Cours 3 Flashcards

1
Q

L’activation d’une région cérébrale en réponse aux objets, visages ou scènes

n’implique pas nécessairement que cette région a un rôle particulier à jouer dans…

A

…la reconnaissance de ces stimulations.

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2
Q

La démonstration qu’une région est impliquée dans une fonction donnée demande quoi?

A

La mise en relation entre

son activation et

l’exercice de la fonction en question par l’observateur.

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3
Q

La méthode d’analyse privilégiée pour mettre en relation activation et fonction est…

A

…la méthode de régression

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4
Q

Définition Méthode de régression:

A

analyse de la corrélation entre

l’activité cérébrale

et des variations (à travers différentes conditions d’activation) dans les exigences de la tâche pour

un processus mental ciblé (e.g. niveau de difficulté de la tâche)

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5
Q

Des travaux ont manipulé la qualité de la stimulation (masquage rétroactif, occlusion, bruit visuel, image fragmentée – “scrambled”, réduction de la durée ou du contraste de la stimulation), et ont examiné les effets conjoints sur la performance perceptive et sur l’activation cérébrale pour les objets et visages.

De quel méthode s’agit-il?

A

Méthode de régression

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6
Q

Selon une étude;

Fragmenter des images en plus petites parties réduit le signal dans X** et dans **Y, mais pas dans Z

A

Fragmenter des images en plus petites parties réduit le signal dans LO** et dans le **fusiform postérieur**, mais pas dans **V1

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7
Q

L’utilisation de X, qui donnent lieu à des percepts bi-stables, démontre également le rôle du gyrus fusiforme dans la perception des visages

A

L’utilisation de figures ambigues, qui donnent lieu à des percepts bi-stables, démontre également le rôle du gyrus fusiforme dans la perception des visages

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8
Q

L’utilisation de stimuli près du seuil de détection démontre la corrélation entre perception des visages et l’activité cérébrale dans la région W** et **X**, mais pas dans les aires **Y** et **Z.

A

L’utilisation de stimuli près du seuil de détection démontre la corrélation entre perception des visages et l’activité cérébrale dans la région occipitale-latérale (LO)** et **le gyrus fusiforme (FFA)**, mais pas dans les aires **V1** et **V4.

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9
Q

Seuil de détection d’une image a peu pres?

A

33 ms

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10
Q

Vrai ou Faux

L’activation de LO et FFA sont possible même lors de détection erronées?

A

Vrai

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11
Q

L’état actuel des connaissances sur le système visuel suggère l’existence d’une grande variété de régions cérébrales qui sont activées par…

A

…des catégories spécifiques d’objets.

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12
Q

Pourquoi est-il difficile d’établir s’il s’agit d’aires visuelles distinctes pour les catégories spécifiques d’objets?

A

Car les aires de haut niveau présentent une rétinotopies floue comparativement aux aires de bas niveau (ex: V1 ou V2)

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13
Q
A
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14
Q

plus on avance dans la hiérarchie des aires visuelles:

  • plus X et
  • plus Y
A

plus on avance dans la hiérarchie des aires visuelles:

  • plus la représentation rétinotopique devient difficile à établir

et

  • plus la spécificité des activations observées à une classe de stimuli visuelle devient grande.
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15
Q

Cette apparente subdivision des aires visuelles de haut niveau est compatible avec X (e.g. visages, matériel écrit, objets biologiques, etc.).

A

Cette apparente subdivision des aires visuelles de haut niveau est compatible avec l’observation de déficits spécifiques à certaines classes d’objets dans les cas de lésions cérébrales (e.g. visages, matériel écrit, objets biologiques, etc.).

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16
Q

En ce qui concerne les aires de haut niveau (en particulier LOC et VOT) qui présentent des zones activées spécifiquement par une classe d’objets (visages, mots, lieux et immeubles, parties du corps, etc.), plusieurs théories ont eu cours historiquement. (nommer les 3 qui ne sont plus bonne ajd )

A
  • système distribué unique (“general purpose”) pour la reconnaissance d’objets.
  • modules spécifiques à un domaine de traitement donné (pour les visages et les lieux) complémentés par un troisième module “general purpose” pour la reconnaissance d’objets.
  • modules spécifiques aux attributs sémantiques des objets (i.e. organisés en fonction de catégories sémantiques précises).
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17
Q

En ce qui concerne les aires de haut niveau (en particulier LOC et VOT) qui présentent des zones activées spécifiquement par une classe d’objets (visages, mots, lieux et immeubles, parties du corps, etc.), plusieurs théories ont eu cours historiquement. (nommer les 2 qui tiennent encore ajd )

A
  • système unique subdivisé en zones définies par ses particularités quant au traitement visuel effectué (e.g. une zone serait spécialisée dans les discriminations visuelles fines entre les objets de même catégorie, centrale pour la reconnaissance des visages).
  • ensemble d’aires rétinotopiques distinctes selon leur facteur de magnification corticale, certaines préférant la stimulation centrale (visages) et d’autres la stimulation périphérique (lieux).
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18
Q

L’hypothèse généralement admise comme cadre d’analyse du traitement des objets par le système visuel (sans entrer en contradiction avec les autres théories) X.

A

L’hypothèse généralement admise comme cadre d’analyse du traitement des objets par le système visuel (sans entrer en contradiction avec les autres théories) implique une hiérarchie de traitement effectué par une séquence d’aires visuelles.

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19
Q

Cette hiérarchie implique, où, un traitement des aspects locaux de la stimulation qui sont liés de près aux caractéristiques de l’image rétinienne?

A

Dans les aires de bas niveau

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20
Q

Plus on avance dans la hiérarchie, plus les représentations qui sont construites sont supposées être X (i.e. illumination, contraste, orientation, composition spectrale, etc.). – donc qui concerne juste une petite partie du champ visuelle.

A

Plus on avance dans la hiérarchie, plus les représentations qui sont construites sont supposées être globales, abstraites et invariantes à certains aspects accidentels de l’image (i.e. illumination, contraste, orientation, composition spectrale, etc.). – donc qui concerne juste une petite partie du champ visuelle.

21
Q

Dans X, on constate des activations dans pratiquement tous les cas de stimulation visuelle.

A

Dans les aires de bas niveau (en particulier V1 et V2), on constate des activations dans pratiquement tous les cas de stimulation visuelle.

22
Q

Les aires V1 et V2 sont fortement X**, les champs récepteurs qu’on y retrouve sont très sensibles **Y** (e.g. orientation de contours locaux) et leur réponse est fortement **Z.

A

Ces aires sont fortement rétinotopiques**, les champs récepteurs qu’on y retrouve sont très sensibles **aux propriétés locales de la stimulation** (e.g. orientation de contours locaux) et leur réponse est fortement **altérée par le contraste.

23
Q

À mesure qu’on avance dans la hiérarchie visuelle,

  • on retrouve une augmentation de X et
  • une rétinotopie Y.

On constate également, au moins 2 voies distinctes (Z).

A

À mesure qu’on avance dans la hiérarchie visuelle,

  • on retrouve une augmentation de la spécificité des réponses à une classe de stimuli et
  • une rétinotopie de moins en moins précise.

On constate également, au moins 2 voies distinctes (occipito-temporale et occipito-pariétale).

24
Q

On rencontre pour v1,2,3 des aires visuelles qui sont X, donc tout passe par là.

A

On rencontre pour v1,2,3 des aires visuelles qui sont “all-purpose”, donc tout passe par là.

25
Q

L’amplitude de la réponse covarie avec…

A

…la probabilité de détection du stimulus, suggérant ainsi une relation causale.

26
Q

Dans les aires de bas niveau, on constate des réponses qui varient en fonction…

A

…des paramètres rétiniens de la stimulation.

27
Q

Nommer 2 indication du processus hiérarchique de la vision de la voie occipito-temporale.

A

1- La sensibilité au changement de contraste diminue de V1 à LO;

V4 a montrer un profil de rép intermédiaire (-sensi que V1, + sensi que LO)

2- Response to parafoveal stimuli

  • V1: tres sensible
  • Régions périphérique V1: pas de rép à rép intermédiare
  • V4: rép intermédiaire
  • Régions périphérique V4: pas de rép
  • LO: pas de rép
  • Régions périphérique LO: activé de façon significative
28
Q

La moyenne de tailles de champ récepteurs sont le plus petit dans U** , plus large dans **V** , plus large encore en **W/X** , et le plus large en **Y** et **Z.

A

La moyenne de tailles de champ récepteurs sont le plus petit dans V1** , plus large dans **V2** , plus large encore en **V3/VP** , et le plus large en **V3a** et **V4

29
Q

À mesure que l’on avance dans la hiérarchie visuelle, il y a une X croissante.

1 - X = localisation

2 - X = globalisation

A

2- il y a une globalisation croissante, à mesure uqe l’on avance dans la hiérarchie visuelle.

30
Q

À quoi servent ces 2 stimulus?

A

Stimuli visuel utilisée pour la cartographie rétinotopique et l’estimation de la taille moyenne des champ recepteurs

31
Q

Selon l’image, le temps nécessaire pour un stimulus de traverser le champ récepteur d’un neurone dépend de…

A

la taille du champ récepteur

32
Q

Selon l’image, le temps nécessaire pour un stimulus de traverser le champ récepteur d’un neurone dépend de…

A

la taille du champ récepteur, ainsi que l’excentricité du la taille du champ récepteur

33
Q

Ici l’image montre l’oscillation de la réponse IRMf en fonction du mouvement du stimulus.

Qu’est-ce qui sert d’indicateur quant à la taille des champs récepteurs.

A

La durée d’activation à chaque cycle du stimulus

34
Q

Ici l’image montre l’oscillation de la réponse IRMf en fonction du mouvement du stimulus.

Donc, si on constate notamment une durée d’activation plus faible avec une stimulation centrale que périphérique cela indique que…

A

les champ récepteurs sont plus petit au centre(fovéa) quand périphérie.

35
Q

1- 0 sur l’axe représente quoi?

2- Que représente l’axe vertical?

A

1- Cela représene la fovéa

2- L’axe vertical représente la duré d’un cycle de stimulus –> taille du champ récepteur

36
Q

L’effet variable de la fragmentation de l’image sur la réponse des différentes aires visuelles est également compatible avec l’hypothèse de hiérarchies A–>B et C–>D CR.

A

L’effet variable de la fragmentation de l’image sur la réponse des différentes aires visuelles est également compatible avec l’hypothèse de hiérarchies local –> global** et **petits –> grands CR.

37
Q

Dans la framentation d’image comme stimulus;

1- L’insensibilité de V1 au nombre de fragments (et par conséquent à leur taille) suggère quoi?

2- La sensibilité des régions VOT et LO par contre, indique quoi?

A

1- Suggère un traitement local effectué par de petits CR.

2- Indique des CR plus grands qui effectuent un traitement sur des portions plus étendues de l’objet (i.e. traitement global).

38
Q

Vrai ou Faux

VOT et LO sont des aires visuelles?

Expliquer

A

Faux

Ce sont des régions visuelles!

39
Q

Quand il y a un haut degré de fragmentation d’image il y a un signal plus élevé en VOT/LO ou en V1?

Pk?

A

En V1,

à cause du traitement local de V1 vs global de VOT/LO

40
Q

V ou F

La hiérarchie du traitement visuel soit bien démontrée.

Le traitement visuel est donc ascendant seulement?

A

FAUX

41
Q

On constate des influences de haut niveau sur X.

A

On constate des influences de haut niveau sur le traitement précoce.

42
Q

On constate des influences de haut niveau sur le traitement précoce.

Ceci est particulièrement évident dans X.

A

Ceci est particulièrement évident dans les cas de modulation attentionnelle.

43
Q

On constate également des influences de haut niveau sur le traitement précoce. Ceci est particulièrement évident dans les cas de modulation attentionnelle.

Par exemple, X à elle seule (i.e. en l’absence de stimulation) module l’activité dans l’aire V2.

A

Par exemple, l’attention visuo-spatiale à elle seule (i.e. en l’absence de stimulation) module l’activité dans l’aire V2.

44
Q

L’attention visuo-spatiale à elle seule (i.e. en l’absence de stimulation) module l’activité dans l’aire V2.

Cela démontre que l’activation de notre cortex n’est pas exclusivement dépendante X**, mais dépend aussi de **Y

A

Cela démontre que l’activation de notre cortex n’est pas exclusivement dépendant des stimuli auquel on est exposé**, mais dépend aussi de **notre attention et attentes

45
Q

L’attention à une dimension particulière de la stimulation ou à une classe spécifique de stimuli augmente quoi?

A

L’attention à une dimension particulière de la stimulation ou à une classe spécifique de stimuli augmente l’activité des régions qui y sont spécialisées

46
Q

Il semble exister un principe général permettant d’expliquer l’organisation des aires visuelles reposant sur les dimensions orthogonales de X** et de **Y.

A

Il semble exister un principe général permettant d’expliquer l’organisation des aires visuelles reposant sur les dimensions orthogonales de hiérarchie** et de **spécialisation.

47
Q

Hiérarchie:

A

Séquence ascendante des aires visuelles.

48
Q

Spécialisation:

A

Dimension centre-périphérie, qui se traduit, dans les aires de haut niveau, par une spécialisation pour une classe particulière d’objets.

49
Q
A