon consciente et intégrée les informations provenant de lui et de l’environnement

A

Peuvent inclure des références externes à leur compréhension :
 les personnes, les lieux, les moments (ex: heure)
 les assiettes ou les contenants
 Quantité, accessibilité
 une expérience vécue ou entendue
 …
Peuvent nuire à l’apprentissage et expliquer inflexibilité (sélectivité = problème conceptuel?) :
 Goût, apparence, combinaisons

33
Q

TSA ; caractéristiques qui peuvent interférer: Traitement de l’information

A

Indices variables qui accompagnent une situation de repas
 anxiété
 Stimuli
 Repas –> nourriture «comestible»
 Où? Quand? Quoi? Combien? Comment? Fin?

34
Q

TSA ; caractéristiques qui peuvent interférer: Besoin de savoir à quoi s’attendre

A

 Marque de commerce, présentation, aliments plus prévisibles que d’autres
 Besoin de se préparer à l’avance, routine, horaire

35
Q

TSA ; caractéristiques qui peuvent interférer: Mécanisme d’apprentissage

A

Diffèrent chez les personnes autistes
 Traitement local des informations (détails)
 Capacités plus grande à déceler les régularités («patterns»)
 Rétroaction, renforçateurs…pas vraiment efficace!

36
Q

TSA ; caractéristiques qui peuvent interférer: Stimulations sensorielles lors des repas

A

Par les yeux :
 Première porte d’entrée
 TSA: ++ détails, aiment que ce soit pareil (ex: couleur, forme, contenant, quantité), visible, séparé, uniforme, …

Par le nez :
 Variables
 TSA : Température, mastiquent peu, seul,…

Dans la bouche :
 Variables (saveur, texture, bruits, effort, …)
 TSA: mastiquent peu, Marques™, ketchup, sélectivité, séquence, association d’aliments, textures uniformes,…

Satiété sensorielle :
 Influence la variété, quantité consommée

Par ce qui nous entoure :
 Variable ++ sons/paroles, mouvements, odeurs, …
 TSA: ne restent pas à la table, «inflexibles»,…

À l’intérieur du corps :
 Faim, satiété, ballonnement, gaz, maux de ventre, maux de cœur,…
 TSA: info inconsciente, repère, association craintes, …

37
Q

Évaluation des difficultés de modulation sensorielle affectant l’alimentation : COMMENT ?

A

Par : entrevue avec l’enfant/les parents, questionnaires standardisés, observations directes

38
Q

Évaluation des difficultés de modulation sensorielle affectant l’alimentation : QUOI ?

A

 Premières expériences d’alimentation
 Réactions textures, goûts, odeurs, visuel, intéroception,…
 Réactions face aux changements et à la nouveauté
 Stratégies d’exploration
 Différents contextes: facilitant, aggravant
 Évolution au fil du temps
 Déclencheur + Intensité des réactions aversives
 Préférences alimentaires

39
Q

À documenter plus spécifiquement chez l’enfant TSA (3)

A

 Habiletés de communication et d’interaction
 Traitement de l’information
o Indices de compréhension, d’incompréhension, d’association erronée?
o Qu’est-ce qu’il comprend de la situation de repas?
o Repères de l’enfant?
 Situation de repas + soutiens transactionnels

40
Q

Habiletés qui peuvent soutenir interventions chez enfant TSA (6)

A

o Attention conjointe, Imitation, résolution de problèmes
o Confiance et calme à la table
o Tolérer les délais, Avant/après, séquences, repères temporels
o Pairage, Tour de rôle, jeu constructif, jeu symbolique
o Encore/fini, un peu/beaucoup
o Intérêts

41
Q

Evaluation : Situation de repas (8)

A
  • quand ?
  • tâche (quoi, comment, pourquoi)
  • durée / quantité
  • fin de l’activité
  • transition
  • où ? gestion de l’espace
  • communication fonctionnelle
  • engagement et relation
42
Q

Préférences alimentaires … essayer de comprendre ….

A

Essayer de comprendre ce qui motive les choix de l’enfant et les impacts que son répertoire alimentaire a sur sa participation occupationnelle et celle de ses parents
 Modèle conceptuel ergo (et non sous un angle nutrition)
 Propriétés des aliments (sensorielle, exigences oro-motrices)

43
Q

Préférences alimentaires … quoi répertorier

A

Si accepte un nombre très restreint d’aliment, répertorier chacun d’eux de façon détaillée
 Les aliments acceptés (préférés vs tolérés)
 Les aliments autrefois acceptés
 Les aliments prioritaires pour les parents

44
Q

Propriétés des aliments (8)

A

Résistance
Input sensoriel
Grosseur
Forme
Dispersion
Consistance
Position (placement)
Transférabilité

45
Q

Propriétés des aliments : résistance

A

pression ou force nécessaire pour croquer un morceau de nourriture et le réduire en petits morceaux (mastiquer) pouvant être avalés facilement.

46
Q

Propriétés des aliments : input sensoriel

A

la quantité et le type de goût ainsi que l’input proprioceptif perçus par la bouche lorsque l’aliment est croqué et mastiqué. Aliments procurant plus d’inputs sont souvent plus faciles à croquer/mastiquer.

47
Q

Propriétés des aliments : grosseur

A

Diamètre ou épaisseur de l’aliment. Influence l’ouverture de la bouche et la pression pour croquer. Petits morceaux requièrent moins de mastication mais plus de précision et d’amplitude de mouvement pour être placé entre les dents.

48
Q

Propriétés des aliments : forme

A

Morceau large devra être croqué avec les incisives centrales. Si l’enfant est incapable ensuite d’utiliser sa langue pour transférer l’aliment du centre vers le côté, la mastication peut être impossible ou trop difficile. Les aliments plus étroits peut être placé directement entre les molaires, plus fortes, croquer et mâcher.

49
Q

Propriétés des aliments : dispersion

A

quantité de dispersion ou « d’éparpillement”. Les aliments qui se dispersent moins lors de la mastication, absorbent mieux la salive, sont d’une seule consistance et leurs morceaux collent ensemble ce qui aide à former un bolus.
Ceux qui se dispersent en petits morceaux qui ne se lient pas ensemble (ex: carotte crue) requièrent une bonne coordination joues et langue.

50
Q

Propriétés des aliments : consistance

A

Nombre de textures qui composent l’aliment: simple (veggie stix), double (melon d’eau), multiple (raisins)

51
Q

Propriétés des aliments : position / placement

A

Dépend de la grosseur, de la forme, de la résistance et du choix de la personne. Si placé sur un côté (molaires) = moins d’étapes avant d’avaler

52
Q

Propriétés des aliments : transférabilité

A

Nombre de mastication requise et possibilité de transférer le bolus d’un côté à l’autre de la bouche.

53
Q

Rôles parent (4) VS enfant (2)

A

Parents :
* Quand, Où, Comment  supporte variations dans l’assiette
* Quoi
* Interpréter les signaux de l’enfant et les respecter
* Être un bon modèle

Enfant
* Oui, non, combien
* Apprendre

54
Q

Antécédents-Comportements-Conséquences (ABC)

A

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