Cours 2 - Normal et pathologie Flashcards

1
Q

Pourquoi dit-on que les troubles mentaux sont une construction sociale?

A

Ce qui définit une pathologie provient de la culture et de ses croyances. Une pathologie doit dévié de ce qui est normal dans une culture. La maladie mentale est très relatif. Ce qui n’est pas normal pour l’un peut l’être pour l’autre. Il est important de connaître certaines caractéristiques d’une culture avant d’émettre un diagnostic.

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2
Q

La perception d’un trouble varie selon …(3)

A

Elle varie selon le temps, la culture et la sous-culture.

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3
Q

Quel sont les 4 grandes périodes majeures?

A
  1. Possession par les esprits, intervention différente dans différente culture.
  2. Hippocrate (somatogenèse)
  3. Possession, sorcellerie, exorcisme, inquisition (influence religieux durant la période médiéval)
  4. Interaction biologique, psychologique et sociale
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4
Q

Est-ce qu’il peut y avoir co-existance entre les grande période?

A

Oui

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5
Q

Pourquoi est-il difficile de différencier le normal du pathologique?

A

Il est difficile de différencier, car tout symptôme pathologique peut se retrouver chez un individu normal selon un continuum. De plus, certains peut être normal dans certaines cultures.

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6
Q

Qu’est-ce que la variation interculturelle des symptômes?

A

La variation interculturelle des symptômes est la différence des manifestations des troubles selon la culture de la personne. Par exemple, les africains et les asiatiques ressente plus de manifestations somatiques lors d’une dépression.

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7
Q

Qu’est-ce que le relativistes/culturaliste?

A

(Différence selon les cultures)Cela fait parti de la variation interculturelle des symptômes. Les manifestations définissant un trouble mental est relatif selon la culture de la personne.

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8
Q

Qu’est-ce que l’universalistes/Absolutistes?

A

(Même cause biologique) Les troubles mentaux peut importe la culture ont les mêmes causes biologiques lorsqu’il y en a une. Un trouble est traité partout par le même médicament. Toutefois l’évolution des troubles est différente selon l’origine ethnique et les médicaments agissent différemment pour chaque individu.

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9
Q

Quels sont les critères principaux pour déterminer la psychopathologie (3)?

A
  1. Comportement socialement inacceptable ou qui transgresse les normes sociales
  2. Comportement inhabituel
  3. Détresse psychologique manifeste
    La présence d’un grand nombre de ces critères augmente la probabilité d’un fonctionnement anormal.
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10
Q

Quel est l’élément essentiel qui détermine la psychopathologie peut importe la culture?

A

La déviance des comportements. Il est important de regarder le contexte ou s’est produit une manifestation qui s’est produit peut importe la culture.

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11
Q

Expliquer le critère: Comportement socialement inacceptable ou qui transgresse les normes sociales.

A

Critère par excellence pour déterminer l’anormalité. Chaque culture à ses critères pour déterminer ces normes sociales. Toutes les sociétés ont certaines tolérances pour diminuer les frustrations de la société. Elle met alors en place des modèles d’inconduites. Ceci ce nomme l’exutoire; soit des balises tolérable pour certains comportement tolérable. Par exemple: Dans certains pays d’Afrique la polygamie est toléré, mais la prostitution ne l’est pas dutout. Cependant ces exutoires ont certaines conditions pour qu’ils soit toléré. (ex: tu peux voir une prostitué, mais pas avoir de deuxième femme). (Loi, sanction, code, tolérances). Certaines cultures trouveraient seulement très anormal, mais pour d’autres cela est correcte. Ces membres les adopte consciemment ou inconsciemment, sinon exclus ou considéré marginaux.

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12
Q

Qu’est-ce qu’un exutoire?

A

L’exutoire est un compromis tolérable par la société sous diverses conditions pour des comportements dit déviant. Le comportement n’est pas déviant tant qu’il reste dans l’exutoire.

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13
Q

Pourquoi les troubles mentaux apportent certains dilemme?

A

Il apporte des dilemme, car ce sont des constructions sociales. Qu’est-ce qui est déviant, normal? Comment le définit-on?. Par exemple: pourquoi l’homosexualité devrait être un trouble mental. Certains troubles sont retirer par la pression social qui dévolue dans le temps et l’espace. Les définition des manifestations ne sont pas fixe dans le temps et peuvent passer du normal au pathologique et inversement.

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14
Q

Expliquer le critère: Comportement inhabituel

A

Dans une société, peu importe la culture, presque tout le monde est capable de dire si un comportement est normal ou anormal. Les perceptions auditives et visuelles peuvent varier selon la culture. Dans certains contextes, ceux-ci peuvent être normal. (Exemple: une personne entend des voix lors d’un pèlerinage). (contexte religieux, transe, visions, etc) Une manifestation inhabituelle dans un contexte normal peut être décrit comme inhabituelle. Le terme folie existe dans tous les peuples, mais chaque culture à des critères qui évoluent avec le temps.

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15
Q

Expliquer le critère: Détresse psychologique manifeste

A

Détresse sans aucune raison apparente, absence d’évidence. Les proches peuvent repérer des signes et des changements, mais la personne souffrante peut essayer de cacher son état. La personne souffre malgré l’absence de causes probables ou évidentes. La plupart des troubles s’accompagne de souffrance. IL arrive que certaines personne tentent de le cacher, pour éviter la souffrance à leur proche. D’autres craigne le rejet, la honte, les reproches. Il faut être attentif, vigilant et à l’écoute aux messages non verbaux.

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16
Q

Qu’est-ce qu’une bonne santé mentale? (3 points)

A

Une bonne santé mentale se définit par;
1. Une bonne adaptation à son milieu
2. Une harmonie intérieur
3. Bien assumer ses responsabilité (être un élève attentif par exemple). Capacité à composer avec le stress et de maintenir un équilibre entre ses désirs personnels et les demandes familiales et sociales.
Cependant c’est critère sont non suffisant pour expliquer une bonne santé mentale.

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17
Q

Expliquer qu’est-ce qu’une bonne adaptation à son milieu?

A

On dit qu’une personne qui a une bonne adaptation à son milieu est en bonne santé mentale. Exemple un enfant qui va à l’école et qui suit les normes. Cependant être conformiste ne veux pas dire être en bonne santé mentale ni la déviance comme signe d’anormalité. Les prostitués ont apporter des bienfaits à la société et la plupart des gens qui ont fait avancé la société était des marginaux.

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18
Q

Expliquer qu’est-ce qu’une harmonie intérieur?

A

L’harmonie intérieur est une composante d’une bonne santé mentale. La personne doit rester en harmonie (communication) avec son environnement. Cependant, dans certains culture la souffrance peut être signe de bonne santé mentale.

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19
Q

Pourquoi dit-on que dans une bonne santé mental la personne doit bien assumer ses responsabilités?

A

La personne doit être capable d’accomplir ses tâches quotidienne selon ses rôles respectifs. Cependant, tout est dans la modération puisqu’être trop encadrer peut apporter un trouble obsessionel-compulsif. Comment la personne gère son stress.

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20
Q

Est-ce que l’évaluation en santé mentale est facile? Pourquoi

A

L’évaluation n’est pas facile, au contraire. Celle-ci est complexe, car la santé mentale est relative.

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21
Q

Quels sont les 4 points de la définition d’un trouble mental?

A
  1. Détresse psychologique ou fonctionnement perturbé
  2. Pas une réponse attendu
  3. Pas une réponse culturelle
  4. Pas une déviance religieuse, politique, social ou sexuelle.
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22
Q

Expliquer pourquoi une détresse psychologique ou fonctionnement perturbé peut être retenu comme un trouble mental?

A

C’est le premier qu’on ressent lors d’une pathologie. Par exemple: un enfant va faire l’école buissonnière. Cependant, il y a toujours des exceptions. Une personne ne peut ressentir une détresse psychologique, mais la société va y voir des comportements anormal. Toujours une construction de la société.

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23
Q

Expliquer pourquoi une réponse (comportement, manifeste) non attendu peut être retenu dans la définition d’un trouble mental?

A

Il dévit des normes d’une société. La société s’attend à un type de comportement précis. Par exemple: un professeur ne se présente pas au cours en pyjamas. Cependant, ce n’est pas nécessairement signe de détresse.

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24
Q

Quel est le pourcentage de la population atteinte par la maladie mentale? Est-ce que ce pourcentage est fiable?

A

On estime que 20% de la population canadienne serait touchée par la maladie mentale, cependant le pourcentage estimé serait plus élevé, car elle touche aussi les proches de ces personnes.

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25
Q

Pourquoi beaucoup de personne vivent dans la honte et le secret au lieu de consulter?

A

Il y a encore beaucoup de préjugés tenaces, quelque soit le niveau d’instruction, de classe sociale ou l’origine ethnique de la personne.

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26
Q

Est-ce que la médication règle tout de la maladie mentale?

A

Non, la médicament réduit rapidement les symptôme, ce qui permet de poursuivre avec une psychothérapie qui est essentiel.

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27
Q

À quand remonte le premier traité de psychiatrie?

A

En 1896 par Emil Kraepelin par l’observation systématique des patients. Il y décrit 32 troubles.

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28
Q

Quel inquiétude apparaît à chaque nouvelle édition du DSM?

A

Des inquiétudes subviennent sur ce qui est réellement un trouble psychologique. De plus en plus de troubles apparaissent et disparaissent dans le DSM sans qu’il n’y ait de base scientifique pour l’expliquer, justifier ou validé de telle démarche. Comme par exemple: L’homosexualité qui était considéré comme un crime pendant longtemps.

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29
Q

Quel était les traitements pour l’homosexualité jusqu’en 1973?

A

Privation de nourriture, hypnose, cure en désintoxe, vomitifs, enfermement, injection d’hormone, castration, etc.

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30
Q

Nommer un exemple d’un sur-diagnostique apporté par le DSM

A

Maintenant, un enfant qui dérange en classe pourrait être diagnostiquer d’un trouble d’hyperactivité par exemple. Un enfant peut avoir que quelque symptôme sans toutefois avoir le trouble.

31
Q

Nommé trois réalités différentes en ce qui a trait à la maladie mentale et ses classification.

A
  1. Les considérations entourant un trouble peuvent évoluer à travers l’histoire. Un comportement peut être considéré comme normal et pathologique ultérieurement au sein d’une même culture.
  2. Une manifestation peut être considéré comme normal dans une culture et pathologique dans une autre (homosexualité)
  3. Le diagnostique et le traitement d’un trouble peut être différent pour le même trouble selon la culture.
32
Q

De plus de la culture, de quoi devons nous tenir compte lors de l’évaluation de la normalité et de la pathologie (3)

A

Nous devons tenir compte des aspects:

  1. Religieux
  2. Politique
  3. Social
33
Q

Quel est le pourcentage de la population canadienne atteint d’un trouble mentaux?

A

Une personne sur cinq en serait atteint, soit 20%.

34
Q

Quels sont les 4 périodes de l’histoire de la psychopathologie en occident?

A

La démonologie, la somatogenèse, la sorcellerie et la période moderne (biopsychosocial).

35
Q

Qu’est-ce que certaines cultures tel les babyloniens croyaient lors de la période de la démonologie?

A

Ils croyaient que toute déviance était attribuable à la possession par les mauvais esprits.

36
Q

Quel était le traitement lors d’une possession?

A

L’exorcisation des démons à l’aise de prières et de rites particuliers comme la fumigation, boissons amères, flagellations. Des fois, on affamait les malades afin que le démon ne soit plus capable de vivre dans ce corps.

37
Q

Que fessa Hippocrate au V siècle avant J-C?

A

1.Il sépara la médecine de la magie et des superstitions
2.Il rejette la thèse de la maladie envoyées par les esprits.
3, Il considère le cerveau comme l’organe de la conscience, de la vie intellectuelle et des émotions.

38
Q

Lors de la somatogenèse, que veux dire les comportements déviants?

A

Il veux dire que le cerveau est malade.

39
Q

Que veux dire somatogenèse?

A

C’est la théorie selon laquelle on observe des perturbations de la pensée ou du comportement lorsque le soma (le corps) est malade.

40
Q

Qu’est-ce que le serment d’Hippocrate?

A

C’est un serment que tous les médecins doivent faire, puisque que Hippocrate est considéré comme le père de la médecine. Cette déclaration engage le médecin à respecter le code déontologique de la profession médicale.

41
Q

Quel était la classification des maladies mentales d’Hippocrate?

A

Cette première classification avaient la manie, la mélancolie et la fièvre nerveuse.

42
Q

Pour Hippocrate, la maladie mentale découlait de quoi?

A

La maladie mentale était de causes naturelles et peut être guérie comme toute autre maladie tel le rhume ou la constipation.

43
Q

Comment se guérissait la mélancolie selon Hippocrate?

A

Il prescrivait la tranquillité, la sobriété, une saine alimentation et même l’abstinence sexuelle. Ce régime devait donner de la force au cerveau malade et au corps.

44
Q

Est-ce que Hippocrate reconnaissait le stress?

A

Il reconnaissait que l’environnement et le stress émotionnel pouvaient causer des dommages au corps et à l’esprit.

45
Q

Qu’est-ce qui rapporta la démonologie après Hippocrate?

A

La décadence de Rome et la monté de l’église Catholique romaine.

46
Q

Quels étaient les signes pour reconnaître les sorcières selon le Pape Innocent VIII? Et quel était la problématique de celui-ci?

A

Insensibilité de certaines régions du corps, qui devait être la marque laissé par le diable lors du pacte avec celui-ci?
Aujourd’hui, nous savons que la perte de sensibilité somatique est un sx fréquent dans les troubles somatoformes, connue sous le terme hystéries.

47
Q

Quel était l’entité dont les personnes du moyen âge croyait qu’il était le responsable des maladies mentales?

A

Le diable.

48
Q

Que veux dire Hystérie?

A

C’était un trouble qu’on le retrouvait essentiellement chez les femmes, qui furent nombreuses accusée d’être une sorcière.

49
Q

Comment guérissait-on les personnes malades lors de la période de sorcellerie?

A

Le buché était la méthode efficace pour libérer la possédée du diable. Le corps (mortel issue de la poussière) était sacrifié, mais l’âme avait une chance d’être sauvé.

50
Q

Qu’est-ce que les maisons des fous?

A

Ancienne léproserie, les malades était enchaîné sur des lits de fortunes, mangeait par terre et croupissaient dans leur excrément.

51
Q

Comment était considéré les personnes atteints d’une maladie mentale lors du début de la période moderne?

A

Comme des marginaux dans la société. Certaines personnes pouvaient acheter des tickets pour voir la déchéance humaine.

52
Q

En quelle année le développement du modèle biopsychosociaux est arrivé?

A

Au 16ème siècle environ.

53
Q

Comment Pussin et Pinel ont fait évolué le modèle biopsychosocial?

A

Ils pensaient que si les malades étaient traités avec de la gentillesse et de la dignité, il n’y avait aucun besoin de les enchaîner et que leur condition pouvait s’améliorer. De plus, il était convaincu que l’accueil, l’ouverture et l’empathie pouvaient les aider à améliorer leur état.

54
Q

Qu’est-ce que le traitement moral?

A

Manière philosophique et humaniste de soigner les malade avec une ouverture et de l’empathie.

55
Q

Qu’est-ce que le modèle médical?

A

Apporté par Emil Kraepelin, il affirma que les comportements anormaux étaient dus aux dysfonctionnement biologique et non déclenchés par les forces du mal.

56
Q

Qu’est-ce que le modèle biologique met de l’avant?

A

Les théories biologiques situent l’origine des troubles dans la transmission générique ou dans les dysfonctionnements hormonal (SPM, dépression reliée à la ménopause).

57
Q

Qu’est-ce que le modèle psychanalytique met de l’avant?

A

Il met l’accent que les forces et les faiblesse du moi ou sur le rôle des parents pour expliquer la genèse des troubles psychologiques dans la désorganisation sociale.

58
Q

Expliquer l’approche du modèle biopsychosocial?

A

Cette approche démontre une interaction entre les facteurs biologiques, psychologique et sociaux. Ainsi, la probabilité qu’un individu soit prise avec un trouble mental augmente s’il y a une prédisposition biologique, une vulnérabilité psychologique et si en plus il manque de soutient social par exemple.

59
Q

Pouvons-nous prononcer avec certitude ce qui est normal, déviant ou pathologique?

A

Non. La prolifération des diagnostic et les multiples révision des manuels le démontre encore aujourd’hui. Il est difficile de déterminer avec précision et certitude le concept de la normalité.

60
Q

Qu’est qu’évaluer la maladie mentale demande?

A

Des connaissance, mais aussi de la souplesse et des nuances.

61
Q

Donner un exemple de comportements anormaux qui serait considérer normaux dans certaines conditions.

A

Par exemple lors d’un deuil, il est normal de ressentir de la tristesse, de l’affaissement et de la souffrance. Il serait anormal de ne pas les ressentir lors d’un deuil. Ainsi des sx anormal sont normal dans ce contexte.
De plus, l’anxiété peut être normal et bénéfique dans certains contexte, comme à un entrevue. L’anxiété pousse à la prudence.

62
Q

Quels sont les deux courant sur la normalité?

A
  1. Relativiste/Culturaliste: Les sx d’un désordre varient d’une culture à l’autre
  2. Absolutiste/Universaliste: Les troubles mentaux sont causés par les mêmes facteurs biologiques, quelle que soit la culture. (ex: la même médication partout dans le monde fonctionne: antidépresseur pour la dépression diminue les sx).
63
Q

Quels sont les trois explications qui permettent de clarifier les exutoires?

A
  1. Une société accepte une déviance ou un exutoire dans la mesure ou il n’affecte pas directement la santé des personne qui s’y adonnent de façon modéré. (ex: vivre la violence dans les jeux vidéo, car nous avons une société pacifiste) (évacuer les fantasmes).
  2. L’exutoire ne doit pas viser ou léser les droits d’un groupe particulier, notamment d’un groupe minoritaire qui a vécu beaucoup de discrimination dans le passé. (ex: Humilié un juif)
  3. La société exclut de ses exutoires tout ce qui touche le sacré. (ex: les jeunes peuvent faire des graffiti, mais pas sur les tombes)
64
Q

Est-ce que les exutoires peuvent changer?

A

Les exutoires varient selon les cultures, mais sont malléable dans le temps. Des exutoires qui sont toléré aujourd’hui ne le seront peut-être plus dans 10 ans. Avant, il était permis de fumer partout, aujourd’hui elle est symbole de problème de santé publique.

65
Q

Qu’est-ce qui est à l’origine de la définition d’un trouble et à l’origine de la suppression de certains?

A

Les groupes de pression, soit la plupart du temps les marginaux d’une société. Ex: les homosexuelles et les gens pour l’avortement. Devenu l’égale en 1970, certains groupes ultra conservateur et religieux milite pour le rendre illégale. Les sociétés révise constamment ses position concernant le crime, ainsi la normalité n’est pas simple.
Exemple: Un adolescent sur trois déclare consommer de la drogue, même si ceux-ci sont illégale. Ainsi dans les prochaine année, il ne serait pas surprenant que certaines deviennent l’égale, toléré encadré par des personnes sobres. Premier pas pour aidé une personne.

66
Q

Est-ce que les maladies mentales sont reconnus partout comme une maladie mentale?

A

Non, par exemple en Inde, la schizophrénie. Les personnes en souffrant sont vénérées, voir respecté. Certaines maladies sont considérés comme ayant été élus par des divinités grâce à leur qualité supérieur, d’autres comme une victime ensorcelé consécutif à l’envie.

67
Q

Quel est le quatrième critère qui définit sur un comportement est normal ou anormal?

A

Le comportement est relié à différents stades du développement. Certain trouble sont normaux chez des enfants. Par exemple: avoir certaine phobie comme peur du noir peut être normal, énurésie chez les enfants, etc. Intérêt précoce par rapport à la sexualité par exemple peut être anormal chez un jeune enfant. Au contraire, chez un ado un désintérêt de la sexualité peut indiquer un trouble mental.

68
Q

Y’a-t’il des critères objectifs pour définir un comportement anormal?

A

Non, mais on doit prendre en considération l’âge, le contexte et l’origine culturelle et religieuse du sujet pour définir un comportement anormal. Il n’y a donc pas de critères objectifs ni universels.

69
Q

Quels sont les critères de la définition de la santé mentale générale?

A

Ce dernier s’accompagne de dysfonctionnement biologique, psychologique et comportemental. Ces anomalies sont souvent subjectif.

Une bonne santé mentale est la capacité de s’adapter à son milieu, c’est-à-dire vivre en harmonie avec les autres, de suivre les règles et les normes sociales et d’avoir une conduite irréprochable.

La déviance n’est pas suffisant pour conclure à l’anormalité.

70
Q

Qu’est-ce qu’un trouble selon Kaplan, Sadock et Grebb?

A

La Déviance n’est pas suffisant pour conclure à l’anormalité. Un trouble peut être considéré comme tel lorsque la déviance s’accompagne de perturbation au niveau de la pensée, de la conscience, des perceptions, des émotions, de la mémoire, de l’intelligence et des difficultés de fonctionnement au travail ou en société.

71
Q

Qu’est-ce qu’une harmonie intérieur dans la définition de la santé mentale?

A

Ressentir du bien-être, vivre une harmonie intérieur. Ressentir un bien-être social, capacité de jouir du bonheur et du confort d’une bonne hygiène, une présentation de soi agréable et des soins corporels appropriés.

72
Q

Le bonheur est-elle la source d’une bonne santé mentale?

A

Non, la souffrance fait partie de la condition humaine et c’est parfois ceux qui la refusent ou affichent une certaine insensibilité qu’on trouve des signes de perturbation psychologique.

73
Q

Qu’est-ce que la définition d’un trouble mentale selon l’APA?

A

Un trouble mental est un comportement clinique significatif ou un syndrome psychologique associé à une détresse ou à une altération de fonctionnement. De plus, ce n’est pas simplement une réponse attendue ni une réponse culturelle et ce n’est pas seulement une déviance sociale, politique, religieuse ou sexuelle sauf si la déviance est le sx du dysfonctionnement.

74
Q

Ce qui est normal actuellement le serait-il dans le futur?

A

Ce qui parait normal ne le sera pas nécessairement demain et ce, c’est à partir de nos valeur et de nos croyances que se construisent le normal et la pathologique. Ce qui est normal est basé sur nos schèmes de référence de notre époque actuelle. Cette construction est celle de toute la collectivité dont ils ne sont que les porte-parole. Voir conclusion du livre p.53.