Cours 2 Flashcards

1
Q

Quelles sont les deux façons de voir la structure d’ensemble pour le psychoéducateur ?

A
  1. Sur le moment (pour planifier des activités SPONTANÉES, vécus personnalisés, etc.)
  2. De façon plus professionnelle (en s’appuyer sur les théories pour PLANIFIER des interventions)
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2
Q

Quelle-est la composante en haut de la structure d’ensemble ?

A

Le sujet

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3
Q

Vrai ou faux : Pour bien évaluer quelqu’un, je dois le connaitre et pour bien connaitre quelqu’un, je dois l’évaluer.

A

Vrai

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4
Q

En fonction de quelle composante de la structure d’ensemble est-ce que l’organisation et les interventions sont-elles organisées ?

A

Le sujet

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5
Q

Vrai ou faux : Le sujet n’est pas le premier responsable de sa réussite.

A

Faux.

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6
Q

Vrai ou faux : Les conditions de l’activité doivent être organisées en fonction des caractéristiques du sujet, de l’éducateur et de l’environnement,

A

Vrai

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7
Q

Comment désigne-t-on un sujet en difficulté d’adaptation ?

A

On dit qu’il est en difficulté d’être

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8
Q

Vrai ou faux : En général, le sujet n’est pas aux prises avec des difficultés d’adaptation et ne manque pas d’habiletés de base pour faire face aux exigences normales de la vie.

A

Faux.

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9
Q

Quels sont les trois types de déviation d’une personne avec des difficultés d’adaptation ?

A
  1. Déviation par rapport à soi
  2. Déviation par rapport à l’autre (extérieur)
  3. Déviation par rapport au savoir-faire
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10
Q

Quelles sont deux méthodes qui permettent à l’intervenant de comprendre, planifier et organiser les interventions ?

A
  1. OBSERVER
  2. ÉVALUER
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11
Q

Vrai ou faux : L’intervenant doit pouvoir faire le bilan des difficultés adaptatives chez le sujet ET dans l’environnement ?

A

Vrai

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12
Q

Vrai ou faux : Suite à l’évaluation, le psychoéducateur doit être en mesure de poser un jugement clinique sur la nature du problème et son impact sur la trajectoire développementale.

A

Vrai

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13
Q

Vrai ou faux : Suite à l’évaluation, le psychoéducateur doit seulement formuler des recommandations.

A

Faux, il doit aussi formuler les objectifs généraux de l’intervention

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14
Q

Vrai ou faux : L’appartenance à un groupe est nécessaire.

A

Vrai

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15
Q

Dans quel but un éducateur peut utiliser un groupe de pairs ?

A

Pour faire évoluer son/ses sujets(s)

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16
Q

Quelles sont les conditions de fonctionnement pour que le groupe de pairs fonctionne ?

A
  1. Avoir un certain désir de participer à une vie collective
  2. Établir des relations d’échanges entre eux.
  3. Définir des buts communs (idéalement le faire avec le groupe)
  4. Avoir un minimum de cohésion (régler les problèmes au fur et à mesure, élaborer des règles)
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17
Q

Quels sont les facteurs qui influencent les interactions entre les membres du groupe de pairs?

A
  1. Les raisons du regroupement et l’influence des pressions extérieures (façon volontaire ou involontaire)
  2. Caractéristiques des sujets (homogénéité vs hétérogénéité)
  3. Le milieu d’intervention (système interactif)
  4. Les modes d’animation (styles)
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18
Q

Quels sont les objectifs que le groupe de pairs peut atteindre ?

A
  1. Lieu de socialisation
  2. Se reconnaître dans son propre fonctionnement vis-à-vis l’autre
  3. Lieu d’apprentissage de multiples fonctions inhérentes à la vie collective
  4. Lieu de réalisation (se renforcer mutuellement, atteindre un but, etc)
  5. Lieu d’expression
  6. Porteur de normes (effet régulateur)
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19
Q

Quelles sont les difficultés auxquelles l’éducateur peut être confronté (groupe de pairs)?

A
  1. Propres à l’éducateur sur le plan personnel
  2. Propres aux types de jeunes regroupés
  3. Liées au cadre institutionnel
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20
Q

Définition de l’adaptation du sujet en psychoéducation

A

L’objet d’étude et d’intervention de la psychoéducation

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21
Q

Vrai ou faux : Il n’y a pas de consensus quant à la place de l’adaptation humaine dans l’évaluation et l’intervention en psychoéducation.

A

Faux, elle est considérée comme au centre de l’évaluation et l’intervention

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22
Q

Vrai ou faux : Tous les individus ne possèdent pas les mêmes capacités adaptatives.

A

Vrai

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23
Q

Selon la définition de l’adaptation, comment est-ce que l’adaptation d’un individu est facilitée ?

A
  1. Avec un répertoire personnel de comportements adaptatifs élaboré
  2. Avec des conditions reliées au milieu qui sont favorables à son développement
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24
Q

Pour quelles raisons est-ce que tous les individus ne possèdent pas tous les mêmes capacités adaptatives ?

A
  1. Le bagage génétique et potentiel individuel
  2. Niveau de maturation et développement
  3. Ressources de son environnement
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25
Q

Vrai ou faux : Lorsqu’une activité est organisée, elle doit toujours se faire en présence du psychoéducateur.

A

Faux

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26
Q

Vrai ou faux : L’adaptation s’appuie sur le fait que l’individu essaie de maintenir son équilibre et satisfaire ses besoins.

A

Vrai

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27
Q

Quel est le but principal de la démarche adaptative ?

A

L’acquisition ou le développement des savoirs

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28
Q

Pour arriver à l’acquisition ou le développement des savoirs, que doit nécessairement faire le sujet ?

A

Un effort délibéré

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29
Q

Vrai ou faux : C’est par l’entremise de l’activité que le psychoéducateur exerce son pouvoir d’intervention.

A

Vrai

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30
Q

À quoi est destinée (but) la démarche articulée (planifiée) ?

A

À faire vire une expérience dans un domaine particulier à l’individu.

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31
Q

Quelle est une façon de stimuler le sujet ?

A

Faire des activités contrôlées

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32
Q

Définition d’un sujet actif (qui vit un processus d’apprentissage et d’intervention)

A

Un sujet qui participe, se mobilise vers l’atteinte d’un objectif et s’insère dans un programme plus large d’intervention.

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33
Q

Dans quels contextes s’inscrit la démarche adaptative du sujet ?

A
  1. D’intervention
  2. Interaction relationnelle avec le psychoéducateur
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34
Q

Lors d’une démarche adaptative, que cherche à faire le sujet (but) ?

A

Établir/rétablir un état d’équilibre en réponse à ce qui lui proposé de faire.

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35
Q

Vrai ou faux : Dans la démarche adaptative, l’alliance thérapeutique n’a pas d’importance entre l’éducateur et le sujet

A

Faux. (souvent le jeune fait l’activité pour nous et non pour lui)

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36
Q

Vrai ou Faux : La démarche adaptative s’inspire d’une conception piagétienne et s’appuie sur les principes d’équilibration d’Erikson.

A

Faux, elle s’appuie sur la conception piagétienne et les principes d’équilibration de Gendreau

37
Q

Vrai ou faux : Il faut bien connaître les schémas de pensée pour bien établir l’intervention

38
Q

Définition de l’apprentissage et du développement cognitif selon Piaget

A

Une suite de transformation des modes de pensées qui permettent à l’individu de s’adapter de mieux en mieux à son environnement.

39
Q

Vrai ou faux : Le déséquilibre n’est pas nécessaire pour l’apprentissage de l’individu.

A

Faux, il est nécessaire.

40
Q

Définition du principe de Zone proximale de développement (ZPD) établie par Vigotsky

A

L’écart entre ce qu’une personne connaît déjà et le niveau qu’elle doit atteindre pour accéder à une connaissance plus complexe.

41
Q

Vrai ou faux : La Zone Proximale de Développement doit se faire avec l’aide de l’entourage et dans une collaboration active entre le sujet et son environnement.

42
Q

Définition des potentialités du sujet

A

Schèmes anticipateurs

43
Q

Sur quoi s’appuie l’effort d’adaptation du sujet lorsqu’il prend contact avec une situation problématique ?

A

Sur ses potentialités (schèmes anticipateurs) innées ou acquises.

44
Q

Définition de schème

A

Structure mentale dynamique au moyen de laquelle l’individu interagit avec son milieu (outil que possède une personne pour s’adapter à une situation). Par le biais de cette structure, le sujet appréhende et comprend les composantes du milieu et détermine les actions à faire sur celui-ci.

45
Q

Quelles sont les fonctions des schèmes anticipateurs ?

A
  1. Anticiper ce qu’il faut faire pour s’adapter à la situation
  2. Fournir les bases qui permettent la ou les façons de résoudre le problème, émettre des hypothèses et les vérifier.
  3. Indicateur sur lequel doit se baser le psychoéducateur pour proposer une situation d’apprentissage stimulante.
46
Q

Quelles sont les étapes de la démarche adaptative du sujet ?

A
  1. Interaction entre le sujet et l’environnement
  2. Assimilation
  3. Passage entre assimilation et accommodation
  4. Accommodation (apprentissage)
47
Q

Définition de l’assimilation

A

Incorporer à des structures déjà établies un ou des éléments de l’environnement (soumettre le milieu à l’organisme)

Force interne qui amène la personne à se mettre en activité

48
Q

Vrai ou faux : Lors de l’étape de l’assimilation, le sujet ressent le besoin d’explorer ce qui l’entoure et appliquer les schèmes qu’elle possède.

A

Vrai (force interne)

49
Q

Définition de l’accommodation

A

Modification des structures déjà établies du sujet sous l’influence de l’environnement (modification des opérations mentales pour s’adapter à de nouvelles situations)

50
Q

Vrai ou faux : Il ne faut pas nécessairement qu’il y ait un apprentissage pour qu’il y ait une accommodation.

A

Faux, c’est nécessaire.

51
Q

De quoi est constitué le potentiel d’adaptation (PAD)

A

L’ensemble des schèmes du sujet.

52
Q

Vrai ou faux : Le PAD est une force vitale de l’individu qui lui permet de s’adapter (transformer)

53
Q

Définition du PAD

A
  • Le niveau de développement et les moyens dont le sujet dispose pour répondre à ses besoins et faire face aux réalités (stress) de monde extérieur.
  • La capacité du sujet à découvrir ses propres moyens d’adaptation
54
Q

Quel est le rôle du psychoéducateur sur le PAD du sujet ?

A

Accompagner le sujet dans son apprentissage.

55
Q

De quoi découle le PAD ?

A

Des expériences antérieures de vie du sujet

56
Q

Dans la démarche d’intervention, que représente le PAD pour le psychoéducateur ?

A

L’ensemble du répertoire comportemental du sujet sur lequel le psychoéducateur s’appuie pour proposer de nouvelles expériences d’apprentissage.

57
Q

Qu’est-ce que le Potentiel expérientiel de l’activité (PEX)?

A

Les possibilités d’apprentissage (évolution et transformation) offertes par l’entourage et l’environnement (milieu)

58
Q

Quels sont les trois rôles du PEX ?

A
  1. Alimenter le système
  2. Développer les schèmes
  3. Corriger les schèmes mésadaptés
59
Q

De quoi doit être constitué le PEX ?

A

De défis psychoéducatifs formulés en objectifs précis et soutenus au moyen d’une activité psychoéducative

60
Q

Que doit-il exister pour qu’une situation soit perçue comme un problème déclenchant l’activité ? (critères)

A

Une certaine correspondance entre cette situation et un/des schème(s) anticipateur du sujet

61
Q

Quelles sont les qualités que doit posséder le problème pour qu’il se situe dans la zone proximale de développement ?

A
  1. Posséder des éléments qui rendent actifs les schèmes anticipateurs du sujet (faire appel à du connu)
  2. Être énoncé clairement et présenter un profil d’action
  3. Doit être significatif (apporte satisfaction)
  4. Présenté de façon qui favorise la participation active du sujet à la recherche de solution (motivant ET stimulant)
  5. Être suffisamment long dans le temps de résolution accordé pour permettre au sujet de se l’approprier
62
Q

Définition de l’écart significatif

A

Écart entre les schèmes du sujet et la situation du problème présenté

63
Q

Qu’arrive-t-il si, lorsqu’on pose le problème, le temps accordé est trop long ?

A

Cela peut être démotivant pour le sujet

64
Q

Qu’arrive-t-il si le temps accordé lorsqu’on pose le problème est trop court ?

A

Cela devient trop stressant pour le sujet

65
Q

Définition de l’écart significatif

A

Écart entre les schèmes du sujet et la situation problème présentée.

66
Q

Définition niveau de convenance

A

Lorsque l’activité proposée offre des conditions de déséquilibration stimulantes pour favoriser l’assimilation/accommodation du sujet qui mène à son adaptation

67
Q

Où doit se situer le niveau de convenance du sujet ?

A

Entre le PAD du sujet et le PEX

68
Q

Comment détermine-t-on le niveau de convenance ?

A

Avec la qualité du rapport existant entre le PAD du sujet et le PEX de l’activité

69
Q

Définition : Équilibre statique

A

Le sujet comble l’écart facilement, car il correspond au niveau de ses schèmes. Peu ou pas de progression du sujet.

70
Q

Définition : Équilibre dynamique

A

La situation correspond de façon maximale au potentiel d’adaptation. L’écart significatif lui permet d’exercer ses schèmes. Situation suffisamment nouvelle ou différente pour le sujet.

71
Q

Définition : Déséquilibre dynamique

A

Correspondance partielle entre le PAD et le PEX. L’écart se rapproche de la rupture du lien de convenance. La nouveauté amène le sujet à construire de nouveaux schèmes pour maintenir l’équilibre

72
Q

Définition : Déséquilibre inhibant

A

Pas de correspondance entre le PAD et le PEX. Le déséquilibre est créé, mais le problème posé par la situation inhibe le sujet et l’empêche d’entrer en activité.

73
Q

Lors de la démarche adaptative du sujet, quel type d’équilibre et de déséquilibre recherchons-nous pour le sujet ?
A) Équilibre statique et déséquilibre dynamique
B) Équilibre dynamique et déséquilibre inhibant
C) Équilibre statique et déséquilibre inhibant
D) Équilibre dynamique et déséquilibre dynamique

A

D) Équilibre dynamique et déséquilibre dynamique

74
Q

Quel est l’élément central de l’accommodation ?

A

Le déséquilibre dynamique

75
Q

À quel processus correspond l’équilibre dynamique ?

A

L’assimilation

76
Q

Vrai ou faux : Pour que l’activité soit dynamique, elle doit être suffisamment difficile pour garder l’équilibre du sujet, mais dans l’accomplissement des schèmes, le dynamisme de l’activité met le sujet en action pour entrer dans le processus d’accommodation.

A

Vrai (cours 2, diapo 37, p. 19)

77
Q

Définition : Défi éducatif

A

Tout écart significatif susceptible de favoriser l’application et l’évolution des schèmes de conduite, considéré comme normal, dans une structure organisationnelle considérée comme régulière.

78
Q

Définition : Défi psychoéducatif

A

Tout écart susceptible de favoriser l’application et l’évolution des schèmes de conduite d’un individu considéré comme en difficulté d’adaptation (ou en voie de l’être) et de constituer une alimentation adéquate à la démarche de support particulier en jeu qui exige des conditions d’organisation considérées comme spéciales. (cours 2, diapo 39, p. 20)

79
Q

Définition : Motivation

A

État intérieur qui donne de l’énergie, qui active et met en mouvement.

80
Q

Quelle est la différence entre les motivations primaires et secondaires ?

A

Les motivations primaires relèvent du domaine biologique (innée), tandis que les motivations secondaires relèvent du domaine psychosocial (apprentissage)

81
Q

Vrai ou faux : Les niveaux d’intérêt correspondent au niveau de convenance atteint

A

Vrai (pour être intéressant, ça doit être convenant)

82
Q

Définition : Intérêt

A

Totalité relationnelle constituée par la qualité de l’équilibre ou du déséquilibre.

83
Q

Quelles sont les trois caractéristiques de l’intérêt ?

A
  1. Relativité (reliés à des facteurs particuliers)
  2. Persistance (maintien dans le temps des intérêts)
  3. Intensité (préférences)
84
Q

Quelle est la fonction de l’intérêt ?

A

Les possibilités de la structure d’ensemble de la situation (PEX) et de sa relation de convenance au potentiel du sujet (PAD)

85
Q

Quelle est la différence entre la motivation et l’intérêt ?

A

La motivation exprime une notion plus englobante (macro) que l’intérêt.

86
Q

Quel concept est le point de départ du mouvement interne alimenté par le monde extérieur possédant les conditions susceptibles de fournir de l’intérêt ?

A

La motivation (cours 2, diapo 43, p. 22)

87
Q

Vrai ou faux : L’intérêt suscite la motivation.