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développement psychosexu. (exam final) > Cours 13 > Flashcards

Cours 13 Flashcards

1
Q

Avec au BAC en sexologie, dans quel milieux pouvons-nous faire de l’intervention? (5)

A
  • Organismes communautaires
  • Écoles
  • Santé publique
  • CSSS
  • Privé
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Q

Donne un exemple concrète d’organisme communautaire dans lequel on peut faire de l’intervention?

A

Maisons des jeunes

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3
Q

Dans les écoles, l’éducation sexuelle est souvent faite par les enseignants, comment le sexologue est-il utile?

A

L’enseignant peut venir nous consolider pour avoir un encadrement : savoir quoi aborder et comment le faire

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4
Q

Pourquoi en milieu scolaire, il est important de prendre notre place?

A

Atelier fait par une infirmière = approche plus médical, négative
vs
atelier fait par sexologue qui prend en compte les enjeux, peut-être plus inclusive

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5
Q

CSSS est l’acronyme de quoi?

A

Centre de santé et de services sociaux au Québec

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6
Q

Nomme les principaux types d’intervention possible en sexologie (6)

A
  • Conférence/formation/article/autres
  • Analyse besoins et programme d’éducation
  • Relation d’aide
  • Éducation sexuelle
  • Soutien/conseil
  • Psychothérapie (maîtrise clinique)
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7
Q

En quoi consiste la relation d’aide? (2)

A
  • Donner du soutien
  • Les aider à voir plus clair
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8
Q

Dans quels contextes le consentement du parent est obligatoire?

A
  • Le consentement des parents est obligatoire pour les enfants de moins de 14 ans
  • Les parents doivent savoir pourquoi on intervient et de quoi nous allons parler
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9
Q

Le consentement des parents ne touche pas seulement les sexologues, informer les parents est un mot d’ordre pour les commissions scolaires. Donne en un exemple, et pourquoi prennent-ils cette précaution?

A

Même si c’est une présentation de groupe, ils avertissent les parents de la date et du contenu de l’atelier/intervention
Souvent traite de sujets sensibles, donc les parents sont libres de ne pas envoyer leurs enfants à l’école cette journée si le contenu ne concorde pas avec leur valeur et l’éducation qu’ils veulent donner

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10
Q

Même s’il faut le consentement des parents pour intervenir et il faut leur rapporter le contenu des interventions, il y a tout de même une petite flexibilité. Élabore

A

L’enfant bénéficie d’un certain niveau de confidentialité
Ex l’enfant confie qu’il n’aime pas le copain de sa mère, nous ne sommes pas obligés de partager l’information si elle n’est pas centrale dans le problème (on se concentre sur les grandes lignes)

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11
Q

Qu’est-ce qu’on entend par évaluation

A

Temps que l’on prend pour recueillir les informations afin de se faire une tête sur la situation et ensuite intervenir

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12
Q

Dans quel contexte faut-il faire une évaluation (2)

A
  • Intervention à la suite d’une situation
  • Venir en aide au parent, donner de l’éducation sexuelle
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13
Q

Les informations recueillies varient grandement selon la situation. Nomme 3 dimensions qui créent cette variabilité.

A
  • Ce qui est rapporté et par qui est-il rapporté
  • Ce à quoi vous avez accès
  • Le contexte
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14
Q

Dans l’évaluation, “ce à quoi vous avez accès” varie grandement d’une situation à l’autre. Donne en des exemples

A
  • Est-ce qu’on peut parler avec l’enfant
  • Est-ce qu’on peut observer l’enfant (très fréquent dans l’intervention en milieu scolaire)
  • Est-ce qu’on peut étendre l’intervention et mobiliser le milieu scolaire ou le parent préfère que ça reste d’ordre privé ?
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15
Q

Pour avoir une bonne évaluation, l’idéal c’est d’avoir le plus d’informations possibles. Nomme les 5 dimensions à considérer.

A
  • Caractéristiques du comportement/situation
  • Caractéristiques de l’enfant
  • Caractéristiques des adultes
  • Dynamique familiale
  • Environnement scolaire
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16
Q

Dans l’évaluation, quelles questions pourrait-on se poser lorsqu’on se penche sur les caractéristiques du comportement/situation (3)

A
  • Est-ce que ça l’arrive souvent
  • Réaction du parent et de l’enfant
  • Quel est le type de comportement
17
Q

Dans l’évaluation, quelles questions pourrait-on se poser lorsqu’on se penche sur les caractéristiques de l’enfant? (3)

A
  • Quel est l’âge de l’enfant (est-ce que son développement concorde avec son âge ?)
  • Comment l’enfant gère ses émotions (développement émotionnel)
  • Quelle est l’identité du jeune, comment se perçoit-il
18
Q

Dans l’évaluation, qui est-ce qu’on inclut lorsqu’on parle des caractéristiques des adultes et quelles questions pourrait-on se poser lorsqu’on se penche sur cet aspect? (3)

A

Parents, enseignants, et TES
- Leur vision de la situation, comment il perçoit le comportement (valeurs, croyances)
- Leur réaction face à la situation/comportement (pourrait être un facteur de maintient)
- Ont-ils des diagnostiques en santé mentale (parents)

19
Q

Dans l’évaluation, quelles questions pourrait-on se poser lorsqu’on se penche la dynamique familiale? (5)

A

Comment ça se passe ?
- Ouvert sur la sexualité ou plutôt pudique
- Fait-on place à la communication
- Style parental
- La relation avec la fratrie (grand frère/grande sœur = apprentissage précoce)
- Il y a-t-il des gros changements (ex. nouveau bébé, séparation)

20
Q

Dans l’évaluation, quelles questions pourrait-on se poser lorsqu’on se penche sur l’environnement scolaire? (3)

A
  • Lien avec l’enseignant
  • Lien de l’enfant avec les autres jeunes (anxiogène, intimidation ?)
  • Est-ce que l’enfant réussit bien ?
21
Q

À la fin de l’évaluation, que devrait-on être capable de faire? (2)

A
  • Se positionner sur la situation/le comportement: donner une hypothèse probable sur les facteurs déclencheurs (cause) et sur les facteurs de maintient
  • Afin d’être capable de déterminer sur quels éléments il faut intervenir et savoir l’ordre dans lequel se déroulera l’intervention
22
Q

Quel est le piège de l’intervention lorsqu’on intervention au près d’enfant?

A

On a tendance parfois à se rencontrer seulement entre adultes et oublier l’enfant
- L’enfant doit participer, comprendre et suivre le processus

23
Q

Pourquoi dans l’intervention, il est important d’impliquer les parents et parfois un autre adulte

A

Plus il y a d’adultes autour de l’enfant qui sont d’accords avec les interventions et qu’ils les appliquent, plus l’intervention sera efficace

24
Q

Nomme les 2 niveaux d’intervention

A
  • À la base : éducation sexuelle (avec les parents et l’enfant)
  • Interventions plus soutenues
25
Q

En quoi consiste l’éducation sexuelle? (3)

A
  • Pas juste donner des infos (pas tjrs suffisant), car ce n’est pas prc qu’on le sait qu’on le fait
  • Cherche à créer une réflexion
  • Travail de normalisation
26
Q

Pourquoi il faut être prudent lorsqu’on fait de la normalisation?

A

À faire avec précaution : il faut prendre en compte les valeurs et les origines culturelles des personnes
- On ne voudrait surtout pas invalider les personnes
- On n’impose pas nos idéologies occidentales

27
Q

En quoi consiste les interventions plus soutenues? (2)

A
  • On guide et encadre plus
  • Plusieurs rencontres
28
Q

Qu’en est-il du travail en collaboration avec d’autres intervenants (2)

A
  • Ne pas hésiter à référer à des sexologues en psychothérapie (maitrise clinique) ou à un psychologue si le cas dépasse nos capacités
  • On peut travailler en simultané
    (ex. psychologue travaille sur problème d’ordre psychologique et sexologue se concentre sur les comportements sexuels inquiétants)
29
Q

Quand signaler à la DPJ?

A

Entant que professionnel, nous sommes dans l’obligation de signaler si on a un doute pour la sécurité ou pour le développement de l’enfant

30
Q

(signalement à la DJP) peut-on se fier aux apparences?

A

Enfant bien habillé, les lunchs sont beaux, etc. ≠ que l’enfant est en sécurité et que son environnement familial lui permet un bon développement

31
Q

Souvent, nous sommes pris dans le dilemme suivant : “je veux protéger l’enfant de la situation potentiellement à risque, mais je ne veux pas que l’enfant soit séparé de sa famille pour rien, car cela serait traumatisant pour lui” (3)

A
  • La DPJ mène une enquête avant de faire quoi que ce soit
  • C’est très rare que l’enfant est retiré de la famille à la première plainte (on fait plus une intervention auprès des parents)
  • L’appel est confidentiel (or, c’est parfois mieux d’être transparent avec les parents)
32
Q

BREF, autant dans l’évaluation que l’intervention que faut-il retenir?

A

Il faut rester réfléchi et nuancé dans nos propos

développement psychosexu. (exam final) (5 decks)

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