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PSY1075 final > Cours 12 > Flashcards

Cours 12 Flashcards

1
Q

C’est quoi un stéréotype

A

Croyance d’une personne à l’égard des caractéristiques des membres d’un groupe. /information

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2
Q

Envers quel groupe on peut avoir des stéréotypes

A

On peut en avoir pour les autres groupes ou même notre groupe. Inclut tous les information qu’on a nous personnellement a propos des membres d’un groupes.

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3
Q

Est-ce que les stéréotypes sont tjrs négatifs?

A

 Peux être positif, négatif, neutre.

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4
Q

On fait moins d’erreur de stéréotype envers quel groupe?

A

 On fait moins d’erreur quand c’est notre endogroupe, on le connait plus.

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5
Q

C’est quoi un préjugé?

A

Attitude négative injustifiable envers les membres d’un groupe.

 Attitude inclut croyance qu’on associe une affect.

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6
Q

À la base, un préjugé c’est un…

A

stéréotype qui possède un affect.

Dès qu’on a sentiment associé à un stéréotype c’est un préjugé.

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7
Q

C’est quoi la discrimination?

A

Comportement négatif dirigé contre les membres d’un groupe.

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8
Q

Exception : discrimination sans préjugé. C’est quoi son nom et explique

A

« discrimination institutionnelle ».

Ce produit lorsqu’on traite quelqu’un différemment car on suit une règle dans l’institution et non qu’on a un préjugé.

Les gens qui applique la règle n’ont pas de préjugés, ils appliquent la règle.

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9
Q

Les raisons les plus souvent évoquées par les victimes de discrimination sont les facteurs ethnoculturels : (4)

A

appartenance ethnique ou culturelle,
race ou couleur de la peau,
religion ou
langue.

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10
Q

Des données plus détaillées font ressortir que la discrimination en raison de I’âge est plus marquée chez les … 2 groupes d’âges

A

jeunes de moins de 25 ans (9 %) que chez les personnes de plus de 65 ans (4%).

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11
Q

C’est quoi un endogroupe?

A

Notre groupe d’appartenance. On en a plusieurs, (femme, mère, enseignant, etc)

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12
Q

C’est quoi un exogroupe?

A

Groupe auquel nous n’appartenons pas.

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13
Q

Certaines catégories sociales sont plus susceptibles de faire face à des préjugés et à de la discrimination.

L’ampleur de ces manifestations a motivé la description et l’étude de phénomènes particuliers incluant, ex : (8)

A
  • le racisme (groupes ethniques);
  • le sexisme (appartenance sexuelle);
  • la xénophobie (personnes étrangères);
  • l’antisémitisme (Juifs);
  • l’homophobie (personnes homosexuelles);
  • la transphobie (personnes transgenres);
  • l’âgisme (groupes d’âge);
  • le capacitisme (personnes ayant un handicap psychologique ou physique).
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14
Q
  1. Origines des préjugés et de la discrimination

DIFFÉRENTES EXPLICATIONS (5)

A 
	Idéologique 
	Intergroupe 
	Interpersonnel 
	Intrapersonnel : 
	Cognitif
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15
Q

Idéologique, quel est l’explication?

A
  • Théorie de la dominance sociale
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16
Q

Intergroupe, quel sont les 3 théories?

A
  • Théorie des conflits réels
  • Théorie de l’identité sociale
  • Théorie de la privation relative
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17
Q

Interpersonnel, quelles sont les 2 théories?

A
  • Socialisation

- Influence sociale

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18
Q

Intrapersonnelle, quelle sont les 2 théories?

A
  • Personnalité autoritaire

- Utilisation d’un bouc-émissaire

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19
Q

Cognitif, quelles sont les 6 catégories?

A
  • Utilisation de catégories
  • Utilisation de stéréotypes
  • Biais de l’homogénéité de l’exogroupe
  • Corrélation illusoire
  • Prophétie qui s’autoréalise
  • Biais d’attribution et biais confirmatifs
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20
Q

Des explications sont plus générale ( ___ ) et d’autres sont plus individuelles ( __ )

A

distale, loin

proximal, de moi

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21
Q

THÉORIE DE LA DOMINANCE SOCIALE

À la base, il y a domination d’un groupe social par un autre groupe, créant…

Le groupe dominateur se sert …. + explication

A

une inégalité de pouvoir, de richesse ou de prestige.

d’un stéréotype entretenu envers le groupe dominé pour justifier sa supériorité.

Ils dit qu’on a le droit de dominé, et c’est entretenu par un stéréotype. Il a toujours une justification derrière qui semble acceptable.

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22
Q

Acculturation, def

exemple de situation classique

A

processus par lequel un groupe remplace ses valeurs par celles d’un autre groupe.

La situation classique est la suivante : un groupe en soumet autre, puis il justifie sa domination par l’incapacité de l’autre à se gérer lui-même.

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23
Q

THÉORIE DES CONFLITS RÉELS

Bases théoriques?

A

Selon Sherif, la concurrence entre les groupes pour l’obtention de ressources limitées est une des causes fondamentales des préjugés et de la discrimination.

L’existence ou non d’un conflit réel d’intérêts entre deux groupes détermine la qualité des relations qu’ils entretiennent entre eux.

Ainsi, plus la concurrence est grande, plus les préjugés, la discrimination et l’hostilité seront intenses entre les groupes en question.

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24
Q

Études à la Caverne des voleurs,

explique les 3 phases

A

Phase 1 : la formation des groupes.

  • Au début, les premières activités permettent de créer des liens, se solidifier. Vers la fin de la phase, ils se sont mis à voir qu’il avait un 2e groupe.
  • À la fin de la phase, annoncer une compétition entre les 2 groupes. Ils avait des ressources limité au tournois, juste les gagnants avait un trophée et un petit kannif.

Phase 2 : la compétition intergroupe.

  • Pendant la compétition, il y avait une escalade de conflit, de plus en plus de conflit. Insulte, se battre, vandaliser les dortoirs des 2 groupes.
  • La compétition à apporter qu’il voulait gagner, mais ils montraient qu’il aimait pas l’autre équipe.

Phase 3 : la coopération intergroupe.

  • Permet de régler les conflits. Trouver des activités dans lesquelles les personnes des 2 groupes vont travailler ensemble.
  • Buts supérieurs = tout le monde doit travailler ensemble pour l’atteindre. Devait être des situations critiques pour les motiver.
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25
Q

Études à la Caverne des voleurs,

conclusion générale?

A

La compétition et la coopération entre les groupes ont des effets sur la formation des préjugés et sur les comportements discriminatoires.

  • Collaborer diminue les préjugés, les enfants en conflit sont devenus amis. La coopération DIMINUE les préjugés, mais disparait jamais.
  • Compétition fait augmenter les préjugé et comportements discriminatoires .
  • Coopération diminue les 2.
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26
Q

THÉORIE DE L’IDENTITÉ SOCIALE

Notre estime de soi dépends de 2 choses :

A
  1. Identité personnelle : caractéristique personnelle qu’on possède ( talent dans tel chose)
  2. Identité sociale : faire partie d’un groupe social qui nous ressemble.
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27
Q

THÉORIE DE L’IDENTITÉ SOCIALE

Si on vit échec sur plan personnelle = __ = ___

A

on est dévaloriser = baisse estime de nous.

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28
Q

THÉORIE DE L’IDENTITÉ SOCIALE

Favoritisme on peut faire 2 choses :

A
  1. valorisant notre propre groupe (nous sommes les meilleurs, a gagné toujours mon équipe) ex : j’ai pocher mon examen mais j’ai la meilleur famille.
  2. en rabaissant l’autre groupe (permet de faire comme si mon groupe est meilleur)
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29
Q

THÉORIE DE L’IDENTITÉ SOCIALE

Permet de rehausser notre estime de nous-même (j’ai eu un échec, mais je fais partis d’une équipe qui est bonne et qui gagne toujours).

Le négatif que sa apporte?

A

ouvre la porte au développement préjugé et comportement discriminatoire

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30
Q

Étude de Fein et Spencer (1997)

Eux qui ont reçu feedback positif –> estime soi ___ –> évaluation de la femme ?

Feed-back négatif –> estime soi descendu __ –> évaluation de la femme?

A

Ø Eux qui ont reçu feedback positif  estime soi augmenté  peu importe la femme, évaluation positive de la femme

Ø Feed-back négatif  estime soi descendu  sa dépends  préjugé favorable (évaluation positive) préjugé défavorable ( évaluation négative)  utiliser le favoritisme à l’égard de l’endogroupe

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31
Q

Les personnes qui ont rabaisser la femme juive on davantage augmenter leur estime de soi par rapport aux autres groupes. Le fait d’utiliser favoritisme a l’endogroupe, c’est quoi les 2 impacts?

A

impact sur la perception de soi,

impression qu’on est plus élevée.

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32
Q

THÉORIE DE LA PRIVATION RELATIVE

C’est quoi la privation relative?

A

Privation relative : Sentiment de mécontentement, de colère ou d’injustice qui est dépendant de la comparaison. On se compare aux autres, on réalise que les autres ont mieux que nous, ça nous fâche.

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33
Q

Cinq conditions pour qu’il y ait de la privation relative :

A
  • La personne voit que quelqu’un d’autre possède X.
  • Elle veut X.
  • Elle sent qu’elle a le droit d’avoir X.
  • Elle sent que c’est faisable d’avoir X.
  • Elle ne se sent pas responsable du fait de ne pas avoir X.
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34
Q

THÉORIE DE LA PRIVATION RELATIVE

Plus l’écart entre ce que j’ai et ce que je pense mériter est grand, plus…

A

le sentiment de privation relative est fort. Je vais être encore plus fâchée et militer.

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35
Q

THÉORIE DE LA PRIVATION RELATIVE

Plus le sentiment de privation relative est fort, plus la personne…

A

est tentée d’agir pour réduire l’écart entre la situation actuelle et les attentes subjectives.

Personne plus motiver pour changer quelque chose.

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36
Q

Le sentiment de privation relative se manifeste le plus souvent…

A

collectivement plutôt qu’individuellement.

Une personne seul a moins de pouvoir qu’un groupe. Les actions collectives peuvent faire en sorte de développer des préjugés vers le groupe qui a pas ce qu’on a.

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37
Q

SOCIALISATION

Certains préjugés sont acquis durant l’enfance, à partir ____

A

des modèles sociaux.

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38
Q

Très tôt, l’enfant commence à prendre conscience des différences entre les catégories sociales :

vers 1 an il perçoit :

vers 3 ans, il commence à se questionner sur :

2-3 ans, il commence à intérioriser les

3-5 ans, il commence à intérioriser les

Les préjugés se renforcent graduellement jusqu’à l’âge de __ ans environ. Ils peuvent ensuite se ___ ou ___ à l’adolescence. Après, il y a souvent cristallisation (difficile à changer).

A

vers 1 an, il perçoit les différences sexuelles;

vers 3 ans, il commence à se questionner sur les différences observables (couleur de peau, pourquoi il agit comme ça, pourquoi il a plus de jouet).

2-3 ans, il commence à intérioriser les préjugés sexistes; et vers

l’âge de 3-5 ans, il commence à intérioriser les préjugés raciaux.

Les préjugés se renforcent graduellement jusqu’à l’âge de 7 ans environ. Ils peuvent ensuite se maintenir ou diminuer à l’adolescence. Après, il y a souvent cristallisation (difficile à changer).

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39
Q

SOCIALISATION,

on parle de quel type d’influence? Pourquoi?

A

 Il s’agit davantage d’une influence informative. On se réfère aux autres, on croit qu’on peut le faire confiance. Les parents sont justement des influences informatives. Elle est plus durable, car on est convaincue que c’est vrai, encrer en nous.

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40
Q

INFLUENCE SOCIALE

L’influence sociale se produit par le biais …

A

de la conformité au groupe de référence.

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41
Q

Influence sociale, le processus?

A

 Les gens n’osent pas exprimer leurs croyances allant à l’encontre du groupe de référence par peur du rejet, de réactions hostiles et pour être acceptés. Ils se conforment alors aux normes sociales véhiculées dans le groupe.

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42
Q

La pression sociale engendre ___ .

Elle peut, petit à petit, se transformer en ___ et ___

A

la soumission publique

soumission réelle et intériorisée.

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43
Q

L’influence sociale a surtout pour conséquence d’amener …

A

un maintien des préjugés.

Maintient, car elle ne dis jamais son désaccord aux autres.

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44
Q

L’influence sociale fait référence à quel type d’influence?

A

 Il s’agit davantage d’une influence normative.

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45
Q

PERSONNALITÉ AUTORITAIRE

Trois caractéristiques fondamentales ?

A

trait de personnalité,

façon de penser et d’agir qui fait partie d’elle

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46
Q

Soumission autoritaire, def

A

Acceptation inconditionnelle d’une autorité morale idéalisée, accompagnée d’un profond désir d’être associé au symbole de l’autorité et de faire partie de l’endogroupe idéalisé. Elle veut suivre les figure d’autorité, elle leur fait confiance.

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47
Q

Conventionnalisme?

A

Conformité aux traditions et aux conventions sociales, dont la nécessité d’obéir aux lois et aux règlements en place. Applique à la lettre tous ce qui est règlement, normes sociale, lois. Déranger par les personne qui ne respecte pas les normes sociales.

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48
Q

Tendance à l’agression autoritaire?

A

Surveillance des manquements aux règlements et aux valeurs traditionnelles, puis condamnation et punition des coupables. En position d’autorité elle punit, elle peut critiquer eux qui respecte pas, elle les aiment pas.

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49
Q

Exemples d’attitudes et de comportements d’une personne autoritaire

A

 Refus du changement ; si elle a une idée, c’est ça, pas moyen de les faire changer d’idée, autant comportement que opinions.
 Rigidité intellectuelle (fermé aux nouvelles idées).
 Soumission facile à l’autorité.
 Admiration inconditionnelle pour ceux qui ont du pouvoir.
 Exercice maximal du pouvoir envers les subordonnés. Grand respect de la hiérarchie, je contredit jamais le supérieur, mais lui en bas il est mieux de m’écouter.
 Ethnocentrisme.

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50
Q

Ethnocentrisme? + exemple

A

Croyance d’une personne selon laquelle son endogroupe est supérieur aux exogroupes. Ton propre groupe est meilleur, tous les groupes sont inférieurs.

Ex : ma famille est meilleur que tous les autres, UdeM c’est la meilleur université. C’est pas une hiérarchie, autorité, mais vraiment juste « je suis dans le meilleur »

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51
Q

Conclusion de la personne autoritaire

A

Conclusion : Pour ceux qui ont une personnalité autoritaire, le fait d’avoir un grand respect pour l’ordre établi et un manque d’ouverture favorisent le développement et le maintien de préjugés.

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52
Q

DÉPLACEMENT VERS UN BOUC-ÉMISSAIRE, c’est quoi?

A

Bouc émissaire : Personne ou groupe de personnes à qui l’on attribue injustement la responsabilité de tous les torts, de toutes les fautes.

On se sert d’un groupe et on dit que c’est leur faute, même s’il y a aucun lien.

Utiliser quelqu’un d’autre pour exprimer colère pour une autre cause. Par exemple les minorités sont plus a risque. On rejette la faute sur personne plus vulnérable, faibles, pas capable de se défendre, car plus facile

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53
Q

QUAND UN INDIVIDU NE CORRESPOND PAS À UNE CATÉGORIE

Donne les 3 situations possibles

A
  1. Il me manque une caractéristique  ouverture, donc on change la catégories et on se dit que maintenant, ce groupe contient ces caractéristiques-là.  Bien car on change de catégorie.
  2. Tu vois une première personnes, mais tu changes pas tu suite, sa en prends plusieurs. Après quelque fois, tu changes ta catégorie. C’est normal que sa passe plus de temps.  Bien, car on change catégorie.
  3. Création d’une exception. La personne a pas la caractéristique, donc on la traite d’exception. On ne change pas notre perception du groupe.  formation de préjuger, on générale une description a plein de gens, malgré que plusieurs ne l’ont pas. Mauvais.
54
Q

PHÉNOMÈNE D’ASSIMILATION-DIFFÉRENCIATION

Assimilation : ?

A

Accentuation des ressemblances entre les individus appartenant au même groupe. Un groupe tout le monde est content et l’autre tout le monde triste

55
Q

PHÉNOMÈNE D’ASSIMILATION-DIFFÉRENCIATION

Différenciation?

A

: Accentuation des différences entre les individus appartenant à des groupes distincts. On compare les 2 groupes : différent, car un groupe est triste et l’autre content.

56
Q

PHÉNOMÈNE D’ASSIMILATION-DIFFÉRENCIATION

La combinaison de ces deux processus amène les gens à percevoir…

A

à tort que les membres de l’exogroupe sont très différents de ceux de l’endogroupe.

 Finalement, pas si différent que cela, les 2 sont jaunes, il se ressemble beaucoup. En combinant, on oublie les ressemblance entre les groupe et ça augmente la formation de préjugé.

57
Q

INFLUENCE DES STÉRÉOTYPES*

Conclusion de cet effet

A

Ce qui est incohérent, on a tendance à combler informations. On reconstruit les souvenirs.

Ça se peut que la personne est oublier que c’était la personne blanche qui tenais le rassoir, il a utilisé stéréotype pour combler le vide. Donc stéréotype transforme information et elle devient inexacte.

Bref, lorsqu’il nous manque information, on comble lacune par nos croyances (stéréotype)

58
Q

EFFET DE REBOND, c’est quoi?

A

Effet de rebond : Phénomène mnésique qui fait qu’une pensée que l’on cherche consciemment à refouler revient amplifiée, avec encore plus de présence, dès que l’on cesse de la refouler.

59
Q

Effet rebond, conclusion

A

Résultat groupe instruction : description de la 1e photo est correcte, mais après 2e photos, on voit que dès qu’on fait plus la mise en garde, encore plus de stéréotype qui est utiliser. Donc effet de rebond fonctionne aussi.

Important de pas s’empêcher d’avoir stéréotype, le problème pas de les exprimer, c’est grave quand il deviennent inexacte et qu’on développe sentiment négatif.

60
Q

Biais de l’homogénéité de l’exogroupe, c’est quoi

A

Perception selon laquelle la variabilité entre les membres d’un exogroupe est moins grande qu’entre les membres de l’endogroupe. Impression que dans mon groupe sont différent, mais dans l’autre groupe toute pareille.

61
Q

Étude de Platz et Hosch (1988) (plan physique) sur le biais d’homogénéité, les résultats?

A

une ethnie, il décrit mieux le client de la même ethnie.

On reconnait plus les caractéristiques différente dans notre groupe vs moins les caractéristique différente des autres groupes.

62
Q

BIAIS DE L’HOMOGÉNÉITÉ DE L’EXOGROUPE, conclusion principale

A

On se tient plus avec les gens de notre groupe, donc plus facile de les décrire. Quand tu côtoie moins le monde, tu les connais pas assez pour voir différence. C’est relié à un problème de fréquentation, tu le fréquente pas assez pour voir que c’est un groupe différent.

63
Q

BIAIS DE L’HOMOGÉNÉITÉ DE L’EXOGROUPE,

Peut aussi être lier au phénomène ___ et ___

A

assimilation et différenciation.

64
Q

Corrélation illusoire?

A

Croyance que deux éléments covarient alors que ce n’est pas le cas.

65
Q

Corrélation illusoire? et préjugé, pourquoi?

A

Peut nous apporter à développer des préjugés : Créer impression que les groupes minoritaires fond plus de comportements négatifs. Donne fausse impression que minorité fond des méfaits plus grave.

double effet saillance

66
Q

Prophétie qui s’autoréalise?

A

Processus par lequel les attentes de quelqu’un par rapport à une autre personne mène cette personne à se comporter de façon à confirmer les attentes initiales.

Le mot attentes peut être transformer en stéréotype. Pas la personne, mais les stéréotype qui contribue à ce processus

67
Q

Étude de Chen et Bargh (1997)
On présente des images subliminales : visage de personnes blanche ou noirs.

but?
résultats
conclusion

A

But : activité stéréotype par amorçage. Voir visage noir et blanc ça va activité ses croyances. Le but était d’évaluer l’hostilité dans les propos.

Résultats
- Percevant (stéréotype activé noir) = exprimer de manière plus hostile envers l’autre personne. Comme si ce qui a été amorcer a influencé sa manière d’agir. Stéréotype affecte le comportement.

  • Le partenaire ce met aussi à réagir de manière plus hostile s’il est en contact avec quelqu’un qui a été exposer à des image de noir.

Conclusion
- Stéréotype à eux seul, sans la connaitre, juste le fait de penser, activité stéréotype quelle vient de influencer nos comportement. Donc les stéréotypes nous amène a avoir certains comportements discriminatoires.

68
Q

BIAIS D’ATTRIBUTION ET BIAIS CONFIRMATIFS

Certaines personnes sont plus portées à utiliser des biais d’attribution et des biais confirmatifs lorsqu’elles..

A

jugent les membres d’un groupe social. (comme le biais de complaisance)

69
Q

Ces biais peuvent être davantage observés dans certains contextes, tels que : (4)

A
  • le favoritisme à l’égard de l’endogroupe;
  • la dissonance cognitive (ex : comportement discriminatoire jugé non acceptable);
  • la personnalité autoritaire;
  • la compétition intergroupe.
70
Q

Profilage racial?

A

Profilage racial : Action à laquelle procède une personne en station d’autorité à l’égard de quelqu’un pour des raisons de sécurité, et qui repose sur des généralisations fondées sur l’ethnie, la race, la religion ou l’origine nationale, sans motif réel ou soupçon raisonnable.

**Le profilage racial ou profilage ethnique désigne le comportement discriminatoire d’une autorité, en particulier la police, à l’égard d’un individu ou d’un groupe d’individus en fonction de son origine ethnique, nationale ou religieuse, réelle ou perçue1

71
Q

Une attribution de profilage est particulièrement facile à faire lorsque..

A

la personne appartient à une minorité.

72
Q

Le profilage racial peut apparaître comme un moyen de…

A

dissuader quelqu’un d’accomplir un crime.

Effet, d’après la théorie de la dissuasion, plus la probabilité ou la sévérité d’une punition augmente, plus la personne qui envisage d’accomplir un crime s’en abstiendra.

73
Q

Autostéréotype?

A

Autostéréotype :Stéréotype se rapportant à son propre groupe.

74
Q

Métastéréotype

A

: les croyances d’une personne à l’égard des stéréotypes que les membres des autres ont à propos du groupe auquel elle appartient.

75
Q

Le célibatairisme, c’est-à-dire …

A

la stigmatisation adultes vivant seuls, qu’ils soient divorcés, veufs, ou aient toujours été célibataires.

76
Q

Racisme?

A

préjugé défavorable et discrimination à l’égard de personnes en raison la couleur de leur peau ou de leur appartenance ethnique.

77
Q

Racisme traditionnel : ???

A

Racisme traditionnel : Racisme flagrant qui s’exprime par ex, par la ségrégation fond a couleur de la peau.

78
Q

Le racisme traditionnel ne se manifeste pas toujours par le ____ .

Il peut aussi se traduire par des comportements visant à…

A

désir d’exterminer l’autre ethnie.

maintenir une certaine distance sociale par rapport à « l’étranger ».

79
Q

Racisme moderne :

A

Racisme subtil qui s’exprime indirectement et se fonde sur des raisons socialement acceptables.

80
Q

Ainsi, la combinaison de valeurs morales traditionnelles d’un individu (par exemple «seul le travail conduit à la réussite ») et de l’affect négatif que déclenchent en lui les Noirs peut entraîner un ___

A

racisme symbolique.

81
Q

Discrimination positive :

A

Comportement plus favorable aux membres d’autres groupes qu’aux membres de son propre groupe.

82
Q

Discrimination positive : Comportement plus favorable aux membres d’autres groupes qu’aux membres de son propre groupe.

Le but de ces mesures est de…

A

corriger les effets de la discrimination dont les minorités raciales ont été victimes dans le passé.

83
Q

Premièrement le racisme symbolique est maintenant plus courant que le ____, mais ils sont corrélés : tous deux reposent sur un affect l’égard des Noirs.

les 3 formes?

A

racisme traditionnel,

 3 cas de figure : certaines personnes manifestent les deux formes de racisme, d’autres les rejettent l’une et l’autre, d’autres encore rejettent le racisme traditionnel, mais pratiquent le racisme symbolique.

84
Q

Racisme d’aversion :

A

Racisme qui s’exprime par un appui aux mesures d’égalité pour les Noirs, mais qui s’accompagne de sentiment négatifs à leur égard.

85
Q

Le racisme d’aversion se manifeste par le fait de…

A

ressentir un malaise en présence de Noirs ou même d’en avoir peur.

Ainsi, certains Blancs éviteront les Noirs parce qu’ils ont honte d’éprouver des sentiments négatifs à leur égard, alors qu’ils sont en accord avec les mesures d’égalité raciale.

86
Q

Le sexisme :

A

se manifeste par des préjugés et des comportements discriminatoires visant personne en raison de son appartenance à l’un ou l’autre des deux sexes.

87
Q

Le vision de plusieurs cultures :
La femme a une nature …

l’homme est un être ..

A

La femme a une nature passive, soumise, indécise, émotive et dépendante,

l’homme est un être de décision, confiant, ambitieux et rationnel.

88
Q

Toutefois, si l’on classe les stéréotypes selon qu’ils concernent… les différences perçues entre les hommes et les femmes sont plus grandes dans ?

A

caractéristiques physiques, les rôles = plus grande différence

les traits de personnalité = les différences perçues entre les hommes et les femmes sont moins grande

89
Q

Orientation androgyne :

A

Perception de soi comme possédant à la fois des caractéristiques féminines et des caractéristiques masculines.

90
Q

Ø D’autres encore ne décrivent pas en recourant à des caractéristiques masculines ou féminines : on dit elles ont une __

A

orientation indifférenciée.

91
Q

Sur le plan des habiletés cognitives, il a été démontré que les hommes ont une supériorité réelle moyenne en ___ et une plus grande ___

A

mathématiques

habileté visuospatiale.

92
Q

Ø Le dénigrement sexiste consiste à utilisation des .. (3)

A

termes sexistes lorsqu’on fait référence à une femme,
à colporter des blagues ou
à faire des avances sexuelles inappropriées.

93
Q

Sexisme hostile :

A

se manifeste par une animosité à l’égard des femmes, qui sont comme usurpant le pouvoir des hommes, s’offensant trop facilement et étant pas suffisamment reconnaissantes de ce que les hommes font pour elles.

94
Q

Sexisme hostile est plus évident chez les hommes que chez les femmes. Les différences entre les sexes sont moins marquées en matière de sexisme __

A

bienveillant ;

95
Q

Sexisme bienveillant :

A

s’exprime par un comportement favorable aux femmes adoptent des rôles traditionnels. On leur offre dès lors protection et affection, comme lors d’un désastre, où il faut sauver les femmes avant les hommes. Aussi que les hommes sont incomplets sans les femmes.

96
Q

Sexisme ambivalent :

A

Association de sexisme hostile et de sexisme bienveillant.

97
Q

Le sexisme traditionnel :

A

Sexisme consistant à souscrire aux croyances traditionnelles relatives aux femmes.

 s’exprime à travers des affirmations telles que : « Les femmes ne sont pas aussi intelligentes que les hommes » ou « Quand un enfant dont les deux parents travaillent tombe malade à l’école, c’est la mère qu’on doit avertir et non le père.»

98
Q

Le sexisme moderne :

A

se manifeste par le déni de la discrimination envers les femmes dans notre société .
 «Les femmes sont rarement traitées de façon sexiste télévision», « Notre société a atteint un point où les hommes et les femmes ont les mêmes chances de s’accomplir »

99
Q

Femmes détectent plus facilement l’expression «du sexisme__ que celle du sexisme ___

A

traditionnel

moderne.

100
Q

Conflit de groupe réaliste :

A

Théorie selon laquelle l’antagonisme entre les groupes repose sur des confits d’intérêts réels et produit de la frustration.

101
Q

Sherif conclu que les préjugés ont pour origines des raisons objectives : __ et __

A

le partage d’un territoire et ressources

102
Q

L’effet de génération :

A

Chaque nouvelle génération manifeste moins de racisme traditionnel que la génération précédente.

103
Q

L’orientation à la dominance sociale (ODS) :

A

L’orientation à la dominance sociale (ODS) : est une autre variable de la personnalité reliée aux préjugés. Elle consiste à vouloir que son endogroupe domine les exogroupe supérieur.

104
Q

L’orientation à la dominance sociale (ODS) : nomme 6 caractéristique

A
  1. Repose sur la perception d’une société constituée de groupes hiérarchisés, certains en dominant d’autres.
  2. La personne qui a une ODS élevée est plus susceptible de favoriser son pour en maintenir la supériorité.
  3. Elle démontre aussi plus de préjugés à des personnes appartenant à des groupes dont le statut est faible.
  4. Appuie les politiques qui sont susceptibles de maintenir les inégalité entre les groupes.
  5. Contre l’immigration
  6. Tendance à choisir une carrière renforçant les inégalités existantes
105
Q

Échelle mesurant l’ODS comporte en réalité 2 sous-échelles :

A
  1. sous-échelle exprime une préférence pour la hiérarchie de dominance : les groupes dominants oppriment activement les groupes subordonnés.
  2. sous-échelle exprime I’opposition à l’égalité entre les groupes par le biais de politiques sociales.
106
Q

Motivation to Express Prejudice Scale.

Ils distinguent deux types de raisons qui incitent les gens à exprimer des préjugés :

A
  1. Raisons internes : par exemple, quelqu’un pourrait être homophobe parce qu’il que l’homosexualité est un péché.
  2. Raisons externes : par exemple, une personne pourrait dire : «J’exprime des pensée négatives à l’égard des Noirs afin d’éviter les réactions négatives des autres.»
107
Q

Catégorisation :

A

Processus par lequel on perçoit les personnes comme membres d’un ou d’une catégorie plutôt que comme des individus.

Catégories nous simplifient donc la vie permettant d’interpréter rapidement notre environnement physique et sociale.

La catégorisation est essentielle pour prendre des décisions dans un délai raisonnable.

108
Q

Biais de l’endogroupe :

A

Tendance à avoir une meilleure opinion à l’égard de son endogroupe qu’à l’égard des groupes.

109
Q

Xénophobie :

A

hostilité à l’égard de ce qui est étranger.

110
Q

Misogynie :

A

Haine ou mépris des femmes.

111
Q

Xénophobie et misogyne montre que :

A

La valorisation du groupe auquel appartient peut se traduire par la dévalorisation des autres groupes. La dévalorisation des autres sert souvent à alimenter I’estime de soi.

112
Q

Toutefois, la dévalorisation de l’exogroupe serait moins fréquente que…

A

le favoritisme à égard de l’endogroupe

113
Q

Le biais de I’homogénéité n’existe que pour

A

Le biais de I’homogénéité n’existe que pour l’exogroupe.

114
Q

Déplacement de norme :

A

Évaluation d’individus appartenant des catégories sociales différentes selon des échelles n’ayant pas la même signification tout en employant les même termes.

115
Q

En revanche, d’autres personnes perçoivent les frontières entre les groupes comme relativement dynamiques et changeantes. On dira d’elles qu’elles ont une perception des groupes fondée sur une ___ .

Leur réaction

A

incrémentielle.

 Réaction incrémentielle : Leur stratégie est une stratégie d’apprentissage. Cherchent donc à mieux connaître partenaires, soit en leur posant directement des questions, soit en adoptant perspective

116
Q

L’entitativité d’un groupe repose sur la …

Réaction entitativité :…

A

détermination des caractéristiques intrinsèques de ses membres, telles que leur physique et leur comportement. Aussi les symboles (ex, drapeau).

ils vont adopter une stratégie de surcompensation l’idée est de faire bonne impression en limitant les risques de paraître raciste.

117
Q

Ø La transformation facilement visible un individu dans le cours d’un processus l’amenant à devenir membre d’un groupe une ___ de la part d’un observateur.

A

conception essentialiste

118
Q

Menace du stéréotype :

A

Appréhension éprouvée par les membres d’un groupe minoritaire parce que leur comportement pourrait confirmer un stéréotype culture.

119
Q

Ceux qui adhérent a une idéologie __ ou à une idéologie ___ s’attendent à être victimes de discrimination : ils sont donc mieux préparés à y faire face.

A

nationaliste

de minorité opprimée

120
Q

Certains auront une idéologie Nationaliste, qui glorifie le fait …

A

d’avoir une ascendance africaine,

121
Q

l’idéologie de la minorité opprimée, qui souligne …

A

les similitudes entre les américains et les autres minorités dans le monde.

122
Q

une idéologie assimilationniste, mettant…

A

l’accent sur les similitudes entre les Noirs américains et les Blancs américains

123
Q

idéologie humaniste…

A

faisant ressortir ce qu’il y a de commun entre tous les humains.

124
Q

LA RÉDUCTION DES PRÉJUGÉS

LE CONTACT ENTRE LES GROUPES (7)

A

Ø Pour que le contact intergroupe contribue à réduire les préjugés, il faut que les 2 aient statut social égal

Ø Si 2 groupes hostiles au départ apprennent à collaborer à un projet les chances d’intégration s’accroîtront.

Ø En effet, si les buts communs sont les préjugés intergroupes s’atténuent; s’il y a échec, toutefois, les membres de exogroupe sont alors des boucs émissaires tout désignés

Ø L’effet du contact sur la réduction des préjugés doit être évalué durant une période relativement longue.

Ø La familiarité et l’affection serait la réduction de l’incertitude. Cette dernière serait propice à l’anxiété intergroupe, c’est-à-dire le sentiment menace que les personnes éprouvent dans un contexte intergroupe.

Ø La modification de cette perception pourrait donc être un pas en avant vers une plus grande interaction entre les groupes. (peur du rejet, mais explique leur inaction par le manque d’intérêt)

Ø Le contact avec l’autre groupe peut se faire par le biais de la langue : compétence dans la langue de l’autre groupe peut rapprocher les individus appartenant à des groupes différents.

125
Q

Ø Ils constatent aussi que l’effet rapprochement se généralise de diverses façons au-delà la situation de contact immédiate. L’effet se fait sentir : (3)

A

1) auprès des autres membres de I’exogroupe,
2) au sein de exogroupe dans d’autres situations et
3) au sein des autres exogroupes.

126
Q

Selon I’approche sociocognitive, les préjugés découlent d’un …

On peut donc réduire les préjugés en …

A

dérapage des processus normaux.

agissant directement sur les processus cognitif.

127
Q

Serait-il possible de contrer les effets de la catégorisation? Quatre interventions ont été proposées dans ce but :

A

la recatégorisation, l’individuation, la catégorisation croisée et la catégorisation multiple.

128
Q

Recatégorisation :

A

consiste tout simplement à faire comprendre aux membres deux groupes qu’ils ont intérêt à se percevoir comme appartenant au même groupe, et non à deux groupes distincts. 2 catégories comme 1.

129
Q

Individuation :

A

Processus par lequel on met l’accent sur les différences entre les individus plutôt que sur les différences entre les groupes.

130
Q

Catégorisation croisée :

A

Processus par Iequel une personne prend conscience qu’elle appartient deux catégories sociales.

131
Q

Catégorisation multiple :

A

Processus par lequel une personne prend conscience qu’elle appartient à plus de deux catégories sociales.

PSY1075 final (5 decks)

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