Cours 12 Identification sociale et coopération Flashcards
Premiers éléments de réflexion concept d’indentification sociale :
Le concept d’identification sociale est devenu un élément-clé pour expliquer des phénomènes comme…
la cohésion sociale;
l’engagement
la cognition (perception, opinion, etc.) collective ;
la coopération.
Premiers éléments de réflexion concept d’indentification sociale :
La question de la relation entre identification et coopération est d’ailleurs l’objet de discussions importantes.
Pourquoi?
Plus en plus de chercheurs parlent d’une relation ambivalente entre ces deux concepts. (entre identification et coopération)
Premiers éléments de réflexion concept d’indentification sociale :
Pourquoi plus en plus de chercheurs parlent d’une relation ambivalente entre ces deux concepts?
les milieux organisés misent de plus en plus aujourd’hui sur le développement de différentes équipes de travail afin de tenter de gagner en flexibilité et en innovation
il devient important de mieux comprendre les relations entre identification et coopération afin de savoir si la mise en place de ces équipes répond effectivement aux attentes
De l’identification sociale à la coopération :
Qu’arrive t-il lors d’une situation complexe en milieu organisé?
Comment arriver à une bonne coopération?
Quel est le moyen idéal pour arriver à une bonne coopération (sans garantie de succès)?
L’identité sociale n’est pas toujours gage de coopération ET celle-ci n’est possible que si la condition de confiance est remplie.
Comment arriver à une confiance optimale sans garantie de succès = discussion des enjeux
De l’identification sociale à la coopération :
Lorsqu’on dit que l’identification sociale sur la coopération est ambivalent quel est la raison de cette affimation et ses deux factuers?
L’insuffisance conduit à une forme d’autisme sociale (replier sur eux même veulent pas rentrer en contact )
excès peut amener, entre autres, à moins s’engager dans des actions collectives ET parce qu’on se repose sur les autres sous-estime les enjeux de sa propre intervention (quelqu’un d’autre va s’en occuper, principe de la diffusion de responsabilité).
De l’identification sociale à la coopération :
La coopération est suceptible de varier en fonction de trois critères?
Quel sont-ils?
La complexité de la tâche
Le niveau d’autonomie
Le degré d’incertitude
Ces trois facteurs sont inter reliés
De l’identification sociale à la coopération :
Quel est la différence entre le contrôle et la confiance?
Contrôle : en mesure d’imposer ses choix = Mécaniste
Confiance : première condition elle se construit dans les discussions et les échanges CEPENDANT, il n’a pas de garantie.
Discussion + échange = qualité dyn. rel.
Non-mécansite
Analyse des processus d’identification :
Opérateur
Équipe en insertion automatique
Définit moi c’est deux poste
Équipe en insertion automatique (Technicien) personne qui s’assure de l’entretient de la machine (mécanicien ajusteur) = Réparation complexe
Modules (opérateur) les membres sont capables d’effectuer les tâches des autres, mais qui ont peu de marge de manœuvre:
Analyse des processus d’identification :
L’équipe en insertion automatique doivent s’organiser eux-mêmes pour gérer la complexiter de la tâche. Quels sont les 4 facteurs de ces équipes. Ensuite, quels sont les deux critères relié à ces équipes?
Pour finir, quel est l’objectif de la comparaison?
4 factuers
Métiers tout de même cloisonnés (polyvalence relative);
Enrichissement des tâches des personnes moins qualifiées (opérateurs) en cours de route (à certaines conditions);
Groupe hétérogène;
Plus d’autonomie (pas nécessairement pour tous cependant), car travail plus complexe.
2 critères :
Logique de métier (catégorisation par affinité);
Petit groupe de travail (catégorisation par émulation (compétition)).
L’objectif de la comparaison :
Évaluer le lien entre l’identification à l’équipe formelle et le degré de coopération entre ses membres.
Analyse des processus d’identification :
Les stades de la coopération dans les modules:
Quel sont les deux éléments pour chacun des trois temps?
Temps 1:
- meilleure communication;
- identité des modules saillante (compétition intergroupe).
Temps 2:
- augmentation de la coopération;
- résoudre ensemble des problèmes simples.
Temps 3:
- diminution de la coopération car plus (moins) nécessaire;
- développer les façons de faire et réduire les erreurs.
Analyse des processus d’identification :
Les risques de l’identification duale dans les équipes d’Insertion automatique :
Résume simplement le rôle d’opérateur ainsi que technicien. Que faut-il éviter et favoriser entre ces deux groupes?
Et
Quels sont les deux extrêmes pour les techniciens?
Le travail d’un opérateur a un travail moins compliqué qu’un technicien
Pour la coopération entre les opérateurs et les technicien il faut favoriser le fait de tisser les liens avec les deux groupes.
Il faut éviter la rivalité entre ces deux groupe afin de favoriser 1. le vivre ensemble 2. l’efficacité
Deux extrêmes (pour les techniciens):
- logique de métier qui prime;
- Identification à l’équipe d’Insertion automatique qui prime.
Il faut nuancer l’hypothèse voulant que l’identification soit nécessairement plus forte dans un groupe homogène (comme dans les modules).
Cependant, un groupe hétérogène (comme les équipe en insertion automatique) doivent fournir quel type d’effort dans une situation précise et pourquoi il doivent le faire?
Un groupe hétérogène (comme dans le cas des équipes en insertion automatique) doit fournir un effort d’intégration en situation d’incertitude sinon il risque d’être perçue comme un exogroupe.
Pourquoi il est impossible d’affirmer que l’identification à un groupe détermine les pratiques de coopération?
ET
Qu’es qui vient appuyer le développement et le potentiel de coopération chez un individu? De plus, qu’es qui doit être pris en compte pour comprendre ce phénomène?
Le degré d’incertitude de l’environnement influencent la relation entre identification et coopération.
ET
Le renforcement de l’identification d’un individu à un groupe s’accompagne au fil du temps du développement de son potentiel de coopération.
Le niveau de confiance et d’entente entre les membres du groupe doit être pris en compte