COURS 02 Flashcards

1
Q

Mémoire sensorielle (4)

A

Première étape du traitement de l’information
Conserve l’information sensorielle non-analysée
Stockage très bref et transitoire
Permet d’avoir un délai de traitement de l’information pour y porter attention ; si on n’y porte pas attention, le matériel disparaît et n’est pas reconnu

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Q

Persistance sensorielle

A

Comprendre un mot après sa disparition

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3
Q

Quels sont les sens les plus étudiés par la MS ?

A

MSV : mémoire sensorielle visuelle
MSA : mémoire sensorielle auditive

Elle concerne tous les sens : vue, ouïe, odorat, toucher et goût) - l’information est perçue par les organes sensoriels

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4
Q

Mémoire sensorielle visuelle : auteur

A

Sperling

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5
Q

Expérimentation de Sperling - MSV (but, stimuli, participants, résultats, interprétations, hypothèse)

A

But : identifier les limites et capacité de la MSV
Condition 1 - la technique du rapport complet
- stimuli : gr de lettres présentées très brièvement (50 msec) par un tachistoscope
- participant : rapporter toutes les lettres qu’ils pouvaient se rappeler

Résultats :
1. Bonnes réponses (M = 4,5), peu importe si on présentait 5 lettres ou plus
2. Résultats précis quand moins de 5 lettres présentées, mais quand le nombre augmente, les bonnes réponses restaient autour de la moyenne 4,5

Interprétations :
1. Les sujets ont enregistrés toujours seulement 4,5 lettres
2. Les sujets ont enregistrés plus de lettres, mais ont oublié une partie

Hypothèse : la MS enregistre plus de stimuli, mais ils se dégradent rapidement au moment du rappel. Comment mesurer la MS ?

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6
Q

La technique de rapport partiel MSV - Sperling (hypothèse, stimuli, calcul, résultats)

A

Stimuli : 3 rangées de 4 lettres chacune (12 lettres au total).
- La rangée a rapporter était inconnue avant l’exposition
- Après un intervalle variable, un son indique quelle rangée il faut rapporter.

Exemple :
Intervalle : Son : Bonne réponse :
DFOR 0ms. Aigu! D F O R
JLSE. 150 ms. Intermédiaire
LMCS 300 ms Grave

Hypothèse de départ : MS enregistrerait plus de stimuli que ceux rapportés au rappel, mais ils se dégradent très rapidement
1. Si l’information dans toutes les rangées reste encore disponible en MS, le sujet peut simplement sélectionner une rangée ou une autre et la rapporter
2. Si la MS enregistre seulement 3-4 lettres au total, le sujet pourra rapporter seulement 1-2 lettres de chaque rangée

Calcul : nombre de lettres disponibles dans la MS = nbr lettres rappelées X 3 rangées

Résultats :
1. La MS contient plus d’informations disponibles que les participants pouvaient se rappeler (ex, dans la tâche du rapport complet)
2. La trace en MSV se dégrade rapidement (300 msec)
3. Après 1 seconde, rapport partiel est équivalent au rapport complet

MSV max dispo = M=9 (3 x 3)
Après 150 msec - environ 7 lettres
Après 300 msec - environ 6 lettres
Après 1 sec - environ 4,5 lettres

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7
Q

Rapport de lettres et de chiffres - Sperling (rapport partiel, question, hypothèse, résultats, conclusions)

A

Rapport partiel : l’indice précise s’il doit rappeler les chiffres ou les lettres. On compare avec le rapport complet.

Question : les items dans la MSV sont-ils déjà catégorisés (comme des lettres ou des chiffres) ou sont-ils bruts ?
Hypothèse :
1. Si l’information dans la MSV est catégorisée, le rapport partiel devrait montrer des meilleurs résultats que le rapport complet
2. Si l’information dans la MS n’est pas catégorisée, le rapport partiel devrait être semblable au rapport complet

Résultats : la performance était semblable dans le rapport partirl et dans le rapport complet (autant mauvaise)
- l’information qui entre dans la MS est brute, non-analysée

Conclusions : les participants ne pouvaient pas bien rappeler l’information selon les cat.gories de chiffres et lettres. Donc, l’information en MS est brute.

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8
Q

Questions fondamentales sur la MSV
1. La capacité ?
2. Pendant combien de temps peut-elle conserver l’information?
3. Sous quelle forme conserve-t-elle l’information ?

A
  1. Environ +/- 9 items disponibles, mais on en rappelle 4,5
  2. Environ 300 msec
  3. Brute, non-analysée
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9
Q

MSV vs MSA

A

MSV : traitement information dans l’espace
MSA : traitement information dans le temps
- Le langage, la musique et d’autres sons sont étendus dans le temps
- On ne peut pas réécouter le même son si nous avons mal entendu (mais on peut jeter un coup d’oeil plusieurs fois)
- Alors, les demandes pour la MSA et MSV ne sont pas pareilles

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10
Q

Darwin, Turvey et Crowder - même méthodologie que Sperling, mais pour MSA
- La tâche des trois oreilles - rapport partiel et complet

A

Tâche rapport complet : rapporter tous les stimuli
Tâche rapport partiel : intervalle de temps variable (0 à 4 sec), indice indique quel oreille rappeler

Exemple :
Oreille droite - B2L
Oreille centre - 86U
Oreille gauche - FR10

Résultats :
Complet - nombre items disponibles = 4,5
Partiel - 0 sec = 5 / 1 sec = 4,7 / 4 sec = 4,5

Conclusions :
1. Supériorité du rapport partiel, jusqu’à environ 4 secondes de délai
2. Dans la MSA, l’information se dégrade moins rapidement que dans la MSV (1 sec vs 300 msec)
3. Moins d’informations disponibles en MSA qu’en MSV (5 items vs 9)

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11
Q

Massaro - effet du masquage sur le traitement des sons (masquage, question, expérimentation, resultats, conclusion)

A

Masquage : empêcher le traitement d’un premier stimulus par la présentation d’un 2e stimulus (masque)

Question : quelle est la durée minimale de maintient de l’information dans la MSA pour qu’elle sot traitée efficacement?

Tâche :
1- Entrainement pour identifier deux sons : aigu (870 Hz) et bas (770 Hz)
2- Expérimentation :
a) présentation du son test (20 msec)
b) délai (0, 40, 80, 160, 280, 350 et 500 msec)
c) masque (son intermédiaire 820 Hz) - durée ; 500 msec
d) réponse (sujet rapporte le son test)

But de l’intervalle de délai entre son test et masque : voir à partir de quel moment le masque ne va plus affecter la reconnaissance de son

Résultats :
La perfo des sujets dépendait de la durée du délai entre son test et masque :
- Mauvaise quand le délai était court
- Meilleure quand le délai augmentait
- Avec un délai de 250 msec et plus, la performance n’était plus affectée par le masque

Conclusion : l’information doit être maintenue au moins 250 msec en MSA pour pouvoir être traitée efficacement

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12
Q

Résumé MSA vs MSV (durée, capacité, utilité)

A

MSV : durée très brève (300 msec), mais grande capacité (+/- 9). Les stimulations visuelles sont généralement plus persistantes dans l’environnement, il serait inutile de les conserver plus longtemps.

MSA : plus durable (2-4 sec), mais capacitée plus limitée (+/- 5 items). L’information auditive étant plus transitoire, la MSA doit maintenir l’information plus longtemps.

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13
Q

Mémoire et enregistrement sensoriel

A

On ne peut pas traiter toute l’information sensorielle qui nous atteint à un moment précis, la MS sert à garder temporairement une partie de cette information.

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14
Q

La reconnaissance des formes

A

On peit reconnaître des mots écrits en caractères majuscules, petits, déplacés, désorganisés ou même à l’envers.
La complexité du processus est mis à profit pour nous protéger des robots sur le web (Captcha)

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15
Q

Utilité du filtre dans la reconnaissance des formes

A

Traiter les informations provenant du RS

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16
Q

Utilité de la sélection dans le reconnaissance des formes

A

Rechercher une correspondance dans la mémoire et faire un appariement

17
Q

Quelles sont les théories de la reconnaissance des formes ?

A

1- thėorie des gabarits
2- théorie des traits
3- théorie structurelle

18
Q

Quelles est idée de base de la théorie des gabarits

A

La reconnaissance de formes s’effectue par l’appariement de la forme à un gabarit (template matching) - processus par lequel un modèle est surimposé sur une forme donnée pour vérifier jusqu’à quel point ces formes se ressemblent (degré de recouvrement)

19
Q

Gabarit - théorie des gabarits

A

Entités holistiques - limites : les variations dans les objets ne sont pas comprises (si l’objet est à l’envers, on ne pourrait pas comprendre)
La théorie fonctionne pour les machines - si une forme est erronée, la machine va le reconnaître

20
Q

Expérimentation de Philipps - théorie des gabarits

A

Présentation de deux formes, une après l’autre.
1- Forme 1 (1 sec)
2- Intervalle variable (20, 60, 100, 300 et 600 msec)
3- Forme 2 identique ou différente, superposée ou déplacée
4- Réponse du sujet (est-ce que les formes sont identiques)

Résultats :
1- Intervalle court ET formes identiques : bien reconnues avec fort %
2- Formes déplacées : oscille autour de 60% peu importe l’intervalle
TR : rapide pour formes identiques ET court intervalle
Implication de la MS dans la reconnaissance des formes ; superposées vs déplacés (300 msec)

Avantages : la MS peut être utilisée pour un appariement rapide des gabarits si les deux formes sont séparées par moins de 300 msec ET qu’elles sont présentées au même endroit
MAIS - plusieurs limites :
1. on doit ajuster pour la position, taille, orientation
2. Grande variabilité des formes perçues
3. Pas de description alternative (ex : figures ambiguë)

21
Q

Idée de base - théorie des traits

A

Les stimuli sont définis comme une combinaison de caractéristiques élémentaires.
Étape 1 de la reconnaissance : détecter et combiner des éléments essentiels d’un objet, les caractéristiques qui sont particulières aux formes, qui les distinguent.
Étape 2 : identification de l’objet se fait par la comparaison de ces caractéristiques avec celles enregistrées en mémoire

22
Q

Théorie de Gibson - théorie des traits

A

L’apprentissage perceptuel se fait au moyen d’une liste de traits qui distinguent les formes entre elles.
Exemple : tableau de caractéristiques pour les lettres de l’alphabet
- Liste de traits est différente pour chaque lettre
Les critères :
1. Les traits doivent être réellement discriminatoires, présents dans certains éléments de la série et pas dans d’autres, de façon à offrir un contraste
2. L’identité des traits doit rester inchangée malgré les modifications de luminosité, de taille et de perspective
3. Les traits doivent produire une forme unique pour chaque lettre
4. Le nombre de traits proposés doit être raisonnablement petit

23
Q

Comment Gibson a-t-elle validé ces critères dans la théorie des traits ?

A

Étude Gibson, Shapiro et Yonas (1968)
- Présenter à des sujets des paires de lettres - participants doit indiquer le plus rapidement possible si les lettres sont pareilles ou différentes

Résultats :
Le TR augmente lorsque les lettres de la paire partagent beaucoup de caractéristiques élémentaires:
- G et W = 458 msec
- P et R = 571 msec

24
Q

Expérience de Egeland - appui à la théorie de Gibson

A

Enfants d’âge préscolaire - entraînement de paires de lettres similaires
Gr 1 : trait distinctif en rouge
Gr 2 : couleur uniforme noire

Test - Identifier les 3 lettres parmi 6 lettres qui correspondent à la cible
Test 1 : immédiatement après l’entraînement
Test 2 : une semaine plus tard

Résultats : groupe 1 > groupe 2 - les enfants ont été aidés dans leur apprentissage de porter attention à un trait distinctif

25
Q

Expérimentation de Neisser - appui à la théorie de Gibson

A

Tâche : recherche visuelle d’une cible parmi des distracteurs (liste de lettres)
Ex - trouver la lettre Z parmi des lettres similaires (liste 1) ou différentes (liste 2)

Résultats : cible trouvée beaucoup plus rapidement et facilement dans la liste 2 que 1, car les traits sont plus distinctifs

26
Q

Quels sont les avantages de la théorie des traits

A

Observations expérimentales appuient la théorie des traits pour la perception d’objets simples (lettres)
1. Plus de confusions perceptives pour distinguer des lettres qui partagent beaucoup de traits
2. Distinguer des lettres qui partagent plusieurs traits prend plus de temps (Gibson)
3. En présentation rapide, difficile de discriminer des lettres qui se ressemblent (traits communs)

27
Q

Quelles sont les limites de la théorie des traits

A
  1. On peut reconnaître des formes dont les traits sont manquants
  2. Le tout est plus que la somme des parties (Gestalt) : la forme holistique, le tout, constitue une forme globale qui possède ses caractéristiques propres et qui ne peut être identifiée simplement par l’examen de ses parties
  3. Les mêmes composantes pour des objets différents
28
Q

Quelle est l’idée de base des théories structurelles ?

A

Reposent sur la théorie des traits (nécessité de définir les traits) MAIS insistent sur le regroupement et les relations entre les traits. L’interprétation d’une forme dépend de l’idée qu’on a de la façon dont les parties se regroupent.

29
Q

Quelles sont les étapes de traitement pour décrire les théories structurelles ?

A
  1. Analyse des contours de l’objet (base perception visuelle)
  2. Segmentation et identification des catégories de composantes élémentaires selon leur organisation (principes de la gestalt)
  3. Comparaison avec les organisations de composantes mémorisées
  4. Reconnaissance : objet est reconnu comme un tout composé de caractéristiques
30
Q

Les principes de l’organisation de la Gestalt

A
  1. La forme ou l’objet est un tout complexe
  2. Elle est plus qu’un ensemble de caractéristiques élémentaires
  3. Le processus de reconnaissance de formes organise l’information (groupement perceptif) selon certains principes :
    a) principe de similarité
    b) principe de proximité
    c) princile de fermeture
    d) principe de continuité
31
Q

Le modèle de composantes de Bierderman

A

Seuls 35 géons sont nécessaires pour décrire les objets du monde :
- géons : figures simples tridimensionnelles qui se combinent avec d’autres pour réaliser des formes tridimensionnelles
Ce sont les arrangements, relations, entre les composantes qui définissent des objets différents.

La segmentation est primordiale à la reconnaissance de formes : testé son modèle avec des études d’images dégradées.

Expérimentation : les sujets doivent nommer les images dégradées. Dans les deux types d’images, 60% du contour des dessins est enlevé.
Type 1 : retrait du milieu des sgemnts du contour (informations sur les relations entre les traits est conservé)
- identification dans 70% des cas
Type 2 : retrait des parties autour des sommets du contour (informations sur les relations est manquante = pas de segmentation)
- Identification dans 50% des cas

Hypothèse : les objets qui sont plus difficiles à segmenter seront aussi plus difficile à identifier.

32
Q

Quel est le rôle du contexte dans la reconnaissance des mots ?

A
  1. La reconnaissance de mots - l’effet de supériorité du mot
  2. Le modèle d’activation interactive
  3. L’effet de supériorité de l’objet
33
Q

Effet de supériorité du mot

A

Anderson, 1995
- Une lettre est traitée plus efficacement si elle est présentée dans un mot
Exemple : THE CAT = le H est présenté comme un A, mais le contexte nous démontre que c’est un H

34
Q

Tâche d’identification - effet de supériorité du mot

A

Cattell, 1885
Présentation brève (10 msec0 de lettres - rapporter toutes les lettres possibles
2 conditions :
1. Condition lettres (ex : SPBO-ERNT-AWQC)
2. Condition mot (ex : RAME-LOUP-CASE)

Résultats :
Condition lettres : 4-5 lettres rapportées
Condition mot : 3-4 mots rappelés (donc plus de lettres)
le mot facilite la reconnaissance des lettres

35
Q

Expérience de Reicher - effet de supériorité du mot dans la reconnaissance des lettres, pourquoi ?

A

Trois conditions :
1. Condition mot
2. Condition lettre isolée
3. Condition non-mot

2e étape : masque
3e étape : choisir laquelle de 2 lettres alternatives faisait partie de la présentation de départ

Résultats :
- Les participants ont fait moins d’erreurs et ont été plus précis dans la condition mot que dans les conditions non-mot et lettre
- Effet de supériorité de mot - exemple de traitement top-down

36
Q

Le modèle d’activation interactive - McLelland et Rumelhart 1981

A
  1. La perception visuelle implique le traitement parallèle : le traitement visuel est spatialement parallèle. Par exemple, les 4 lettres d’un mot sont traitées simultanément.
  2. La reconnaissance a lieu en même temps dans les trois niveaux d’abstraction
  3. Les trois niveaux interagissent pour déterminer ce que nous percevons, tel que représenté par les flèches bidirectionnelles
    — 2 types de connexions :
    — 1. Excitatrice : réaction à un indice positif pour un concept, comme lorsqu’une ligne verticale renforce la possibilité qu’une lettre soit K
    — 2. Inbibitrice : réaction à un indice négatif pour un concept, comme lorsque la présemce d’une ligne verticale fournit un témoignage négatif pour la lettre C
  4. Traitement top-down entre les niveaux Mot et Lettres

Donc, la connaissance des mots d’une langue interagit avec les informations entrantes relatives aux traits pour fournir des indices au sujet des lettres qui composent le mot.

Niveau mot

Niveau Lettre

Niveau trait

Input visuel

37
Q

Quelle est l’idée de base de l’effet de supériorité de l’objet ?

A

Le contexte favorise également la reconnaissance de formes inclues dans un objet.
La perception d’un objet n’est pas seulement le résultat de l’analyse de caractéristiques simples comme des lignes.
L’organisation des éléments qui composent les objets influence la reconnaissance.

38
Q

Weistein et Harris - effet de supériorité de l’objet

A

Est-ce que la barre diagonale en A est inclue dans les stimuli B et C ?

A : ligne diagonale et point
B : boite avec point dans le centre
C : plusieurs lignes convergeantes

Résultats : plus facile de reconnaître la ligne diagonale dans le stimulus B que dans le stimulus C car B est un objet bien formé.