Cours 3 Flashcards

1
Q

Vrai ou faux : La qualité de la relation est la responsabilité du professionnel.

A

Vrai

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Q

Vrai ou faux : Le savoir-être de l’éducateur exige le développement de certains schèmes relationnels.

A

Vrai

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3
Q

Nommez les schèmes relationnels.

A
  1. Considération
  2. Sécurité
  3. Confiance
  4. Disponibilité
  5. Congruence
  6. Empathie
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4
Q

Définition : Considération

A
  • Exige la découverte du potentiel de l’autre et de l’attribution d’une valeur à ce qu’il est
  • Associé à l’inconditionnalité
  • Implique un respect mutuel
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Q

Définition : Sécurité

A
  • Ensemble d’attitudes qui permettent d’affronter la situation qui se présente (sans se sentir paralysé par la peur ou l’angoisse)
  • Sécurité physique
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6
Q

Définition : Confiance

A
  • Capacité de dépasser l’image de soi pour poursuivre l’accompagnement
  • Reconnaître son potentiel et ses vulnérabilités
  • Se fier à ses propres ressources internes et ses moyens professionnels (confiance en nos capacités, confiance envers les collègues/système, etc.) et à ceux du jeune
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7
Q

Définition : Disponibilité

A
  • Ensemble d’attitudes qui permettent à un éducateur de dépasser ses aises et son bien-être immédiat.
  • Chez le jeune, forme d’ouverture qui le rend de plus en plus capable d’accepter de partager, être davantage à l’écoute de lui-même, accepter d’utiliser l’éducateur, mieux reconnaître ses besoins et accepter d’y répondre
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8
Q

Définition : Congruence

A
  • Attitude d’authenticité/honnêteté/souci d’être vrai dans la relation (être cohérent)
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9
Q

Définition : Empathie

A
  • Compréhension de l’état d’esprit de l’autre (reconnaître, comprendre, valider les émotions)
  • Chez le jeune, prise de conscience de ce qui se passe en lui et du rôle qu’il y joue, objectiver son comportement, communiquer ce que la situation lui faire vivre.
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10
Q

Définition : Savoir de l’éducateur

A

Connaissances de base du développement normal et pathologique de l’être humain et des habiletés et difficultés inhérentes à sa nature.

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11
Q

Vrai ou faux : Le savoir de l’éducateur doit lui servir d’éclairage rationnel/valable à l’aide des théories et courants de pensée

A

Vrai

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12
Q

Vrai ou faux : L’éducateur ne doit pas toujours être critique et se remettre en question.

A

Faux

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13
Q

Vrai ou faux : Une seule approche peut couvrir la totalité de l’intervention

A

Faux.

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14
Q

Vrai ou faux : Le savoir de l’éducateur l’aide à ne pas se laisser dérouter par la complexité des différentes problématiques et leur contexte.

A

Vrai

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15
Q

Qu’est-ce que le savoir-faire de l’éducateur ?

A

Les opérations professionnelles

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16
Q

Définition : Savoir-faire de l’éducateur

A

Capacité/habileté de mettre en pratique ce qu’on a appris pour accomplir une tâche d’une manière efficace.

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17
Q

Vrai ou faux : On évalue la compétence d’un éducateur par son savoir.

A

Faux, on l’évalue avec son savoir-faire (capacité de mettre son savoir en pratique pour résoudre avec succès un problème dans un situation concrète)

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18
Q

Quelles sont les opérations professionnelles ?

A
  1. Observation
  2. Évaluation pré-intervention
  3. Planification
  4. Utilisation
  5. Animation
  6. Organisation
  7. Évaluation post-situationnelle
  8. Communication
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19
Q

Définition : Opération

A

Permet de recueillir les données nécessaires à l’identification de la problématique qui fait l’objet de l’intervention (voir, lire et décrire à l’aide de nos sens; PAD et PEX; Contexte)

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20
Q

Vrai ou faux : L’évaluation est le premier niveau du traitement des données.

A

Faux, c’est l’observation.

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21
Q

Vrai ou faux : À l’étape de l’observation, il faut observer de manière neutre et objective (distinguer les observations des émotions et idées préconçues)

A

Vrai

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22
Q

Associer la définition à l’opération professionnelle :

Opération par laquelle l’éducateur cherche à exploiter le contenu expérientiel d’un événement du vécu partagé, à le rendre plus significatif encore en l’ouvrant sur ce qui peut en être généralisé.

A

Utilisation

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23
Q

Associer la définition à l’opération professionnelle :

Fonctionnelle : consiste à échanger des informations et à partager une analyse avec les autres acteurs de la situation d’intervention pour assurer la mise en œuvre cohérente du processus d’intervention.

A

Communication

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24
Q

Associer la définition à l’opération professionnelle :

Opération qui consiste à donner vie aux conditions mises en place lors de l’organisation

A

Animation

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25
Q

Associer la définition à l’opération professionnelle :

Consiste à avoir et à enregistrer, dans le déroulement même des interactions, les attitudes ou comportements significatifs en étant soucieux de le faire de manière neutre et la plus objective possible.

A

Observation

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26
Q

Associer la définition à l’opération professionnelle :

Consiste à prévoir l’ensemble des dispositions concrètes à prendre et des correctifs immédiats à apport à la situation actuelle du vécu partagé.

A

Planification

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27
Q

Associer la définition à l’opération professionnelle :

Formative ;
Afin de faire progresser le savoir-faire et le savoir-être de l’éducateur

A

Évaluation post-intervention

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28
Q

Associer la définition à l’opération professionnelle :

Consiste essentiellement à analyser avec méthode et rigueur professionnelle : Les observations issues de l’animation et de l’utilisation du vécu partagé ; Les interventions ponctuelles ; La planification et l’organisation effectivement réalisées.

A

Évaluation post-intervention

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29
Q

Associer la définition à l’opération professionnelle :

Formative : vise à avoir un impact sur les interactions avec les sujets, un effet sur le jeu des déséquilibres et des rééquilibrations dans la démarche de réadaptation

A

Communication

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30
Q

Associer la définition à l’opération professionnelle :

Permet d’associer diverses interactions relationnelles ou structurelles de façon à faire sien certains comportements appropriés ou susceptibles de le devenir et éventuellement à les généraliser.

A

Utilisation

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31
Q

Associer la définition à l’opération professionnelle :

Mettre en place (agencer, aménager, arranger, assembler, grouper, ordonner, structurer) les moyens issus de modèles de références théoriques et pratiques susceptibles de permettre l’atteinte des objectifs d’intervention

A

Organisation

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32
Q

Associer la définition à l’opération professionnelle :

Sommative : Vise à déterminer l’efficacité des interventions sur le sujet.

A

Évaluation post-intervention

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33
Q

Associer la définition à l’opération professionnelle :

Consiste à donner un sens à la situation

A

Évaluation pré-intervention

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34
Q

Vrai ou faux : L’observation et l’évaluation se font toujours sur le champ.

A

Vrai

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35
Q

Quelles sont trois techniques d’observation vue en classe ?

A
  1. Voir (relié au système sensoriel)
  2. Lire (relié à l’évaluation pré-intervention)
  3. Décrire (relié à la communication
36
Q

Vrai ou faux : L’évaluation pré-intervention peut se faire pendant le vécu éducatif partagé et en dehors du vécu éducatif partagé.

37
Q

Qu’est-ce que vise le niveau d’évaluation pré-intervention “sur-le-champ” ?

A

À classer les informations et en faire une première analyse préalable à une intervention ponctuelle

38
Q

En quoi consiste l’évaluation pré-intervention effectuée en retrait ?

A
  • L’évaluation exhaustive du PAD et du PEX (Multi-méthodes, répondants, sites, dimensions)
  • Comparé les données à celles des autres intervenants
  • Comparé les données à une norme
  • Établir la fonction du comportement + ABC.
39
Q

Nommez des méthodes de collecte de données

A
  1. Entrevue
  2. Questionnaire
  3. Observation
    ETC.
40
Q

Quelles sont les trois fonctions (étapes) de l’évaluation pré-intervention ?

A
  1. Comprendre
  2. Interpréter
  3. Émettre des hypothèses (impressions cliniques)
41
Q

Quels sont les deux niveaux de la planification ?

A
  1. Sur-le-champ
  2. En retrait
42
Q

Comment s’effectue la planification sur-le-champ ?

A

Prévoir l’ensemble des dispositions concrètes à prendre et les correctifs immédiats à apporter à la situation actuelle (Recalibrer pendant l’activité)

43
Q

Comment s’effectue la planification en retrait ?

A
  • Elle découle d’une évaluation globale, exhaustive et systématique
  • Élaborer un plan d’intervention à plus ou moins long terme/programme d’activités
44
Q

Vrai ou faux : La planification en retrait concerne seulement le sujet et l’éducateur pendant l’activité.

A

Faux, elle concerne tous les acteurs impliqués.

45
Q

À l’étape de la planification, que doit être en mesure de faire l’éducateur à partir des hypothèses ou impressions cliniques ?

A
  1. Élaborer des objectifs d’intervention (général et spécifique)
  2. Élaborer les moyens pour parvenir à l’atteinte des objectifs (en prévoyant le PEX, et en tenant compte des ressources humaines et physiques)
  3. Élaborer l’évaluation de l’atteinte des objectifs (en prévoyant les indicateurs de réussite, moyen d’observation, d’évaluation et d’analyse)
46
Q

Vrai ou faux : Lors de la planification, les objectifs doivent être bien mesurables.

47
Q

Vrai ou faux : À l’étape de l’organisation, on cherche à mettre en place les meilleures conditions possibles en accord avec la réalité, les forces/limites de l’environnement et de l’individu.

48
Q

L’étape de l’organisation permet de :
A) Un bon fonctionnement de l’animation
B) Augmenter le rendement
C) Complexifie le travail
D) A et B
E) B et C
F) Aucune de ces réponses

A

D)
*Permet aussi de simplifier le travail, structurer l’emploi du temps et augmenter le nombre d’interactions appropriées.

49
Q

L’étape de l’organisation permet d’éviter :
A) Des désorganisations
B) De simplifier le travail
C) Des arrêts d’agir
D) B et C
E) A et C
F) Aucune de ces réponses

A

E)
*Permet aussi d’éviter les pertes d’énergie et de multiplier les interventions inutiles

50
Q

Pourquoi l’éducateur doit faire de l’organisation avant l’activité ?

A

Pour éviter la désorganisation

51
Q

Vrai ou faux : Il faut toujours avoir en tête les objectifs et les moyens lors de l’animation

52
Q

Quels sont les trois types d’animation ?

A
  1. Style autocratique
  2. Style démocratique
  3. Style débonnaire
53
Q

Quel est le type de clientèle à qui on propose des activités de type autocratique ?

A
  • Des jeunes enfants
  • En déficience intellectuelle
  • En milieu correctionnel
54
Q

Associer la définition au style d’animation :

L’éducateur décide tout. C’est un style d’animation directif, autoritaire et dictatorial. Il laisse peu de place à la souplesse que les sujets peuvent avoir.

A

Style autocratique

55
Q

Associer la définition au style d’animation :

Style d’animation coopératif, semi-directif et participatif. L’animateur tient compte du sujet et de ses capacités. L’éducateur intervient durant ou après l’effort du sujet. L’éducateur donne le feed-back au sujet. L’éducateur présente les principales balises, sans les imposer.

A

Style démocratique

56
Q

Associer la définition au style d’animation :

Style d’animation laxiste, indirect et laisser-aller. L’éducation guide indirectement le sujet et stimule son autonomie. Ce style d’animation se centre davantage sur ce qu’est l’individu et ses capacités et fait en sorte qu’il se mette lui-même en action pour l’amener à percevoir lui-même sa performance.

A

Style débonnaire

57
Q

Quel est le type de clientèle avec qui on peut utiliser des animations de style débonnaire ?

A

Une clientèle suffisamment mature (adultes/adolescents)

58
Q

Vrai ou faux : Le type d’animation choisi se fait en prenant compte du nombre de participants, du type de participation désirée, l’initiative du sujet, la collaboration, la créativité et l’autonomie du sujet.

59
Q

Pendant quelle étape de la démarche est-ce que les expériences enrichissantes émergent ?

60
Q

Vrai ou faux : L’animation permet de faire des nouvelles observations durant le vécu partagé pour évaluer et réorganiser si nécessaire

61
Q

Vrai ou faux : L’utilisation constitue une opération centrale dans la pratique clinique et professionnelle.

62
Q

L’utilisation suppose qu’une action soit enclenchée par l’éducateur dans quel but ?

A

Favoriser chez le sujet une prise de conscience des éléments de la réalité interne ou externe impliqués dans une expérience vécue.

63
Q

Vrai ou faux : L’utilisation est une démarche d’intériorisation des expériences partagées et vécues avec l’éducateur.

64
Q

Quel est l’objectif de l’utilisation ?

A

Faire intérioriser chez le sujet les interactions structurelles et relationnelles

65
Q

Sur quoi repose la possibilité d’atteindre le niveau de conscientisation recherché chez le sujet ?

A
  1. La qualité de la communication suscitée par l’animation (Faire ressortir les situations significatives tout au long de l’animation)
  2. L’utilisation d’expériences significatives du vécu partagé (faire faire des liens par rapport au contexte/comportement/conséquences positives ou négatives)
66
Q

Vrai ou faux : L’utilisation consiste essentiellement à amener le sujet à prendre conscience des événements vécus durant l’animation/interaction.

67
Q

Qu’est-ce que l’éducateur dévoile au cours de l’interaction à propos du sujet ?

A
  1. Forces
  2. Faiblesses
  3. Émotions
  4. Difficultés
68
Q

Vrai ou faux : L’utilisation ne permet pas de prendre un élément du vécu réel pour tenter de le rendre à un niveau approprié à l’évolution du sujet.

69
Q

Lors de l’utilisation, entre quoi pouvons-nous faire des liens ?

A
  1. Contexte spécifique
  2. Comportement
  3. Comportement d’autrui
  4. Conséquences
70
Q

Faire la distinction entre l’animation et l’utilisation

A

L’animation permet de structure, donner et rappeler les consignes, stimuler l’intérêt, diriger/animer une activité/groupe, s’exprimer, questionner, toucher, écouter, faire appel aux capacités, etc.

L’utilisation permet d’attirer l’attention sur un aspect en particulier, verbaliser/faire verbaliser, clarifier ce qui se passe chez le sujet, une rétroaction/révision du comportement, généraliser ou faire généraliser une acquisition, constater un changement, nommer le processus vécu et les étapes franchies, évaluer, amener la personne à trouver une issue à la situation, refléter un sens caché et reconnaître les habiletés/capacités/attitudes.

71
Q

Lors de l’évaluation post-situationnelle, que doit analyser l’éducateur ?

A
  1. Les observations issues de l’animation et de l’utilisation du vécu partagé
  2. Les planifications/organisations effectivement réalisées
  3. La justesse de la problématique/hypothèses/objectifs/moyens
  4. Niveau de convenance des composantes de l’activité/programme
72
Q

Quelles sont les deux choses que l’éducateur doit évaluer lors de l’évaluation post-situationnelle ?

A
  1. Les effets de l’intervention(niveau d’atteinte des objectifs)
  2. L’implantation (compréhension de la problématique, niveau d’actualisation, niveau de convenance des moyens)
73
Q

Vrai ou faux : Lors de l’évaluation post-situationnelle, l’éducateur doit évaluer si l’intervention doit être poursuivie ou terminée

74
Q

Quel est le but des évaluations formatives (implantation) ?

A

Faire progresser le savoir-faire et le savoir-être de l’éducateur (évalue l’écart entre ce qui avait été prévu et ce qui a été réalisé, l’atteinte des objectifs. Porte sur les moyens utilisés pendant le processus, les opérations professionnelles/structure d’ensemble/qualité des schèmes impliqués dans le processus)

75
Q

Quel est l’objectif des évaluations sommatives ?

A

Déterminer l’efficacité des interventions sur le sujet (passation d’instruments de mesure utilisés afin d’apprécier l’évolution du sujet, noter les faits d’observation qui témoignent de l’évolution, analyses statistiques pour valider l’efficacité du programme, auto-évaluation du sujet sur ses progrès pour favoriser l’utilisation/conscientisation)

76
Q

Vrai ou faux : La communication se passe seulement à la fin du processus, lors de l’utilisation et de l’évaluation post-situationnelle.

A

Faux, elle se fait tout au long du processus d’intervention.

77
Q

Vrai ou faux : La communication implique une communication verbale, non verbale ou par écrit.

78
Q

Pourquoi est-il important de communiquer les attentes mutuelles avec le sujet ?

A

Pour s’assurer de la compréhension univoque des objectifs et moyens d’intervention

79
Q

Définition : Communication formative

A
  • Avoir un impact sur les interactions avec les sujets, un effet sur le jeu des déséquilibres, et des rééquilibrations dans la démarche de réadaptation (aide à faire des apprentissages)
  • Gestes d’encouragement verbaux ou non verbaux (accompagnement)
  • Se fait dans l’utilisation
80
Q

Définition : Communication fonctionnelle

A
  • Échanger des informations et à partager une analyse avec les autres acteurs de la situation d’intervention pour assurer la mise en œuvre cohérente du processus d’intervention.
81
Q

Dans la démarche de réadaptation, qui sont les parents ?

A
  • Des coanimateurs de la démarche
  • Associé dans la définition des objectifs
  • Acteurs essentiels dans l’atteinte des objectifs
  • Animateur de certaines situations dans le milieu familial
82
Q

Vrai ou faux : Ce sont les parents qui prennent le relais auprès du sujet dans la démarche de réadaptation une fois la période intensive de soutien professionnel terminée.

83
Q

Nommez des façons de favoriser la coopération et la coanimation avec les parents ?

A
  • Faire comprendre aux parents la vraie nature de la problématique (sans les accabler)
  • Disposer les parents à l’échange de connaissances
  • Respecter les parents dans leur propre rôle
  • Soutenir les parents dans leur recherche de moyens
  • Éliminer toute attitude de jugement/préjugés à leur égard
  • Les soutenir par rapport à leur culpabilité
  • Les sécuriser
  • Dédramatiser certaines situations
  • Souligner l’importance de la communication
  • Attention à la triangulation
84
Q

Vrai ou faux : Plusieurs professionnels peuvent être impliqués dans la démarche de réadaptation

85
Q

Qu’est-il important d’assurer lorsqu’on travaille avec d’autres professionnels pour l’atteinte des objectifs ?

A

La cohérence

86
Q

Que nécessite l’implication d’autres professionnels ?

A
  1. Avoir des perceptions mutuelles de coopération
  2. Avoir un langage commun
  3. Ouverture pour le travail multidisciplinaire (complémentarité des différentes écoles de pensée)
  4. Convergence des efforts vers l’atteinte des objectifs
87
Q

Définition : L’utilisation et le travail d’équipe

A

L’utilisation permet de donner du sens à une intervention faite antérieurement par un collègue.
Elle permet de renforcer l’intervention d’un collègue qui avait fait du sens dans le passé.
Elle permet de s’appuyer sur l’intervention d’un collègue qui avait fait du sens par le passé pour renforcer une intervention actuelle ou à venir.