Cours 1 Flashcards

1
Q

Def. psychologie sociale (selon Allport)

A

Une discipline scientifique qui vise à comprendre et à expliquer la façon dont les pensées (processus cognitifs), les sentiments (motivation + émotions) et les conduites (comportements) des individus sont influencés par la présence réelle, imaginaire ou implicite d’autrui.

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2
Q

Quels sont les 3 piliers de la psychologie moderne selon le prof?

A
  • Processus cognitifs
  • Émotions et motivation
  • Comportement
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3
Q

Qu’est-ce qu’on appelle le “sens commun”?

A

L’expérience personnelle ou les croyances de notre époque et de notre culture.

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4
Q

Comment est-ce qu’on peut décrire la vision du monde qui relève de ce “sens commun”? (2 mots)

A

Le “sens commun” relève une vision du monde subjective et partiale.

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5
Q

Contrairement au “sens commun”, on a vu dans a définition de la psychologie sociale, que la psychologie sociale est une discipline scientifique. Explique pourquoi on peut dire ça.

A

Puisqu’elle repose sur des observations et des expérimentations qui transcendent le sens commun et l’expérience subjective.

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6
Q

Vrai ou faux : Nous n’agissons pas de la même façon / nous ne sommes pas la même personne, selon que nous sommes en contact ou non avec un groupe et nous agissons différemment selon le groupe avec lequel nous nous trouvons.

A

Vrai. Ça fait référence à la définition de la psychologie sociale qui dit que nos comportements sont influencés par autrui.

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7
Q

Vrai ou faux : Selon la définition de la psychologie sociale d’Allport, l’influence d’autrui s’arrête à nos comportements.

A

Faux. L’influence d’autrui va bien au-delà de nos comportements. Les autres agissent sur nous en modifiant non seulement la façon dont nous nous comportons en leur présence, mais aussi nos pensées et nos émotions.

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8
Q

“Les autres” modifient quels aspects de nos pensées? (2)

A
  • Les processus cognitifs.
  • Notre perception de la réalité.
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9
Q

Explique un peu ce qu’est la réalité socialement partagée.

A

Même si nous arrivons à croire que notre réalité est unique, indépendante et cohérente, elle a essentiellement une origine sociale.
-> Lire haut de la diapo 6 pour voir ce que j’avais noté.

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10
Q

3 aspects des émotions sont sensibles à la présence des autres. Nomme ces 3 aspects. (3)

A
  • Dans leur origine.
  • Dans leur expression.
  • Dans leur interprétation.
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11
Q

Dans la définition d’Allport, la présence des autres peut être réelle, imaginaire ou implicite. Explique comment la présence réelle des autres peut modifier notre comportement, nos pensées et nos émotions.

A

Nous n’agissons pas de la même façon quand nous sommes en compagnie des autres et quand nous sommes seuls.
-> Ex. Laurie travaille beaucoup plus fort sur ses cours lorsqu’elle est en équipe que lorsqu’elle est seule.

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12
Q

Dans la définition d’Allport, la présence des autres peut être réelle, imaginaire ou implicite. Explique comment la présence imaginaire des autres peut modifier notre comportement, nos pensées et nos émotions.

A

Nous subissons l’influence des autres même s’ils ne sont pas physiquement présents (des gens qu’on connaît ou nos idoles à qui on n’a jamais parlé) ou n’ont pas d’existence réelle (ex. personnages de cinéma, de littérature, etc.). On agit “comme si” ils étaient là.
-> Ex. Laurie s’identifie à Lady Gaga, dont elle adopte le style et les opinions politiques.

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13
Q

La “construction sociale” qu’on se fait des autres nous permet de faire quoi?

A

Elle nous permet de transformer l’image des autres selon nos attentes, nos humeurs, nos expériences personnelles, etc. En somme, on ne communique jamais tout à fait avec autrui, mais avec l’image que nous nous en faisons.
-> Ex. Laurie voir parfois ses parents comme des êtres qui l’aiment et qu’elle aime et parfois comme les censeurs qui l’empêchent de profiter de la vie comme elle l’entend.

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14
Q

Dans la définition d’Allport, la présence des autres peut être réelle, imaginaire ou implicite. Explique comment la présence implicite des autres peut modifier notre comportement, nos pensées et nos émotions.

A

Nous subissons l’influence des autres par le biais des lieux, des symboles, etc., qui nous rappellent notre culture et ses normes sociales.
- C’est pré-conscient, on ne le réalise Ø.
-> Ex. Laurie parle à voix basse è la bibliothèque même si personne n’est près d’elle, car c’est un lieu qui impose implicitement le silence.

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15
Q

Concernant l’histoire de la psychologie sociale, Platon divisait l’esprit humain en trois composantes. Quelles sont-elles?

A
  • Le cognitif (les idées).
  • L’affectif (les sentiments).
  • Le conatif (la volonté).
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16
Q

La psychologie contemporaine définit trois dimensions importantes de l’être humain. Quelles sont-elles?

A
  • La cognition (la pensée).
  • L’émotion (les affects).
  • L’intention (le comportement).
    -> En psychologie sociale, on parle de croyances pour désigner l’aspect cognitif et d’attitude pour désigner l’aspect affectif.
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17
Q

En 1908, quels auteurs ont publié chacun un livre intitulé “Social Psychology”? (2)

A
  • William McDougall, psychologue.
  • Edward Ross, sociologue.
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18
Q

Qui est le père de la psychologie sociale moderne?

A

Kurt Lewin.

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19
Q

Lewin a appliqué aux groupes humains le principe de base de l’école de pensées de la Gestalt. Quel est ce principe?

A

Le tout est plus grand que la somme des parties.
-> Un groupe n’est jamais la simple juxtaposition des tempéraments, des volontés et des émotions des individus qui le composent. De tout groupe social, il émerge des forces qui lui sont propres : celles-ci ne se trouvent dans aucun des membres du groupe; elles sont donc un produit social.

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20
Q

Explique ce qu’est le pouvoir de la situation.

A
  • L’un des principaux postulats de la psychologie sociale est que l’environnement, et plus particulièrement l’environnement social, nous influence plus que nous le pensons (nos attitudes et nos croyances ne contrôlent Ø nécessairement notre comportement).
  • Nous baignons dans un monde social dont nous ne percevons pas toujours l’influence sur nous-même.
    -> Le béhaviorisme dit qu’on ne fait Ø de libre choix, que nos choix sont contrôlés par notre environnement.
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21
Q

Depuis les années 1970, la psychologie sociale, comme la psychologie en général, est dominée par quel courant?

A

Par le courant cognitiviste (la psychologie cognitive).

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22
Q

Explique ce qu’est le pouvoir de la réflexion.

A
  • La perception que nous avons de la réalité résulte toujours d’une construction mentale. Nous passons une partie non négligeable de notre vie à tenter de donner un sens aux actions des autres, car nous en avons besoin pour nous orienter dans la réalité sociale.
  • L’individu cherche plus à se faire de la réalité une représentation
    socialement efficace qu’intellectuellement juste (on tente d’évaluer quels seront, dans un environnement social donné, les meilleurs comportements à adopter, les meilleures opinions à soutenir, etc.). C’est pourquoi la psychologie sociale se livre à une étude systématique de la subjectivité, notamment en accordant une grande importance au rôle des biais cognitifs.
    -> Voir diapo 6 bas à droite, pour ce que le prof parlait.
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23
Q

Nomme les théories dominantes en psychologie sociale? (6)

A
  • Théorie des rôles.
  • Théories de l’apprentissage.
  • Théories de l’échange social.
  • Théories de l’attribution.
  • Théories de la consistance cognitive.
  • Théories du traitement de l’information.
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24
Q

Explique ce qu’est la théorie des rôles.

A
  • Comme un acteur sur une scène, l’individu joue divers rôles dans la société.
  • D’une situation sociale à l’autre, nous changeons de comportement en fonction du personnage que nous croyons devoir jouer.
    -> Ex. Dans la société québécoise, changer les couches d’un bébé s’inscrit dans un rôle de père.
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25
Q

Explique ce que sont les théories de l’apprentissage.

A
  • L’être humain adopte les croyances, les attitudes et les comportements qui sont renforcés dans sa collectivité et évite ceux qui y sont punis.
  • Ces théories s’inspirent du béhaviorisme et du béhaviorisme cognitif. Elles expliquent le comportement en faisant appel aux notions de renforcement et de punition.
    -> Ex. Dans les groupes que fréquente Laurie, être végétarienne est un mode de vie cool.
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26
Q

Explique ce que sont les théories de l’échange social.

A
  • Telles les opérations financières, les relations interpersonnelles se font sur un mode coûts-bénéfices.
  • Ces théories font partie des théories de l’apprentissage, mais ajoutent des notions tirées de théories d’inspiration cognitive.
  • Selon ces théories, le comportement se modifie selon les récompenses et les coûts qui y sont associés. Il s’agit des comportements qui font intervenir une interaction entre deux personnes pour laquelle les deux personnes calculent les récompenses et les coûts qui résulteront de cette interaction.
    -> Ex. Une personne se demande s’il n’est pas préférable d’affronter la solitude que de poursuivre une relation qui lui apporte peu de plaisir et de valorisation.
    -> Voir diapo 7 pour ce que j’ai écrit.
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27
Q

Explique ce que sont les théories de l’attribution.

A
  • L’être humain attribue des causes aux comportements d’autrui et à ses propres comportements pour arriver à se créer un monde prévisible et cohérent.
  • On cherche à comprendre un argument pour pouvoir le manipuler et le prédire (ce que le prof a dit).
    -> Ex. Catherine a trouvé ce film fantastique. Pas surprenant, Catherine trouve tout fantastique, c’est son caractère!
28
Q

Explique ce que sont les théories de la consistance cognitive (synonyme = dissonance cognitive).

A
  • L’être humain gère des contradictions internes. Il tente d’assurer l’unité à l’intérieur de soi, malgré les éléments contradictoires qui l’habitent.
  • Ces théories font aussi référence aux relations qui existent entre les croyances et les comportements et comment l’un peut changer l’autre.
    -> Ex. Ouais, je ne devrais pas prendre un apéro à 11h du matin… mais après tout c’est ma fête.
29
Q

Explique ce que sont les théories du traitement de l’information.

A
  • L’être humain interprète et intègre les messages de l’environnement.
  • Ce sont des théories cognitives : elles ont pour but de débusquer, et d’expliquer autant que possible, les différents processus que le cerveau humain utilise pour percevoir son environnement, le comprendre et y réagir.
    -> On me dit que le noir m’amincit. Pas folle, je comprends très bien qu’on me traite de grosse!
30
Q

Nomme les nouvelles approches en psychologie sociale. (4)

A
  • Psychologie interculturelle.
  • Processus automatiques d’adaptation.
  • Psychologie évolutive.
  • Neurosciences sociales.
31
Q

Explique la psychologie interculturelle.

A
  • Les comportements sociaux s’inscrivent dans une culture et une époque données (l’individu évolue au sein de ceux-ci). Les comportements sociaux diffèrent d’une culture à l’autre et d’une époque à l’autre.
    -> Ex. La recherche du bonheur individuel est une valeur fondamentale en Occident, aujourd’hui.
    -> C’est une nouvelle approche parce que dans l’approche béhaviorale traditionnelle on croyait qu’il n’y avait pas de différences inter-culturelles. On considère les aspects de la psychologie sociale comme étant de moins en moins universels.
32
Q

Explique les processus automatiques d’adaptation.

A
  • En société, l’être humain fonctionne à deux vitesses, alternant entre les réponses automatiques (+ rapides) et les comportements réfléchis (+ lents).
  • Nous agissons dans la plupart des situations de la vie quotidienne en obéissant de façon automatique à des routines intégrées par notre cerveau (certains comportements qu’on a sont automatiques = synonyme de “pré-conscient”).
    -> Ex. J’ai demandé machinalement à Camille comment elle allait. Quand elle m’a répondu “Mal!”, je me suis arrêtée et me suis mise à l’écouter attentivement.
33
Q

Explique la psychologie évolutive.

A
  • Théorie en lien avec Darwin.
  • Les comportements sociaux dérivent de notre patrimoine génétique collectif.
  • Notre cerveau s’est configuré en intégrant les modes de pensée et d’action qui ont permis à notre espèce de survivre et de se reproduire.
    -> Ex. La peur des prédateurs ou des individus potentiellement dangereux est inscrite dans nos gènes.
34
Q

Explique les neurosciences sociales.

A
  • Les substrats physiologiques sont à la base de nos comportements.
  • Elles permettent de comprendre les supports physiologiques du comportement social.
    -> L’empathie fait appel à des neurones miroirs situés dans des régions sous-corticales du cerveau.
35
Q

Qu’est-ce que les types de psychologie suivants étudient :
a) La psychologie générale
b) La psychologie sociale

A

a) Elle étudie la relation entre un sujet (une personne) et un objet.
b) Elle étudie la relation entre deux sujets (ou plus) face à un objet.

36
Q

Les types de psychologies suivantes se distinguent, car elles s’intéressent à des choses différentes. À quoi s’intéressent-elles :
a) La psychologie de la personnalité
b) La psychologie sociale

A

a) Elle met l’accent sur les différences individuelles.
b) Elle s’intéresse aux interactions entre les individus et aux facteurs situationnels qui expliquent leur comportement.

37
Q

Quelles sont les ressemblances entre la psychologie sociale et la sociologie?

A

Les deux disciplines s’intéressent aux mêmes phénomènes et utilisent certains des mêmes concepts.

38
Q

Quelle est la principale différence entre la psychologie sociale et la sociologie?

A

La principale différence réside dans les méthodes scientifiques utilisées.

39
Q

Nomme les différences (2) entre :
a) La psychologie sociale
b) La sociologie

A

a) Elle s’appuie en grande partie sur l’expérimentation et est centrée sur l’individu.
b) Elle a davantage recours à l’observation et est centrée sur les groupes.

40
Q

Nomme 4 méthodes scientifiques qu’on peut également utiliser dans la vie de tous les jours (nommées dans le texte).

A
  • Observation
  • Enquête
  • Corrélation
  • Expérimentation
41
Q

Explique les méthodes scientifiques :
a) Observation
b) Enquête
c) Corrélation
d) Expérimentation

A

a) On note les comportements des participants en milieu naturel ou dans un laboratoire.
-> Ex. On observe les réactions des Québécois dans un lieu fréquenté principalement par des immigrants.
b) On sonde les gens pour avoir leurs opinions.
-> Ex. On demande à un échantillon représentatif de Québécois leur opinion sur les immigrants.
c) On identifie les liens - Ø nécessairement causaux - entre deux variables.
-> Ex. On vérifie si le statut socioéconomique des Québécois est lié à leur opinion sur les immigrants.
d) On manipule des variables en laboratoire pour dégager des liens de causalité entre deux variables.
-> Ex. On vérifie si l’attitude de participants québécois à propos des immigrants change après la présentation d’une publicité vantant les avantages de la venue des immigrants.

42
Q

Def. observation systématique

A

Méthode de recherche qui permet de décrire le comportement des sujets observés indépendamment de toute intervention du chercheur (chercheur intervient Ø).

43
Q

Def. observation participante

A

Méthode de collecte des données où l’observateur se joint à un groupe et participe à ses activités tout en notant les comportements des membres du groupe.

44
Q

Dans la méthode de l’enquête, quels outils est-ce que les chercheurs peuvent utiliser pour sonder les gens? (2)

A
  • Un questionnaire standardisé (on l’utilise notamment dans un type particulier d’enquête : le “sondage d’opinions”).
  • Réaliser une entrevue.
45
Q

Pour pouvoir généraliser les résultats obtenus à partir d’un échantillon, comment doit être cet échantillon?

A

Il doit être représentatif de la population qu’il compte observer.

46
Q

Comment est-ce qu’on peut obtenir un échantillon représentatif d’une population?

A

On doit effectuer de l’échantillonnage aléatoire, basé sur le hasard statistique, et qui donne à chaque individu une chance égale de figurer dans l’échantillon.

47
Q

Def. méthode corrélationnelle

A

Méthode de recherche où l’on mesure deux variables (ou plus) afin de vérifier s’il existe une relation entre elles.

48
Q

Def. méthode expérimentale

A

Méthode de recherche par laquelle au moins un facteur (la variable indépendante) est manipulé systématiquement pour déterminer si la modification effectuée a un effet sur un autre facteur (la variable dépendante).
-> C’est la seule méthode qui permet de faire des liens de cause à effet.

49
Q

Def. variable indépendante

A

Variable que le chercheur manipule systématiquement dans une expérience.

50
Q

Def. variable dépendante

A

Variable que le chercheur mesure pour déterminer l’influence de la variable indépendante sur le comportement.

51
Q

Def. groupe expérimental

A

Groupe qui est soumis à la manipulation expérimentale.

52
Q

Def. groupe témoin

A

Groupe qui n’est pas soumis à la manipulation expérimentale.

53
Q

Les règles d’éthique interdisent au chercheur de faire quoi?

A

De porter atteinte à l’intégrité physique ou morale des participants.

54
Q

Def. consentement éclairé

A

Consentement donné par le sujet une fois qu’on l’a mis au courant des objectifs de la recherche, de la façon dont elle va se dérouler, des risques qu’elle comporte et des bénéfices qu’il pourrait en tirer.

55
Q

Def. duperie

A

Procédé consistant à ne pas divulguer aux sujets toute l’information - ou la bonne information - sur l’objectif de la recherche ou son déroulement, afin de ne pas modifier leur comportement et de ne pas invalider les résultats de la recherche.
-> Les véritables objectifs doivent être divulgués au participant une fois l’expérience terminée.

56
Q

Def. consentement libre

A

Consentement donné par le sujet sans qu’on l’ait manipulé, contraint ni influencé outre mesure.
- Le sujet doit avoir la possibilité, en tout temps, de revenir sur sa décision de participer à la recherche.
- En général, le consentement n’est pas libre lorsqu’il y a menace de privations ou promesse de gratifications.

57
Q

Nomme un avantage et une limite des recherches effectuées sur le terrain :
a) Avantage
b) Limite

A

a) C’est un milieu plus naturel.
b) Elles ne permet pas un contrôle aussi serré des variables, ce qui peut rendre difficile l’interprétation des relations entre celles-ci.

58
Q

Nomme un avantage et des limites des recherches effectuées en laboratoire :
a) Limites (3)
b) Avantage

A

a) - Elles se prêtent moins bien que le terrain à l’étude de la modification des attitudes sur des questions importantes.
- Elles se contentent d’isoler un nombre restreint de variables = difficile de reconstituer les évènements de la vie quotidienne, qui font intervenir simultanément de nombreuses variables.
- Elles doivent se dérouler pendant une période relativement brève, le plus souvent moins d’une heure (Ø possible d’étudier des phénomènes à longue durée).
b) Elles permettent de vérifier l’existence des relations causales entre les variables.

59
Q

Def. réalisme expérimental

A

Caractère d’une recherche qui suscite l’engagement cognitif et émotif du sujet.

60
Q

Def. réalisme trivial

A

Caractère d’une recherche qui lui confère une ressemblance avec une situation de la vraie vie.

61
Q

Quel réalise est le plus important dans une recherche :
a) Le réalisme expérimental
b) Le réalisme trivial

A

a) Le réalisme expérimental

62
Q

Vrai ou faux : La psychologie sociale est seulement centrée sur la recherche, elle n’est Ø appliquée.

A

Faux. Avant elle était centrée sur la recherche, mais elle devient de plus en plus appliquée.

63
Q

En psychologie sociale, les chercheurs mettent l’accent sur… (2)
RÉSUMÉ

A
  • L’importance de la situation dans les interactions de l’individu.
  • L’analyse des processus de pensée qui traitent les informations fournies par l’environnement.
64
Q

Les théories classiques de la psychologie sociale ont décrit 2 choses sous plusieurs aspects. Quelles sont ces 2 choses?
RÉSUMÉ

A
  • Les processus d’interaction des individus.
  • L’élaboration des représentations de la réalité qui guident l’action.
65
Q

Aujourd’hui, de nouvelles perspectives accordent plus de poids à différentes influences. Les recherches contemporaines permettent donc de mieux documenter ces influences qu’auparavant. Donne des exemples de nouvelles perspectives. (4)
RÉSUMÉ

A
  • La culture.
  • Les implications de l’évolution des espèces.
  • Le caractère automatique de nombreux comportements sociaux de l’animal humain.
  • Les processus physiologiques qui sous-tendent la production de pensées et de comportements essentiels à la survie ainsi que l’adaptation de l’individu à son milieu.
66
Q

La psychologie sociale se distingue du sens commun par son recours à des méthodes de recherche rigoureuses Nommes en. (4)
RÉSUMÉ

A
  • L’observation.
  • La mise au jour des opinions des individus par la méthode d’enquête.
  • L’établissement de liens entre variables par la méthode corrélationnelle.
  • La détermination de facteurs causaux grâce à la manipulation des variables qu’autorise la méthode expérimentale.