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PSY1095 final > Cours 12 > Flashcards

Cours 12 Flashcards

1
Q

Comment est ce que le concept de soi se rafine a l’age scolaire?

A

Organise observations : Dégage qualificatifs, traits. *Déduisent leurs compétences

Compétences (c. comportement précis).

Traits : Positifs et négatifs.

Nuances.

Comparaisons sociales : Se comparer à plusieurs (c. une) personnes.

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2
Q

Nomme 2 influences sur le concept de soi

A

Influences cognitives, influences socio culturelles

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3
Q

Explique les influences cognitives sur le concept de soi

A

La structure du « moi » change (grâce développement cognitif) :

Peut considérer plusieurs aspects (combine, compare, déduit).

Comprend qu’un trait est associé à des désirs et cause comportements.

Le contenu du « moi » change :

Point de vue d’autrui (grâce théorie esprit) : Infère ce qu’ils pensent, l’incorpore dans « moi ».

Soi réel c. soi idéal (attentes intériorisées).

Un grand écart nuit à l’ES (estime de soi) et peut entraîner tristesse, désespoir, dépression.

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4
Q

Explique les influences socio-culturelle sur le concept de soi

A

Conversations élaborée (aide enfants à participer à discussion) avec parents :
« Moi » complexe, cohérent.
Au-delà de la famille, informations d’autres groupes sociaux, des amis.
Contenu influencé par la culture :
P.ex., réfère au groupe, aux relations (Chine);
C. réfère propres attributs (US).

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5
Q

Vrai ou faux: l’estime de soi de l’enfant est plus réaliste et se différencie à la periode scolaire

A

vrai

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6
Q

Vrai ou faux: l’estime de soi générale est constituée de domaines spécifiques qui n’ont pas tous le même poid et qui forme une structure hierarchique

A

Vrai

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7
Q

Nomme les domaines spécifique qui ont un impact sur la confiance en soi de l’enfant (4)

A

Compétence académique, compétence sociale, compétence physique, apparence physique

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8
Q

Nommes les influences sur la confiance en soi (4)

A

Culture, genre/stéréotype, parentage, attribution d’accomplissement

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9
Q

Explique l’influence de la culture sur la confiance en soi

A

ES enfants en Asie < enfants ÉU :

Même si leur perf. académique est plus élevée;

Valorise la modestie (mesure ES … appropriée ?).

Enfants Afro-américains ont ES un peu plus élevée (c. caucasiens) :

Liens familiaux, fierté ethnique; *aide a augmenter ES

Mais l’exposition à la télévision aurait l’effet contraire chez enfants afro américains).

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10
Q

Comment le genre et les stéréotypes influence la confiance en soi?

A

Accent apparence ↓ ES un an plus tard (filles, 5-8 ans).

F < G :
ES math, sciences;
ES athlétique;
ES physique.

G < F :
ES langue, arts;
ES sociale (acceptation sociale, amitiés proches).

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11
Q

Quels sont les impacts du parentage (si il est démocratique, controlant, permissif…) sur la confiance en soi?

A

Démocratique : Accepté, compétent. +ES

Contrôlant (surprotecteur/critique) : Inadéquat, dépend autres (risque).

Permissif : ES (trop) élevée.
+ souci constant autres pensent d’eux = narcissisme (va mal si défi, problèmes ajustement).

ES enfants ↑ ces dernières décennies en Amé. Nord :
Éviter éloges non-fondées, encourager défis optimaux.

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12
Q

Décrit l’attribution de maîtrise

A

Attribuer succès aux habiletés (perçues comme malléables);

Attribuer échecs à facteurs pouvant être changés (p.ex., effort).

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13
Q

Décrit l’impuissance acquise

A

Attribuer échecs aux habiletés (perçues comme fixes) : Si difficile, se sent impuissant, n’essaie pas.
Attribuer succès à facteurs hors de son contrôle (p.ex., chance).

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14
Q

Quel est le but de l’attribution de maitrise?

A

Buts d’apprentissage;
Comment améliorer ses habiletés, faire des progrès;
Persistance, effort → succès.

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15
Q

Quel est le but de l’impuissance acquise?

A

Buts de performance : Comment éviter une mauvaise évaluation; obtenir une bonne évaluation.
Anxiété, évitement → échec.
Moins défis, stratégies, de métacognition et d’autorégulation = cercle vicieux.

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16
Q

Quel est le message que les parents envoient quand il font des compliments basés sur le processus (efforts) à l’enfant?

A

Décrire le travail fait, les efforts et les stratégies effectuées.
Communique que les habiletés sont malléables.

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17
Q

Quel est le message que les parents envoient quand il font des compliments basés sur la personne (traits) à l’enfant?

A

Mène à une vision fixe des habiletés.
Néfaste même si jugements sont « positifs ».
Si on attribue performance à ce qu’il est (p.ex., brillant) va craindre les échecs, peur de perdre son « titre ».
Enfants ayant faible ES en reçoivent plus, effet délétère accentué (+ honte suite à échec).

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18
Q

Vrai ou faux les parents asiatiques on une vision des habilletée moins malléable qu’aux etats unis

A

faux contraire:
Suite à un casse-tête : Mères chinoises = portent + attention à l’échec, commentaires à propos de la tâche (promouvoir effort) c. mères US = plus de compliments.
Ensuite (sans mère) enfants chinois se sont plus améliorés.

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19
Q

Comment intervenir pour diminuer l’impuissance acquise?

A

Favoriser approche de maîtrise.
« Entraînement » :
Tâche assez difficile → Faire face à l’échec → Rétroaction : « Tu peux y arriver en essayant plus fort/essayant une nouvelle méthode » → Suite aux succès : « Tu as vraiment travaillé fort sur celui-là ».
Focaliser sur la maîtrise de la tâche/l’amélioration (c. notes/comparaisons aux autres).
Montrer des stratégies efficaces, soutenir autorégulation.
*Défi optimal, valoriser efforts, rétroaction juste et privée, coopération, échafaudage c. comparaison, publiciser succès.

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20
Q

Vrai ou faux si l’enfant ressent de la honte suite a une transgression il y a des risques de dépression, colère et d’agression

A

Vrai:

Et si l’enfant ressent de la culpabilité, c’est habituellement bien ajusté

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21
Q

Vrai ou faux l’enfant d’âge scolaire a besion des commentaires d’un adulte pour éprouver de la fierté.

A

Faux, c’est rendu intériorisé

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22
Q

Vrai ou faux l’enfant d’âge scolaire n’est pas capable de comprendre les informations contradictoire

A

faux il est capable maintenant

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23
Q

Quelle sorte de coping est utilisé quand les situations semblent modifiables

A

Coping centré sur le problème

Identifier les difficultés;
Décider quoi faire.

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24
Q

Quelle sorte de coping est utilisé quand le coping centré sur le problème ne fonctionne pas et que les situations semblent non-modifiables

A

Coping centré sur l’émotion:

Interne, privé;
Contrôler détresse.
Avec expériences, connaît mieux façons appropriées, utilise stratégies verbales surtout.
D’abord, pour pas être puni → par souci émotions de l’autre.
Auto-efficacité émotionnelle = se sentir en contrôle de l’expérience émotive (lié ES, optimisme)

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25
Q

A quelle age on commence à changer de type de coping de façon adaptée

A

à 10 ans

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26
Q

Nomme 2 déterminants de l’auto-régulation émotive

A

Parents : Sensibilité, aide.
Enfants humeur +, empathiques, pro-sociaux.

Culture :
Étude : Mise en situation (agressivité entre pairs), enfants au Népal rural (hindous c. bouddhistes) c. ÉU.
Hindous (cache colère) c. bouddhistes (pourquoi colère ?) c. ÉU (lui dire fâché). *Régule diférement selon la culture

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27
Q

Vrai ou faux l’enfant d’âge scolaire réfléchit activement à propos du bien et du mal

A

Vrai
Tient compte + informations.
Gains en prise de perspective récursive.

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28
Q

Qu’est ce qui fait que a compréhension des règles morales est plus flexible chez les enfants d’âge scolaire?

A

Tient compte de plusieurs variables (p.ex., intentions, contexte).

Liens entre conventions sociales et impératifs moraux sont plus clairs :

Rôle du contexte et des intentions pour juger de la gravité d’une transgression de convention sociales

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29
Q

Vrai ou faux quand les enfants défient l’autorité des adultes ils le font généralement dans le domaine personnel

A

Vrai

Les notions de choix personnels/droits individuels améliorent la compréhension morale :
P.ex., liberté d’expression, de religion (dès 6 ans).
Loi qui discrimine certains = mauvaise loi.
Importance droits individuels pour société juste.

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30
Q

Vrai ou faux dès début période scolaire, les enfants associent le pouvoir et les privilèges aux personnes blanches et les statuts inférieurs aux personnes de couleur.

A

vrai

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31
Q

Vrai ou faux les parents caucasiens parlent beaucoup d’ethnicité à leurs enfants

A

Faux ils hésitent à le faire

32
Q

Quelle est la différence entre un prèjugé et un préjudice?

A

Préjugé : Jugement formé à l’avance, qui oriente les dispositions d’esprit face à un groupe.

Préjudice : Atteinte portée aux droits, intérêts, bien-être.

33
Q

Vers quelle age les enfants associent des caractéristiques positives aux blanc

A

5-6 ans

34
Q

Vers quel âge les préjugés faiblissent et tous les enfants préfèrent leurs propre groupe?

A

7-8 ans

Plus d’attention aux traits intérieurs.
Capables de catégoriser à partir de plusieurs variables = peut à la fois être différent (apparence) et semblable (gestes, émotions, pensées, etc.).
Déclin des attitudes négatives (exprimées).
Disent qu’il est mal (immoral) de discriminer, mais discriminent (inconsciemment).

35
Q

Dans quel cas il y a plus de préjugés raciaux?

A

Une vision fixe, rigide, non modifiable des traits de personnalité (l’autre est “bon” ou “mauvais”; ignore motifs, circonstances) en se fiant à information limitée.
Estime de soi + démesurée (justifier position avantageuse).
Un monde social où les gens sont classés en groupes (adultes catégorisent davantage et soulignent les distinctions, enfants moins d’interactions interraciales).

36
Q

Comment réduire les préjugés?

A

Favoriser le contact intergroupe :

Statuts égaux; Buts communs;

Long-terme = connaître personnellement.

École diminue préjugés : Exposition, enseignement, discussion dommages de la discrimination, empathie.

Comprendre, valoriser différences.

Connaître torts causés par préjudices.

Discuter variables influençant traits; malléabilité des traits.

Plus enclins à vouloir passer + temps avec autres et à aider membres groupes désavantagés. Le faire renforce vision de malléabilité des traits.

37
Q

Les groupes se forme à partir de quoi?

A

De la proximité et des similarités

38
Q

Vrai ou faux un enfant rejeté perds l’occasion de développer des habiletés sociale

A

vrai

39
Q

Est ce que des fois l’exclusion peut etre justifiée?

A

Oui, si ça pose menace au fonctionnement du groupe

40
Q

Nommez une solution à l’exclusion

A

Participier à des groupes formels (ex. scouts)

41
Q

Quelles sont les caractéristiques des amitiés rendu à l’âge scolaire?

A

Les qualités personnelles, répond aux besoins/désirs, confiance.

Le choix devient plus sélectif (surtout filles + exclusives; demandent + proximité).

Souvent similitudes, mais dépend aussi occasions (p.ex., diversité en classe ?).

L’amitié peut durer des années, surtout si plusieurs contextes.

Stabilité, résolution conflits (apprend engagement émotif).

Effet dépend type d’enfants : Pro-socialité ou agressivité ?

Agressivité opère à l’intérieur de ces liens de proximité.

42
Q

Lors des études sur la préférence sociale de quoi ont l’air les vote (positif/neg) quand on pose la question “qui aimes-tu le plus?” des:

  • enfants populaires
  • enfants rejetés
  • enfant controversés
  • enfants négligés
  • enfant moyen
A 
Populaire (plusieurs vote positifs);
Rejeté (plusieurs votes négatifs);
Controversé (plusieurs votes, + et - );	
Négligé (peu de votes);
Moyen (nombre moyen de votes + et - ).
43
Q

Vrai ou faux.

Les comportements sociaux des enfants contribuent par ce qu’ils évoquent chez leurs pairs.

A

vrai

44
Q

Quelles sont les caractéristiques des enfants apprécié et celles des enfants rejetés?

A

Plus accepté (apprécié) : Compétence sociale élevée, plus amis et meilleure relations avec eux.

Rejeté : Nombreux problèmes émotifs et sociaux.

45
Q

Vrai ou faux être rejeté est un fateur de risque pour des problèmes futurs importants (décrochage, dépression, anti-socialité, etc.).

A

vrai

46
Q

Nomme les deux types d’enfants populaire

A

Populaire – pro-social : Compétence sociale/académique.

Populaire – antisocial : Défie autorité, compétence sportive, agression relationnelle

47
Q

Nomme les deux types d’enfants rejetés

A

Rejeté - agressif : Conflits, inattention, impulsivité, déficit interprétation, blâme autres.

Rejeté - retiré : Timide, passif, maladroit, attentes négatives, inquiets.

48
Q

Vrai ou faux il y a des risques d’intimidation chez les 2 types de rejeté

A

Vrai mais les enfants agressifs risque aussi d’etre intimidateur.

49
Q

Comment aider les enfants rejetés?

A

Plusieurs interventions. Plupart visent habiletés sociales.
Effets : Compétence sociale, acceptation (suivi un an).

Combiner :
Tutorat académique;
Entraînement à la prise de perspective et la résolution de problèmes sociaux.
Attributions internes et modifiables :
-	Agressifs : Peu de responsabilisation;
-	Retirés : Impuissance acquise.
Enseignants : Aider pairs à modifier opinion (réputation).
Qualité relation parent-enfant.

(chui pas sure de comprendre le 2e point rip)

50
Q

Vrai ou faux les enfants d’âge scolaire passe plus de temps avec leurs parents

A

faux

École, amis, loisirs = moins de temps avec parents + indépendance grandissante

51
Q

Si le parentage a été démocratique qu’est e qui est plus facile pour l’enfant d’âge scolaire?

A

Pensée logique : Raisonnement plus efficace;
Plus de respect pour les connaissances du parent.
Discuter ouvertement et prise de décision conjointe = enfants plus ouverts au point de vue du parent quand besoin d’obéissance.

52
Q

Qu’est ce que la co-régulation?

A

Donner graduellement plus de controle à l’enfant:

Superviser de plus loin;
Communiquer attentes;
Enfants informent;
Base de coopération, respect mutuel.

53
Q

Vrai ou faux la mère passe plus de temps avec le fils et le père plusde temps avec la fille

A

faux: inverse

54
Q

Qu’est ce qui est une source de soutient et d’entraide pour l’enfant?

A

la fratrie

55
Q

Qu’est ce qui fait en sorte qu’il y a plus de comparaison entre fratrie?

A

Si même sexe et proche en age

56
Q

Quels sont les bénéfices des enfants unique?

A

ES, motivation, performance académique, nombre et qualité amitié (mais acceptation groupe pairs un peu plus difficile).
Bénéfices cognitifs, académiques, sécurité émotive.

57
Q

Vrai ou faux il y a des pays ou on ne peut qu’avoir 1 enfant

A

Vrai: Chine (loi « 1 enfant » dans régions urbaines denses) :

58
Q

Vrai ou faux: Si relation parentale des parents de même sexe est chaleureuse, école soutenante et relations positives avec d’autres familles homosexuelles, les enfants sont protégés contre les effets négatifs des taquineries/stigma des autres enfants.

A

Vrai

59
Q

Vrai ou faux le taux de mere adolescente a augmenté?

A

Faux diminué

60
Q

Etre mère celibataire augmente les difficultés_____

A

financières

61
Q

Pour l’enfant, pas de père implque_____

A

plus problèmes cognitifs et d’anti socialité

62
Q

Vrai ou faux les taux de divorce ont diminué entre 1960 et 1985

A

faux contaire

63
Q

L’enfants aux parents divorcés passent en moyenne combien d’années en famille monoparentale?

A

5 ans

après, 2/3 se remarient → ½ de ces enfants vivront 2e divorce.
Divorce x 1 événement, mais transition, associée plusieurs changements.
Stressant pour les enfants, ↑ risque problème ajustement, mais plupart s’adaptent bien.

64
Q

Quelles sont les conséquences immédiates d’un divorce?

A

Conflits;
Diminution revenus, déménagement;
Stress, dépression, anxiété maternelle, désorganisation à la maison;
Quantité/qualité contact père diminuent souvent (surtout si conflit);
Discipline moins positive.
20 à 25% des enfants présentent problèmes sévères (c. 10% familles intactes).

65
Q

Les réaction de l’enfant face au divorce varient selon quoi?

A

Âge de l’enfant :
Plus jeunes se blâment, anxiété, colère;
Plus vieux peuvent réagir fortement, surtout si conflit intense et faible supervision;
Certains aînés aident, mais risque si demandes exagérées.
Tempérament : Divorce accentue problèmes des enfants « difficiles ».
Sexe : Plus risque pour garçons, problèmes extériorisés.
Défi pour parents avant et après divorce.
Moins coping et moins de soutien émotif reçu.

66
Q

Quelles sont les conséquences à long terme du divorce sur l’enfant?

A

ES, compétence scolaire, socio-affective;
Tempérament difficile : Risque décrochage, dépression, anti-socialité;
Problèmes intimité, sexualité;
Certains : Problèmes relationnels long-terme.
Améliorations ajustement pour plupart, en moins de 2 ans, mais scores moins élevés (c. famille intacte).
Qu’est-ce qui prédit le mieux l’ajustement ?
Qualité parentage.

67
Q

Vrai ou faux quand la mère a la garde le contact avec le père est important

A

Vrai

68
Q

Vrai ou faux le divorce est pire qu’une famille conflictuelle

A

faux

69
Q

Qu’est ce qui aide l’enfant dans le divorce?

A

Bon co-parentage (soutien de l’autre parent) et soutien de famille élargie, pairs, enseignants, etc.

70
Q

Comment aider les familles pendant le divorce?

A

Médiation : Rencontres pour diminuer les conflits.

  • Associée à coopération/implication parentale; bien-être enfants et parents.
  • Québec : Droit à 5 séances gratuites

Éducation parentale : Résolution conflits, co-parentage coopératif et bien-être enfants.

Garde partagée :
Les deux parents ont autant poids pour prendre décisions.
Enfant vit chez l’un, voit autre régulièrement.
Succès dépend du co-parentage efficace.

Soutien $ du parent absent.

71
Q

Vrai ou faux il y a des risques de problème d’ajustement dans les familles recomposées?

A

vrai

72
Q

Lorsque la mère a un nouveau conjoint comment le fils agit vs comment la fille agit?

A

Les garçons s’adaptent bien (fin coercition de mère).
Les filles s’adaptent moins bien (fin lien intime mère).

*Aussi: Les enfants plus vieux réagissent plus fortement (injustice, enfreint liberté).

73
Q

Lorsque le père a une nouvelle conjointe quelles sont les conséquences?

A

Mène souvent à moins contact avec père.
Les enfants qui vivent avec père réagissent mal (souvent enfants difficiles).
Filles et belle-mère : Adaptation moins facile (lien père, loyauté mère), mais s’améliore avec temps.

74
Q

Comment aider les familles recomposées

A

Éducation, counseling :

  • Nouveau rôle : Graduellement.
  • Relation chaleureuse pour débuter.
  • Constance, cohérence, attentes réalistes
75
Q

Qu’est ce qui arrive si la mère qui travaille et qui aime son travail et est encore impliquée, enfants :

A 
Meilleure estime de soi;
Relations familiales et avec les pairs;
Meilleures notes;
Moins de stéréotypes de genre (filles : Rôle/image compétence féminine);
Plus d’implication paternelle :
-	Meilleur QI, perf scolaire;
-	Maturité sociale, flexibilité rôles de genre;
-	Santé mentale à âge adulte.
76
Q

Si pour la mère le travail est un fardeau er est stressant qu’est ce qui risque d’arriver avec le parentage?

A

risque parentage inadéquat.
Trop heures, horaire atypique, atmosphère difficile :
Lié à parentage de moindre qualité;
Moins bon développement cognitif;
Plus problème comportement.
Effets pires si journées de mères de faible SSE sont longues et drainantes (dépression, parentage rude).
Surcharge = risque.

77
Q

Quels sont les soutients aux parents qui travaillent?

A

Pères contribuent : Prévient surcharge de mère.
Horaire flexible, congé de maladie;
Salaire et opportunité équitables;
Qualité des soins aux enfants (service de garde, activités parascolaires).

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