Cours 3 Flashcards
L’activation d’une région cérébrale en réponse aux objets, visages ou scènes
n’implique pas nécessairement que cette région a un rôle particulier à jouer dans…
…la reconnaissance de ces stimulations.
La démonstration qu’une région est impliquée dans une fonction donnée demande quoi?
La mise en relation entre
son activation et
l’exercice de la fonction en question par l’observateur.
La méthode d’analyse privilégiée pour mettre en relation activation et fonction est…
…la méthode de régression
Définition Méthode de régression:
analyse de la corrélation entre
l’activité cérébrale
et des variations (à travers différentes conditions d’activation) dans les exigences de la tâche pour
un processus mental ciblé (e.g. niveau de difficulté de la tâche)
Des travaux ont manipulé la qualité de la stimulation (masquage rétroactif, occlusion, bruit visuel, image fragmentée – “scrambled”, réduction de la durée ou du contraste de la stimulation), et ont examiné les effets conjoints sur la performance perceptive et sur l’activation cérébrale pour les objets et visages.
De quel méthode s’agit-il?
Méthode de régression
Selon une étude;
Fragmenter des images en plus petites parties réduit le signal dans X** et dans **Y, mais pas dans Z
Fragmenter des images en plus petites parties réduit le signal dans LO** et dans le **fusiform postérieur**, mais pas dans **V1
L’utilisation de X, qui donnent lieu à des percepts bi-stables, démontre également le rôle du gyrus fusiforme dans la perception des visages
L’utilisation de figures ambigues, qui donnent lieu à des percepts bi-stables, démontre également le rôle du gyrus fusiforme dans la perception des visages
L’utilisation de stimuli près du seuil de détection démontre la corrélation entre perception des visages et l’activité cérébrale dans la région W** et **X**, mais pas dans les aires **Y** et **Z.
L’utilisation de stimuli près du seuil de détection démontre la corrélation entre perception des visages et l’activité cérébrale dans la région occipitale-latérale (LO)** et **le gyrus fusiforme (FFA)**, mais pas dans les aires **V1** et **V4.
Seuil de détection d’une image a peu pres?
33 ms
Vrai ou Faux
L’activation de LO et FFA sont possible même lors de détection erronées?
Vrai
L’état actuel des connaissances sur le système visuel suggère l’existence d’une grande variété de régions cérébrales qui sont activées par…
…des catégories spécifiques d’objets.
Pourquoi est-il difficile d’établir s’il s’agit d’aires visuelles distinctes pour les catégories spécifiques d’objets?
Car les aires de haut niveau présentent une rétinotopies floue comparativement aux aires de bas niveau (ex: V1 ou V2)
plus on avance dans la hiérarchie des aires visuelles:
- plus X et
- plus Y
plus on avance dans la hiérarchie des aires visuelles:
- plus la représentation rétinotopique devient difficile à établir
et
- plus la spécificité des activations observées à une classe de stimuli visuelle devient grande.
Cette apparente subdivision des aires visuelles de haut niveau est compatible avec X (e.g. visages, matériel écrit, objets biologiques, etc.).
Cette apparente subdivision des aires visuelles de haut niveau est compatible avec l’observation de déficits spécifiques à certaines classes d’objets dans les cas de lésions cérébrales (e.g. visages, matériel écrit, objets biologiques, etc.).
En ce qui concerne les aires de haut niveau (en particulier LOC et VOT) qui présentent des zones activées spécifiquement par une classe d’objets (visages, mots, lieux et immeubles, parties du corps, etc.), plusieurs théories ont eu cours historiquement. (nommer les 3 qui ne sont plus bonne ajd )
- système distribué unique (“general purpose”) pour la reconnaissance d’objets.
- modules spécifiques à un domaine de traitement donné (pour les visages et les lieux) complémentés par un troisième module “general purpose” pour la reconnaissance d’objets.
- modules spécifiques aux attributs sémantiques des objets (i.e. organisés en fonction de catégories sémantiques précises).
En ce qui concerne les aires de haut niveau (en particulier LOC et VOT) qui présentent des zones activées spécifiquement par une classe d’objets (visages, mots, lieux et immeubles, parties du corps, etc.), plusieurs théories ont eu cours historiquement. (nommer les 2 qui tiennent encore ajd )
- système unique subdivisé en zones définies par ses particularités quant au traitement visuel effectué (e.g. une zone serait spécialisée dans les discriminations visuelles fines entre les objets de même catégorie, centrale pour la reconnaissance des visages).
- ensemble d’aires rétinotopiques distinctes selon leur facteur de magnification corticale, certaines préférant la stimulation centrale (visages) et d’autres la stimulation périphérique (lieux).
L’hypothèse généralement admise comme cadre d’analyse du traitement des objets par le système visuel (sans entrer en contradiction avec les autres théories) X.
L’hypothèse généralement admise comme cadre d’analyse du traitement des objets par le système visuel (sans entrer en contradiction avec les autres théories) implique une hiérarchie de traitement effectué par une séquence d’aires visuelles.
Cette hiérarchie implique, où, un traitement des aspects locaux de la stimulation qui sont liés de près aux caractéristiques de l’image rétinienne?
Dans les aires de bas niveau