Cours 12 | Psychologie des scènes de crime Flashcards

1
Q

Quelles sont les deux façons de comprendre le passage à l’acte?

A

-En fonction du style de vie de l’agresseur et de la victime
-En fonction du rationnel [façon de réfléchir] de l’agresseur

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2
Q

Pourquoi l’individu a-t-il commis son crime de la façon dont il l’a commis ?

A

-consommation alcool (impulsivité, moins de contrôle, plus désorganisé)
-opportunité
-perception que le monde est dangereux, donc toujours porter une arme (ex.)
-motivation à commettre son crime. «rationalité» du passage à l’acte.
-influence socio-culturelle et espace physique [profilage géo-spatial]
-il existe une façon limitée de pouvoir commettre un certain type de crime.
-crise par rapport à la santé mentale

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3
Q

Quels contextes sont les plus favorables à la commission d’un crime ?

A

Nécessite la convergence de plusieurs éléments dans un même espace, dont l’agresseur. Contextes de consommation de substances [soit certains lieux ou certaines personnes sont présent.e.s lors de la consommation, peut aussi inclure impulsivité et conflit], évènements de vie stressants déclencheurs. Parfois, manque d’argent.

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4
Q

Quelles sont les 3 théories explicatives vues en classe par rapport à la commission d’un crime?

A

-théorie du choix rationnel
-théorie des activités routinières
-théorie des scripts

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5
Q

Explique-moi la théorie des activités routinières.

A

La réalisation d’un crime est le résultat de la convergence dans le temps et dans l’espace de trois composantes: cible / criminel motivé / absence de gardien. les styles de vie convergent vers un environnement commun ayant des caractéristiques spécifiques afin de favoriser les opportunités criminelles.

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6
Q

Selon la théorie des activités routinières, les crimes sont-ils le fruit du hasard?

A

Nos habitudes de vie nous mettent plus ou moins à risque d’être victime d’un crime. Le crime n’est donc pas lié au hasard. On est plus ou moins exposé à l’émergence d’un crime selon nos habitudes de vie. Nous rend plus ou moins vulnérable.

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7
Q

Explique-moi la théorie du choix rationnel.

A

La réalisation d’un crime est le résultat d’un calcul rationnel (coûts/bénéfices) effectué par le criminel. N’est donc pas le fruit du hasard.

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8
Q

De quelle discipline est inspirée la théorie du choix rationnel?

A

Inspirée des sciences économiques (faire une série de choix rationnels).

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9
Q

Selon la théorie du choix rationnel, que faire devant un crime qui semble incohérent?

A

1) Bien que le processus décisionnel de certains crimes puisse paraître incohérent. (ex.: démembrer)
2) il exhibe une rationalité propre à l’individu (empêcher l’identification de la victime)
3) et tend vers le moyen le plus efficace pour atteindre l’objectif visé (ex.: éviter la détection de la police)

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10
Q

Selon la théorie du choix rationnel, que distingue les criminels dans leur passage à l’acte (3)?

A
  • Rationalité qui est limitée (différente à chacun, nous renseigne sur les motivations).
    -Différents de degrés d’analyse coûts / bénéfices.
    -L’influence de l’expérience criminelle sur le processus décisionnel. Plus j’ai d’expérience criminelle, plus ma façon de passer à l’acte sera sophistiquée et mieux je ferai face à l’imprévu.
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11
Q

Explique-moi la théorie des scripts.

A

Chaque type de crime est composé d’un traitement spécifique de l’information, lequel mène le criminel vers une séquence de choix et d’actions connue sous le nom de « crime script ». Il y a un nombre fini de façon d’effectuer un crime.

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12
Q

Selon la théorie des scripts, d’où viennent les scripts d’un individu?

A

Apprentissage social et renforcement. Résultats d’expériences de vie (criminelles ou non) impacteront la façon dont j’effectue mon crime. Les scripts sont des interactions entre des facteurs internes (motivation) et externes.

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13
Q

Parle-moi des propriétés structurantes du crime.

A

Dans chaque type de crime, il existe des contrainte externes spécifiques (ex.: être isolé un certain temps avec la victime) que le criminel devra surmonter afin de réaliser son crime. Ces contraintes spécifiques ne sont pas aléatoires mais déterminées par la logique interne du criminel, et déterminent un nb limité de possibilités de commettre un crime. Lorsque des contraintes externes non anticipées altèrent le déroulement du script, des variantes du script se développement: les «tracks».

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14
Q

Complète la phrase suivante: Le crime n’est pas dépourvu de sens !

A

Il est façonné par des choix et des interactions dans un contexte spécifique

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15
Q

Vrai ou faux? Une enquête n’est pas toujours optimale ou utile…

A

Selon certains auteurs, on pourrait supprimer 50% de tout ce que les enquêteurs réalisent comme actes d’enquête, et que le résultat de l’enquête ne serait pas impacté. Enquêteurs interviennent dans les cas d’homicides difficiles à résoudre… ce qui explique 50%.

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16
Q

Quels sont les 6 éléments qui constituent la définition la plus acceptée d’un homicide sexuel?

A

-La victime est retrouvée nue ou partiellement nue
-Exposition des parties génitales de la victime
-Position sexuellement explicite du corps
-Insertion d’un objet dans l’une des cavités du corps
-Preuve de relations sexuelles (orale, vaginale, anale)
-Éléments suggérant des fantaisies sadiques ou des activités sexuelles connexes

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17
Q

Est-ce que tous les 6 éléments doivent être présents dans un homicide sexuel?

A

Pas besoin d’avoir simultanément les 6 éléments. Un seul élément est nécessaire.

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18
Q

Dans les cas d’homicides sexuels, pourquoi est-ce primordial que le contexte soit bien analysé?

A

Sinon risque de faux positif (identifié comme sexuel un homicide qui n’est pas sexuel).

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19
Q

Quelles sont les 4 perspectives dans la résolution des homicides sexuels?

A

Extra-légale / Légale / Choix du criminel / Choix de l’enquête.

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20
Q

Explique-moi la perspective extra-légale dans la résolution des homicides sexuels.

A

Les caractéristiques de la victime influencent la résolution. -âge. Victime plus jeune ont plus de chances que leur homicide soit résolu.
-genre. Homicides de femmes ont plus de chances d’être résolues
-ethnie, caucasiens ont plus de chances d’être résolus
-antécédents criminels, si la victime en a, elle a moins de chance que son homicide soit résolu.

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21
Q

Explique-moi la perspective légale dans la résolution des homicides sexuels.

A

Les caractéristiques de l’homicide / de l’enquête influencent la résolution. § Un spécialiste arrive rapidement afin de préserver la scène de crime
§ Un détective arrive dans les 30 premières minutes
§ Un spécialiste intervient pour analyser la scène de crime/emploi du temps § La mise à disposition de ressources suffisantes (ex.: nombre de détectives) § La collaboration du témoin avec l’enquêteur
§ L’enquêteur vérifie les déclarations des témoins
§ L’enquêteur réalise une enquête de voisinage
§ L’enquêteur assiste à l’autopsie
§ La charge de travail de l’enquêteur
§ L’enquêteur a suivi une formation spécialisée sur les homicides

22
Q

Explique-moi la perspective du choix du criminel dans la résolution des homicides sexuels.

A

Les choix du criminel influencent la résolution. Il commet l’homicide à l’extérieur d’une habitation
§ Il commet l’homicide pendant la nuit (00:00 AM – 06:00 AM)
§ Il tue une victime sans avoir de lien de connaissance avec elle
§ Il n’utilise pas d’arme pour commettre l’homicide
§ Il n’est pas en état d’intoxication durant la commission de l’homicide
§ Il commet l’homicide dans le but d’agresser sexuellement la victime

23
Q

Explique-moi la perspective du choix de l’enquête dans la résolution des homicides sexuels.

A

Les choix des enquêteurs influencent la résolution.
-Absence d’enquête de voisinage
-Une trace ADN est identifiée mais pas analysée
-Signalement de la disparition de la victime n’a pas été jugé inquiétant
-Lieu de disparition de la victime n’a pas été investigué.
-Absence de partage d’infos entre équipes d’intervention
-Conclusions d’enquêtes erronées.
-Tiers innocent est inculpé.

24
Q

Le rapport de force entre les criminels et les enquêteurs est-il équitable ?

A

Habilités criminelles vs. Habilités des enquêteurs… Enquêteurs ont un temps de retard impossible à surmonter ou le criminel effectue des actions efficaces. ou enquête non-optimale (erreurs)… Rapport de force de 3/4 pour les meurtriers sexuels. Seul possibilité de résolution probable: intervenants optimaux et meurtrier sexuel non-optimal.

25
Q

Qu’est-ce que le profilage criminel ?

A

Réaliser le profil psychologique du criminel. À partir de quoi? Éléments comportementaux sur scènes de crime. là ou il y a du crime, il y a des comportements criminels. Profil psychosocial (qui sont-ils au quotidien?). L’efficacité du profilage criminel est similaire à celle du portrait robot.

26
Q

Nomme-moi les Les éléments d’alerte de comportements criminels particuliers (EACCP) [potentiellement difficile à résoudre, éléments non-ordinaires qui pourraient susciter l’action d’un analyste].

A

1) Présence de mutilations
2) Tortures et actes divers ante-/post-mortem
3) Ablation de membres ou d’organes (ex.: cimetière)
4) Position humiliante ou dégradation du corps
5) Mise en scène particulière du lieu de l’événement
6) Inscriptions sur le corps ou sur la scène
7) Multiplicité ou variété des coups (localisation)
8) Utilisation de différents types d’armes (kit vs. sur place)
9) Violences sexuelles
10) Introduction d’objet dans les orifices
11) Manifestation d’une violence extraordinaire ou anormale (overkill)
12) Identification d’indices de présomption de sérialité

27
Q

Quelle est la Validité scientifique du profilage criminel?

A

Étude comparative de groupes (Kocsis, 2000, 2002, 2004) :
§ Groupe contrôle
§ Étudiants (Université)
§ Psychologues
§ Policiers
§ Enquêteurs spécialisés en incendie criminel
§ Profilers / analystes en comportement criminel § … médiums. Résultats? y a-t-il des différences entre ces groupes???
Prédisent mieux! Mais pas néccessairement déterminant pour la résolution. Expertise supplémentaire, pas une preuve recevable en cour. Permet de guider les enquêteurs. réflexion supplémentaire.

28
Q

Qu’est-ce que le géo-profilage?

A

Donne des infos sur les déplacements (avant, pendant, après) et les comparer à des crimes antérieurs (analyse comparative de cas). se repose sur les données qu’on a des crimes antérieurs et habitudes de déplacement des criminels. Zones dans lesquelles il y a des plus fortes chances que des crimes se produisent.

29
Q

Quels sont les facteurs à considérer dans la compréhension du crime en lien avec le géo-profilage?

A

§ Le type de lieu de l’homicide (logement, rue, transports, parc etc …)
§ La date et heure du crime
§ Le nombre de scènes de crime (Contact, Attaque, Meurtre, Disposition) § Le style de « chasse » et d’attaque du meurtrier
§ La présence d’artères routières principales/ transports publics § La présence de barrières physiques
§ La présence de barrières psychologiques

30
Q

Quel est l’objectif et la difficulté du profilage criminel?

A

Objectif. mettre en relief l’évolution temporelle du crime, lequel constitue un levier dans la compréhension complète du comportement criminel, et établir le profil de personnalité. Difficulté. Certaines scènes de crime posent problème à l’enquêteur : - absence de mobile évident
-absence d’élément matériel probant
-absence de témoin
-victimologie sans problème
-traces importantes de violence

31
Q

Quelles sont les 3 types d’attaques?

A

→L’attaque éclair
→ La surprise
→ La ruse

32
Q

Quelles sont les 4 méthodes de chasse?

A

→ Le chasseur
→ Le braconnier (s’aventure dans zones inconnues)
→ Le provocateur
→ Le piégeur

33
Q

Qu’est-ce que l’attaque éclair?

A

type d’attaque. immédiatement attaquer sans subterfuge. Violence physique.

34
Q

Qu’est-ce que la surprise?

A

type d’attaque. surprendre la victime, menace avec arme (pas de violence physique)

35
Q

Qu’est-ce que la ruse?

A

type d’attaque. demander de l’aide / pièger la victime pour l’attaquer / commettre son crime par la suite.

36
Q

Qu’est-ce qu’une «méthode de chasse» ?

A

Quel comportement l’individu va avoir dans le but d’entrer en contact avec une victime.

37
Q

Décris-moi «le chasseur».

A

Méthode de chasse. sortir de chez eux spécifiquement pour trouver une victime, rôder dans des lieux connus et dans lesquels ils savent qu’ils pourraient trouver des victimes potentielles (ayant des caractéristiques spécifiques). Ville dans laquelle ils habitent. Théorie des act. routinières

38
Q

Décris-moi «le braconnier».

A

Méthode de chasse. idem au chasseur, mais s’aventure dans zones inconnues.

39
Q

Décris-moi «le provocateur».

A

Méthode de chasse. Provoque la situation.

40
Q

Décris-moi «le piégeur».

A

Méthode de chasse. Met en place un scénario pour leurrer la victime.

41
Q

L’analyse comparative de cas; quels sont ses 2 objectifs.

A

Se base sur une approche géo spatiale.
Objectif 1 = Identifier des séries à partir de cas non-résolus :
-le type de crimes est-il similaire ou compatible?
-Les modus operandi sont-ils similaires?
-Le profil des victimes est-il similaire?
Objectif 2 = Identifier les critères de rapprochement à partir d’un fait résolu :
-sur la base de la personnalité du meurtrier arrêté (personnalité)
-sur la base de l’étude des faits (modus operandi)

42
Q

Dans une analyse de cas… Quels sont les mouvements de l’auteur dans chacun des dossiers comparés ?

A

Il y a quatre lieux possibles:
-Lieu de Contact
-Lieu d’Attaque
-Lieu du Meurtre
-Lieu de Disposition
Ex.: CAMD (1 lieu); C-A-MD (3 lieux). Les tirets indiquent les changements de lieu. NB: ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de recoupement que les crimes ne sont pas liés.

43
Q

Quels facteurs sont à prendre en considération afin d’augmenter la probabilité d’obtenir un aveu ?

A

L’entrevue d’enquête est peut-être l’une des formes d’entrevues les plus complexes, car il ne faut pas divulguer des informations de preuves. Aussi, la personne peut fournir des preuves non connues des médias qui sont importantes. Aussi, les personnes interviewées ne veulent souvent pas parler et se font conseiller de ne PAS parler.

44
Q

Est-il pertinent d’ajuster la stratégie d’interrogatoire au profil psychologique de
l’individu ?

A

Oui, c’est fondamental. Profils psychologiques hétérogènes, donc la décision de réaliser un aveu n’est pas la même.

45
Q

Quelle est la première étape pour avoir un aveu?

A

Pour obtenir un aveu: c’est à son avantage de parler maintenant (peine plus clémente si aveu plus rapide, par exemple), de raconter ce qui s’est passé. 1ère opportunité d’en parler avec quelqu’un.

46
Q

Quels sont les 5 facteurs qui influencent la réussite de l’interrogatoire?

A
  1. Les attitudes et les croyances de l’enquêteur
  2. Les stratégies d’interrogatoires
  3. L’expérience du suspect en matière d’interrogatoire
  4. La personnalité du suspect
  5. La nature du crime
47
Q

Quel serait un synonyme d’«interrogatoire»?

A

Entrevue d’enquête.

48
Q

Décris-moi une personnalité introvertie en entrevue d’enquête.

A

Associé aux évitants, dépendants et schizoïdes. Individu décrit ou perçu comme étant tranquille, discret, réservé. Ton dramatique, passif, évite le contact visuel, parle doucement. L’aveu est VISCÉRAL, émotif. Plus enclins à collaborer et confesser. Mauvais menteur, respecte l’autorité. Anxieux. On doit connecter sur le plan émotionnel avec eux, éviter tout jugement. Thèmes/facteurs explicatifs du crime: victimisation, problèmes émotionnels / affectifs, geste isolé (perte de contrôle).

49
Q

Décris-moi une personnalité extravertie en entrevue d’enquête.

A

Associé aux narcissiques, histrioniques et antisociaux. Individu décrit ou perçu comme étant confiant, arrogant, égocentrique. *Plus mécanique pour avoir l’aveu, stratégique. Plus de raisonnement, cérébral. On doit être persuasif avec eux (pression externe). On doit les aider à percevoir l’avantage (le profit) qu’ils ont à confesser.

50
Q

Parle-moi d’une personnalité extravertie narcissique en entrevue d’enquête.

A

On doit les nourrir en les valorisant et en étant bon public. Charme superficiel, s’attend à un traitement de faveur. Arrogant, hautain et fier. Mégalomanie, vantardise et prétention.

51
Q

Parle-moi d’une personnalité extravertie antisociale en entrevue d’enquête.

A

Évasif, habile (ou à l’aise) de mentir. Manipulateur. Peut montrer de l’anxiété / peur, mais rarement de la culpabilité pour ses crimes.

52
Q

Quel est l’élément le plus important des interrogatoires d’enquête sans lequel les autres aspects n’auraient pas de sens?

A

Comprendre et respecter le processus décisionnel de l’individu