COURS 03 Flashcards

1
Q

Quels sont les différents types d’attention ?

A
  1. Attention soutenue
  2. Attention sélective
  3. Attention divisée
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Q

Attention soutenue

A

Capacité à garder des ressources mentales dans un état d’attente et de préparation pour réagir efficacement à un stimulus peu fréquent ou peu probable. ** vigilance **
- Référence à la mobilisation du système de réponse de l’individu

  • Vie quotidienne : être à la pêche et attendre que le poisson morde
  • Laboratoire : étudié des tâches de vigilance (ex, test de l’horloge avec soldats - détecter des bonds irréguliers d’une aiguille pendant un long moment. - résultats : performance baisse avec temps)
  • Clinique : neuropsychologie (ex, évaluation TDAH)
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3
Q

Comment mesure l’attention soutenue ?

A

Par des tâches longues, monotone, qui demandent de la vigilance ; sujet doit répondre d’une certaine façon à un stimulus peu fréquent pendant un long moment.

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4
Q

Attention sélective

A

Capacité à focaliser l’attention sur un type ou une source d’information en évitant les stimulations environnantes ou les messages non-pertinents. Implique des stimulations multiples.

Vie quotidienne : compléter un examen dans une classe où les gens parlent, les téléphones vibrent, etc
Laboratoire : les études de shadowing
Clinique : barrer toutes les cibles en ignorant les distracteurs

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5
Q

Attention divisée

A

Traitement simultané de plusieurs tâches ou informations. Le sujet a la vokinté de suivre deux messages en même temps. Implique des stimulations mutliples et une distribution des ressources mentales.

Vie quotidienne : prendre des notes en écoutant le cours, conduite automobile, suivre deux conversations
Laboratoire : doubles tâches

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6
Q

Quelles sont les théories de l’attention

A
  1. Les théories du goulot
  2. Les théories de la capacité
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7
Q

Les théories du goulot

A

L’attention agit comme un filtre sélectif, un canal unique. Un seul message peut être traité à un moment donné dans le temps : limite structurale du système. Le focus est sur l’étape de la sélection de l’attention.

  1. Modèle du filtre Broadbent (RS - filtre)
  2. Modèle d’atténuation de Treisman (filtre - reconnaissance des formes)
  3. Modèle de la mémoire sélective de Deutsch et Norman (reconnaissance des formes - sélection)
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8
Q

Modèle du filtre de Broadbent

A

Présentation de séquences de paires de chiffres différents simultanément dans les deux oreilles.
Groupe 1 : intervalle de 0,5 sec entre les paires - rappeler les chiffres dans l’ordre de leur choix
Groupe 2 : intervalle variable (0,5 / 1 / 1,5 sec) entre les paires - rappeler les chiffres dans l’ordre de leur arrivée

Résultats :
Groupe 1 : 65% de bonnes réponses- presque toutes les bonnes réponses étaient rappelées pour une oreille d’abord puis l’autre
Groupe 2 : meilleure performance avec les intervalles plus longs, généralement moins bons résultats que gr 1

Modèle du filtre : l’effet de goulot qui se produit lors de l’étape de la reconnaissance des formes et de l’attention est ce qui détermine quelle information atteindra cette étape.

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9
Q

Canal perceptuel à capacité limitée

A

Étape de la reconnaissance qui est protégée par le filtre contre les surcharges d’informations perceptives.
** le déplacement de l’attention demande du temps et de l’énergie**
1. La MS (branches supérieures) accepte plusieurs stimuli à la fois
2. Chaque oreille est vue comme un canal, se rejoignant dans un tube
3. Le canal perceptif (partie inférieure du tube), accepte un stimuli à la fois
4. Le filtre-attention (clapet) oscille d’un côté à l’autre (demande du temps)

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10
Q

Explication du clapet dans l’expérimentation du modèle du filtre de Broadbent

A

Groupe 1 (choix du rappel des chiffres) : un seul déplacement du clapet (rappel d’une oreille puis de l’autre) = peu coûteux en temps et efforts
Groupe 2 (ordre d’arrivée des chiffres) : beaucoup de déplacement du clapet, car il faut que le clapet oscille d’un côté à l’autre.
- Intervalle court : clapet n’a pas le temps d’osciller d’un côté à l’autre
- Intervalle long : plus de temps pour le clapet de se déplacer, meilleure perfo

implication de la MS, l’information se dégrade rapidement

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11
Q

Modèle de la sélection précoce

A

Le filtrage se fait sur la base des caractéristiques perceptuelles, physiques. Le filtrage prend lieu avant que les stimuli soient analysés au niveau sémantique (donc, un tri est fait avant l’analyse).

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12
Q

Écoute dichotique, Cherry - soutien l’hypothèse du canal unique

A

Présentation de stimuli différents dans chacune des oreilles : les participants doivent porter attention à une seule oreille et ignorer l’autre ET répéter immédiatement le message entendu à voix haute.
- On questionne le sujet sur le contenu du message ignoré

Résultats :
1. Bonne performance de répétition du message écouté
2. Pour le message ignoré :
a) non-perçu : contenu des messages (sémantique)
b) non-perçu : anglais-allemand (plus sémantique)
c) perçu : voix féminine ou masculine
Soutient l’idée que le filtre se situe avant que les stimuli soient analysés à un niveau plus profond (sémantique)

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13
Q

Limites du modèle de Broadbent

A

Entendre son nom sans porter attention - Morray, 1950
Les sujets entendaient leur nom dans une séquence de stimuli présentés dans l’oreille ignorée
- Impossible d’ignorer certaines informations importantes (son nom, feu)
- On peut rapporter des informations provenant du canal ignoré

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14
Q

Écoute dichotique - Intrusion du canal ignoré, Treisman

A

Les sujets entendaient deux messages distincts mais simultanément dans chaque oreille. Ils devaient rappelés une seule oreille et ignorer l’autre.
Ex 1 : j’ai vu la fille / d’oiseau était un espoir
moi cette chanson / sautant dans la rue

Résultats: environ 30% des sujets ont montré des intrusions du canal ignoré.
Effet de contexte : on peut rapporter des mots du canal ignoré si le sens, le contexte sémantique, correspond mieux.

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15
Q

Modèle d’atténuation de Treisman

A

Le message ignoré est atténué et non bloqué (comme dans le modèle de Broadbent). On peut en saisir le sens (effet de contexte).
Un message particulièrement important peut être reconnu (noms, mots d’alerte)

  1. Filtre sélectif de l’atténuation : distingue les messages et leurs caractéristiques perceptuelles (localisation, ton, etc) et atténue le message qui doit être ignoré.
  2. Présence d’un dictionnaire : la reconnaissance d’un mot a lieu dans le dictionnaire si son intensité ou sa force subjective dépasse son seuil. Le message ignoré peut être reconnu par le dictionnaire, si son seuil d’activation est assez bas.

Seuil : quantité minimale d’activation nécessaire pour accéder à la reconnaissance d’un stimulus. Le seuil d’activation doit être plus bas pour un mot pour qu’il soit reconnu par l’oreille ignorée.
- certains mots ont des seuils plus bas en permanence
- un seuil d’un mot peut être abaissé temporairement par l’effet du contexte et augmente sa chance d’être reconnu.

Modèle de sélection précoce : oui, le filtre agit avant la reconnaissance des formes/les messages du canal focalisés sont traités avec priorité.
MAIS certains messages du canal ignoré ne sont pas bloqués ou effacés et peuvent être entendus.

Le filtre fait l’analyse des messages
- Selon les propriétés physiques (fréquence, intensité) mais aussi parfois sémantique (par les attentes du contexte). Implication du seuil d’activation.

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16
Q

Limites du modèle d’atténuation

A

MacKay, 1973
Phrases avec mot ambiguë dans l’oreille focalisée :
Ex : they were throwing stones at the bank (bank = banque ou fleuve)
- un des deux mots dans l’oreille ignorée en même temps (river ou money)
Sujet devait reconnaître le sens général des phrases entendues dans l’oreille focalisée.

Résultats : reconnaissance du sens général de la phrase en accord avec le mot de l’oreille ignorée - si river, bank = fleuve

Conclusions : les mots dans l’oreille ignorée étaient traités au niveau sémantique, bien que ce n’était pas des noms propres ou des mots d’alerte (sans seuil d’activation)
- Peut-on alors vraiment parlé de sélection précoce pure ?

17
Q

Modèle de la mémoire sélective - Deutsch et Norman

A

Théorie de la sélection tardive
Le placement du goulot, la sélection - après la reconnaissance de formes et avant l’enregistrement de stimuli dans la MCT. Limitation dans l’information qui est envoyée à la mémoire.

Modèle sélection précoce : tous les messages - caractéristiques physiques - message sélectionné
Modèle sélection tardive : tous les messages - caractéristiques physiques - caractéristiques sémantiques - message sélectionné

18
Q

Théories de la capacité

A

Focus est sur la quantité d’effort mental nécessaire pour accomplir une tâche et les façons dont l’effort est distribué entre différentes activités.

Modèles :
A) modèle de la distribution de Kahneman
B) théorie multimodale de Johnston et Heinz
C) modèle de Pashler

Selon ces modèles, tous les types d’activités nécessitant de l’attention entrent en compétition les uns avec les autres pour bénéficier de la quantité limitée de la capacité.

19
Q

Modèle de la distribution de la capacité de Kahneman

A

Le volume de la capacité disponible varie en fonction du niveau d’activation.
1. Plus le niveau d’activation pour une activité sera grande, plus la capacité sera importante. Plus le niveau d’activation est bas, moins la capacité sera grande.

  1. Évaluation des demandes de capacité:
    - Éxigences des activités en cours
    - Évalué pour chacune des activités (ex : examen)
    - L’ensembles des exigences ne doit pas excéder la limite de la capacité
    - Influence des choix de la distribution (comment bien distribuée notre attention)
  2. Les dispositions permanentes : mécanismes automatiques, interviennent de façon involontaire (ex : objet qui vole dans la classe)
  3. Intentions temporaires : mécanismes contrôlés, interviennt de façon volontaire (ex : brouillard qui apparaît soudainement sur la route)

Proposent une interaction entre attention volontaire et involontaire: existe-t-il une relation ?

20
Q

Folk, Remington et Johnston, 1992 - interaction attention involontaire et volontaire

A

L’attention involontaire peut dépendre de l’attention volontaire et vice-versa.

Tâche : participants informés qu’un symbole allait apparaître dans l’un des 4 carrés extérieurs. Leur tâche était de dire rapidement si le symbole était un X ou un =.

Condition 1 : indice aléatoire, neutre, pas fiable (donc attention à l’indice = involontaire)
Résultats : lorsque l’indice était pertinent (marquait le même carré que la cible), le symbole était identifié plus rapidement = mobilisation involontaire de l’attention.

Condition 2 : indice aléatoire et de la même couleur que la cible (attention involontaire)
Résultats : même résultat que la condition 1 = mobilisation involontaire de l’attention.

1 et 2 : indice peu fiable (ignoré) a un effet facilitateur dans les essais où il indique correctement la cible.

Condition 3 : indice aléatoire et neutre (blanc/noir).
Résultats : pas de meilleure sélection, si les sujets se basaient maintenant sur la couleur pour sélectionner la cible (attention volontaire), il fallait aussi que l’indice soit en couleur pour qu’il attire l’attention de façon involontaire.
*Attention involontaire peut également dépendre de ce à quoi nous décidons de faire attention
*Attention involontaire à l’indice dépendait de l’attention volontaire portée à une caractéristique spécifique de la cible. Si les sujets se basaient sur la couleur pour sélectionner la cible, il fallait aussi que l’indice soit en couleur pour qu’il attire l’attention.

21
Q

Théorie multimodale de Johnston et Heinz

A

Postulent :
1. il y a interaction entre l’étape de sélection et la capacité
2. on peut déplacer la position du filtre ou du goulot
3. L’attention est flexible (selon la demande de la tâche)
4. Les modes de sélection tardive exigent plus de capacité que les modes précoces.

22
Q

Expérimentation théorie multimodale Johnston et Heinz

A

2 tâches :
1. Tâche principale (shadowing) : répéter rapidement les mots entendus - attention sélective
2. Tâche subsidiaire-concurrente : répondre à un signal lumineux tout au long de la tâche principale.
*en faisant varier uniquement le niveau d’attention requis dans la tâche principale, on peut mesurer les TR à la tâche subsidiaire = la capacité utilisée par la tâche principale.

Différentes conditions de la tâche principale :
1. Tâche subsidiaire uniquement (niveau de base)
2. Tâche principale : une liste de mots - paires de mots simultanément aux deux oreilles
a) répéter les mots de voix H ou F (filtre perceptuel)
b) répéter les mots selon la catégorie (filtre sémantique)
3. Tâche principale : deux listes de mots - paires de mots simultanément aux 2 oreilles
a) répéter les mots de voix H ou F (filtre perceptuel)
b) répéter les mots selon catégorie (filtre sémantique)

Filtre perceptuel : attention précoce
Filtre sémantique : attention tardive

Prédictions, hypothèse et résultats
Hypothèse : plus le volume de la capacité allouée à la tâche d’écoute sélective est grande, moins il reste de capacité pour la tâche subsidiaire.

  1. Il faut plus de capacité pour traiter l’information au niveau de sélection tardive : filtre sémantique = TR plus long au signal lumineux et plus d’erreurs
  2. La performance varie selon la charge de la tâche principale : 2 listes demandent plus qu’1

Conclusion : l’attention sélective nécessite de la capacité et la quantité de capacité va de façon croissante, depuis les modes précoces de sélection vers les modes tardifs.

23
Q

Modèle de Pashler

A

2 étapes principales de sélection :
1. Sélection précoce = mécanismes de filtrage
S1 = voix F, S3 = voix M
2. Sélection tardive = analyse sémantique
S1 = nom de ville, S2 = nom de profession

La pratique d’une tâche peut la rendre automatique, ce qui réduit la capacité attentionnelle associée.
Traitement automatique : accomplir des opérations mentales qui nécessitent très peu d’effort mental.

24
Q

Les processus automatiques (3)

A
  1. Les processus automatiques et l’encodage automatique
  2. La lecture comme processus automatique
  3. Inhibition des processus automatiques
25
Q

Encodage automatique

A

Théorie de l’encodage automatique (Hasher et Zacks, 1979)
Deux types de traitement mnésique :
a) ceux qui nécessitent un effort important et qui s’accompagnent de stratégies
b) ceux qui nécessitent très peu, voir aucun (automatique)

Apprentissage incident : apprentissage qui se produit en l’absence d’un effort conscient (ex, souvenir)

3 types d’informations que nous sommes capable d’enregistrer automatiquement :
1. Information fréquentielle : à quelle fréquence différents stimuli se produisent
2. Information spatiale : où se trouvent les objets
3. Information temporelle : moment d’apparition des événements et leur durée

26
Q

Lecture automatique

A

Compétence complexe doit pouvoir compter sur le traitement sutomatique d’une ou plus de ses composantes. Sinon, la demande pour l’ensemble des composantes de compétences excèderait la capacité disponible pour exécuter la tâche. On voit plutôt le mot dans son ensemble que des lettres succintes.

27
Q

Inhibition des processus automatiques

A

Si les processus automatiques sont sans efforts et demandent peu d’attention, alors : l’attention est nécessaire pour bloquer ces mécanismes (inhiber)

Effet stroop : interférence produite par une information non pertinente lors de l’exécution d’une tâche cognitive automatique. La difficulté à ignorer ou filtrer l’information non pertinente se traduit par un ralentissement du TR.
Exemple : nommer la couleur de l’encre des mots, mais les mots sont des nom de couleur
Condition congruente - mot et couleur pareil
Condition non-congruente - mot et couleur diff.
Il faut plus de temps pour nommer la couleur dans la condition non-congruente

28
Q

Modèle des ressources multiples

A

Hypothèse : attention est un ensemble de ressources ayant différentes fonctions. Deux tâches peuvent etre réalisées simultanément si elles exploitent des ressources différentes.

29
Q

Expérience de Kantowitz et Knight - modèle ressources multiples

A

Tâche 1 : appuyer sur deux boutons au rythme indiqué par des lumières (difficulté = distance variable entre les boutons et leur dimension)
Tâche 2 : transformation de nombre (1. Répéter le nombre, 2. N-1, 3. N+3)

Résultats :
Tâche 1 : performance varie selon la grosseur des boutons et la distance qui les séparent
Tâche 2 : répéter N = 101 nombres en 90 sec, 9-N = 64 nombres en 90 sec

Les deux tâches isolées demandent de l’attention, car une augmentation du degré de difficulté affecte la performance.

Tâches effectuées simultanément: pas d’interaction entre les deux tâches (si on augmente la difficulté uniquement d’une tâche, la performance de l’autre n’est pas affectée). Pourtant, les deux tâches exigent de l’attention.
= existence de ressources attentionnelles distinctes, indépendantes.

30
Q

Expérience de McLeod - modèle des ressources multiples

A

2 tâches simultanément avec modalités différentes :
Tâche 1 : poursuite de cible avec une manette (nature motrice) - les 2 groupes (réponse motrice)
Tâche 2 : discrimination des sons (aigu ou grave) - groupe 1 = réponse verbale / groupe 2 = réponse motrice avec leur main libre

Résultats : performance nettement moins bonne quand la réponse à la tâche de discrimination est motrice

31
Q

Facteurs affectant la capacité à combiner deux tâches

A
  1. Ressemblance ou proximité entre les tâches: modalité, processus, réponse
  2. Niveau d’expertise des tâches
  3. La difficulté des tâches : conduire en milieu inconnu
32
Q

Expérience de Stryer et Johnston - conduite automobile (2)

A

Conduite automobile simulée - tâche simultanée (réponse/inhibition à un signal lumineux)
Conditions : écoute de la radio, conversation cellulaire, conversation mains libres

Résultats :
Les sujets manquaient plus souvent le signal rouge dans la double tâche avec un cellulaire et TR plus lent. Pas d’effets de l’écoute de la radio sur la perfo. La conversation téléphonique interfère avec les demandes attentionnelles élevées spécifiques a la conduite.

Étude 2
Conduite automobile simulée- condition simple ET double tâche cellulaire avce trajet simple ou difficile
Tâche simultanée : répéter des mots/générer des mots
Résultats : générer des mots demande plus d’efforts mental que la simple répétition