Cours #11 - le développement socio-affectif au cours de la période scolaire (7-11 ans) Flashcards

1
Q

À quoi ressemble le concept de soi à l’âge scolaire? (6)

A

-Concept de soi plus raffiné

-Organise observations : dégage qualificatifs, traits

-Ce changement se produit entre 8 et 11 ans

-Comparaisons sociales : se comparer à plusieurs (contre une) personnes

-On compare nos compétences et non des comportements

-Traits: positifs et négatifs. On sait faire la nuance.

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2
Q

Quelles sont les deux principales sources d’influence du concept de soi?

A

1-Le développement cognitif

2-Les influences socio-culturelles

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3
Q

Quels deux aspects du “Moi” changent avec le développement cognitif?

A

1-La structure du « moi »
=> Peut considérer plusieurs aspects (combine, compare… déduit)
=> Comprend qu’un trait est associé à des désirs et cause comportements

2-Le contenu du « moi »
=> Point de vue d’autrui (grâce théorie esprit) (infère ce qu’ils pensent, l’incorpore dans « moi »)

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4
Q

Un grand écart entre le soi réel et le soi idéal (attentes intériorisées) nuit à ______ __ ____ et peut entrainer de la tristesse, du désespoir et la dépression.

A

Estime de soi

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5
Q

Quelles sont les influences culturelles qui affectent le CONCEPT DE SOI?

A

-Conversations élaboratives avec parents : « moi » complexe, cohérent

-Au-delà de la famille, info d’autres groupes sociaux, des amis

-Contenu influencé par la culture
Ex: réfère au groupe, aux relations (Chine) vs réfère à ses propres attributs (US)

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6
Q

Décris l’estime de soi à l’âge scolaire

A

Suite aux rétroactions et aux comparaisons…
- ES plus réaliste
- ES se différencie

=> Structure hiérarchique (dès 6- 7 ans)

Estime de soi générale (combinaison domaines) => Les domaines sont spécifiques, mais n’ont pas tous même poids

Enfants et ados: l’apparence a beaucoup de poids

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7
Q

Vrai ou faux : À l’enfance/adolescence, l’apparence physique à beaucoup d’influence sur l’estime de soi

A

Vrai

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8
Q

Décris la structure hiérarchique de l’estime de soi à l’âge scolaire selon Harter

A
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9
Q

Vrai ou faux : il y a un lien entre l’estime de soi, l’auto-évaluation dans un domaine, la valeur accordée aux activités et le succès aux activités

A

Vrai

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10
Q

À quoi est associé une estime de soi faible vs élevé?

A

ES générale faible: anxiété, dépression, antisocialité

ES générale élevée : sociable, ajusté, consciencieux

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11
Q

Quels sont les influences de L’ESTIME DE SOI? (3)

A

1-La culture
2-Le genre/stéréotypes
3-Le parentage

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12
Q

Comment la culture influence elle l’estime de soi?

A

=>ES enfants en Asie < enfants ÉU (même si leur performance académique est plus élevée)…
car ils valorisent la modestie

=>Enfants Afro-américains ont ES un peu plus élevée (contre caucasiens)
- Liens familiaux, fierté ethnique, (mais l’exposition à la télévision aurait l’effet contraire….)

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13
Q

Comment le genre/stéréotypes affectent ils l’estime de soi?

A

G < F
ES langue, arts:
ES sociale (Acceptation sociale, amitiés proches)

F < G
ES math, sciences
ES athlétique
ES physique

Accent apparence ↓ ES un an plus tard (filles, 5 à 8 ans)

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14
Q

Comment le parentage influence il l’estime de soi?

A

1-Démocratique: accepté, compétent

2-Contrôlant/surprotecteur : inadéquat.
=> Contrôlant/critiques: faible ES, dépend autres (risque)

3-Permissif: ES (trop) élevée
+ souci constant autres pensent d’eux = narcissisme
(Va mal si défi, problèmes ajustement)

ES enfants augmente ces dernières décennies en Am. Nord

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15
Q

Pour éviter que l’enfant développement une estime de soi trop élevée, on doit éviter les ____ et favoriser les ____ ______

A

Éloges ; défis optimaux

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16
Q

Vrai ou faux : Un parentage permissif mène à une estime de soi faible

A

Faux. Mène à une estime de soi surdimensionnée

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17
Q

Vrai ou faux : Un style parental controlant mène à une faible estime de soi

A

Vrai

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18
Q

Qu’est-ce qu’une attribution?

A

Attribution : explication cause(s) d’un comportement/performance

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19
Q

Qu’est que l’impuissance acquise?

A

=>Attribuer échec aux habiletés (perçues comme fixes) : si difficile, se sent impuissant, n’essaie pas

=>Attribuer succès à facteurs hors de son contrôle (ex. chance)

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20
Q

Qu’est-ce qu’une attribution de maîtrise?

A

-Attribuer succès aux habiletés (perçues comme malléables)

-Attribuer échecs à facteurs pouvant être changés (ex. effort)

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21
Q

L’attribution de maitrise est liée à quel type de but?

A

Buts d’apprentissage : comment améliorer ses habiletés, progresser.

Persistance, effort, …succès

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22
Q

L’impuissance acquise est liée à quel type de but?

A

-Buts de performance => comment éviter une mauvaise évaluation ; obtenir une bonne évaluation

=>Anxiété, évitement…échec

=>Moins défis, stratégies, de méta-cognition et d’auto-régulation

=> Cercle vicieux

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23
Q

Comment les messages des adultes peuvent-ils influencer les attributions d’accomplissement?

A

=>Vision des habiletés (fixes?) peut mener à des prophéties auto-réalisatrices

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24
Q

Vrai ou faux : Le lien entre les notes des enfants et le jugement du parent est plus fort quand les attributions sont fixes que malléables

A

Vrai.

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25
Q

Quel est le meilleur type de compliment pour favoriser une bonne estime de soi ; le compliment basé sur le processus ou le compliment basé sur la personne?

A

Le compliment basé sur le processus (effort) est mieux que
le compliment basé sur la personne (trait)

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26
Q

Les enfants ayant un faible estime de soi reçoivent plus de compliments basés sur _______

A

La personne.

Effet délétère accentué (+ honte suite à échec)

=> Jugements sur la personne (trait) au lieu de décrire le travail fait, les efforts et les stratégies effectuées

=> Mène à une vision fixe des habiletés

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27
Q

Vrai ou faux : Un compliment basé sur la personne est néfaste même si les jugements sont positifs

A

Vrai. Si on attribue perf. à ce qu’il est (ex. brillant!) va craindre les échecs, peur de perdre son « titre »

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28
Q

Vrai ou faux : compliment basé sur le processus communique que les habiletés sont fixes

A

Faux. Indique que les habiletés sont malléables

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29
Q

Comment les messages des enseignants influencent-ils l’estime de soi?

A

Formulent but d’apprentissage? de performance?

Message soutenant et positif =>… plus participation, succès, croyance aux efforts
vs
Message peu soutenant
=>… attributions externes pour succès, retrait, échecs

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30
Q

Quels sont les 3 groupes d’enfants les plus à risque de messages peu soutenant des enseignants?

A

1-Filles
2-Faible SSE
3-Minorité ethnique

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31
Q

Comment les différences culturelles influencent-elles les attributions d’accomplissement? Explique en te référant à une étude (Asie c. US)

A

Vision des habiletés malléables :
Asie > US

Étude : Suite à un casse-tête:

Mères chinoises: Portent + attention à l’échec, commentaires à propos de la tâche (promouvoir effort)

Mères US: Plus de compliments

… Ensuite (sans mère) enfants chinois se sont plus améliorés.

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32
Q

Comment favoriser une approche de maitrise? (3)

A

1-« Entraînement »
Tâche assez difficile…Faire face à l’échec… rétroaction « tu peux y arriver en essayant plus fort »
Suite aux succès: « tu as vraiment travaillé fort sur celui-là »

2-Focaliser sur la maîtrise de la tâche/l’amélioration (c. notes/comparaisons aux autres)

3-Montrer des stratégies efficaces, soutenir auto-régulation

  • Défi optimal, valoriser efforts, rétroaction juste et privée, coopération, scaffolding c. comparaison, publiciser succès
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33
Q

Quelles sont les 3 principales émotions liées à la conscience de soi?

A

1 ET 2 - Honte/culpabilité (transgression);

3- Fierté (accomplissement) même si aucun adulte présent

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34
Q

Quelles émotions liées à la conscience de soi relient le succès/échec à un aspect du soi?

A

La fierté et la culpabilité

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35
Q

Quand ressent on de la honte? (2)

A

1-Lorsqu’on est blâmé
2-Lorsque qqch est hors de notre contrôle

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36
Q

Quelle est la différence entre la honte et la culpabilité?

A

Suite à une transgression:

1-Enfant ressent culpabilité: habituellement bien ajustés (adaptative)

2-Enfant ressent honte: risque de dépression, colère et d’agression. (non adaptative)

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37
Q

Quand ressent-on de la fierté?

A

1-Suite à un succès

2-Lorsque quelqu’un reconnait notre succès

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38
Q

Décris la compréhension des émotions à l’âge scolaire (3)

A

1- Réconcilie infos, même contradictoires

2- Soutenue par cognition, exp. sociales

3- Contribue à l’empathie, la prosocialité

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39
Q

Vers quel âge change-on notre type de coping, pour un coping plus adapté à la situation (auto-régulation émotive) ?

A

Vers 10 ans

  • Avec les expériences vécues, on connaît mieux les façons appropriées de réagir et on est capable d’utiliser des STRATÉGIES VERBALES surtout
    « pour pas être puni » et ensuite avec l’âge plus par souci émotions de l’autre
  • Auto-efficacité émotionnelle = se sentir en contrôle de l’expérience émotive
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40
Q

À quel 2 facteurs est lié l’auto-efficacité émotionnelle?

A

-Estime de soi
-Optimisme

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41
Q

Quelles sont les 2 stratégies de coping en état de stress?

A

1-Coping centré sur le problème

2-Coping centré sur l’émotion

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42
Q

Décris le coping centré sur le problème (3)

A

1-Quand les situations semblent modifiables

2-Identifier les difficultés

3-Décider quoi faire

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43
Q

Décris le coping centré sur l’émotion (3)

A

1-Quand le coping centré sur le problème ne fonctionne pas => les situations semblent non-modifiables

2-Interne, privé

3-Contrôler détresse

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44
Q

Quels sont les 2 principaux déterminants de l’auto-régulation émotive à l’âge scolaire?

A

1-Parents: sensibilité, aide
Enfants humeur positive, empathiques, prosociaux

Étude: 5 ans,7 ans et 10 ans
Parentage affectel’auto-rég. émotions qui affecte à son tour la qualité des amitiés de l’enfant

2-Culture:
Étude: mise en situation, enfants au Népal rural c. ÉU

Hindous (cache colère) c. bouddhistes (pourquoi colère?)
=> PAS la même façon de réguler leur colère car différentes cultures

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45
Q

Qu’est-ce qui caractérise le développement moral à l’âge scolaire? (3)

A

1-Règles sont de plus en plus intériorisées

2-Quand réfléchit activement à propos du bien/mal: tient compte de plus d’infos.
Gains en prise de perspective récursive

3-Compréhension + flexible des règles morales
(Tient compte de plusieurs variables, ex. intentions, contexte)

Par exemple : + en + en mesure de juger acceptable de frapper qqn (ex. se défendre, protéger enfant)

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46
Q

À quel âge l’enfant comprend-il que dire la vérité n’est pas toujours la bonne chose à faire?

A

Vers 7-8 ans.

Pas les mêmes raisons de mentir selon la culture par contre…

Chine: ok si par modestie, ou pour soutenir groupe

Canada: Pour soutenir un individu

Complexité des raisons des gens, pour cacher vérité

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47
Q

Vrai ou faux : Les liens entre les conventions sociales et les impératifs moraux sont clairs

A

Vrai.

Conventions morales +++ claires

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48
Q

Qu’est-ce qui affecte la compréhension des conventions? (2)

A

1-Rôle du contexte et des intentions
=> pour juger de la gravité d’une transgression de convention

Ex. Brûler un drapeau (Accident? Public? Pays injuste?)

2-Niveau de connaissances

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49
Q

Lorsque les enfants défient l’autorité des adultes, ils le font généralement dans le domaine _______

A

Personnel

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50
Q

Vrai ou faux : La compréhension des choix personnels/droits individuels n’améliore pas la compréhension morale

A

Faux. Elle l’améliore.

Ex. liberté d’expression, de religion (dès 6 ans)

Loi qui discrimine certains = mauvaise loi

Importance des droit individuels pour société juste

MAISS: Limites aux choix individuels… Ils décident en général sur la base morale

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51
Q

Vrai ou faux :Les enfants d’âge scolaire prennent généralement des décision en fonction de ce qui est moral

A

Vrai

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52
Q

Vers quel âge apparait la compréhension du concept de liberté d’expression et de religion

A

Dès 6 ans

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53
Q

Les enfants de diverses cultures raisonnent de façon similaire à propos de 3 choses en particuliers. Quelles sont-elles?

A

1-Les conventions sociales
2-Les conventions morales
3-Les intérêts et choix personnels (pas touche)

Ex : ÉU ET Corée
Principes moraux (contre l’autorité) prévalent quand droits ou bien-être de qqn est en jeu

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54
Q

Dès début période scolaire, les enfants associent le pouvoir et les privilèges aux personnes _______ et les statuts inférieurs aux personnes ________

A

Blanches, de couleur

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55
Q

Vrai ou faux : les parents caucasiens hésitent à parler d’ethnicité…

A

Vrai. Mal informés: messages diffusés alentours, les média

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56
Q

Étude sur les attitudes biaisées. T-shirts différentes couleurs avec messages implicites écrits dessus du genre “jaunes” = gagnants. Quels sont les résultats?

A

Messages “appris” seulement si les enseignants endossent le message.

Si les enseignants ignorent les chandails, pas de distinctions de statut des groupes

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57
Q

Qu’est-ce qu’un préjugé?

A

Jugement (ex. groupe) formé à l’avance, qui oriente les dispositions d’esprit face à ce groupe

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58
Q

Qu’est-ce qu’un préjudice?

A

Atteinte portée aux droits, intérêts, bien-être

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59
Q

Dès 5 - 6 ans : Caractéristiques positives attribuées au blancs.

Comment les enfants blancs évaluent-ils leur groupe ainsi que les autres groupes et comment les enfants de groupes minoritaires évaluent-ils leur groupe vs celui des autres?

A
  • Les enfants blancs évaluent leur groupe positivement, les autres groupes négativement
  • Les enfants des groupes minoritaires font du favoritisme envers le groupe majoritaire plutôt qu’envers leur groupe
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60
Q

Vers quel âge les préjugés faiblissent-ils?

A

Vers 7-8 ans.

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61
Q

Vrai ou faux : À 7-8 ans, tous les enfants préfèrent leur propre groupe.

A

Vrai

-Plus d’attention aux traits intérieurs

  • Capables de catégoriser à partir de plusieurs variables
    Peut à la fois être différent (apparence) et semblable (gestes, émotions, pensées, etc.)
  • Déclin des attitudes négatives (exprimées)
  • Disent qu’il est mal (immoral) de discriminer, mais discriminent (inconsciemment)
62
Q

Étude: sensibilité implicite aux attitudes dominantes => visages contents ou triste/fâchés (races ambiguës). Quels sont les résultats?

A

-Les enfants blancs ont plus souvent catégorisé les personnes heureuses comme étant blanches et les personnes fâchées comme étant afr-am. ou asiatiques

  • Les enfants afro-américains, eux, n’avaient pas ce biais
63
Q

Vers __ ans, les enfants commencent à éviter de parler de race afin de ne pas paraître biaisés (comme le font la majorité des adultes)

A

10 ans

64
Q

Les enfants en âge scolaire ont davantage de préjugés raciaux si… (3)

A

1-Une vision fixe, rigide, figée et non modifiable des traits de personnalité (l’autre est “bon” ou “mauvais”; ignore motifs, circonstances) en se fiant à info limitée

2-Estime de soi + démesurée (justifier position avantageuse)

3-Un monde social où les gens sont classés en groupes (adultes catégorisent davantage et soulignent les distinctions, enfants moins d’interactions interraciales)

65
Q

Comment réduire les préjugés? (8)

A

1-Aller à l’école : école diminue préjugés => exposition, enseignement, discussion dommages de la discrimination, empathie

2-Favoriser le contact inter-groupe = statuts égaux, buts communs

3-Groupe d’apprentissage coopératif et diversifié => + d’amitiés interraciales (mais seulement du groupe) diminue préjugés et discrimination, même subtile

4-Contact (long-terme)

5-Comprendre, valoriser différences

6-Connaître torts causés par préjudices

7-Discuter variables influençant traits; malléabilité des traits…

8-Plus enclins à vouloir passer + temps avec autres et à aider membres groupes désavantagés … le faire renforce vision de malléabilité des traits

66
Q

Vrai ou faux : À l’âge scolaire, les enfants ont un grand désir d’appartenance au groupe

A

Vrai

67
Q

Qu’est-ce qui caractérise le groupe de pairs? (8)

A

1-Groupe avec ses codes, valeurs, structure sociale

2-Se forme à partir de la proximité et de similarité

3-Certaine stabilité, dépend si même classe l’an prochain

4-Adopte des pratiques (se vêtir, parler, se comporter):
rapprochement, identité

5-Expérience, acquisition habiletés sociales, apprentissage de l’organisation sociale

6-Exclusion
Évaluer si bien ou mal: complexité du raisonnement (mal, en général)
« Justifiée » : si menaçait fonctionnement du groupe

7-Évincer, parfois injustement, souvent avec agressivité relationnelle. Enfant évincé perd occasions de développement des habiletés sociales

8-Groupes formels (ex. scouts) : évite problèmes des groupes informels

68
Q

Qu’est-ce qui caractérise les relations avec les pairs (amitié)? (6)

A

1-Les qualités personnelles, répond aux besoins/désirs, confiance

2-Le choix devient plus sélectif (surtout filles + exclusives; demandent + proximité)

3-Souvent similitudes, mais dépend aussi occasions (ex. diversité en classe?)

4-L’amitié peut durer des années, surtout si plusieurs contextes

5-Stabilité, résolution conflits (apprend : engagement émotif)

6-Effet dépend type d’enfants : prosocialité ou agressivité?

Agressivité opère à l’intérieur de ces liens de proximité

69
Q

Quelles sont les catégories d’acceptation par les pairs? (5)

A

1-Populaire (plusieurs vote positifs)

2-Rejeté (plusieurs votes négatifs)

3-Controversé (plusieurs votes, + et -)

4-Négligé (peu de votes)

5-Moyen (nombre moyen de votes + et -)

70
Q

Des questions du genre “Qui aimes-tu le plus?’ ou “Qui aimes-tu le moins?” font référence au concept de _____ ____ et des questions du genre “Qui, crois-tu, est admiré(e) par la plupart des autres ?” font référence au concept de _____ ____

A

1-Préférence sociale
2-Popularité perçue (correspondance modérée à la préférence sociale)

71
Q

Qu’on de spécial les enfants les plus appréciés? (3)

A

1-Compétence sociale élevée
2-Plus d’amis
3-Meilleures relations avec leurs amis

72
Q

Vrai ou faux : l’acceptation des pairs est un prédicteur puissant de l’ajustement

A

Vrai

73
Q

Vrai ou faux : les enfants rejetés ont souvent de nombreux problèmes émotifs et sociaux

A

Vrai

74
Q

Le fait d’être rejeté peut être un facteur de risque pour des problèmes futures importants. Quels sont ces problèmes? (3)

A

1-Décrochage
2-Dépression
3-Antisocialité

Ces enfants, plus jeunes: piètre auto-régulation émotive, stress (faible SSE, parentage insensible/coercitif)

75
Q

Les comportements sociaux des enfants contribuent par ce qu’ils ________ chez leurs pairs

A

Évoquent

76
Q

Quels sont les 2 types d’enfants populaires?

A

1-Populaire prosocial

2-Populaire antisocial

77
Q

Décris l’enfant populaire prosocial

A

Compétence sociale et académique

78
Q

Décris l’enfant populaire antisocial

A

Défie autorité, compétence sportive, agression relationnelle

(statut diminuera avec le temps => statut temporaire)

79
Q

Décris les enfants qui sont controversés

A

Comportements hostiles et prosociaux, ont des amis

=> statut temporaire

80
Q

Décris les enfants négligés

A

Ajustement, habiletés sociales

=>statut temporaire

81
Q

Quels sont les 2 types d’enfants rejetés?

A

1-Rejeté agressif

2-Rejeté retiré

82
Q

Décris l’enfant rejeté agressif

A

Conflits, inattention, impulsivité, déficit interprétation, blâme les autres

83
Q

Décris l’enfant rejeté retiré

A

Timide, passif, maladroit, attentes négatives, inquiet

84
Q

Comme les enfants rejetés sont souvent exclus très tôt, qu’est-ce que cela peut-il venir enfreindre? (2)

A

1-L’apprentissage social
2-La performance académique

85
Q

Vrai ou faux : le fait de n’avoir aucun ami cause de problèmes d’ajustement sévères.

A

Vrai

86
Q

Vrai ou faux : il y a risque d’intimidation seulement chez l’enfant rejeté retiré

A

Faux. Il y a risque d’intimidation chez les 2 types d’enfants rejetés, mais SURTOUT chez les enfants retirés.

87
Q

Les enfants rejetés _________ courent un plus grand risque de devenir intimidateurs

A

agressifs

88
Q

Comment aider les enfants rejetés? (4)

A

Plusieurs interventions sont possibles! La plupart des interventions visent les habiletés sociales

Effets: compétence sociale plus élevée, acceptation (suivi après un an)

Il faut combiner :
1- Tutorat académique

2- Entraînement à la prise de perspective et la résolution de problèmes sociaux; attributions internes et modifiables

3- Enseignants: Aider pairs à modifier opinion (réputation)

4- Qualité relation parent-enfant

89
Q

Quels sont les attributions internes des enfants rejetés agressifs vs les enfants rejetés retirés?

A

-Agressifs => peu de responsabilisation

-Retirés => impuissance acquise

90
Q

__ à ___ % des enfants intimident et ___ à ___% sont victimisés à répétition

A

5-12% ; 8-20%

91
Q

Vrai ou faux : le cyberbullying et intimidation traditionnelle sont concomitants (s’accompagnent)

A

Vrai.

92
Q

Vrai ou faux : il y a une diminution du “cyberbullying” à l’approche de l’adolescence.

A

Faux. Il y a une augmentation. (les filles préfèreraient cette méthode anonyme

93
Q

Vrai ou faux : les victimes de cyberbullying dénoncent davantage les attaques

A

Faux.

94
Q

Qui sont les enfants ciblés pour l’intimidation?

A

Les enfants déjà rejetés. Pour préserver statut; expliquerait pourquoi pairs aident peu

95
Q

Vrai ou faux : l’intimidation est plus fréquente quand les enseignants sont perçus comme moins justes/bienveillants.

A

Vrai. Les élèves jugent que c’est davantage correct

96
Q

Quels sont les déficits socio-cognitifs des intimidateurs? (3)

A

1-Estime de soi démesurée
2-Fierté des attaques
3-Manque de culpabilité

97
Q

Quels sont les facteurs de risque d’être ciblé pour l’intimidation? (5)

A

1-Trouble intériorisé

2-Tempérament inhibé

3-Apparence physique fragile,

4-Attachement résistant

5-Parentage contrôlant ou surprotecteur
(→ dépendance aux parents, faible estime de soi → air craintif)

98
Q

Quels sont les effets physiologiques (2) et psychologiques (3) de la victimisation

A

Physiologiques :
1-Stress chronique

2-Système physiologique de réponse au stress altéré (cortisol)

Psychologiques :
1-Augmente anxiété

2-Augmente dépression

3-Augmente les pensées suicidaires

99
Q

Vrai ou faux : Entre le tiers et la moitié des victimes d’intimidation intimident aussi.

A

Vrai! Surtout les enfants les plus rejetés et ayant subi pire parentage. => Risque de problèmes d’ajustement sérieux

100
Q

Comment freiner l’intimidation?

A

1-Aider la personne qui intimide: concept soi, habiletés sociales (amis), comment répondre

2-Changer l’environnement: instaurer codes contre l’intimidation, enseigner comment intervenir, surveillance adultes, promouvoir les comportements prosociaux, surveillance des parents (activités internet)

101
Q

Quels sont les stéréotypes de genre quant aux traits de personnalité à l’âge scolaire? De ou proviennent ces stéréotypes?

A

Garçons : forts et dominants
vs
Filles : douces et dépendantes

Proviendrait de leurs observations, et du traitement des adultes

Ex. Compliments pour accomplissements (G) contre obéissance (F)

102
Q

Quels sont les stéréotypes de genre quant aux matières scolaires

A

G: math, sports, mécanique

F : langue, arts

Stéréotypes => se transforment en intérêts => compétence (perçue)

103
Q

Vrai ou faux : Les stéréotypes des parents peuvent influencer le choix de carrière de leurs enfants

A

Vrai.
Ex opinion mère (compétence math de sa fille) influence choix de carrière de leurs filles

104
Q

Vrai ou faux : Il y a de moins en moins de stéréotypes de genre.

A

Vrai. On fait du progrès! La majorité des enfants (Canada, France, ÉU) sont en désaccord avec l’idée que les mathématiques sont une matière de “gars”

105
Q

Vrai ou faux : Les stéréotypes de genre deviennent de plus en plus flexibles avec le temps.

A

Vrai. Par exemple, le chevauchement des caractéristiques M et F augmente à partir de 7 ans

106
Q

Que permet la flexibilité des stéréotypes de genre? (2)

A

Donne la capacité d’intégrer de nombreux indices sociaux distincts et de réaliser que le sexe ne détermine pas les traits, ni les comportements.

107
Q

Quel sexe est davantage contre la violation des normes de genre?

A

Surtout les garçons. Pour certains d’entre eux, ressemble à de la transgression morale

108
Q

Décris-on les garçons et les filles de la même manière?

A

Non.

G => traits, intérêts (ex. aime camions)

F => apparence physique (ex. porte robe)

109
Q

Décris l’exclusion en fonction du sexe vs en fonction de l’ethnicité

A

PS : Malgré la meilleure flexibilité des enfants, il y a toujours de la ségrégation en fonction des intérêts et en fonction du style de communication

110
Q

Vrai ou faux : les filles et les garçons suivent la même trajectoire en ce qui a trait à l’identité de genre

A

Faux.
Garçons: plus masculins

Filles: moins féminines

111
Q

L’identité de genre inclut des auto-évaluations. Quelles sont-elles?

A

1-Correspondance au genre (quel point similaire)

2-Satisfaction liée au genre (quel point confortable)

3-Pressions à se conformer aux rôles de genre

=>Si peu similaire et ressent pression: difficultés

112
Q

Vrai ou faux : À l’âge scolaire, on passe moins de temps avec nos parents

A

Vrai : école, amis, loisirs…

113
Q

Décris la relation parent-enfant à l’âge scolaire (4)

A

1-Si parentage a été démocratique, relation plus facile à cet âge
- pensée logique: raisonnement plus efficace
- plus de respect pour les connaissances du parent

2-Mères passent plus de temps avec leur enfant, en savent davantage sur leur vie

3-Plus de temps passé avec enfant de même sexe

4-Chaleur/implication + supervision + éviter coercition… =>enfants plus compétents socialement et académiquement parlant

114
Q

Comment maintenir une bonne relation parent-enfant à l’âge scolaire? (3)

A

=>Discuter ouvertement et prise de décision conjointe…Enfants plus ouverts au point de vue du parent que quand il a besoin d’obéir sans avoir sont mot à dire

=>Co-régulation: graduellement, laisser de + en + de contrôle à l’enfant

Co-régulation… superviser de plus loin
-Communiquer attentes
-Enfants informent
-Base de coopération, respect mutuel

115
Q

Décris la fraterie à l’âge scolaire (6)

A

-Source de soutien, entraide

-Rivalité augmente âge scolaire
(si un enfant reçoit moins que l’autre, en souffre)

-Comparaisons
=> plus si même sexe et proche en âge
=> effet nocif accentué si parent stressé, pire si par père

-Cherche à se distinguer

-Parents bons « médiateurs » ↓ animosité

-Bienfait si bonne relation; risque si conflits destructeurs

116
Q

Quels sont les bénéfices d’être enfant unique?

A

Enfant unique ≠ nécessairement enfant « gâté »

Bénéfices : estime de soi plus élevée, + motivation, hausse performance académique, hausse du nombre d’amis et qualité des amitiés (mais acceptation groupe pairs un peu plus difficile)

Bénéfices cognitifs, académiques, sécurité émotive

PS : Chine (loi « 1 enfant » dans régions urbaines denses)

117
Q

Le fait d’être enfant unique apporte des bénéfiques ______, ____________ et de la ______ _______

A

Cognitifs, académiques et de la sécurité émotive

118
Q

__ à ___ % des couples de 2 femmes sont parents vs ___ à ___ % des couples de 2 hommes

A

20 à 35% vs 5 à 15%

119
Q

Vrai ou faux : la minorité des couples homosexuels sont issus d’un mariage hétérosexuel antérieur

A

Faux. C’est la majorité!

120
Q

Décris les couples homosexuels en tant que parents (3)

A

1-Parents aussi engagés et efficaces (même parfois plus)
Enfants: même santé mentale, relations avec pairs, rôle de genre, qualité de vie

2-Études échantillons nationaux: Problèmes d’ajustement des enfants reliés à d’autres facteurs que l’orientation sexuelle des parents

3-Relation parentale chaleureuse, école soutenante et relations positives avec d’autres familles homosexuelles peut protéger contre les effets négatifs des moqueries/harcèlement des autres enfants.

121
Q

Qu’est-ce qu’un parent célibataire?

A

Parent qui élève seul son enfant

122
Q

Vrai ou faux : les couples non-mariés sont moins stables que les couples mariés

A

Vrai…

123
Q

Quelle proportion des parents célibataires sont des mères?

A

90%.

124
Q

Vrai ou faux : le taux de mères célibataires adolescentes à augmenté.

A

Faux. Il a diminué. Par contre, le taux d’adultes parents célibataires à augmenté.

125
Q

Aux USA, on observe un taux de parents célibataires davantage élevé dans les familles afro-américaines. Pourquoi? (2)

A

Taux + élevé surtout dû aux emprisonnements et mortalité

126
Q

Décris l’implication des pères (afro-américains) qui demeurent de la communauté

A

De + en + de pères vont co-habiter avec mère.

Autant impliqués, même plus, que pères d’autres ethnicités
+ Cohabitation, + Implication paternelle

127
Q

Décris l’implication des pères afro-américains qui ne co-habitent pas

A

On voit que se sont les pères afro-américains qui sont les + impliqués et les pères hispanic qui le sont le moins

128
Q

Quelles difficultés peut impliquer le fait d’avoir une mère célibataire? (2)

A

1-Augmente difficultés financières

2-Liées problèmes d’ajustement enfants

129
Q

Quels sont les risques de ne pas avoir un père impliqué? (2)

A

1-Plus de problèmes cognitifs

2-Plus d’antisocialité

130
Q

Nomme 1 bénéfice d’avoir un père antisocial

A

↑ risque trouble de conduite chez enfants

131
Q

Vrai ou faux : Depuis 1960, il y a une baisse du taux de divorces

A

Faux. Taux ont augmenté entre 1960 et 1985, puis plateau après

132
Q

Les enfants passent en moyenne ___ ans dans une famille monoparentale

A

5 ans

133
Q

Vrai ou faux : la plupart des enfants s’adaptent bien au divorce de leurs parents

A

Vrai. Même si c’est stressant pour les enfants et que cela↑ le risque de problèmes d’ajustement, la plupart s’adaptent bien

134
Q

Vrai ou faux : Le divorce est souvent dû à 1 événement en particulier

A

Faux, divorce ≠ 1 événement. C’est plutôt une transition associée à plusieurs changements

135
Q

Quelles sont les conséquences immédiates du divorce? (5)

A

1-Conflits

2-Diminution revenus, déménagement

3-Stress, dépression, anxiété maternelle, => désorganisation à la maison

4-Quantité/qualité contact père diminuent souvent, (surtout si conflit)

5-Discipline moins positive
=>20 à 25% des enfants présentent des problèmes sévères (c. 10% familles intactes)

136
Q

Les réactions des enfants face au divorce de leurs parents varient selon 3 critères. Quels sont-ils?

A

1-Âge de l’enfant
=>Les enfants plus jeunes se blâment; anxiété, colère;
=> Les enfants plus vieux peuvent réagir fortement, surtout si conflit intense et faible supervision;
=>Certains aînés aident, mais risque si demandes exagérées

2-Tempérament
Divorce accentue problèmes des enfants « difficiles »

3-Sexe
=>Plus de risques pour les garçons, problèmes extériorisés, défi pour parents avant et après divorce. Moins coping et moins de soutien émotif reçu…

137
Q

Quelles sont les conséquences à long terme du divorce des parents? (5)

A

1-Améliorations de l’ajustement pour la plupart des enfants, en moins de 2 ans, mais scores moins élevés (c. famille intacte)

2-ES, compétence scolaire, socio-affective (plus faibles)

3-Tempérament difficile : risque de décrochage, de dépression, d’antisocialité

4-Problèmes d’intimité, sexualité

5-Pour certains : problèmes relationnels à long-terme

138
Q

Qu’est-ce qui prédit le mieux l’ajustement de l’enfant suite au divorce des parents?

A

Entraînement pour les mères : progrès des relations à long terme, coping enfant

139
Q

Dans le cas d’un garçon, il serait favorable que quel parent ait la garde?

A

Le père. Quand mère à la garde, le contact avec père est IMPORTANT

140
Q

Vrai ou faux : une famille intacte mais conflictuelle est pire qu’une famille divorcée?

A

Vrai. Mais plus de divorces suite à insatisfaction modérée… enfants très confus, fâchés

141
Q

Qu’est-ce qui peut aider les enfants pendant le divorce? (2)

A

1-Bon coparentage (soutien d’autre parent)

2-Soutien de famille élargie, pairs, profs, etc

142
Q

Nomme 4 façon d’aider les familles pendant le divorce

A

1-Médiation: rencontres pour diminuer les conflits.Associée à la coopération/implication parentale; bien-être enfants et parents
=>Québec: droit à 5 séances gratuites

2-Éducation parentale: Résolution conflits, coparentage coopératif et bien-être enfants
Effets sur coopération parentale

3-Garde partagée: les deux parents ont autant poids pour prendre décisions
- enfant vit chez l’un, voit autre régulièrement
Succès dépend du coparentage efficace

4-Soutien $ du parent absent :
Plus probables pères paient part quand visites nombreuses et voient enfants souvent
Contact avec enfant favorise aussi meilleure coparentalité

143
Q

Vrai ou faux ; les familles recomposées sont un risque pour des futurs problèmes d’ajusement

A

Vrai.

144
Q

Décris les familles recomposées composées de la mère et de son conjoint (4)

A

-Plus frequent

-Les garçons s’adaptent bien (fin coercion de mère)

-Les filles s’adaptent moins bien (fin lien intime mère)

-Les enfants plus vieux réagissent plus fortement (injustice, enfreint liberté)

145
Q

Décris les familles recomposées composées du père et de sa conjointe (3)

A

-Mène souvent à moins contacts avec père

-Les enfants qui vivent avec père réagissent mal (souvent enfants difficiles)

-Filles et belle-mère: Adaptation moins facile (lien père, loyauté mère), mais s’améliore avec temps

146
Q

Comment aider les familles recomposées? (4)

A

-Éducation, counseling

-Nouveau rôle du beau-parent : graduellement

-Relation chaleureuse pour débuter

-Constance, cohérence, attentes réalistes

147
Q

Vrai ou faux : le taux de divorce est moins élevé pour les 2e unions

A

Vrai…Plus les enfants doivent vivre de transitions, plus le risque problèmes d’ajustement augmentent

148
Q

Quels seront les impacts sur l’enfant si la mère aime son travail et est encore impliquée? (5)

A

-Meilleure estime de soi

-Meilleures relations familiales et avec les pairs

-Meilleures notes

-Moins de stéréotypes de genre
(Filles: rôle/image compétence féminine)

-Plus d’implication paternelle:
=>Meilleur QI, perf scolaire
=>Maturité sociale, flexibilité rôles de genre
=>Meilleure santé mentale à âge adulte

149
Q

Quels sont les impacts sur l’enfant si la mère n’aime pas son travail (fardeau, stressant)? (6)

A

-Risque parentage inadéquat

-Trop heures, horaire atypique, atmosphère difficile:

-Lié à parentage de moindre qualité

-Moins bon développement cognitif

-Plus problèmes de comportements

-Effets pires si journées de mères de faible SSE sont longues et drainantes (dépression, parentage rude)

150
Q

Décris les services de garde à l’âge scolaire (3)

A

-Important même au primaire, de qualité

-Besoin supervision, surtout avant 10 ans

-Personnel formé, activités structurées enrichissantes … meilleur ajustement scolaire et socio-affectif
(vs. Seul « self-care » ou non-structuré), surtout si faible SSE

151
Q

Vrai ou faux : les services de garde de qualité sont particulièrement favorables pour les enfants de SSE élevé

A

Faux. Davantage favorable pour les enfants avec SSE faible.

152
Q

Notes de lecture encadré “bullies and their victims”

A

A highly destructive form of interaction is peer victimization, in which certain children become targets of verbal and physical attacks or other forms of abuse. About 5 to 12 percent of children are bullies, while 8 to 20 percent are repeatedly victimized. Most bullies who engage in face-to-face physical and verbal attacks are boys, but a considerable number of girls bombard vulnerable classmates with verbal and relational hostility. As bullies move into adolescence an increasing number attack through electronic means. About 20 to 40 percent of youths have experienced “cyberbullying” through text messages, e-mail, social media sites, or other electronic tools. Compared with face-to-face bullying, gender differences in cyberbullying are less pronounced; the indirectness of online aggression may lead girls to prefer it. Girls more often use text messages, e-mail, or social media to cyberbully, whereas boys more often distribute embarrassing photos or videos. “Traditional” bullying and cyberbullying and cyberbullying frequently co-occur; Bullies and victims in one context are frequently involved in the other. But electronic bullying. And victims are far less likely to report cyberbullying to parents or adults at school. In many instances, the cyberbully’s identify is unknown to the victim and audience. Many bullies are disliked, or become so, because of their cruelty. But a substantial number are socially prominent, powerful youngsters who are broadly admired for their physical attractiveness, power or athletic abilities. To preserve their high social status, bullies often target already-peer-rejected children, whom classmates are unlikely to defend. This helps explain why peers rarely intervene to help victims and why about 20 t0 30 percent of onlookers encourage bullies, even joining in. Bullying occurs more often in schools where teachers view It as having few harmful effects and where many students judge engaging in it to be “ok”. Bullies and the peers who assist them typically display social-cognitive deficits, including, over high self-esteem, pride in their acts, and indifference to harm done to their victims. Depression and other internalizing difficulties increase children’s risk of both real-life and cyber victimization. Chronic victims tend to be passive when active behavior is expected. Biologically based traits – an inhibited temperament and a frail physical appearance – contribute. Victims also have histories of resistant attachment, overly controlling child rearing, and maternal overprotection – parenting that prompts anxiety, low self-esteem, and dependency, resulting in a fearful demeanor that marks these children and youths as vulnerable. Other adjustment problems associated with persistent victimization include loneliness, low peer acceptance, poor school performance, disruptive behavior, and school avoidance. Victimization is linked to impaired production of cortisol, suggesting a chronically disrupted physiological response to stress. As instances of traditional bullying and cyberbullying accumulate, victims report substantial interference with daily functioning. Both traditional bullying and cyberbullying are related to declining self-esteem, classroom and school participation, and academic achievement and to rising anxiety, depression, and suicidal thoughts. Repeated cyberattacks directed at causing widespread damage to the victim’s reputation. Aggression and victimization are not popular opposites. One-third to one-half of victims are also aggressive, meting out physical, relational, or cyber hostilities. Bullies usually respond by abusing them again – a cycle that sustains their victim status. Among rejected children, these bully/victims are the most despised. They often have histories of extremely maladaptive parenting, including child abuse. This combination of highly negative home and peer experiences places them at severe risk for maladjustment. Interventions that change victimized children’s negative opinions of themselves and that teach them to respond in nonreinforcing ways to their attackers are helpful. Another way to assist victimized children is to help them acquire the social skills needed to form and maintain a gratifying, supportive friendship. When children have a close friend to whom they can turn for help or belong to a clique in which some friends care willing to retaliate on their behalf, bullying episodes typically end quickly. Also, anxious, withdrawn children with friends have fewer adjustment problems than those without friends. Although modifying victimized children’s behavior can help, the best way to reduce bullying is to change youth environments, promoting prosocial attitudes and behaviors. Effective approaches include developing school and community codes against both traditional bullying and cyberbullying, teaching child bystanders to intervene, strengthening parental oversight of children and youth’s use of cell phones and other screen media and increasing adult supervision on high-bullying areas in schools, such as hallways, lunchroom and schoolyard. The U.S department of Health and Human Services manages an antibullying website, that raises awareness of the harmfulness of bullying and provides parents, teachers, and students with information on prevention.