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Urologie - Exam 2 > Cours 1 : l'hématurie urologique et les lithiques urinaires (p. 13 à 28) > Flashcards

Cours 1 : l'hématurie urologique et les lithiques urinaires (p. 13 à 28) Flashcards

1
Q

V ou F
Pour avoir une hématurie microscopique significative, on doit avoir > 2 hématies/champ sur au moins 3 échantillons et seulement 5 % des patients ont une maladie urologique associée

A

F.

C’est plutôt > ou = 3/champ pour 2 échantillons. Le 5 % est vrai

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2
Q

Classifier les hématuries selon qu’elles soient

a) pseudohématurie
b) non-urologique
c) urologique

  1. Ingestion de betteraves
  2. Myoglobinurie
  3. Gynécologique
  4. Vessie
  5. Urètre
  6. Glomérule
  7. Médicaments
  8. Hémoglobinurie
  9. Rein
  10. Prostate
A

a) 1,2,7,8
b) 3,6
c) 4,5,9,10

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3
Q

Associer la condition à une hématurie soit glomérulaire, soit urologique.

  1. Hématies dysmorphies
  2. Traumatisme lombaire ou pelvien
  3. Insuffisance rénale
  4. Histoire de colique néphrétique
  5. Signes d’infection urinaire
  6. Protéinurie
  7. Hypertension artérielle
  8. ATCD d’urolithiases
  9. Immunosuppression
  10. Cylindres granuleux ou hématiques
A

Hématurie glomérulaire: 1, 3, 6, 7, 10

Hématie urologique: 2, 4, 5, 8, 9

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4
Q

V ou F

Des tumeurs rénale ou urothéliale peuvent causer de l’hématurie, mais pas une hypertrophie prostatique

A 
F
Les étiologies fréquentes d'hématurie urologique sont (ordre sans importance): 
1. Tumeur urothéliale
2. Tumeur rénale
3. Lithiase urinaire
4. Infection urinaire bactérienne
5. Hypertrophie prostatique
6. Trauma urologique
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5
Q

V ou F

On investigue TOUTES les hématuries macroscopiques d’origine urologique.

A

F

Toutes sauf celles causées par une infection urinaire.

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6
Q

V ou F

La principale raison d’investigation d’une hématurie urologique est l’élimination du cancer

A

V

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7
Q

Combien de test permettent de confirmer une hématurie microscopique ?

A

2

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8
Q

Quelle est la première étape d’une investigation d’hématurie urologique ?
Quelles sont les étapes subséquentes

A
  1. SMU-DCA
  2. Cytologie urinaire
  3. Cytoscopie
  4. Imagerie de l’arbre urinaire (Écho, taco ou urographie IV)

Les 3 étapes de la prise en charge de l’hématurie sont:

  1. Éliminer la pseudohématurie
  2. Éliminer l’hématurie glomérulaire
  3. Procéder à l’investigation dans l’ordre ci-haut.
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9
Q

Trouver le faux

  1. Le cancer urothélial touche 3H:1F
  2. C’est la 4e cause de cancer chez l’homme
  3. Le tabac, l’exposition à des substances toxiques, les médicaments et l’inflammation aigue sont des facteurs de risque de cancer urothélial
  4. Parmi les manifestations cliniques du cancer urothélial, on retrouve l’hématurie, la pollakiurie, des douleurs lombaires et une masse pelvienne
A
  1. C’est l’inflammation CHRONIQUE qui est un facteur de risque.

***4: Dans les manifestations cliniques, en plus de l’hématurie, de la pollakiurie, des douleurs lombaires et de la masse pelvienne, on retrouve aussi l’oedème des membres inférieurs et les sx B.

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10
Q

V ou F

La majorité des cancers urothéliaux sont infiltrants au moment du diagnostic

A

F
75 % des cancers urothéliaux sont superficiels au moment de leur découverte et 25 % sont infiltrants (musculeuse atteinte).

Les cancers infiltrants ne peuvent être simplement réséqués, un traitement plus extensif est nécessaire. (EXAMEN)

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11
Q

V ou F
Si une tumeur est superficielle, on fait un bilan d’extension comprenant une RX pulmonaire, un TEP-SCAN, une scintigraphie osseuse ou un TACO.

A

F
Pour une tumeur superficielle, le bilan d’extension s’arrête à une urographie IV ou un TACO. C’est pour une tumeur infiltrante qu’on fera une RX pulmonaire, un TEP-SCAN et/ou une scintigraphie osseuse.

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12
Q

Associer le stade de la tumeur au traitement requis

a) Tumeur non-infiltrante
b) Tumeur infiltrante
c) Tumeur métastatique

  1. Cystectomie radicale
  2. Chimiothérapie
  3. Radiothérapie
  4. Résection transurétrale
  5. Cytoscopie et cytologie de suivi
A

a) 4,5
b) 1
c) 3,4

Question pas terrible, se référer à la p. 19.

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13
Q

V ou F

Plus une hématurie causée par une tumeur est grande, plus la tumeur sera grande.

A

F

Il n’y a aucune relation entre les deux.

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14
Q

Trouver le faux

  1. Les lithiques urinaires touche 2 à 3 % de la population et possèdent un taux de récidive de 50 % à 10 ans.
  2. Les lithiques urinaires surviennent surtout en été et en zone tropicale, chez les consommateurs de viande.
  3. Les lithiques urinaires touchent plus les hommes (3:1) de race noire ou asiatique
  4. Les personnes âgées entre 40 et 60 ans sont les plus à risque.
A

Les caucasiens sont les plus touchés, et de loin.

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15
Q

V ou F

Le citrate et le magnésium favorisent la formation de cristaux

A

F

Ils inhibent leur formation.

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16
Q

V ou F

On parle d’agrégation homogène lorsque l’agrégation est constituée seulement de cristaux peu importe leur nature.

A

F

La nature doit être la même. Sinon c’est une agrégation hétérogène, qui peut également contenir des substances non-cristallines.

17
Q

Quels cristaux sont radio-opaques et quels sont radio-transparents ?

  1. Oxalate de calcium
  2. Cystine
  3. Acide urique
  4. Struvite (lithiase infectieuse)
A

Radio-opaque: 1 et 4

Radio-transparent: 2 et 3

18
Q

Trouver les faux (2)

  1. Les calculs d’oxalate de calcium sont les plus fréquents et sont causés par une hypercalciurie, hyperoxalurie et hypercitraturie
  2. La formation de cristaux d’acide urique est inhibée par un milieu alcalin
  3. Les calculs de cystine sont dus à un désordre autosomal dominant
  4. La struvite est plus fréquente chez la femme et cause un gros calcul épousant les contours des voies urinaires
  5. L’incidence des calculs d’acide urique est en augmentation à cause de l’obésité et du diabète de type 2.
  6. La struvite est associée à des infections urinaires chroniques causées par des bactéries produisant de l’uréase.
  7. Cystine, ornithine, lysine et arginine sont les acides aminés réabsorbés au tubule
A

1 et 3

1: Une hypercalciurie, une hyperoxalurie et une HYPOcitraturie favorise la formation de calculs d’oxalate de calcium.
3: Les calculs de cystine sont dus à un désordre autosomal RÉCESSIF

19
Q

Associer l’endroit où se loge le calcul à l’irradiation de la colique néphrétique.

a) Uretère proximal
b) Uretère moyen
c) Jonction urétérite-vésicale

  1. Région inguinale, testicule/grande lèvre
  2. Flanc et quadrant supérieur
  3. Symptômes vésicaux irritatifs
A

a) 2
b) 1
c) 3

20
Q

Concernant la présentation clinique de la colique néphrétique, lequel est faux ?

  1. Début brutal et intense sans position confortable
  2. Nausées, vomissements, pollakiurie et iléus paralytique peuvent se manifester.
  3. Seule la lithiase urinaire peut causer une colique néphrétique
  4. La douleur peut mimer une appendicite, une cholécystite et une pancréatite.
A
  1. La lithiase urinaire n’est pas la seule cause de colique néphrétique, mais c’est la plus fréquente.
21
Q

V ou F

Une lithiase entrainant une hématurie provient la plupart du temps du bassinet et obstrue donc le flot urinaire.

A

F

La lithiase entrainant une hématurie n’a aucun symptôme accompagnateur.

22
Q

Lequel est faux ?

  1. L’infection urinaire peut représenter une complication d’un calcul.
  2. L’infection se compliquant d’une septicémie constitue une urgence de drainage par cathéter double J ou urétéroscopie
  3. L’obstruction urétérale peut se compliquer en pyélonéphrite.
  4. :)
A
  1. L’infection compliquée en septicémie constitue une urgence de drainage du rein qui se fait par cathéter double J ou par néphrostomie, mais pas par urétéroscopie.
23
Q

Qui suis-je ? :)
Je suis un type de calcul ayant une physiopathologie différente de la lithiase rénale. On m’associe à une mauvaise vidange vésicale et à une stase urinaire. Je provoque des symptômes irritatifs comme la brulure mictionnelle, la pollakiurie, des douleurs pelviennes et une hématurie et je provoque également une interruption du jet urinaire

A

Un calcul VÉSICAL

p. 25 pour une belle image.

24
Q

Chez les individus faisant des calculs récidivants, on procède à un dépistage de problème métabolique en faisant un bilan biologique. Qu’est-ce que ça contient ? (Type K)

  1. FSC
  2. Dosage urinaire et sérique de substances
  3. Imagerie uroscopique
  4. Analyse du calcul
A

2 et 4

25
Q

Laquelle parmi les suivantes n’EST PAS une complication d’un calcul ?

  1. Nécessité de prise de narcotiques en continu
  2. Urosepsis
  3. Néoplasie
  4. IRA
A

Néoplasie.

***4: Un calcul se complique d’une IRA seulement chez les patients ayant une IRC pré-existante ou un seul rein.

26
Q

Quelle est la règle d’or, aussi appelée grand requin blanc de l’urologie ?

A

Les patients avec des complications nécessite un traitement chirurgical définitif.

27
Q

Parmi les options chirurgicales, lesquelles peuvent être pratiquées en urgence pour un calcul ?
1. Néphrostomie percutanée
2. Double J
3 Urétéroscopie
4. Néphrolithotomie percutanée
5. Lithotripsie par ondes de choc extra corporelles

A

1 et 2

Mais y a-t-il une différence entre 1 et 4 ? À suivre…

28
Q

Trouver le faux concernant le traitement de l’urolithiase.

  1. Des narcotiques et AINS sont utilisés pour diminuer la douleur
  2. Un TACO ou un écho doit confirmer le diagnostic d’urolithiase obstructive avant de traiter.
  3. Le traitement conservateur (plus fréquent) consiste en des analgésiques, des alpha-bloquants, la filtration des urines par le patient et une réévaluation par imagerie après 3-4 semaines.
  4. Une plus grande hydratation permettra de faire évacuer le calcul plus rapidement.
A
  1. L’hydratation augmentée n’aide pas à faire évacuer le calcul. Elle ne fait qu’empirer la douleur.
29
Q

Laquelle de ces conditions N’EST PAS une indication à la chirurgie ?

  1. Rein unique
  2. Échec du traitement conservateur
  3. Calcul coralliforme ou très gros
  4. Complication
  5. Récidive de calcul
A
  1. Récidive de calcul
30
Q

Laquelle parmi ces mesures n’aide pas à la prévention d’une récidive

  1. Diminuer sa consommation de viande en mangeant du tofu
  2. Manger assez de calcium, mais pas trop
  3. Boire beaucoup d’eau
  4. Faire du sport
A

Faire du sport

Franchement!

Urologie - Exam 2 (7 decks)

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