Cours 1 : Définitions, déviance et troubles Flashcards

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Q

→1. Déviance, troubles et délinquance

  1. Facteurs de délinquance (texte)
  2. Les explications de la délinquance : trois perspectives
    3.1 Les sources individuelles
    A) Le choix rationnel
    B) Facteurs psychologiques

3.2 Les forces sociales
A) L’apprentissage social
B) Théories de la tension sociale (strain theories)

3.3 Les approches développementale
A) Théorie générale du crime
B) Théorie de Moffit (1993, 2006)

A

► Problème de définition: qu’est-ce que la délinquance?
- Définitions du Code criminel ≠ définitions scientifiques
D’autres comportements, sans être criminalisés peuvent être des actions à proscrire
Si un crime est un crime, c’est qu’il y d’autres comportements associés à ce comportement criminel.
De là la nécessité d’une autre définition empirique pour intervenir quand même

► Cas de figure: syndrome général de la déviance (Le Blanc, 2010;
Le Blanc et Bouthillier, 2003)

  • Objectif: articuler délits officiels et comportements apparentés
  • « Syndrome »: délinquance est manifestation
    d’une problématique plus large, la déviance
  • Déviance divisée entre problèmes comportementaux et
    délinquance, avec sous-catégories
    comportemental : Met le jeune en danger(!= définition psycho.)

► Deux observations… (pas <3, modle typique

  • Délinquance: sous-catégorie minoritaire de la déviance
    1) Clandestine
    2) Manifeste
  • Catégories ne sont pas mutuellement exclusives:
    comportements souvent liés, et mutations avec âge
    Certains comportements s’aliment les uns les autres,
    Plus les jeunes vieillissent, plus la délinquance change

► Constat: explications de la délinquance juvénile sont
généralement explications de la déviance
quand on essaie d’expliquer la délinquance : on cherche plus généralement explications de la déviance, excessivement rare une étude qui a comme prétention de comprendre la criminalité des jeunes : Pourquoi ?
Le mpeme facteur peut mener à des comportemetns de prise de risque (consommation)
et dans d’autres cas : comportements prescris par la loi(criminel)

Certains auteurs vont chercher au sein de la déviance quels osnt les comportemetns ou facteurs plus généralement associés au comportement délinquant. Pas bcp de résultats : Mêmes facteurs lié à des activités différentes, aménagement de l’un à l’autre

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Q
  1. Déviance, troubles et délinquance

→2. Facteurs de délinquance (texte)

  1. Les explications de la délinquance : trois perspectives
    3.1 Les sources individuelles
    A) Le choix rationnel
    B) Facteurs psychologiques

3.2 Les forces sociales
A) L’apprentissage social
B) Théories de la tension sociale (strain theories)

3.3 Les approches développementale
A) Théorie générale du crime
B) Théorie de Moffit (1993, 2006)

A

► Day et Wanklin (2012) Détermination et définition des principaux facteurs de risque du comportement antisocial et délinquant chez les enfants et les jeunes –Rapport de recherche du Centre national de prévention du crime (CNPC)

► Facteurs de risque : variables associées à l’apparition de
comportements délinquants/antisociaux (déviants)
Les facteurs de risque sont généralement des comportemnts antisociaux
Ne prend pas partie d’une théorie : très athéorique
Ce que veut dire le mot ‘‘facteur’’ : pas une cause
Variable associée au comportement qui rend son apparition plus probables : au sens de mesurable (qqchose) dont la présence influence la probabilité de l’apapration du comportement
Facteur != causalité !
Pourquoi certains jeunes qui ont des facteus de risque sont ceux qui commenttent les actes ?

Ce qui disent : être noir au ÉU ou autochtone augmente les chances d’être l’objet de traitement judiciaire
Pas le fait d’être noir, mais y a un lien entre les deux

Existe des biais qui font e nsorte que dans le systeme
Facteur de risque n’explique rien, n’est pas dans la causalité,
► Division en cinq catégories (sphères de la vie):
1. Personnelle/individuelle
2. Famille
3. Pairs/amis
4. École
5. Quartier

► Relation variable (ou non) en fonction du sexe (graphique)

  • Spécifiquement chez les femmes
  • Psa necessairement causal
  • Sous l’angle de la régularité uniquement : pas exclusif
  • Même si une correlation a un rôle a jouer : d’où il vient
  • Pourquoi si 2 individus ont le même ftr : ne le produit le resultat chez chacun
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  1. Déviance, troubles et délinquance
  2. Facteurs de délinquance (texte)

→3. Les explications de la délinquance : trois perspectives
3.1 Les sources individuelles
→A) Le choix rationnel
B) Facteurs psychologiques

3.2 Les forces sociales
A) L’apprentissage social
B) Théories de la tension sociale (strain theories)

3.3 Les approches développementale
A) Théorie générale du crime
B) Théorie de Moffit (1993, 2006)

A

► Modèle traditionnel: délinquance repose sur caractéristiques
ou particularités de certains individus
De façon limitée à l’individu, on y trouve les causes et de la délinquance
Signifie pas que l’environnement existe pas, mais qu’il y a une isolation de l’individu et de son milieu pour étemrienr pourquoi certains individus sont déviants et d’autres non.
C’est plutôt au niveau de l’invidividu qu’n cherche à isoler la cause
Vision qui accomode plusieurs façon de percevoir, très distinctes les unes des autres
Ne veut pas dire en termes de d’anomalie ou de pathologie

Précision simple : probablement la façon d’Explquer la délinquancel a moins psécifique
Ont été dévleppés auprès d’adultes et ont des tendances universaliste, on cherche la déviance chez tout le monde : (jeunse et adultes)

A) Le choix rationnel
► Filiation historique: pensée classique/utilitariste
-Le plus important: l’acte seulement, ne pas différencier entre les individus
Peu impote l’Individu, il joui du libre-arbitre, de conscience, etc.
Dimension importante : école classique pose qu’il n’y a pas beaucoup de différences entre les individus. Elle existe encore ajd comme une vision légitime de ce qu’est la vision de l’humanité, etc.

Une des descends de la philo utilitariste, jusque dans notre domaine, c’est elle ↓

► Théorie du choix rationnel (Cornish et Clarke, 1986)
- Humains (incluant jeunes) comme acteurs rationnels,
choisissent comportements via calcul d’intérêts
(analyse coût/bénéfice)
Qu’ils soient conformistes ou déviants, choisissent
-Sur la base d’un calcul d’intérêt
Élément central du calcul coûts/benef
Entre gian/plaisir tiré d’un comportement et le désagrément associé au fait de commettre le comportement. Le même calcul hédoniste qu’on trouve chez Bentham, voulant que l’individu choisit choisisse ce qui maximise son plaisir, qu’il soit jeune ou adulte

  • Inspire pratiques dissuasives: prévention situationnelle,
    axée sur réduction des opportunités criminelles

► Exemple québécois: La délinquance, une vie choisie
(Cusson, 2005)
« …l’explication des infractions devrait être cherchée, non
dans des traits de personnalité, mais dans les résultats
visés puis obtenus par ces actions. Si un garçon
cambriole une résidence, c’est qu’il croit y trouver des
objets qu’il vendra avec profit, et s’il recommence, c’est
qu’un premier succès lui a appris que ses espoirs étaient
fondés. » Cusson (2006)
Cusson : choix rationnel, cornish et Clarke, c’est ce q’il faut considérer. Pour trouver le sens, le pourquoi !
Calcul de Cornish et Clarke
- Délinquants animés par hédonisme, placent la « vie
festive » au centre de leur existence
Cherchent la fête, alors que les citoyens respectuux en font une exception, épisode. Les délinqunats ne font que la ‘‘fiesta’’. S’ils savent par ailleurs qu’ils ne se feront pas pris.

  • Nécessite réponse rapide, ferme et dissuasive
    Sans complaisance, ne punit que l’acte qui est commis, pour que l’acte soit dissuadé, etc.

Le point : Pose néanmoins forme de ‘‘normalité’’ du comortment délinquant ou déviant. FInalement tout le monde est parei, libre-arbitre, mais certains font ce calcul malheureux
Les mauvaises langues : y a-t-il des gens plus ppenchés à faire ce calcul rationnel ?
Prend une epxlication en termes de fateurs psychologiques, ce que Cusson rejette

Même si on reste au coeur du même focus d’explication `l’individu : on peut être dans un unviers différent ! On peut voir ailleurs des facteurs ‘distinctifs’

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  1. Déviance, troubles et délinquance
  2. Facteurs de délinquance (texte)
  3. Les explications de la délinquance : trois perspectives
    3.1 Les sources individuelles
    A) Le choix rationnel
    B) Facteurs psychologiques

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3.3 Les approches développementale
A) Théorie générale du crime
B) Théorie de Moffit (1993, 2006)

A

► Personnalité: études centrées sur conduites et cognitions
stables, qui distinguent individus (et délinquants?)
Ensemble de conduites, cognitions, stables dans le temps, et qui, différencie les personnes les unes des autres
La recherche s’Est fixée sur l’attrait de trouver une ‘‘personnalté criminelle’’, distinguer les deux

  • Gluecks et Gluecks (1950): traits de personnalité
    associés à délinquance = défiance, extroversion,
    narcissisme, hostilité… Mais seulement pour 50%
    dDéfiance : résister à toute forme d’autorité, d’ordre, habille-toi, mange, etc.
    Extroversion : comportement trop extraverti
    Narcissisme :estime de soi trop élevée
    Hostilité :agressivité

Dans totues les tentatives et étues : ces traits ne l’étaient pas pour tous les délinquants… Dépaissait rarement 50% de l’échantillon. Donc une artie qui présente de facon récurrente ces traits, mais pas l’autre partie

Pourquoi l’autre partie des délinquants n’ont pas ces comportements ? Pas de succès pour établir des traits communs à tous les délinquants

  • Millar et Lynam (2001): pas de personnalité propre
    aux jeunes délinquants, mais traits associés:
    impulsivité, opposition
    n’ont pas pu associer des taits spécifique à la délinquance juvénile. (pas si différent que les ftr)
    Impuslivit.é : peut pas résiter à la tention de faire qqchose
    opposition :
    Ces deux-là ne sont toujours pas chez les délinquants à l’inverse
    Bcp de non-criinels qui ont les ftr
    donc pas des ft. causaux !

► Application de la personnalité antisociale / concept
de psychopathie aux jeunes = controverse
Concept ou état de personnalité : égocentrisme, manque d’empathie(pas de peine pour la mère, pas capable de ressentir d’émotion empathique), psychopathie on est pas dans les nuances
D,une part : égocentrisme, manque d’empathie,
D,autre part, comportements axés sur la satisfaction de ses prorpes avec un minimium d’égard envers les autres.

Le psychopathe est amoral : peuvent faire la distinction entre le bien et le mal, mais ils n’éprouvent, intrinsèquement, aucune conscience morale envers ces malheurs-là

  • Prémisses dans l’enfance : dans la psychopathie : pas clair..

► Sur présence de la psychopathie dans l’enfance (Frick
et Marsee, 2006; Kotler et McMahon, 2005): symptômes
moins tranchés, présence de traits précurseurs

Symptômes ne sont pas aussi tranchés à l’enfance
Certians traits font penser à la psychopathie : concept de traits précurseurs, qui pourraient être associés à la psychopathie
Les jeunes qui portent ces marqueurs comportementaux ont tendance à voir d’autre éléments qui le distinguent : commission du premier délit plus tôt, souvent comportements plus violents
-Taux élevés de comorbiité d’autres troubles mentaux : Déficits émotionnels, comportements anxieux, autisme, etc.

Dès qu’on a la comobribité : devient difficile de savoir si c’est psychopathie et surtout la cause du comportent déviant !

► Porteurs de ces traits se démarquent:

  • Premier délit plus tôt, récidive plus fréquente/violente
  • Comorbidité fréquente: abus substance, TED/TSA

Difficile de dire si c’est pathologie : chez les adolescents, c’est une périod ede rebeliion, de redéfinition de la personnalité, difficile de prédire un jeune de façon anormale,
(ne pas oublier de mettre en bas ce qu’il y a en haut

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  1. Déviance, troubles et délinquance
  2. Facteurs de délinquance (texte)
  3. Les explications de la délinquance : trois perspectives
    3.1 Les sources individuelles
    A) Le choix rationnel
    B) Facteurs psychologiques

→3.2 Les forces sociales
→A) L’apprentissage social
B) Théories de la tension sociale (strain theories)

3.3 Les approches développementale
A) Théorie générale du crime
B) Théorie de Moffit (1993, 2006)

A

► Délinquance comme expression de troubles/problèmes qui
dépassent individu (symptôme)
Regardent bien au-delà des cas individuels : plus importante, celle de la société, à la fois dans son fonctionnement ou structure : 2 grands exemples

A) L’apprentissage social
axé sur les interactions entre individus et comment peuvent amener comp. délinquants
► Interaction sociale essentielle pour délinquance, car:
1. Tous les comportements sont appris
-L’apprentissage se fait de la même manìère peu importe le comportement.(dé.viants ou non)

  1. Comportements s’apprennent préférablement au
    contact d’autres personnes
    -Moins les médias, plus personnes (parent par exemple)
    -un modèle vivant avec un lien d’attachement est eaucoup plus pussant que l’exposition aux médias

Au départ, tous les jeunes peuvent devenir des délinqunat,s s’agit de savoir ds quelles conditions ils grandissent
► Sutherland (1947): association différentielle(criminalité col blanc)
age sexe ethnique), c’est tu une explication ? Faut expliquer autrment : capacités physiques, opportunités, etc. On va au-delà de la simple âge.(ou sexe)
La réponse sutherland : facteurs associés, mais ne causent pas en soi la délinquance. Ne rendent pas plus aptes à faire des délits. Mais ceux qui en font, le font plus souvent à 19. (présent encore ajd)

Ce phénom;ene plus large (génératif) c’est l’apprentissage social
- Cause de la délinquance est une interaction
(apprentissage) au sein de certains groupes sociaux
Un jeune ne pas pas s’inventer criminel par lui-même, son comportement doit être appris au contact d’autres personnes. Parce que c’est dans ce contact que son transmis des motifs pour commettre des infractions

► L’association différentielle repose sur la transmission:
- Des motivations et méthodes pour commettre délit

  • D’un ensemble d’interprétation favorable ou
    défavorable au respect de la loi
  • Si défavorable > favorable = délit
    l’empotent aux interprétations favorables
    S’agit pas seulement de fréquenter les personnes criminelles, mais d’Adopter les interprétations défavorables que proposent ces influences
    Dans certains milieux sociaux, y a l’existence de davantage d’interprétations défavorables → c’est ça qui fait les délits
  • Original : au-delà de ce fait, la transmission se fait de la même manière que n’impote quel comportemnet. Rien de pathologique dans le comportement du jeune délinquant. Seulement, ce sont des comportements sanctionnés par la loi.
  • C,est une théorie très optimiste si on est capable d’intervenir et de proposer autre chose que les interprétations défavorables(aller a l’ecole is good n stuff)
  • Se rend jusqu’aux techniques :
  • Normalise le comportement criminel dans la mesure où il est influencé par ces interprétations. Certaines interprétations sont plus séduisantes et convainquantes que les favorables. La force des relations, etc.
  • Changement de perspective : jeune soumis à des forces exterieures

► Akers (1998, 1985) ajoute notions de renforcement,
répétition des délits dépend de:
- renforcements positifs (gains, prestige, plaisir…)
Excitation liée à l’acte ?

  • absence de renforcements négatifs (sanction
    officielles, tolérance des pairs ou famille)
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  1. Déviance, troubles et délinquance
  2. Facteurs de délinquance (texte)
  3. Les explications de la délinquance : trois perspectives
    3.1 Les sources individuelles
    A) Le choix rationnel
    B) Facteurs psychologiques

→3.2 Les forces sociales
A) L’apprentissage social
→B) Théories de la tension sociale (strain theories)

3.3 Les approches développementale
A) Théorie générale du crime
B) Théorie de Moffit (1993, 2006)

A

B) Théories de la tension sociale (strain theories)
► Société exerce pressions / crée opportunités qui
encouragent conduites délinquantes
Dépasse la crimino,
strain : poser que la société exerce des pressions et crée des opportunités pour les individus qui les conduisent à s’engager ou non dans certains comportements

  • Comportement délinquant = façon de
    compenser/diminuer la pression
    LDe survivre à la pression de la société sur l’Existence.
    Comportements délinqunats découlent de la pression qu’exerce la soc sur l’adolescent
    Où ça se ocmplique : Ne s’entendent pas sur la nature des tensions, ou la source des tensions,
  • Nature des tensions varie selon théories

(Merton) Vivre dans un système qui encoruage la réussite, (les buts)
Masque les inégalités, la majorité n’ont pas la capacité,
Toutes les tensions indiquent qu’on doit réussir à tt pris : les cols blancs, les jeunes ghettos africains
-Donc on prend des moyens illégaux/illicites
► Agnew (1992, 1985): general strain theory
- Tensions vécues au niveau individuel
La tension sociale a un aspect plus personnel, va davantage parle d’échecs ou de réussite personnelle
-Doit aller voir chez le sindiviuds pcq bcp d’individus peut avoir des réacitons diffrentes

  • Incluent incapacité d’atteindre ses buts, perte de
    stimuli positifs, et présence de stimuli négatifs
    Tensoins comprennenet des éléments communs
    -Dépend des indiviuds : certains c’est spécifique a eux et pas à la société, certains la privation de richesses c’est positif.
  • AUssi stimuli négatifs ; mort, perte de relation conjugale, rend le futur et interactions sociales imprévisibles.
  • Tension vient de qqchose qui peut se produire et mettre une stress sur l’individu mais toujours en fonction des spécificités à l’individu(ex : pour un enfant pas habitué aux conflits parentaux)

Faut qui ait des conditions qui favorisent une réponse DÉLINQUANTE
► Quatre conditions favorisent réponses délinquantes:
1. Tensions perçues comme injustes

  1. Tensions de forte magnitude
    Si la semaine d’après c’estp lus là : pas amener delinquance
    Doit persister, en dépit de l’iade légitime uqe la personne peut avoir
    (Répétition peut être ne pas passager)
  2. Faible niveau de contrôle social
    Situation injuste mais traitement rapide et succinct, famille présent et attachement, moins de risques

-Opportunité sociale ET attachement

  1. Tensions incitent une solution délinquante
    Crée des incitatifs à régler par moyen délinquant (si la réponse délinquante ne diminue pas la tension : c’est pas une réponse qui va avoir tendance à se produire)
    Faut que la reponse delinquante puisse le faire DU POINT DE VUE de l’individu
    (ex: tuer sa femme pour régler la séparation) D’un point de vue de réduire les tensions, ça fait du sens

► Composante émotive essentielle
- Colère/agressivité particulièrement importante
Sert de moteur ou d’énergie avec la résolution de tension, c’Est ce que agnew appelle un affect négatif
agit comme le catalyseur des comportements délinquants, la colère n’est pas bonne pour la réflexion, augmente l’impression d,injustice
Diminue les inhibitions, on pense plus, les ados sont particulièrmeent vulnérables,

  • Jeunes/adolescents + susceptibles à réponse
    Période d’incertitude, de transiton qui vient avec des conflits, des pertes de rpepère,s augmente le ressentiment, etc. ce ressentimentlà peut amener des trucs délinquants
    -On cherche des traits de personnalité aussi,(aproche intégrative),

-tout ça peut être contrôlé, très peu de contrôle social, opportunités, etc.
Donc c’estu ne société coupable de le faire ! C’est moins individuel, c’est la société qui manque de ‘‘contrôle’’, que la société est injuste, inégale, que bcp sont soumis à ça

-le ftr sont les tensions qui poussent à amenr une réponse délinquantes

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  1. Déviance, troubles et délinquance
  2. Facteurs de délinquance (texte)
  3. Les explications de la délinquance : trois perspectives
    3.1 Les sources individuelles
    A) Le choix rationnel
    B) Facteurs psychologiques

3.2 Les forces sociales
A) L’apprentissage social
B) Théories de la tension sociale (strain theories)

→3.3 Les approches développementale
→A) Théorie générale du crime
B) Théorie de Moffit (1993, 2006)

A

► Constats tirés des études longitudinales (cohortes):
1. Délinquance rare avant 10 ans
Suivre sur le long terme(bas âge)
chronique toutes les observations/interventions
On reconstitue ainsi la vie de l’individu, (la trajectoire)
Ce qui distingue le développement d’enfants par rapports à d’autres et événements de vie
Difficile à mettre en œuvre et à réaliser : 30 ans, multi-générationnelle

On observe les divorces, les morts, mortalités, succès scolaires
Mais pas seulement : On mesure les différentes dimensions selon les approches →
Les traits de personnalité corrélés à la déviance, les indicateurs sur représentations du monde, façon de percevoir la vie

Études qui posent des questions selon la science déjà existante(c’est ce qu’on appelle intégrative)

Pari est tenu : On observe des constantes qui parlent d’une relation robuste entre l’âge et le crime ET les différentes possibilités qui s’offrent au jeune

1er constat → les comportements délinquants sont rares avant 10 ans; –même la déviance ?—

  1. Normalité de la délinquance, mais minorité de
    jeunes très actifs
    2e constat → La délinquance commise par les jeunes est «normale», la majorité commettent des délits, infractions à l’adolescence.

Toutefois :
La règle de 5/50→ 5% des jeunes produisent 50% de la délinquance 3-12%, près de 40-60%, au-delà du chiffre précis, règle toujours observée
(—`;à rajouter en haut : mêmes explications pour délinquance et déviance)

  1. Délinquance surtout au début de l’adolescence,
    culmine vers 16-17 ans, puis chute… sauf pour minorité de jeunes
    Le déclenchement surtout au début de l’adolescence (10-14 ans)
    Culminant vers 16-17
    Disparaît à l’âge adulte

Minorité continue au-delà de l’âge adulte
*
*
*
Sont devenus 3 aspects incontournables quand tu veux expliquer la délinquance. On a des constantes/régularités dans la manifestation du phénomène qui fait en sorte que les nouvelles explications doivent rendre compte de ces constats (d’où le développement des théories intégratives)

Théorie populaire en crimino, repris par plusieurs auteurs,

A) Théorie générale du crime
► Gottfredson et Hirschi (1990) A general theory of crime:
origine dans théories du contrôle social (Hirschi, 1969)
*
La première formulation date de la fin des années 90, donc bcp des constats sont devenus des faits avérés, incontournables des études, etc.

*
► Trait commun aux criminels (incluant jeunes):
absence/faible contrôle de soi, difficulté à contrôler
impulsion et satisfaction des désirs
Tout ce qu’on associe à l’État et valeurs traditionnelles avait tendance à tout expliquer (perte de repères, etc.) → thèse retravaillée vers les conséquences du manque de contrôle, sans persister sur l’idée du traditionalisme

Manque de contrôle(de soi) = trait commun à tous les criminels
Donne le côté général selon eux.
Sont des individus qui ne savent pas ou ne peuvent pas contrôler leurs désirs
Le crime apparaît comme un moyen d’obtenir une gratification immédiate

Pas sans fondement ni sans hasard → objectif d’une théorie générale → concepts d’horizons différents(choix rationnel)

► Lacunes développée dans l’enfance: environnement
(familial) exerçant un faible contrôle
MAIS aussi les perspectives développementale → Pas à la naissance – trait acquis pendant l’enfance –
Les premières manifestations de comportements déviants émergent dans l’enfance
Se maintiennent à cause d’un faible contrôle familial

Aspect normatif à la théorie : absence de conséquences, discipline, négligence, laisser les choses passer, pas de cadre familial cohérent (afro-américains, pas théorie neutre)

► Importance des opportunités délinquantes: avant 10 ans,
Pratiquement nulles, se multiplient à l’adolescence

► Faible contrôle de soi stable une fois en place… Alors
comment expliquer désistement? Opportunité et capacité
varient selon l’âge?
Si le faible contrôle de soi est la source de délinquance, c’est pas la condition essentielle : ce qui manque c’est l’opportunité :: avant 10 ans, pas vraiment de potentiel, trop petit, cercle de connaissances étroit, (pas le moyen de ses désirs)

Pour gottfredson et Hirschi, c’est à l’adolescence que leur cercle est assez élargi, potentialité présente pour commettre des délits

Corollaire à la théorie : le niveau de contrôle de soi n’Est pas qqchose qui change beaucoup dans le temps; faible contrôle de soi, impulsif à l’adolescence va l’être à l’âge adulte

Alors pourquoi ça n’Explique pas le désistement ? pourquoi à l’âge adulte ça n’arrête pas ?
Le but c’est l’opportunité criminelles.
Passé l’âge de 20 ans, les opportunités diminuent ou demandent davantage d’efforts.
Donc les adultes qui abordent la 30aine, moins de moyens à mettre au profit d’une infraction
Plus la commission de crimes devient difficile (la vie d’une personne de 40 ans différent que 15 ans) :: pas le même univers

Mais n’Explique pas la 20aine…
ET
n’Explique pas la normalité de la criminalité des jeunes non plus

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  1. Déviance, troubles et délinquance
  2. Facteurs de délinquance (texte)
  3. Les explications de la délinquance : trois perspectives
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    B) Facteurs psychologiques

3.2 Les forces sociales
A) L’apprentissage social
B) Théories de la tension sociale (strain theories)

→3.3 Les approches développementale
A) Théorie générale du crime
→B) Théorie de Moffit (1993, 2006)

A

B) Théorie de Moffit (1993, 2006)
Cherche à reconstituer des trajectoires individuelles
Essayer d’établir des trajectoires-types
► Dichotomie entre majorité de délinquants temporaires et
minorité de persistants: deux chemins/trajectoires
Intégrer le maximum de connaissances facteurs explicatifs de la délinquance pour savoir si ces facteurs avaient tendance à se grouper ensemble,
Ont-ils tendance à se concentrer chez certains jeunes ?

Point de départ : différence entre majorité qui persiste et minorité de persistants
Pour Moffit, il existe deux ensembles de causes à la délinquance (2 grands ensembles de facteurs explicatifs) – 2 étiologies distinctes; jeunes distincts qui n’en sont pas promis au même avenir

► Cas #1: délinquants très actifs, persistant à l’âge adulte:
- Comportements déviants asociaux plus précoces,
amplifiés par environnement à risque (famille)
Cas de familles négligentes/abusives/dysfonctionnelles
Milieux à risque → pas le simple fait que dysfonctionnel
Autre facteurs qui l’explique

  • Fragilité neuropsychologique innée ou acquise
    (Cette fragilité peut s’acquérir aussi)
    Particulièrement vulnérable à ce genre d’environnement
    Souvent ce sont des déficits cognitifs légers, certains traits hyperactifs, mais dans environnements à risque le problème(fragilité) est amplifié
  • En vieillissant, environnements à risque augmentent
    (pairs, école, relations amoureuses, travail), donc
    manifestations de comportements déviants/délinquants
    Risque d’augmenter la variété d’environnements à risque, ne sont que d’autres situations où les séquelles sont caractérisées par comportements violents, antisociaux. Autrement dit, continue de socialiser comme il l’a appris

Fait partie d’un ensemble plus large de comportements déviants : négligence qui remonte à l’enfance

  • Trajectoire au pronostic pessimiste
    Si l’enfant n’est pas isolé très jeune, il est trop tard pour influencer sur les facteurs de risque de ce jeune-là.
    ► Cas #2: délinquants limités à l’adolescence
  • Délinquance plus tardive (maturity gap), manifestation
    normale du flottement entre enfance et âge adulte
    Pas avant la puberté, pendant la période qu’on appelle la ‘maturity gap’, entre enfance et adolescence, période de flottement

Fréquent et normal que le comportement déviant apparaisse, dont certains sont fortement délinquants, normal que y’ait pour les adolescents des comportements déviants.

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  • Déviance /délinquance comme voie d’autonomie et
    de socialisation (vs parents), suivant exemple de
    jeunes commis à délinquance (apprentissage)
    Pour la délinquance, ou la vie déviante, représente qqchose de tentant et séduisante Cette vie associée au fait de transgresser, permet affiliation, reconnaissance par les pairs, etc. Peut être bien perçu ds un groupe de jeunes
  • Désistement suivant adolescence: absence de carence
    chronique = accès à mode de vie conventionnel
    …Sauf si pièges/obstacles: dépendances, accès
    scolaire limité, casier judiciaire, détention
    Pas de carences chroniques, maintiennent liens avec leur famille, adhèrent aux activités normatives, le vieillissement amène ou apporte l’accès légal/conventionnel le moyen de satisfaire les désirs, besoin d’indépendance

À moins que, l’adolescent rencontre des pièges le long de song parcours. Des événements de vie qui le font trébucher, qui l’empêchent de transitionner vers un mode de vie conventionnel. Ou même de commencer à intégrer une vie délinquante, POURQUOI ?

Dépendance, toxicomanie : peut mener à des comportements déviants
Accès limité à l’éducation : après le primaire, plus d’école ?
Dans certains milieux sociaux, l’école est tellement difficile d’accès (manque de leviers d’accès)
ET AUSSI : Une intervention inappropriée du système pénal( le prof l’aime bcp) Ex : Donner un casier judiciaire au Canada à un enfant. Ou alors, arrêté pour quelque chose de léger, et on se fait envoyer sous garde pendant 6 mois en prison de réforme. Si le prof n’était pas déjà emprisonné dans la vie délinquante, il va vivre un traumatisme de 6 mois, fort probable qu’on crée le problème(monter les enjeux), système qui doit faire face à cette possibilité

qu’est-ce que ça veut dire ? Difficile de faire un jugement d’ensemble, pas une théorie unique. Y a des cheminements individuels.
Les théories tiennent en compte que ce sont les facteurs qui s’accrochent à l’individu qui sont importants. C’Est regarder la nécessité le parcours de chaque individu.

Un individu peu très bien avoir une famille inadéquate et pas avoir de comportements déviants. Pas pourquoi vulnérabilité dans l’enfance que ça demande une intervention. Chaque cas doit être évalué dans les facteurs qui s’attachent à la personne

Qu’est-ce qui peut influencer, qu’est-ce qui a comme acteurs de risque.

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