Cours 1 Flashcards

1
Q

locution latine de « adolescent »

A

adolescentia (de adolescere)

  • grandir/croître (ad)
  • vers (olescere)
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2
Q

L’adolescence est une période d’expérimentation. Expliquez.

A

L’adolescent à plus de capacités qu’un enfant mais pas les responsabilités de l’adulte. C’est une période d’expérimentation de cet entre-deux.

Mais ce n’est pas une accalmie pour autant, il y a de la diversité et intensité.

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3
Q

âge adolescence au québec

A

entre 12 et 18 ans

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4
Q

âge adolescence aux É-U

A

entre 12 et 21 ans

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5
Q

âge adolescence selon les nations unies

A

entre 10 et 19 ans officiellement

entre 15 et 24 ans pour les statistiques

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6
Q

au 18e siècle et au début du 19e siècle, à quelle âge quittions-nous nos parents ?

A

quitte parents à 14 ans

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7
Q

Quel a été un des effets de l’industrialisation au début du 20 siècle, en lien avec les parents et leurs enfants ?

A

Continuité et indifférenciation parents-enfants (mais autorité)

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8
Q

que ce passe-t-il de la DGM - milieu des années 1970?

A

renversement de l’équilibre des relations intergénérationnelles

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9
Q

Que se passe-t-il dans les années 1980 en lien avec la postadolescence ?

A

Différence entre “vivre loin de chez soi” et “quitter ses parents”. Le facteur fondamental de l’entrée dans le monde adulte n’est plus de quitter le domicile ; c’est lors de la modification des rapports de pouvoir.

Une forme d’irresponsabilité repoussée au-delà de l’adolescence physiologique.

Difficultés grandissantes d’accès à l’emploi = compensations offertes par les parents aux postadolescents (mais a l’effet implicite de refuser le pouvoir).

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10
Q

postadolescence

A

Entre 17-18 ans et 30 ans environ

Une phase intermédiaire entre adolescence et maturité

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11
Q

La postadolescence est une période de grands choix personnels. Expliquez.

A

Dépendance parentale -> indépendance psychique et matérielle graduelle (grâce aux choix sentimentaux, professionnels, etc.)

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12
Q

Lors de la postadolescence, il y a un processus “d’adultisation”. Expliquez.

A

Rencontre avec la réalité et donc les responsabilités, provoque le processus d’adultisation (pas automatique).

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13
Q

Qu’est-ce que le risque traumatique de la postadolescence ?

A

Risque traumatique que pose la post-adolescence.

Lors de l’entrée dans la post-adolescence, il y a nécessité de faire des choix de vie (chose que l’adolescent n’a pas vraiment à faire, car il n’est pas heurté par les responsabilités de la vie adulte).

Dépendamment de comment ca se produit, cela peut générer des traumatismes.

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14
Q

L’adolescent fonctionne avec le principe de ________, alors que le postadolescent fonctionne avec le principe de ____________.

A

L’adolescent fonctionne avec le principe de plaisir, alors que le postadolescent fonctionne avec le principe de réalité.

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15
Q

On dit que l’adolescent fonctionne avec le principe de plaisir, alors que le postadolescent fonctionne avec le principe de réalité. Expliquez.

A

adolescent

  • puberté : nouvelle apparence qui permet de “jouer” aux adultes sans nécéssité de l’être.

postadolescence

  • Désillusion des ideaux adolescents
  • Effondrement de la toute-puissance
  • Angoisse de l’inconnu
  • Séparation psychique réelle (parents)
  • Sensation de changements permanents : absence de maîtrise face à une réalité toujours en mouvement.
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16
Q

Définition juridique de l’adolescence

Début et fin

A

Début : Âge légal pour rester seul à la maison

Fin : Majorité (18 ans)

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17
Q

Définition biologique de l’adolescence

Début et fin

A

Début : Apparition des changements physiques et sexuels.

Fin : Capacité de faire un enfant.

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18
Q

Défintion psychologique de l’adolescence

Début et fin

A

Début et fin : varie selon l’approche

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19
Q

Selon Bergeret (école française), que se passe-t-il à l’adolescence ?

psychanalyse

A

Tout se rejoue (stades oraux, anaux, phalliques) et dernière chance de structuration de la personnalité.

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20
Q

En quoi la vision de Bergeret (école française) et de Kernberg (école américaine) est différente en lien avec l’adolescence ?

A

Selon Bergeret, l’adolescence est la dernière chance de structuration de la personnalité. Selon Kernberg, la restructuration est possible même après l’adolescence.

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21
Q

L’approche cognitivo-comportementale

A

Est avant tout une approche thérapeutique. Selon cette approche, la personne se développe en termes d’apprentissages.

Le côté “cognitivo” (ou cognitif)

  • Piaget et la pensée opératoire formelle
  • L’abstrait
  • La métacognition

Le côté comportementale

  • conditionnement classique
  • conditionnement opérant
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22
Q

Ladolescence selon l’approche humaniste

A

Selon l’approche humaniste, l’humaine cherche toute sa vie à atteindre l’actualisation de soi.

Rogers parle de 2 plans d’analyses :

  • Interactions parents-enfants
  • Structures psychologiques internes

L’estime de soi, concept central pour Rogers, est largement dépendante des parents à l’enfance. Qu’en est-il de l’adolescent ? : c’est un équilibre entre les interactions avec les parents et les structures psychologiques internes.

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23
Q

L’adolescence selon l’approche systémique

A

Issu du modèle écologique de Barker (1955) : comportement observé est le résultat d’un lien écologique entre les caractéristiques de la personne et son contexte.

  • Adolescence : augmentation du nombre de milieux et donc de contextes, ce qui l’amène à jouer plusieurs rôles et élargir son nombre de comportements possibles.

Modèle écosystémique de Brofenbrenner (1979) : il y a différents types de contextes.

L’approche systémique reconnaît donc l’importance de l’environnement sociale t permet de ne pas réduire l’adolescent à sa psyche, sa génétique, ses changements pubertaires, etc.

ex : thérapie familiale ou de guidance parentale

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24
Q

vision de l’adolescence à l’antiquité

A

À l’antiquité, Aristote sépare le développement en période.

On voit donc ici que l’adolescence comme stade développemental est tributaire du contexte socioculturel et historique.

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25
Q

Le terme « adolescence » date de quelle époque ?

A

XVe siècle

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26
Q

À quelle époque l’adolescence a fait objet d’étude ou d’intérêt scientifique pour la première fois ?

A

Outre l’utilisation du terme, l’adolescence n’a pas fait l’objet d’étude ou d’intérêt scientifique entre Aristote et le début du XXième siècle avec les travaux de Stanley Hall.

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27
Q

Qu’est-ce que l’adolescence selon Stanley Hall ?

A

Selon Hall, le développement de l’adolescent serait déterminé par la génétique.

  • Grandement influencé par la théorie de l’évolution, Hall compare l’adolescence à quand l’homme vivait dans des sociétés tribales.
  • Période cruciale pour la détermination des rôles sociaux et des valeurs et la formation de relation interpersonnelle.

Hall serait le responsable de l’association entre crise et adolescence.

  • Augmentation des affects
  • Augmentation des comportemetns délinquants
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28
Q

Des orientations générales tentent de guider le futur de la recherche sur l’adolescent. Lesquels ?

7 choses

A
  • Aller au-delà du niveau descriptif
  • Oublier la vision problématique et se tourner vers les forces
  • Tenir compte du contexte de développement
  • Prendre en compte l’enfance et l’âge adulte (le avant et le après)
  • Élargir l’horizon culturel
  • Le rôle de la génétique
  • Voir le jeune comme acteur principal dans son propre développement
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29
Q

ménarche

A

début des menstruations

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29
Q

Crise d’adolescence

A

Un moment temporaire de déséquilibre qui remet en question l’équilibre normal de l’individu qui peut le mener vers un déséquilibre pathologique. L’évolution de la crise dépend à la fois de facteurs internes et externes.

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30
Q

Est-ce que la puberté est plus précoce qu’avant ?

A

Diminution de 3 ans environ chez les jeunes filles depuis 1840 à aujourd’hui.

On ne sait pas pourquoi, ce n’est pas clair :
* perturbateurs endocriniens ?
* obésité ? (certaines études disent le contraire)
* augmentation du stress interne qui cause débalancements hormonaux (plus grand consensus)

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31
Q

Les adolescents sont-ils plus délinquants qu’avant ?

A

diminution de tout crimes confondus depuis 2010-2020 :
* crimes contre la personne
* crimes contre les biens
* autres crimes
* criminalité total

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32
Q

Les adolescents sont-ils plus ouverts d’esprit qu’avant ?

A

Des boomers - gen Z :

  • Les adolescents supportent de plus en plus les protestations de BLM
  • Les adolescents supportent de moins en moins la police
  • environ 6/10 adolescents gen Z considèrent que les documents devraient offrir « autre » dans les choix de genre (plus que les autres générations)
  • de plus en plus d’améircains s’identifient comme LGBTQ+
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33
Q

Les adolescents ont-ils plus de problèmes de santé mentale qu’avant ?

A

Il y a une stabilité des problèmes externalisés (ex : comportements délinquants, consommation, trouble des conduites…)

Augmentation des problèmes internalisés (ex : anxiété, dépression) pour les filles, résultats mixtes pour les garçons

proportions selon l’âge de problèmes de santé mentale :
* 14 ans = 34.6%
* 18 ans = 48.4%
* 25 ans = 62.5%

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34
Q

% des adolescents de 14 ans avec problème de santé mentaux

A

34.6%

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35
Q

% des adolescents de 18 ans avec problème de santé mentaux

A

48.4%

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36
Q

% des adolescents de 25 ans avec problème de santé mentaux

A

62.5%

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37
Q

conception de l’adolescence selon Kernberg (école américaine)

A

restructuration possible même après l’adolescence

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38
Q

qui suis-je ? : Est avant tout une approche thérapeutique. Selon cette approche, la personne se développe en termes d’apprentissages.

A

approche cognitivo-comportementale

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39
Q

ceci est lié à quelle approche ? : piaget et la pensée opératoire formelle

A

approche cognitivo-comportementale

spécifiquement le côté cognitivo

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40
Q

ceci est lié à quelle approche ? : l’abstrait

A

approche cognitivo-comportementale

spécifiquement le côté cognitivo

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41
Q

ceci est lié à quelle approche ? : la métacognition

A

approche cognitivo-comportementale

spécifiquement le côté cognitivo

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42
Q

ceci est lié è quelle approche ? : conditionnement classique

A

approche cognitivo-comportementale

spécifiquement le côté comportementale

43
Q

ceci est lié à quelle approche ? : conditionnement opérant

A

approche cognitivo-comportementale

spécifiquement le côté comportementale

44
Q

qui suis-je ? : selon cette approche, l’humain cherche toute sa vie à atteindre l’actualisation de soi

A

approche humaniste

45
Q

selon l’approche humaniste, l’humain cherche toute sa vie à atteindre quoi ?

A

l’actualisation de soi

46
Q

selon quelle approche est-ce que rogers parle de 2 analyses : les interactions parents-enfants et les structures psychologiques internes ?

A

humaniste

47
Q

quels sont les 2 plans d’analyse de Rogers

A
  • interactions parents-enfants
  • structures psychologiques internes
48
Q

adolescence selon l’approche humaniste

A

Estime de soi, concept central pour Rogers, est largement dépendante des parents à l’enfance. Pour les adolescents, c’est un équilibre entre les interactions avec les parents et les structures psychologiques internes.

49
Q

qui suis-je ? : comportement observé est le résultat d’un lien écologique entre les caractéristiques de la personne et son contexte.

A

issu du modèle écologique de Barker (1955)

en lien avec l’approche systémique

50
Q

Selon le modèle écologique de Barker (1955), comment expliquer le comportement observé d’une personne ?

A

Comportement observé est le résultat d’un lien écologique entre les caractéristiques de la personne et son contexte.

51
Q

selon le modèle écosystémique de Brofenbrenner, quels sont tous les systèmes, en ordre du plus précis au plus large ?

5

A

ontosystème, microsystème, mésosystème, exosystème, macrosystème

52
Q

Ontosystème

modèle écosystémique de Brofenbrenner

A

L’ensemble de caractéristiques, des compétences, des vulnérabilités et des déficits innés et acquis de l’individu.

sexe, âge, santé

53
Q

quel système ? : l’ensemble de caractéristiques, des compétences, des vulnérabilités et des déficits innés et acquis de l’individu.

modèle écosystémique de Brofenbrenner

A

ontosystème

54
Q

quel système ? : sexe, âge, santé

modèle écosystémique de Brofenbrenner

A

ontosystème

55
Q

Microsystème

modèle écosystémique de Brofenbrenner

A

englobe les relations et les interactions qu’une personne entretient avec son environnement immédiat

famille, école, travail, pairs

56
Q

quel système ? : famille, école, travail, pairs

modèle écosystémique de Brofenbrenner

A

microsystème

57
Q

Mésosystème

modèle écosystémique de Brofenbrenner

A

Ensemble des relations intermicrosystémiques (par exemple : liens maison/école, maison/travail, travail/école, famille/ressources, etc.).

58
Q

quel système ? : lien maison/école, famille/ressources…

modèle écosystémique de Brofenbrenner

A

mésosystème

59
Q

exosystème

modèle écosystémique de Brofenbrenner

A

Paramètres de l’environnement externe qui influencent le développement de manière indirecte (par exemple, le contexte de travail des parents exerce parfois une pression sur la famille, ce qui pourra éventuellement influencer les relations entre celle-ci et l’école).

60
Q

Barker a dit que le comportement observé est le résultat du lien écologique entre les caractéristiques de la personne et son contexte. Que dit Brofenbrenner ?

A

il y a différents types de contextes :

ontosyst, microsyst, mésosyst, exosyst, macrosyst

61
Q

chronosystème

A

ligne du temps en lien avec le modèle écosystémique de Brofenbrenner

62
Q

modèle écologique vs modèle écosystémique

A

Issu du modèle écologique de Barker (1955) : Comportement observé est le résultat d’un lien écologique entre les caractéristiques de la personne et son contexte.
Adolescence : augmentation du nombre de milieu et donc de contextes, ce qui l’amène à jouer plusieurs rôles et élargir son nombre de comportements possibles.

Modèle écosystémique de Brofenbrenner (1979) : il y a différents types de contextes.

63
Q

ceci = quel système du modèle écosystémique de Brofenbrenner ? : sexe

A

onto

64
Q

ceci = quel système du modèle écosystémique de Brofenbrenner ? : âge

A

onto

65
Q

ceci = quel système du modèle écosystémique de Brofenbrenner ? : santé

A

onto

66
Q

ceci = quel système du modèle écosystémique de Brofenbrenner ? : famille

A

micro

67
Q

ceci = quel système du modèle écosystémique de Brofenbrenner ? : école

A

micro

68
Q

ceci = quel système du modèle écosystémique de Brofenbrenner ? : travail

A

micro

69
Q

ceci = quel système du modèle écosystémique de Brofenbrenner ? : pairs

A

micro

70
Q

ceci = quel système du modèle écosystémique de Brofenbrenner ? : Une école organise une rencontre entre les enseignants et les parents pour discuter du comportement et des progrès de chaque enfant.

À quel système ce type d’interaction appartient-il?

A

Mésosystème – Cette interaction relie deux microsystèmes (l’école et la famille) pour influencer directement le développement de l’enfant.

71
Q

ceci = quel système du modèle écosystémique de Brofenbrenner ? : instances sociales

A

exo

72
Q

ceci = quel système du modèle écosystémique de Brofenbrenner ? : structures organisationnelles

A

exo

73
Q

ceci = quel système du modèle écosystémique de Brofenbrenner ? : médias

A

exo

74
Q

ceci = quel système du modèle écosystémique de Brofenbrenner ? : contexte culturel

A

macro

75
Q

ceci = quel système du modèle écosystémique de Brofenbrenner ? : valeurs, idéologiques et normes sociales

A

macro

76
Q

ceci = quel système du modèle écosystémique de Brofenbrenner ? : politiques gouvernementales

A

macro

77
Q

Un enfant passe ses journées avec ses parents et ses frères et sœurs, participant aux repas et aux activités familiales. À quel système cela appartient-il, en lien avec le modèle écosystémique ? Pourquoi ?

A

Microsystème – Cela représente l’environnement immédiat de l’enfant, avec des interactions directes qui influencent son développement.

78
Q

Les parents d’un élève discutent régulièrement avec ses enseignants pour l’aider à progresser à l’école. À quel système du modèle écosystémique cette interaction appartient-elle? Pourquoi ?

A

Mésosystème – Cette interaction connecte deux microsystèmes (la famille et l’école) qui influencent l’enfant.

79
Q

Un parent commence à travailler plus d’heures, ce qui affecte sa disponibilité à la maison pour l’enfant, sans que l’enfant ait un contact direct avec cet environnement de travail. À quel système du modèle écosystémique cela appartient-il? Pourquoi ?

A

Exosystème – Le travail des parents influence indirectement l’enfant via le stress et la disponibilité des parents.

80
Q

Dans une société, les valeurs culturelles mettent l’accent sur la réussite scolaire et l’indépendance dès le plus jeune âge. À quel système du modèle écosystémique cela se rattache-t-il?

A

Macrosystème – Cela représente les valeurs, normes et idéologies de la société qui influencent les comportements et les attentes envers les enfants.

81
Q

Un adolescent déménage dans une nouvelle ville, ce qui provoque des changements dans ses relations et son environnement social au fil du temps. À quel système cela appartient-il?

A

Chronosystème – Cela représente un changement majeur dans la vie de l’enfant qui modifie son contexte de développement au fil du temps.

82
Q

qui suis-je ? : cette approche reconnaît donc l’importance de l’environnement social et permet de ne pas réduire l’adolescent à sa psyche, sa génétique, ses changements pubertaires, etc.

A

approche systémique

83
Q

exemple de type de thérapie d’approche systémique

2

A

thérapie familiale
guidance parentale

84
Q

qui suis-je ? : je sépare le développement humain en période

A

aristote

85
Q

époque d’aristote

A

antiquité

86
Q

qui suis-je ? : je crois que l’adolescence serait l’apparition de la capacité de choisir

A

Aristote

87
Q

à quelle époque croyait-on que l’adolescence serait l’apparition de la capacité de choisir

A

antiquité

88
Q

v ou f : l’adolescence comme stade développemental a toujours été compris de la même façon

A

faux

-> L’adolescence comme stade développemental est tributaire du contexte socioculturel et historique !

89
Q

le terme adolescence date de quand ?

A

XVe siècle

90
Q

Outre l’utilisation du terme, l’adolescence n’a pas fait l’objet d’étude ou d’intérêt scientifique entre ….?

A

Outre l’utilisation du terme, l’adolescence n’a pas fait l’objet d’étude ou d’intérêt scientifique entre Aristote et le début du XXième siècle avec les travaux de Stanley Hall.

91
Q

qui suis-je ? : selon moi, le développement de l’adolescence serait déterminé par la génétique

A

Stanley Hall

92
Q

qui suis-je ? : grandement influencé par le théorie de l’évolution, je compare l’adolescence à quand l’homme vivait dans des sociétés tribales.

A

Stanley Hall

93
Q

qui suis-je ? : je dis que l’adolescence est une période cruciale pour la détermination des rôles sociaux et des valeurs et la formation de relation interpersonnelle.

A

Stanley Hall

94
Q

qui suis-je ? : je serais le responsable de l’association entre crise et adolescence

A

Stanley Hall

95
Q

Hall serait le responsable de l’association entre crise et adolescence. En quoi selon lui l’adolescence est-elle une crise ?

A
  • augmentation des affects dépressifs
  • augmentation des comportements délinquants
96
Q

qui suis-je ? : “Un moment temporaire de déséquilibre qui remet en question l’équilibre normal de l’individu qui peut le mener vers un déséquilibre pathologique. L’évolution de la crise dépend à la fois de facteurs internes et externes.”

A

crise d’adolescence

97
Q

les adolescents décrochent-ils plus l’école qu’aujourd’hui ?

A

Les adolescents semblent décrocher moins aujourd’hui qu’avant. Le taux d’obtention d’un diplôme avant 20 ans a augmenté depuis les années 1970, et le taux de sorties sans diplôme a diminué de manière significative depuis 1999. Les efforts pour retenir les adolescents dans le système scolaire semblent avoir porté leurs fruits, bien que le décrochage reste plus élevé chez les garçons que chez les filles.

98
Q

mythe ou réalité : les relations parents-adolescents sont majoritairement conflictuelles ?

A

mythe

99
Q

mythe ou réalité ? : la thérapie n’est pas recommandée pour les adolescents puisqu’on veut favoriser leur indépendance

A

mythe

100
Q

les adolescets d’aujourd’hui sont-ils plus hypersexuels comparativement aux adolescents d’antan ?

A

pas plus précoce (16-17 ans)

pas plus de partenaires (souvent 1 seul)

mais relations sexuelles plus fréquentes

101
Q

est-ce que les adolescents d’aujourd’hui sont sexuellement plus précoces qu’aux adolescents d’antan ?

A

pas plus précoce (16-17 ans)

102
Q

est-ce que les adolescents d’aujourd’hui ont plus de partenaires sexuels que les adolescents d’antan ?

A

pas plus de partenaires (souvent 1 seul)

103
Q

est-ce que les adolescents d’aujourd’hui ont des relations sexuelles plus fréquentes que les adolescents d’antan ?

A

oui

104
Q

mythe ou réalité ? : la psychanalyse est inefficace et désuète avec les adolescents

A

mythe

105
Q

que dit le texte suivant, en gros ? : V - les choix sont-ils vraiment étendus avec l’extension des possibles ?

Quels sont les points importants soulevés ? (4)

A

L’extension des choix disponibles ne garantit pas une réelle liberté pour les adolescents. Bien que les possibilités semblent s’élargir, plusieurs facteurs, comme les pressions sociales et les attentes, peuvent restreindre les choix individuels. En réalité, cette augmentation des options peut même entraîner de l’anxiété ou un sentiment d’écrasement face aux décisions. Le texte questionne donc si l’élargissement des possibles équivaut réellement à une augmentation de la liberté de choix, en insistant sur l’impact des influences sociales et des contraintes qui continuent de limiter les adolescents malgré cette apparente diversité de possibilités.

points importants soulevés :

  1. Paradoxe de l’abondance : Plus il y a de choix, plus il peut devenir difficile de faire un choix éclairé, ce qui peut mener à la paralysie ou au regret après la décision.
  2. Influence des normes et attentes : Même si les choix semblent variés, des normes sociales et culturelles influencent toujours les décisions des adolescents, limitant en réalité leur liberté.
  3. Pression pour faire les “bons” choix : Avec l’extension des options, les adolescents ressentent souvent plus de pression pour choisir ce qui semble le plus valorisé socialement ou ce qui pourrait garantir le succès futur.
  4. Recherche d’identité : La pluralité des choix peut complexifier le processus de découverte de soi, car l’adolescent peut se sentir perdu face aux attentes de la société versus ses propres aspirations.