Cours 10 Flashcards

1
Q

Modèle de Zajonc (1965) facilitation sociale

Quelles sont les 3 première étape?

A

Étape 1 : Présence d’autrui est la base. La présence doit être soit auditoire (nous regarde) ou en coaction (font la même tâche que nous en même temps). S’il a pas de présence, impossible d’avoir facilitation.

Étape 2 : La présence fait l’activation accrue. Notre corps est plus stimuler que si on est seul. On s’en rend pas compte, c’est inconscient, notre cœur plus activé, sens plus aiguiser, hormonal. Dès qu’on est en présence des autres il a une activation.

Étape 3 : Activation fait  Renforcement de la réponse dominante. Réponse comportement sont les comportement qu’on a acquis, déjà pratiquer, mais certains comportements qu’on a plus mémorisés sont « La réponse dominante ». Pas nécessairement bon, mais il vient le plus spontanément, car celle qu’on a le mieux mémorisé .

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2
Q

Modèle de Zajonc (1965)

Que ce passe t’il si la tâche est simple ou familière?

A

Si simple et familière (la tâche est simple pour la personne) –> plus de chance qu’on soit bon et qu’on aille une bonne réponse –> plus de chance qu’on augmente le rendement. –> on observe la FACILITATION SOCIALE.

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3
Q

Modèle de Zajonc (1965)

Que ce passe t’il si la tâche est complexe ou nouvelle?

A

Si tâche complexe ou nouvelle (pour la personne) –> réponse dominante risque plus d’être mauvaise –> détérioration du rendement. –> on observe INHIBITION SOCIALE

Donc inhibition est détérioration du rendement lorsqu’on est en présence des autres.

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4
Q

FACILITATION SOCIALE : Chez les insectes

résultats d’une tâche simple

A

on la fait avec les coquerelles dans les chambres et on la fait sans dans la chambre. Il a observé de la facilitation sociale, car elle se déplace plus rapidement lorsqu’il y a présence des autres. Ils ont une activation accrue et vont plus vite.

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5
Q

FACILITATION SOCIALE : Chez les insectes

résultats d’une tâche complexe

A

Tâche complexe : ils ont créé une intersection et juste 1 place qu’elle peut se cacher. Justement la coquerelle a pas de cognitif, donc tâche vraiment difficile. Ici, observer de l’inhibition sociale, car les coquerelles se cachaient moins rapidement en présence des autres.

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6
Q

Quelles sont les 2 explications alternatives de la facilitation sociale?

A

Appréhension de l’évaluation

Distraction cognitive

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7
Q

C’est quoi l’appréhension de l’évaluation?

A

la peur d’être jugée, évaluer par les autres. Cette peur augmente l’activation du corps.

 Chez les humains, ce qui augmente le stress c’est la peur d’être jugé, oui c’est vrai! Mais la limite c’est qu’elle ne s’applique pas au animaux.

 On pourrait dire que c’est une explication qui s’ajoute au humain, la présence + la peur.

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8
Q

Distraction cognitive, c’est quoi?

A

La présence des autres + faire une tâche, on a 2 chose à gérer sur le plan cognitif. La présence (ne pas se laisser distraire par les autres) et la tâche (si on est pas bon a la tâche, difficulté à faire la tâche). Donc gérer 2 choses en même temps augmente l’activation physiologique du corps.
 Elle est valide pour les humains et certains animaux. Ex : un chien qui croise un autre chien ou humain.
 Donc pas une explication universelle, elle ne fait que j’ajouter.

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9
Q

Bref, __, ___, ___ = augmente l’activation physiologique et cela mène soit à la __ ou __.

A

présence d’autrui,
appréhension de l’évaluation
distraction cognitive

facilitation sociale ou à l’inhibition

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10
Q

Quelle est la définition de paresse sociale?

A

Tendance à fournir un effort moindre lorsqu’une tâche est effectuée en groupe plutôt qu’individuellement

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11
Q

L’activation physiologique créée par la facilitation sociale produit amélioration de la performance individuelle dans les tâches simples.

Inversement, l’anonymat relatif créé par le travail d’équipe diminue ____ , la baisse de stimulation qui en résulte se traduit par une ____ , mais seulement dans les tâches __, pouvant au contraire se traduire par une augmentation dans les tâches __.

A

l’activation physiologique
baisse I’effort individuel
simples
complexes.

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12
Q

Expérience de Ringelmann, quelle est la conclusion?

A

Conclusion : Dans une tâche collective additive, plus le nombre de personnes augmente, plus le rendement individuel diminue. Plus on place de personnes ensemble, moins ils feront d’effort.

  • Collective = on travaille toute sur la même tâche
  • Additive = effort de chacun son additionner pour donner résultat final.
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13
Q

Expérience de Ringelmann, quelle est la condition essentielle?

A

Condition essentielle : Il est impossible de savoir si une personne fournit moins d’efforts. Car sinon la personne va faire plus attention.

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14
Q

Quelles sont les 2 explications de la paresse sociale?

A
  1. Simple paresse (absence de motivation) : provient de l’approche évolutionniste. On devait se préparer à combattre pour survie, on devait se garder de l’énergie. Le fait de mettre moins énergie avait pour but de garder plus d’énergie pour quelque chose de primordial. Restant de notre instinct.
  2. Diffusion de la responsabilité : explication plus cognitive. La personne en résonnant, elle peut se dire « pourquoi je prendrais la responsabilité de toute faire, il a d’autre personne ». Cognitivement, on se dit que c’est normal de plus distribuer la tâche.
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15
Q

Quelles sont les 3 exceptions de la paresse sociale?

A
  1. Quand la contribution de chacun est identifiable. Revient condition essentielle, par exemple faire une maison, si quelqu’un fait mal une tâche, on sait c’est qui.
  2. Quand la tâche pose un défi. Ex : sauver la vie de quelqu’un, aller au olympique, réalisation et dépassement de soi, il a pas de paresse.
  3. Quand la tâche est attrayante. Ex : travail que tu aimes, tu as du plaisir, si ça te passionne, tu fais pas de paresse sociale, ça te motive et donne de l’énergie.
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16
Q

Comment se traduit la paresse sociale dans les petit groupe vs les grands?

A

Dans les petite groupe la paresse sociale : peut se traduire par une exploitation plus ou moins explicite d’un ou de plusieurs membres aux dépens de membres plus impliqués.

Dans la société en générale la paresse sociale : prend des formes qui se regroupent sous le vocable de «dilemmes sociaux», qui désignent des situations où les intérêts individuels s’opposent au bien-être collectif.

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17
Q

Qu’est-ce qui pourrait éviter la paresse sociale?

Une politique à la fois ___ et ___, jumelée à une ____ , semble donc une voie incontournable, si l’on peut dire, «covoiturable » vers un avenir plus convivial pour tous.

A

incitative et coercitive

éducation à la consommation

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18
Q

Comment est la performance à une tâche facile

Individuelle :

Présence autrui :

Collective :

A

Individuelle : Si la tâche est facile pour nous  performance va être bonne (point rouge)

Présence autrui : Si on fait la même tâche, notre performance sera encore meilleur  facilitation sociale

Collective : Mais si une tâche collective, la performance moins bonne  paresse sociale

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19
Q

Comment est la performance à une tâche difficile?

Individuelle :

Présence autrui :

Collective :

A

Seul, performance moins bonne

En présence d’autrui –> effet d’inhibition sociale = on est encore moins bon

collective –> Sécurité sociale : tâche difficile pour nous, on se sent pas confiant, mais de savoir qu’on la fait en équipe sa nous rassure. Une tâche difficile nous angoisse moins quand on sait qu’on peut compter sur les autres.

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20
Q

Explication de la sécurité sociale –> Courbe stress et performance :

A
  • Pas stresser = on performe pas
  • Plus le stress augmente, si on devient trop activé = moins performant = on a besoin de trop d’énergie pour réguler nos émotions et se calmer.
  • Donc savoir qu’on peut compter sur les autres, nous stress moins, sa nous recule sur la courbe, donc notre performance s’améliore.
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21
Q

Donc inhibition et sécurité sociale = tâche _

Facilitation et paresse = tâche _

A

Donc inhibition et sécurité sociale = tâche difficile

Facilitation et paresse = tâche facile

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22
Q

On peut réduire la paresse sociale dans un travail en équipe en …

A

demandant à chaque membre d’évaluer a participation et le rendement des autres en cours de route.

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23
Q

De plus, il y aura moins de paresse sociale si les gens ___ et ___.

A

souhaitent vivement être efficaces et si la tâche est importante.

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24
Q

Compensation sociale , définition

A

Ce phénomène s’enclenche lorsque nous avons l’impression que l’effort ou la performance des membres de notre groupe risque de laisser à désirer.

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25
Q

En l’absence de commentaires explicites sur l’intention de faire des efforts en accomplissant une tâche, nous utiliserons…

A

nos stéréotypes pour déterminer si nos partenaires sont susceptibles de bien faire leur travail et ainsi décider de l’intensité des efforts que nous fournirons personnellement.

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26
Q

Quelles sont les 4 types de groupes de travail

A

Groupe chirurgicaux
Groupe face à face
Groupes coagissants
Les groupes virtuels :

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27
Q

Groupe chirurgicaux, c’est quoi

A

Correspond à des groupes de travail traditionnels fortement hiérarchisés, menés par un leader qui conçoit, coordonne et dirige les tâches individuelles dévolues à chacun des membres, et porte la responsable du résultat final. Les interactions des membres se font en temps réel, simultanément.

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28
Q

Groupe face à face, c’est quoi?

A

C’est celui qui vient le plus facilement à l’esprit lorsqu’il est question de psychologie des groupes, et c’est sur lui qu’ont porté jusqu’ici la majorité des études : des individus réalisent une performance de groupe qui repose sur des actions individuelles interdépendantes, le groupe dans son ensemble, et non chacun des individu, portant le poids du résultat final.
 Ex : travail d’équipe contexte scolaire.

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29
Q

Groupes coagissants, c’est quoi

A

se retrouvent notamment dans les bureaux ou les usines où plusieurs personnes exécutent, chacune de son côté, un travail n’est pas nécessairement coordonné avec celui des autres.

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30
Q

Les groupes virtuels , c’est quoi

A

correspondent au travail en groupe dans lequel les individus sont interdépendants et portent ensemble le poids du résultat final, mais où les échanges, contrairement aux groupes traditionnels, se font essentiellement par courriels, texto et autres moyens électroniques de communication.

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31
Q

C’est le type de groupe le plus exposé à la paresse sociale et au biais égocentrique

A

Groupe face à face

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32
Q

Ce type de travail en non-équipes, mais synchronisé, donne lieu à la facilitation sociale, ce qui constitue son principal avantage.

A

Groupes coagissants

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33
Q

Quelques critères fondamentaux des groupes (6)

A
  • les groupes, qu’ils soient virtuels ou « réels »
  • doivent présenter un contour défini
  • une organisation sociale reconnaissable
  • une interdépendance dans l’atteinte d’un objectif commun
  • des rôles définis
  • On doit pouvoir aisément différencier les non-membres des membres, et ces derniers doivent se percevoir, et être de l’extérieur, comme une entité.
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34
Q

La notion de groupe s’est considérablement transformée ces dernières années, pourquoi?

A

nombre d’entre eux sont distribués de façon si diverse dans l’espace et dans le temps que leurs membres peuvent très bien ne jamais se voir et se fier essentiellement aux nouvelles technologies de communication pour coordonner leurs activités.

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35
Q

La sociométrie, c’est quoi?

A

Cette approche consiste à représenter, sous la forme de diagrammes, le réseau complexe de relations interpersonnelles à l’intérieur d’un groupe. L’instrument privilégié en est le sociogramme.

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36
Q

C’est quoi qui peut être mesuré avec un sociogramme?

A

d’identifier les personnes les plus recherchées (le ou les leaders du groupe, appelés «leaders sociométriques ») et les personnes rejetées (le plus souvent ciblées comme aversives) ou isolées (le plus rarement – ou jamais – choisies les autres, que ce choix soit positif ou négatif).

Également possible de mesurer le degré de cohésion du groupe, la présence de cliques, et ainsi de suite.

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37
Q

Chercheurs constatent que la polarisation touche surtout les sujets…

A

éminemment politiques, comme les élections présidentielles.

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38
Q

Et que les échanges sur des sujets apparemment _____ , comme la tuerie de 2012 dans une école élémentaire de Newton, commencent par des échanges d’arguments variés sur un ___ pour se ____ lorsque la nouvelle se transforme en débat partisan sur le contrôle des armes aux États-Unis.

A

moins tranchés politiquement

ton modéré

polariser très rapidement

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39
Q

Les opinions de droite (conservatrice) seraient donc ___ polarisées que celles de gauche (communiste).

les individus conservateurs ont une plus grande propension à ___ et ___ qui peut en résulter, préférant s’exposer à _____ qui donnent l’impression d’une lecture ___ et ___ de la réalité.

A

plus

éviter l’incertitude
la dissonance cognitive

des points de vue clairement tranchés

homogène et cohérente

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40
Q

Groupe, définition

A

Deux personnes ou plus qui entrent en interaction, qui ont des buts communs, qui entretiennent une relation relativement stable, qui présentent une certaine interdépendance et qui se perçoivent comme faisant partie d’un groupe.

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41
Q

Groupe est formé d’au moins deux personnes qui doivent : (5)

A
  1. Entrer en interaction
  2. avoir des buts communs ;
  3. être interdépendants ;
  4. se percevoir comme faisant partie du groupe;
  5. entretenir des interactions relativement stables.
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42
Q

Un groupe de deux personnes est généralement appelé «___ »

A

dyade

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43
Q
  1. LES INTERACTIONS ENTRE LES MEMBRES, c’est quoi?
A

Ø Il faut que ces personnes interagissent, que ce soit en face à face ou par voie électronique.
 Par exemple 3 personnes qui s’envoient des texto forme un groupe, mais 3 personnes qui attende l’autobus non, car il n’interagissent pas.

Ø Les groupes s’élargissent, les interactions deviennent difficiles entre les membres.

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44
Q

Cette nécessité d’interaction amène à préciser que la taille idéale du groupe est de ____ équipiers.

A

trois à six

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45
Q

tous les étudiants d’un même programme. C’est une ___ sociale.

A

Catégorie

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46
Q

Critère important de la définition d’un : groupe : l’existence ….

A

d’un ou de plusieurs buts communs à tous les individus.

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47
Q

L’INTERDÉPENDANCE, c’est quoi qu’on veut dire par la?

A

Ø Pour que les interactions au sein d’un groupe permettent l’atteinte des buts communs, faut que les membres exercent une certaine influence les uns sur les autres et qu’ils soient interdépendants.

Ø Ce que fait un membre du groupe, ou ce qui lui arrive, influe les autres membres.
 Ex : vous faites un exposé oral en groupe et un coéquipier fait pas son travail, toute l’équipe en souffre.

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48
Q

Selon Turner (1982), cette condition est même la seule qui compte pour qu’il y aille un groupe.

A

il y a un groupe dès que des individus se perçoivent comme des membres d’un groupe.

49
Q

L’IDENTIFICATION CONSCIENTE DES MEMBRES AVEC LE GROUPE, c’est quoi?

A

Ø Pour que des individus forment un groupe, il faut qu’ils se considèrent eux-mêmes comme des membres du groupe et s’y identifient consciemment.

50
Q

En psychologie sociale, on se concentre surtout sur des groupes qui présentent une certaine _____, même si on n’en fait pas nécessairement un critère absolu.

A

stabilité dans le temps,

51
Q

Multitude de raisons nous poussent à faire partie de plusieurs groupes : (4)

A
  1. D’abord, les groupes peuvent nous aider à atteindre des buts qui nous seraient autrement inaccessibles.
  2. Nous nous joignons également des groupes pour acquérir des connaissances ou obtenir informations.
  3. Groupes permettent de combler des besoins psychologiques et sociaux importants, comme les besoins d’affection, d’attention et de sécurité.
  4. Faire partie de groupes contribue à établir son identité.
52
Q

Nous nous joignons également des groupes pour acquérir des connaissances ou obtenir informations. C’est Appelé groupe ___

A

de travail.

53
Q

C’est quoi la définition d’un rôle?

A

C’est la fonction que chacun exerce dans un groupe.

54
Q

C’est quoi la définition d’un statut?

A

Le statut : renvoie à la position qu’il occupe dans la hiérarchie.

55
Q

il semble que l’on détermine en général assez facilement le rôle et, surtout, le statut qui nous est propre à l’intérieur d’un groupe, même informel.

Les personnes à _____ c’est-à-dire accordant beaucoup d’importance à l’image qu’elles projettent et aux attentes d’ autrui, se montrent particulièrement habiles à ce jeu.

A

haut monitorage de soi

56
Q

C’est quoi la cohésion?

A

Cette caractéristique des groupes, qui consiste à être «tricotés plus ou moins serré», s’appelle la cohésion.

Définition : On la définit comme le degré d’attraction que les membres ressentent à l’égard du groupe

57
Q

Pourquoi un groupe est-il plus ou moins cohésif? Les raisons (4)

A
  1. La cohésion d’un groupe dépend de la force de l’attraction que les membres du groupe ressentent les uns envers autres.
  2. Le degré de cohésion d’un groupe dépend également de la correspondance entre les buts poursuivis par les membres et les buts du groupe
  3. Le succès contribue aussi à la cohésion du groupe
  4. La compétition intergroupe est un autre facteur qui favorise la cohésion d’un groupe.
58
Q

Toutefois, la cohésion n’est pas indéfectible, comment elle peut être anéantie?

A

des événements peuvent l’anéantir.

59
Q

Poursuivre des buts communs suffit parfois à créer une cohésion assez forte, même quand les membres du groupe …

A

ressentent peu d’attraction les uns envers les autres.

60
Q

C’est souvent lorsqu’un groupe fait face à l’échec que sa cohésion s’effrite. Si pas attribuer à ____ , le groupe risque de se défaire.

A

la cause externe

61
Q
  1. La compétition intergroupe est un autre facteur qui favorise la cohésion d’un groupe.

Quel est l’effet secondaire?

A

Effet secondaires indésirables : une cohésion très forte peut amener les individus à trouver légitime d’entretenir et d’exprimer des préjugés envers d’autres groupes.

62
Q

Quels sont les effets de la cohésion d’un groupe? (4)

A
  1. Dans les groupes cohésifs, les membres communiquent davantage entre eux et participent plus aux activités non structurées.
  2. Les membres de groupes cohésifs ont tendance à respecter davantage les normes de leur groupe.
  3. Les groupes cohésifs fonctionnent non seulement plus harmonieusement, plus efficacement que les groupes non cohésifs.
  4. Une trop forte cohésion risque de nuire à la performance du groupe
63
Q
  1. Une trop forte cohésion risque de nuire à la performance du groupe

explique

A

 Le plaisir que les membres d’un groupe très cohésif prennent à interagir de leur faire perdre de vue les buts du groupe et négliger le travail à accomplir. Ex : durant un travail d’équipe.

64
Q

La cohésion d’un groupe peut être mesurée par un instrument, appelé __.

A

sociogramme.

65
Q

Les groupes sont plus efficaces parce qu’ils permettent de mettre en commun les ___

A

compétences individuelles.

66
Q

Mémoire transactive, c’est quoi?

A

Partage de la mémoire d’un groupe, permettant aux membres de profiter connaissances ou expertises particulières des autres.

 On parle de transactions dans la mesure où, en raison du partage de souvenirs, Ia connaissance générale du groupe ne correspond pas à l’addition pure et simple des connaissances individuelles, mais à un nouvel ensemble de souvenirs né de l’échange des individuels, et qui peut très bien ne se retrouver comme tel dans aucune des têtes séparément.

67
Q

Effet négatif des décisions de groupes : (3)

A
  1. Groupes sont souvent moins créatifs que les individus pris séparément.
  2. Les groupes prennent souvent des décisions plus radicales que ne le font les individus, un phénomène nommé polarisation de groupe.
  3. Un fort niveau de cohésion entraîne parfois la pensée une tendance qui favorise la prise de mauvaises décisions, aux conséquences désastreuses.
68
Q

Le remue-méninges mise sur la combinaison de la ___ et de ___

A

créativité individuelle et de la stimulation de groupe.

69
Q

Sur le plan de la productivité, le remue-méninges apparaît presque comme ..

A

une perte de temps.

on constate que le groupe dont les membres ont travaillé individuellement a trouvé davantage de solutions originales et efficaces que le groupe qui a « remué ses méninges ».

70
Q

Dans le RM, les membres ont tendance à discuter des informations ___ plutôt que de chercher vraiment des ___.

A

qu’ils ont en commun

solutions originales.

71
Q

Dans le RM, les personnes évitent en effet de présenter des informations qui semblent aller à l’encontre de la tendance générale, pourquoi?

A

notamment pour éviter les conflits et parce qu’ils ont peur d’être ridiculisés ou rejetés par le groupe, ce qui constitue un exemple de l’influence normative.

72
Q

Au final, le remus méninge..

A

Permet pas de trouver un plus grand nombre de solutions ni de meilleures solutions.

73
Q

Pour favoriser la créativité en groupe, il est préférable de commencer par ….

Ensuite, les membres du groupe …

A

une période individuel au cours de laquelle chacun élabore ses propres solutions.

mettent en commun toutes les idées qu’ils ont trouvées et les évaluent.

74
Q

C’est possible d’intégrer un facilitateur, c’est quoi la job?

A

un membre du groupe qui a reçu une formation afin d’animer la séance ; le facilitateur éliminera tout ce qui nuit à la créativité et stimulera la production d’idées

75
Q
  1. La technique des groupes nominaux c’est quoi?
A
  1. La technique des groupes nominaux vise à favoriser la production d’idées en groupe, elle a fait ses preuves.
  2. Chaque membre commence par rédiger individuelle sans se censurer, tout ce qui lui vient à l’esprit sur un sujet donné.
  3. Ensuite, toutes les idées sont mises en commun, discutées et évaluées en groupe.

 Débouche sur un plus grand nombre d’idées, et de meilleure qualité, que le traditionnel en groupe.

76
Q
  1. Le remue-méninges par voie électronique, c’est quoi?
A
  1. Le remue-méninges par voie électronique donne également d’excellents résultats : Anonymement et simultanément, les membres présentent leurs idées en ligne, ce qui favorise la stimulation intellectuelle.
77
Q

Révèlent que____ permet de récolter des idées aussi bonnes, sinon meilleures, que _____ .

A

la technique des groupes nominaux

le remue-méninge électronique

78
Q

La supériorité ____ sur ____ ne vaut que pour les petits groupes, la tendance s’inversant pour les plus grands groupes.

A

groupes nominaux

le remue-méninges électronique

79
Q

Polarisation de groupe, c’est quoi?

A

Tendance à prendre en groupe des décisions plus radicales que les décisions individuelles.

80
Q

Les explications de la polarisation de groupe (3)

A

Ø Influence informative.
Ø Influence normative.
Ø Identification sociale.

81
Q

Les explications de la polarisation de groupe : Influence informative. (2)

A
  1. La mise en commun de tous ces arguments contribue à renforcer la tendance initiale des individus qui composent le groupe.
  2. Les autres personnes nous ajoutent des arguments auxquels on n’avait pas pensé, ce qui va nous convaincre encore plus
82
Q

Les explications de la polarisation de groupe: Influence normative (2)

A
  1. Les gens veulent être perçus positivement par les autres, elles veulent être acceptées par le groupe
  2. Pour être accepté, on va faire des efforts pour trouver des bons arguments à donner aux autres, attitudes plus radicales, vont dans le sens de l’attitude du groupe.
83
Q

Les explications de la polarisation de groupe: Identification sociale (3)

A
  1. L’individu s’identifie à un groupe et se conforme à ce qui lui semble être la norme dans son groupe
  2. Problème : nous avons tendance à penser que la norme du groupe est plus radicale qu’elle ne l’est en réalité
  3. En nous conformant à cette norme perçue, nous acquérons des attitudes plus radicales que celles du groupe
84
Q

Conséquences de la polarisation de groupe (L) : (3)

A
  • La polarisation de groupe exerce des effets importants sur les individus
  • Le noyau d’un groupe pourrait être composé de personnes montrant un certain penchant pour la déviance, donc ces tendances vont s’amplifier

• Ce phénomène se manifeste entre autres dans les travaux d’équipe
 Les gens qui montrent beaucoup d’intérêt pour un type de travail ont tendance à se regrouper

85
Q

Pensée de groupe, définition

A

Mode de pensée des groupes où la recherche d’un accord à tout prix prend dessus sur l’évaluation réaliste des options existantes.

86
Q

Selon Janis, plus un groupe est cohésif, plus ses membres cherchent ______, ce qui les amène à accepter sans discuter les propositions du ou de la majorité de ses membres.

A

à maintenir l’impression d’unanimité,

87
Q

Selon Janis, les membres d’un groupe cohésif ont tendance à tenir trop…

A

facilement pour acquis qu’ils pensent et ressentent tous la même chose; ils ne se donnent pas la peine examiner les points de vue divergents.

88
Q

Sous l’effet de la polarisation de groupe, les croyances et les attitudes tendent à se __ lorsqu’elles sont partagées.

A

radicaliser

89
Q

En fait, on peut parler de pensée de groupe chaque fois qu’une impression d’unanimité..

A

conduit les membres d’un groupe fortement cohésif à rejeter toute remise en question l’opinion majoritaire.

90
Q

Le refus pour un groupe d’envisager des solutions ou des points de vue divergents repose sur 2 phénomènes :

A
  1. La volonté de protéger à tout prix cohésion du groupe, au détriment de la créativité :
  2. Le biais appelé «confirmation des croyances» :
91
Q

La volonté de protéger à tout prix cohésion du groupe, au détriment de la créativité, explication

A

Ils confondent le débat d’idées et le conflit de personnes. Donc peur que sa créer conflit s’ils disent leur opinion

92
Q

Le biais appelé «confirmation des croyances» : explication

A

une personne ayant une croyance forte concernant un objet psychologique sera portée à chercher et à retenir ce qui, dans son environnement, confirme cette croyance, et à ignorer ou à oublier ce qui s’y opposerait.

93
Q

Les symptômes de la pensée de groupe (9)

A
  1. L’illusion d’invulnérabilité.
  2. La rationalisation.
  3. La croyance incontestée en la moralité du groupe.
  4. La perception stéréotypée de l’adversaire (exogroupe)
  5. La pression à la conformité.
  6. L’autocensure des idées dissidentes.
  7. Les censeurs officieux.
  8. L’illusion d’unanimité.
94
Q
  1. L’illusion d’invulnérabilité?
A

Ø Penser que rien ne peut nous arriver. Ne pas croire à la possibilité de l’échec. Ne pas reconnaitre les signes d’échec.

95
Q
  1. La rationalisation?
A

Ø Ressemble à la persistance des croyances
Ø Quand il y a des arguments qui ne font pas notre affaire, on les réinterprète pour les mettre de côté (les discréditer)

96
Q
  1. La croyance incontestée en la moralité du groupe?
A

Ø Ignorer les conséquences morales et éthiques de leur décision.
Ø Nous on est les bons, les autres sont les mauvais
Ø On se met sur un plan supérieur
Ø On est moins diligents, car on est certains de gagner

97
Q
  1. La perception stéréotypée de l’adversaire (exogroupe)?
A

Ø Avoir des croyances erronées sur l’ennemi : les voient comme fondamentalement mauvais et indignes eux, ou les croient faibles et stupides.
Ø Cela peut mener à des erreurs de jugement

98
Q
  1. La pression à la conformité.?
A

Ø Quand il y a une grande cohésion dans le groupe, on veut s’arranger pour maintenir le bon climat
Ø On veut donc éviter de contredire les autres

99
Q
  1. L’autocensure des idées dissidentes.

?

A

Ø Quand les gens ont des idées différentes des autres et qu’on s’empêche nous-mêmes de les dire.
Ø Gardent leurs doutes pour eux-mêmes et en minorent l’importance ou la validité.

100
Q
  1. Les censeurs officieux?
A

Ø Des gens qui décident par eux-mêmes qui vont veiller au bon climat dans le groupe
Ø La personne va aller voir la personne qui semble contredire le groupe pour éviter qu’elle créée la chicane. But de protéger le leader.

101
Q
  1. L’illusion d’unanimité?
A

Ø Quand personne ne dit des opinions divergentes (pour remettre en question les arguments initiaux), on a l’impression que tout le monde est d’accord
Ø Fausse impression que tout le monde est d’accord

102
Q

Symptômes ont plusieurs conséquences. (3)

A
  1. Premièrement, les membres du groupe limitent leurs discussions à un nombre restreint de possibilités; n’essaient pas d’évaluer tous les choix possibles.
  2. Deuxièmement, ils ne remettent en question leur décision initiale lorsqu’ils reçoivent des informations qui la contredisent, et ils n’essaient pas d’évaluer adéquatement ses inconvénients ; ils recherchent pas non plus l’avis d’experts qui pourraient fournir une meilleure estimation des coûts et des bénéfices.
  3. Troisièmement, ils ne prennent pas la peine de préparer un autre plan, qui pourrait être utile en cas d’échec.
103
Q

Leadership, définition

A

c’est le processus par lequel un membre du groupe – le leader – influence et coordonne comportements des autres membres de manière à atteindre les buts poursuivis par le groupe.

104
Q

QUI EST UN LEADER?

Selon Forsyth (1990)

A

les leaders ont une bonne capacité d’adaptation, un sens des responsabilités et un besoin d’accomplissement plus grand que les suiveurs. Ils sont intelligents et sociables, et ils ont confiance en eux-mêmes.

105
Q

QUI EST UN LEADER?

Selon Kirkpatrick et Locke :

A

les leaders, du moins dans le monde des affaires, sont ambitieux, tenaces, intelligents, créatifs, flexibles, honnêtes et intègres. Ils ont l’initiative et de la confiance en eux, possèdent des compétences et aiment avoir de l’influence sur les autres.

106
Q

leaders transformationnels, c’est quoi

A

Certains leaders se démarquent des autres, inspirent, font rêver et passionnent. Ces leaders qui nous incitent à relever des défis, à changer le monde dans lequel nous vivons sont appelés

107
Q

leaders transactionnels, c’est quoi?

A

plus portés sur une gestion pragmatique et à court terme du groupe.

108
Q

Plusieurs caractéristiques ont été associées au leadership charismatique : (5)

A
  1. Ils sont très sûrs d’eux et manifestent une très grande confiance en leurs capacités.
  2. Ils semblent avoir besoin d’influencer les autres ; ils sont très persuasifs et servent modèles à leurs adeptes.
  3. Ils sont profondément persuadés de la valeur éthique de leurs actes, ce qui incite gens à les suivre. Il arrive que certains leaders charismatiques ne soient pas eux-mêmes convaincus de la valeur de ce qu’ils professent, mais ils en donnent impression; ce sont alors des charlatans.
  4. Ils stimulent la créativité de leurs adeptes, en remettant en question et qu’ils tiennent pour acquis.
  5. Ils réussissent à mettre de I’ avant une image positive et inspirante.
109
Q

important de soulever que leader charismatique est pas nécessairement ___ parfois certains utilise de façon négatif leur pouvoir

A

positif,

110
Q

Selon Fiske (2008), le leader prototypique apparaît dans représentation sociale la plus universellement partagé comme __, ___ et ___

A

avisé, dominant et masculin.

111
Q

 Plafond de verre se transforme en falaise de verre, on fait référence a quoi?

A

Les femmes sont appelées à prendre le leadership d’une organisation lorsque celle-ci est en crise, ce qui augmente d’emblée les probabilité qu’elles échouent et qu’on leur remette ensuite sous le nez les vieux stéréotypes voulant que la nature féminine s’ accommode mal d’une position de leader.

112
Q

Théorie de la contingence, def

A

Théorie selon laquelle l’efficacité d’un leader dépend de I’interaction entre ses caractéristiques personnelles et les caractéristique de la situation.

113
Q

Le leader orienté vers la tâche, def

A

sait se détacher des émotions reliées aux relations interpersonnelles, ce qui lui permet de se centrer principalement ou exclusivement sur la réussite du groupe.
 Ce type de leader semble souvent froid et distant, pour ne pas dire insensible.
 Il doit être capable de mettre en sourdine sa sensibilité pour se centrer sur les intérêts et les objectifs du groupe.

114
Q

Leader orienté vers les relations humaines, def

A

il possède, comme son l’indique, la capacité de nouer des relations chaleureuses avec les membres groupe. C’est un motivateur et un communicateur.
 Individus sont heureux travailler avec lui, mais le groupe ne donne pas nécessairement son rendement optimal.

115
Q

Productivité et le bien-être groupe dépendent du ____ et de la difficulté à ____

A

type de leader

maîtriser la situation

116
Q

Productivité et le bien-être groupe dépendent du style du leader et de la difficulté à maîtriser la situation

Selon Fiedler : le fait que la situation soit plus ou moins contrôlable dépend trois facteurs :

A
  1. La relation affective entre le leader et les autres membres du groupe;
  2. degré de complexité de la tâche à effectuer
  3. le pouvoir du leader sur le groupe (c.d capacité de récompenser/punir).
117
Q

Dans une situation facile ou, au contraire, très difficile à contrôler –> ___ est plus adéquat.

A

un leadership orienté la tâche

118
Q

Dans quelle situation un leadership orienté vers les relations est préférable

A

Situations modérément maîtrisables, un leadership orienté vers les relations est préférable puisqu’il permet à chaque membre de donner tout son potentiel en rendant la situation agréable à vivre.

119
Q

Dans quelle situation un leadership orienté vers la tâche est préférable

A

contrôle bas et élevé