Counseling Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qu’une compétence?

A

Un savoir-agir, une mise en oeuvre contextualisée des savoirs.

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2
Q

Qu’est-ce qui est compris dans l’action d’un professionnel?

A

Les savoirs, les savoir-agir, les savoir-être et la réflexion critique.

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3
Q

Qu’est-ce que la pratique réflexive?

A

Réfléchir pour privilégier une action appropriée. C’est un processus itératif.

C’est une sous-compétence du professionnalisme, qui nécessite de l’analyse, de la conceptualisation, de l’évaluation, de l’ouverture d’esprit et de l’honnêteté intellectuelle.

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4
Q

Pourquoi utiliser la pratique réflexive?

A

Pour se développer en tant que professionnel compétent, pour développer son autocritique, pour assurer un développement continu de nos compétences.

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5
Q

Quelles sont les étapes de la pratique réflexive?

A
  1. Identification de l’incident
  2. Description du contexte (expérience vécue, émotions)
  3. Analyse (les points forts, les points faibles)
  4. Recherche d’alternatives prouvées efficaces
  5. Sélection de l’alternative
  6. Description et explication de l’alternative (évaluation de la solution)
  7. Planification de la prochaine étape
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6
Q

Qu’est-ce que la compétence clinico-relationnelle?

A

Elle est composée de la démarche clinique (expertise clinique) et de la démarche relationnelle (communication).

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7
Q

Quelle est l’impact d’une meilleure compétence clinico-relationnelle sur l’intervention?

A

Elle augmente la qualité et l’efficacité de l’intervention en augmentant la compréhension, l’observance, la confiance, la satisfaction et la santé.

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8
Q

Quelles sont les 4 étapes du deuil?

A
  1. Choc : déni de la réalité, relié à la perte
  2. Protestation : chercher un sens ou un coupable
  3. Désorganisation : acceptation cognitive, beaucoup d’émotivité
  4. Réorganisation : acceptation affective et adaptation
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9
Q

Quelles sont les impacts d’un problème de communication sur le fonctionnement individuel et familial?

A
  • Affectif : émotions négatives (honte, culpabilité, anxiété, colère, tristesse, …)
  • Physique : fatigue et incapacités temporaires ou persistantes)
  • Familial : redéfinition des rôles et du pouvoir
  • Social : changement d’activité ou de statut
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10
Q

Quels facteurs influencent l’adaptation?

A
  1. La capacité à construire un sens
  2. Nature ou conséquences du problèmes
  3. Moment où arrive le problème
  4. Absence de d’autres problèmes majeurs
  5. Capacité personnelles d’apprentissage et d’adaptation
  6. Soutien des proches
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11
Q

Qu’est-ce que le counseling?

A

Le clinicien essaie de faciliter l’ajustement individuel du client aux conséquences de ses difficultés ; il aide le client à solutionner par des ajustement personnels.

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12
Q

Quel est le but du counseling?

A

Aider le client à trouver ses propres réponses, à trouver un contrôle interne, à évoluer vers des nouvelles perspectives, à retrouver sa confiance à s’occuper de lui-même ou d’un proche.

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13
Q

Qu’est-ce que la guidance?

A

Influencer l’opinion du patient en lui donnant de l’information.

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14
Q

Qu’est-ce que la psychothérapie?

A

Modifier des schèmes cognitifs et diminuer des traits inadaptés ; on n’en fait pas en orthophonie.

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15
Q

Quelles sont les fonctions requiert du counseling?

A
  1. Obtenir de l’information
  2. Donner de l’information
  3. S’entendre sur un plan d’intervention
  4. Comprendre l’expérience vécue
  5. Offrir des alternatives
  6. Offrir du soutien, du répit et des encouragements.
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16
Q

Vrai ou faux? Le counseling ne doit pas nécessairement porter sur le problème qui motive la consultation.

A

Faut, le counseling est un rôle nécessaire, tant qu’il porte sur le problème qui motive la consultation.

17
Q

Qu’est-ce qui caractérise l’approche paternaliste?

A

Le client est à l’extérieur du groupe d’intervenant. Le clinicien informe le client et prend les décision. Il agit dans le meilleur intérêt du client.

17
Q

Qu’est-ce qui caractérise l’approche paternaliste?

A

Le client est à l’extérieur du groupe d’intervenant. Le clinicien informe le client et prend les décision. Il agit dans le meilleur intérêt du client.

18
Q

Qu’est-ce qui caractérise l’approche centrée sur le client?

A

Le client est au centre. Le clinicien doit comprendre l’expérience ou le problème vécu par le client et doit s’adapter aux besoin, aux préférences et aux valeurs du client.

19
Q

Quelles composantes sont importantes dans l’approche centrée sur le client?

A
  1. Explorer le problème
  2. Comprendre le contexte de vie
  3. Définir les besoins et les forces
  4. Prendre une décision partagée
20
Q

Qu’est-ce qui caractérise le partenariat de soins?

A

Le client fait partie de l’équipe. Il est considéré comme l’expert de son expérience.

Le client et ses proches coopèrent avec le clinicien pour prendre des décisions éclairées, pour devenir autonome.

21
Q

Quelles relations sont présentes dans le partenariat de soins?

A

La relation est principalement égalitaire entre le clinicien et le client, mais elle devient parfois complémentaire ; Un est “supérieur” à l’autre en alternance, selon son champ d’expertise.

22
Q

Qu’est-ce que l’alliance thérapeutique?

A

Principe organisateur de la dimension relationnelle du processus clinico-relationnelle.

23
Q

Qu’est-ce que la relation thérapeutique ?

A

La relation thérapeutique définit le problème, les forces, les besoins, les buts de l’intervention, les rôles, les tâches et l’intensité.

Elle repose sur la compréhension du clinicien de l’expérience du client et de l’attitude du client envers le clinicien.

24
Q

Vrai ou faux? L’alliance thérapeutique est le meilleur prédicateur du succès de l’intervention.

A

Vrai.

25
Q

Qu’est-ce que la décision partagée?

A

Collaboration entre le clinicien et le client, prend en compte l’opinion, les préférences et les valeurs du client et dans le but qu’il soit autonome. Elle comprend le partage de connaissances, les explications pour que le client puisse faire un choix éclairé.

26
Q

De quoi est composée l’alliance thérapeutique?

A

La relation thérapeutique et la prise de décision partagée.

27
Q

Quels sont les facteurs qui ont un impact sur l’alliance thérapeutique au niveau du clinicien?

A

Au niveau du clinicien : adaptation au problème du client, pas trop informel ou trop intrusif, honnêteté, considère l’unicité du client, communication claire et écoute active.

28
Q

Quels sont les facteurs qui ont un impact sur l’alliance thérapeutique au niveau du client?

A

Motivation du client, perception de son rôle dans le succès de l’intervention, demande réelle, confiance envers le clinicien, expériences passées, charge émotionnelle.

29
Q

Quels sont les facteurs externesqui ont un impact sur l’alliance thérapeutique?

A

La pression de proches, les contraintes de temps, la discontinuité relationnelle, l’intervention centrée sur les déficits.

30
Q

Comment le clinicien peut-il assurer une bonne écoute?

A

Centrer son attention sur le client, saisir le message sous-jacent.

31
Q

Comment le clinicien peut-il s’assurer d’être emphatique?

A

Poser des questions sur les émotions vécues par le client, reformuler, manifester sa sensibilité envers le client, faire comme si c’était lui qui vivait le problème.

32
Q

Comment le clinicien peut-il assurer le respect du client?

A

Éviter de l’interrompre, considérer ses choix et ses opinion, éviter d’être brusque.

33
Q

Comment le clinicien peut-il s’assurer d’être authentique?

A

Dire ce qu’il pense quand c’est pertinent.

34
Q

Comment le clinicien peut-il assurer une communication claire?

A

Éviter le jargon, vérifier la compréhension du client.

35
Q

Comment le clinicien peut-il s’assurer d’être simple et naturel?

A

Être chaleureux, utiliser l’humour, être souriant, …