Couleurs Flashcards

1
Q

propriété de la lumière associée à notre perception de la couleur

A

la longueur d’onde

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Q

lumière monochromatique

A

Lumière composée d’une seule longueur d’onde.
Cette situation est extrêmement rare et normalement la lumière dans notre
environnement contient une grande étendue de longueurs d’onde.

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3
Q

couleur achromatique vs chromatique

A

Couleur achromatique: Couleur produite avec une intensité égale à toutes les longueurs d’onde visibles. Les couleurs achromatiques sont celles situées dans l’étendue entre le blanc et le noir. (Clarté)
Couleur chromatique: Couleur produite avec une intensité plus forte pour certaines longueurs d’onde que pour d’autres. (tonalité, brillance, Saturation)

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4
Q

tonalité, clarté/brillance, saturation

A

On distingue trois dimensions par lesquelles une couleur peut être caractérisée.
Tonalité: Dimension au niveau de laquelle se distinguent le rouge, le vert, et le jaune, etc.
Clarté/brillance: Réfère à l’intensité lumineuse de la couleur — une couleur dite très claire se rapproche du blanc, une couleur moins claire (ou plus sombre) se
rapproche du noir. plus comme la luminosité
Saturation: Degré de différence entre une couleur donnée et un gris neutre. plus on s’éloigne ou s’approche du gris

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5
Q

composition spectrale

A

distribution de l’intensité de l’énergie lumineuse à travers
les différentes longueurs d’onde visibles.

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6
Q

courbe de réflectance

A

Propriété de la surface d’un objet qui concerne la proportion de l’énergie lumineuse qui est réfléchie (ou transmise) à travers l’ensemble des longueurs d’onde constituant le spectre visible. La réflectance (ou transmission) sélective produit des couleurs chromatiques.
- La composition spectrale de la lumière qui est réfléchie ou transmise par un objet est donc fonction à la fois de sa courbe de réflectance et de la composition spectrale de la source lumineuse.
- La couleur d’un objet est donc liée à la lumière et à la façon dont l’objet renvoie
cette lumière

blanc, gris =, noir aide à comprendre luminosité et niveau qu’on peut refléter… noir ne réfléchit rien, sauf noir parfait absorberait toute la lumière
- La réflectance dépend de la couleur, mais aussi de la lumière
- Projection sur du blanc, car possiblement peut réfléchir toutes les longueurs d’onde
- Bleu et jaune, quand on a une ligne qui traverse tout le spectre, c’est blanc… plus on additionne ça donne blanc

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7
Q

deux types de mélanges de couleur : soustractif

A

le + intuitif étant le mélange soustractif qui correspond à notre expérience des peintures.
- Mélange soustractif: Il est produit par le mélange de pigments (p. ex., en peintures) ou par la superposition de filtres colorés, chacun absorbant (pigments) ou bloquant (filtres) certaines longueurs d’onde. Observé lorsqu’on utilise des peintures.

> La peinture bleue absorbe toutes les couleurs et ne
reflète que les couleurs d’onde bleue (et un peu verte)
La peinture jaune absorbe toutes les couleurs et ne
reflète que les couleurs d’onde jaune (et un peu verte)
Les peintures bleues et jaunes absorbent toutes les couleurs et ne reflètent que les couleurs d’onde verte (le bleu et le jaune sont absorbés)

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8
Q

deux types de mélanges de couleur : additif

A

Mélange additif: Produit par la superposition de faisceaux lumineux. Ce procédé additionne l’énergie comprise dans les faisceaux qui sont superposés. La couleur résultante correspond à l’addition des compositions spectrales de chaque faisceau.
- Bleu et jaune, quand on a une ligne qui traverse tout le spectre, c’est blanc… plus on additionne ça donne blanc

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9
Q

Mélange moyen

A

Mélange produit par la juxtaposition spatiale ou temporelle des couleurs. à La courbe résultante est une courbe de réflectance qui est la moyenne des deux.

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10
Q

lien entre longueur d’onde et couleur

A

Les couleurs de la lumière sont liées à leur longueur d’onde
Les couleurs des objets sont liées aux longueurs d’onde qu’ils reflètent
Les mélanges de couleurs engendrent une augmentation de l’intensité pour les longueurs d’onde de la lumière ou causent une diminution des longueurs d’onde reflétées dans le cas de la peinture.

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11
Q

Newton : 1e système classification des couleurs, théorie

A

Le cercle des couleurs
> il n’y a pas de couleur associée aux longueurs d’onde. Les rayons lumineux ne sont que de l’énergie.
C’est notre système perceptuel qui fait que nous voyons une longueur d’onde de 450 nm comme étant bleue.
> Toutes les couleurs complémentaires ensemble, soit celle en face dans le cercle = donne du blanc
Pas la meilleure théorie, assez incomplète alors on veut proposer des ajustements
> limité dans sa capacité de représenter
l’ensemble des couleurs que l’on arrive à discriminer.

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12
Q

couleurs complémentaires

A

Paire de couleurs, qui, lorsqu’elles sont additionnées,
produisent du blanc. Sur le cercle des couleurs, les couleurs complémentaires sont situées en des positions diamétralement opposées l’une à l’autre.

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13
Q

Théorie trichomatique de Young-Helmholtz

A

La couleur de n’importe quelle longueur d’onde du spectre visible peut être reproduite en ajustant les proportions relatives de TROIS longueurs d’onde dans le stimulus de
comparaison.
notre vision des couleurs repose sur le fonctionnement de 3 types de photorécepteurs, chacun présentant une sensibilité spectrale différente. C’est le patron de réponse produit à travers les 3 types de photorécepteurs qui nous informe sur la composition spectrale de la lumière atteignant l’œil.
> Bâtonnets pas de réponse aux couleurs 1 seul pigments et cônes 3 types bleu-vert-rouge

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14
Q

métamères

A

quand deux activations différentes peuvent mener à des couleurs similaires, pour 1 seule on peut alors avoir des configurations différentes

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15
Q

contribution des 3 types de cônes

A

S bleu, M vert, L rouge
Pour une couleur bleue (cas en haut à gauche), les trois types de cônes sont activés par la lumière, mais les cônes S répondent avec le plus de force
Pour le jaune (cas en haut à droite), c’est une combinaison de fortes activités pour les cônes M et L et faible pour les cônes S
Vert : fort M, faible S-L
rouge : Fort L
mauve : fort S-L
Contribution égale = blanc

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16
Q

Théorie des processus antagonistes de Hering

A

L’illusion de l’image consécutive met également en évidence les oppositions rouge-vert, jaune-bleu, blanc-noir**
- Si on s’habitue à voir une certaine couleur verte et que ça s’arrête on peut voir la couleur antagoniste rouge

> Support de ces mécanismes intervient dans les années 1950-1960
Découverte de neurones dans le CGL qui réagissent différemment en fonction du spectre lumineux.
Neurones ‘‘B+Y-’’: augmentation de la fréquence de réponses de ces neurones lorsque le spectre est bleu; diminution lorsqu’il est jaune (ou Y+B-)
Neurones ‘‘R+G-’’: … Augmentation/rouge Diminution/vert (ou G+R-)

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17
Q

circuits neuronaux : Théorie des processus antagonistes de Hering

A

(1)
Voie excitatrice connectée aux cônes (S/bleu)
Voie inhibitrice connectée via un neurone intermédiaire
aux cônes M et L (rouge et vert)
(2)
Voie excitatrice connectée aux cônes (M/vert)
Voie inhibitrice connectée via un neurone intermédiaire
aux cônes (L/rouge)

  • Avec les 3 types de cônes aussi, petit bout v = excitatrice
18
Q

Dans le cortex: extension des processus antagonistes

A

Dans le cortex: extension des processus antagonistes
Certaines populations neuronales dans le cortex strié présentent également des champs récepteurs ayant une sélectivité chromatique antagoniste. Une minorité
de ces cellules a des champs récepteurs similaires à ceux retrouvés au niveau du CGL.
- Cette cellule est activée quand le centre reçoit de la lumière rouge et est inhibée quand la périphérie reçoit de la lumière verte.
Ici, lumière verte au centre à pas d’activation
Lumière verte en périphérie à Inhibition max
> La réponse est la + basse.

  • Cette cellule est activée quand le centre reçoit de la
    lumière rouge et est inhibée quand la périphérie
    reçoit de la lumière verte.
    Ici, lumière rouge au centre à activation max
    Lumière verte en périphérie à Inhibition nulle
    > La réponse est la + haute.
19
Q

rectangle limite couleur théorie antagoniste

A

La majorité par contre présente un double antagonisme chromatique dans un champ récepteur
concentrique. Ce double antagonisme permet la détection de bordures colorées, ce qui n’est pas
possible avec un antagonisme simple.
- Le rectangle permet d’identifier les limites de bordures colorées, transition de changement couleur
- Couleur active la partie du cercle, le double antagoniste permet d’obtenir la limite

20
Q

réponse neutre pour rectangle antagoniste

A

Cette cellule est activée quand le centre reçoit de la
lumière rouge et de la lumière verte en périphérie.
Elle est inhibée quand le centre reçoit de la lumière
verte et la périphérie de la lumière rouge.
Ici, lumière verte au centre à Inhibition (-)
Lumière verte en périphérie à activation (+)
OU contraire
Ici, lumière rouge au centre à activation (+)
Lumière rouge en périphérie à Inhibition (-)

21
Q

réponse inhibition haut et activation bas pour rectangle antagoniste

A

Cette cellule est activée quand le centre reçoit de la lumière rouge et de la lumière verte en périphérie.
Elle est inhibée quand le centre reçoit de la lumière verte et la périphérie de la lumière rouge.
Haut:
lumière verte au centre à inhibition (- - -)
Lumière verte et rouge en périphérie à
Inhibition (-) et un peu activation (+ +)
Bas:
lumière rouge au centre à beaucoup activation (+ + +)
Lumière verte et rouge en périphérie à
Inhibition (- -) et activation (+)

22
Q

De Valois

A

un mélange des deux théories, car nos 3 types de cônes nous aide à identifier les antagonistes (cônes > cellules > doubles antagonistes)
deux niveaux de traitement

23
Q

niveau cortical

A

Ségrégation des cellules avec sélectivité chromatique dans le cortex strié
Dans l’aire V1, les régions “blobs” constituent des colonnes chromatiques. Ce sont dans ces colonnes chromatiques que s’effectue le traitement de la couleur dans
l’aire V1.
la vision des couleurs dépend de l’activité de nombreuses aires cérébrales

24
Q

lésions V4

A

Lésions V4 chez humain : ACHROMATOPSIE, Centre de la couleur ?
Cette région est essentielle pour une performance normale dans des taches de perception de la couleur.

25
Q

fonction vision couleurs : ségrégation et organisation perceptive

A

La perception de la couleur aide à distinguer les objets les uns des autres. Elle contribue également à la perception
de la continuité de surfaces présentant des contrastes d’intensité importants. À l’inverse, la couleur peut également contribuer aux groupements perceptifs par
similarité.

26
Q

fonction vision couleurs : signalisation

A

Certaines couleurs ont également des significations qui peuvent être importantes pour un comportement adapté (p. ex. couleur d’un fruit; banane jaune pas mauve)

27
Q

anomalies de la vision des couleurs : dyschromatopsie

A

Atteinte congénitale de la vision des couleurs résultant d’une anomalie au niveau des cônes. Présente chez environ 8-9% des hommes et 0,5% des femmes.
différences sexes, car ça vient du X et gars en a juste 1 tandis que fille XX > s’annule
(Planches isochromatiques d’Ishihara)

> Il existe trois grandes classes de dyschromatopsie: TRICHROMATISME, DICHROMATISME et MONOCHROMATISME

28
Q

Trichromatisme + 3 types

A

TRICHROMATISME: anomalie affectant l’un des trois types de cônes
Protanomalie: Anomalie des cônes rouges (“L cones”).
Le mélange métamérique demande un excès de rouge.
Deuteranomalie: Anomalie des cônes verts (“M cones”).
Le mélange métamérique demande un excès de vert.
Tritanomalie: Anomalie des cônes bleus (“S cones”).
Le mélange métamérique demande un excès de bleu.

29
Q

Dichromatisme + 3 types

A

DICHROMATISME Absence complète de l’un des types de cônes.
Protanopie: Absence de cônes rouges. Chez 1% des hommes et 0,02% des femmes. (492)
Deuteranopie: Absence de cônes verts. Chez 1% des hommes et 0,01% des femmes. (496)
Tritanopie: Absence de cônes bleus. Chez 0,002% des hommes et 0,001% des femmes (570)

30
Q

Monochromatisme

A

MONOCHROMATISME Déficit rare caractérisé soit par la disponibilité d’un seul type de cône ou encore par une absence complète de cônes à Vision liée aux bâtonnets.
Donne lieu à une incapacité de discrimination chromatique (colour-blind). Le sujet ne peut discriminer que différents niveaux de brillance.
Dans les cas d’absence totale de cônes, le désordre est accompagné d’une mauvaise acuité visuelle et d’une hypersensibilité à la lumière puisque la vision ne
repose que sur les bâtonnets.

31
Q

Le mouvement

A

1- Ségrégation perceptive : Utile, permet de discriminer un objet d’une certaine couleur sur une surface de la même couleur
2- intéractions dans l’environnement : Pas juste le mouvement d’un objet, mais bien notre mouvement aussi dans notre environnement. Bouger autour des objets statiques pour bien se les représenter, les compléter
- Toute la scène visuelle peut nous aider pour la perception des mouvements
3- La perception du mouvement contribue également à la perception de la
structure tridimensionnelle de l’environnement (parallaxe de mouvement)

32
Q

mouvement réel

A

Évidemment, le déplacement d’un objet dans le champ visuel est une condition idéale pour la perception du mouvement.
Mais il y a des cas où les objets ne bougent pas, mais il y a perception d’un mouvement.
alternance rapide entre deux stimuli statiques

33
Q

mouvement apparent

A

L’alternance rapide entre deux stimuli statiques donne lieu
à une impression de mouvement (Exner, 1875). La perception du mouvement
apparent demande toutefois que l’intervalle de temps entre les éléments
successifs soit ajusté correctement. Ce rajustement dépend notamment de la
distance séparant les éléments en jeu.

34
Q

mouvement induit

A

Un objet statique peut être perçu comme en étant en
mouvement si le cadre de référence qui l’entoure est en mouvement.
Ceci indique que notre expérience du mouvement repose sur le mouvement relatif des objets ou éléments
constituant la scène visuelle (c.-à-d. mouvement global). Il est facile de constater que le contexte dans
lequel un objet se déplace peut modifier notre représentation de son mouvement.

35
Q

perception du mouvement

A

La perception du mouvement ne repose pas que sur le mouvement des objets dans notre environnement. Nos propres déplacements créent un flux optique, qui consiste en un mouvement coordonné de toute la scène visuelle. Ce flux optique nous informe sur nos déplacements dans
l’environnement.
- Longueur des lignes
- Orientation des lignes
La perception du mouvement doit également prendre en considération les mouvements oculaires de l’observateur.
Nos yeux se déplacent constamment lors de l’observation d’une scène visuelle.
- Micromouvements oculaires (involontaires)
- Vergence (selon la distance de l’objet observé)
- Saccades (durée d’environ 50 ms, entre 3 et 4 par seconde)
- Poursuite oculaire
- Mouvements réflexes => mouvements « vestibulaires » et nystagmus
optocinétique

36
Q

structures cérébrales contrôle mvt oculaire

A

Les structures cérébrales impliquées dans le contrôle des mouvements oculaires sont le Colliculus supérieur (programmation de la direction et de l’amplitude des
mouvements oculaires) et l’aire oculomotrice frontale (programmation de la cible du mouvement oculaire selon des coordonnées).

37
Q

théorie de la décharge corollaire

A

une copie des commandes oculomotrices (=
décharge corollaire) est envoyée à un comparateur qui reçoit également l’information sur le mouvement de l’image rétinienne. En combinant les deux sources d’information, le comparateur détermine la perception du mouvement.
- Plus activation quand mouvement réel traverse le champ récepteur visuel de la cellule
- Plus de réaction quand on voit humain, car ils pourraient bouger
- Quand mouvement sous-entendu, plus d’activation comme si réel mouvement

38
Q

étapes exemple théorie de la décharge corollaire

A

1- Vos yeux suivent une balle.
Pas de mouvement de l’image sur la rétine,
mais un signal moteur est envoyé.
2- Compare les signaux moteurs (mouvement des yeux) et
sensoriels (image rétienne statique) à envoie le signal
associé à la perception de mouvement.

1- Vos yeux sont statiques, mais une balle se
déplace
Mouvement de l’image sur la rétine,
mais aucun signal moteur envoyé
2- Il compare les signaux moteurs (yeux statiques) et sensoriels (image rétienne en mouvement) à envoie le signal associé à la perception de mouvement.

1- Vos yeux sont en mouvement, une balle
est immobile sur une table.
Mouvement de l’image sur la rétine
et un signal moteur envoyé
2- Compare les signaux moteurs (mouvement des yeux) et
sensoriels (image rétienne en mouvement) à pas de
perception de mouvement.

39
Q

mvt et aire temporale médiane

A
  • Forte corrélation entre la réponse neuronale et la perception du mouvement
    singe barre bouge activation…
40
Q

mouvement biologique cerveau

A

Le mouvement relatif de plusieurs composantes d’un objet permet une perception
de sa structure 3D. Il est ainsi possible de reconnaitre un corps humain, ce qui
n’est pas le cas si ces points sont statiques.
Le mouvement d’un point ne suffit pas non plus.
Activation du Sulcus Temporal Supérieur chez l’homme.

41
Q

parties du cerveau et mouvement

A

Cortex Strié (V1):
Direction du mouvement sur de petits champs récepteurs

Aire Temporale Médiane (MT):
Direction et vitesse d’un objet en mouvement

Aire Temporale Médiane Supérieure (MST):
Traitement du flux optique

Sulcus Temporal Supérieur (STS):
Perception du mouvement biologique (humain, animal)