Cortex moteur Flashcards
Qu’est ce que le surcus central ?
Le surcus central = sillon central = scissure de Rolando, est une importante structure anatomique du cerveau humain qui divise les lobes frontal et pariétal –> sépare le gyrus précentral du gyrus postcentral.
Si on avance par rapport au surcus central, où se retrouve on ?
A/n du système moteur
Si on recule par rapport au surcus central, où se retrouve on ?
Dans le système somatosensoriel qui est séparé en 4 aires (3b, 3a, 1 et 2).
Que représente le cortex moteur ?
C’est le système descendant volontaire principal, il contrôle les voies réticulo-spinale, rubro-spinale et cortico-spinale.
De quoi est caractéristique la voie cortico-spinale ?
Des mouvements volontaires, donc c’est relatif à la conscience.
*Les mouvements inconscients qu’on effectue sont plus supervisé par les voies archaïques, donc les voies réflexes.
V ou F à partir du cortex moteur il y a des voies directes et indirectes
Vrai
Quelles sont les voies indirectes provenant du cortex moteur ?
On peut envoyer des projections vers les ganglions de la base qui vont revenir vers le cortex = boucle importante pour le filtrage des commandes. (Le cortex moteur primaire envoie des signaux moteurs vers les ganglions de la base, qui à leur tour, modulent et régulent ces signaux pour produire des mouvements fluides et précis. Les ganglions de la base agissent comme un filtre pour sélectionner les mouvements appropriés et inhiber les mouvements indésirables ). Boucle cortico-sous cortico-corticale
Ensuite, il peut y avoir des projections vers les noyaux du TC qui vont aller vers le cervelet et le cervelet va projeter vers notre cortex et la on a des boucles de raffinements des commandes motrices.
Le cortex moteur envoie des voies indirectes vers les noyaux du tronc mais aussi des projections vers la MOE. Ces projections peuvent être a/n des réseaux de la MOE, ou envoyer des projections + directes sur les motoneurones qui eux controlent le mouvement.
Combien a-t-on d’aires promotrices chez les primates ?
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Quels sont les synonymes du cortex moteur primaire ?
Aire 4 de Brodman ou encore M1
Explique la méthode l’imagerie par résonance magnétique fonctionnel.
Le patient est mis dans un gros champ magnétique et là, on peut imager le flot sanguin. Lorsqu’on fait certains mvt, y a des zone dans le cerveau qui vont devenir + actives, le flot sanguin s’accélère et comme ca jpx inférer certaines fonctions à ces zones la. En + de ca, la résolution temporelle, donc la vitesse à laquelle jpx voir les changements de flot sanguin.
Explication CHAT GPT:
Cette technique se base sur le principe que l’oxygénation du sang dans le cerveau augmente localement lorsqu’une région cérébrale est plus activée, ce qui peut être détecté par l’IRM.
Pour étudier le système moteur, l’IRMf peut être utilisée pour cartographier l’activité du cortex moteur primaire (M1) pendant des mouvements volontaires ou des tâches motrices spécifiques. Les participants sont généralement placés dans un scanner IRM et sont invités à effectuer des mouvements de la main, du bras, ou d’autres parties du corps, ou encore à imaginer ces mouvements sans les réaliser physiquement.
Pendant la tâche, l’IRMf mesure les changements dans l’oxygénation du sang dans le cerveau, ce qui permet de déterminer les régions du cerveau qui sont activées pendant la tâche. Les données d’IRMf peuvent ensuite être utilisées pour créer des cartes d’activation du cortex moteur primaire, montrant les zones les plus actives pendant la tâche.
V ou F lors de l’IRM fonctionnelle on se base sur l’activité neuronale
Faux, on se base sur le flot sanguin.
Quels sont les avantages et les désavantages de l’IRM fonctionnelle ?
Avantage = non-invasif, donc plus sécuritaire
Désavantage = comme c’est non-invasif, c’est moins précis, c’est très indirecte comme mesure.
V ou F dans l’IRM la résolution temporelle est à son apogée
Faux.
permet une résolution temporelle relativement bonne, qui peut atteindre quelques millisecondes. Cependant, la résolution temporelle de l’IRMf est moins bonne que celle des méthodes électrophysiologiques, telles que l’électroencéphalographie (EEG) ou la magnétoencéphalographie (MEG), qui peuvent enregistrer l’activité cérébrale en temps réel avec une résolution de l’ordre de la milliseconde.
***IRM mesure les changements de l’oxygénation du sang dans le cerveau qui sont liés à l’activité neuronale. Ces changements se produisent avec un certain délai après le début de l’activité neuronale, ce qui limite la résolution temporelle de l’IRMf.
Explique la magnétoencéphalographie (MEG)
C’est une technique qui est plus basée sur l’EEG, donc les signaux électriques. On a un peu + de résolution temporelle mais on perd encore + de résolution spatiale dans ces méthodes la.
Explication CHAT GPT:
Technique d’imagerie cérébrale qui permet de mesurer l’activité électromagnétique du cerveau en utilisant des capteurs sensibles aux champs magnétiques produits par l’activité neuronale.
Le principe de base de la MEG est que lorsqu’un neurone se décharge, il produit un champ magnétique très faible. Ces champs magnétiques sont détectés par des capteurs qui sont placés autour de la tête du sujet.
C’est sensible aux changements de flux magnétique, ce qui permet de détecter les champs magnétiques générés par l’activité neuronale dans le cerveau. Les signaux MEG sont ensuite enregistrés et analysés pour identifier les régions cérébrales qui sont actives pendant une tâche ou une stimulation.
La MEG est capable de mesurer l’activité cérébrale avec une très grande résolution temporelle, de l’ordre de la milliseconde, ce qui la rend particulièrement utile pour étudier les processus neurophysiologiques rapides qui se produisent dans le cerveau, tels que les oscillations cérébrales et les potentiels évoqués.
La MEG peut également être combinée avec d’autres techniques d’imagerie cérébrale, telles que l’IRM fonctionnelle, pour obtenir une image complète de l’activité cérébrale et de la structure cérébrale.
En somme, la MEG est une technique d’imagerie cérébrale non invasive qui permet de mesurer l’activité électromagnétique du cerveau avec une grande résolution temporelle.
V ou F dans la méthode de MEG on gagne de la résolution spatiale
Faux, on en perd encore +.
Par rapport à l’IRMf la MEG a une résolution spatiale légèrement moins bonne, car les champs magnétiques générés par l’activité neuronale sont plus difficiles à localiser avec précision que les variations locales de l’activité cérébrale mesurées par l’IRMf.
Qu’est ce qu’une technique avec une bonne résolution temporelle ?
C’est une technique qui permet de mesurer les changements d’activité cérébrale en temps réel avec une résolution temporelle très fine, en gros ça permet de mesurer rapidement les changements d’activité cérébrale
Qu’est ce qu’une technique avec une bonne résolution spatiale ?
La résolution spatiale mesure la capacité d’une technique à localiser précisément ces changements dans l’espace.
Explique la manière dont Penfield a démontré qu’il y avait une somatotopie.
Dans ses expériences sur les singes, Penfield a utilisé des électrodes de surface appliquées sur la dure-mère pour stimuler différentes parties du cortex moteur et observer les mouvements résultants. Il a constaté que différentes parties du corps étaient représentées dans des zones spécifiques du cortex, de manière somatotopique, comme il l’a observé plus tard chez les patients.
En gros chaque fois qu’il faisait une stimulation il dessinait l’endroit du corps qui bougeait suite à ça.
Qu’est ce que Penfield a observé quant à l’organisation de la somatotopie ?
Les résultats des expériences de Penfield ont montré que la représentation somatotopique des différentes parties du corps dans le cortex moteur primaire suit une organisation spatiale particulière.
Plus précisément, la zone corticale qui contrôle les mouvements de la langue et du visage est située le plus latéralement, tandis que la zone qui contrôle les mouvements de la main et des doigts est située un peu plus médialement.
En latéral on a aussi la représentation de la queue et du tronc.
Explique l’avancée de Penfield en lien avec l’épilepsie.
À cette époque, les gens qui avaient des crises d’épilepsie, les chirurgiens enlevaient un peu n’importe quoi, pr essayer d’enlever les crises d’épilepsie, et penfield a dit « au lieu d’enlever nptkoi, jv aller stimuler jusqua temps que je sois capable d’évoquer la crise d’épilepsie et jdois enlever cette partie du cerveau » donc au lieu d’enlever nptkoi, il a décidé de fr des interventions qui étaient guidées par les réponses électrophysiologiques.
Donc, les patients sont reveillées, on commence par fr la craniotomie avec le patient endormi, une fois que la partie douloureuse de la chirurgie est faite, on reveille le patient, on le garde sous certaines drogues, mais fr la stimulation n’est pas douloureux. Donc une fois que le cerveau exposé, on peut lui fr des stimulations sans causer de douleur. Donc le patient était réveillé, il était capable d’évoquer des mvt et on voit la mm chose quon a vu chez le singe –> en médial on a + de mvt du membre inférieur et quand on senva latéralement, on est + dans le membre antérieur/sup jsuqua temps que jarrive au n/ du visage.
**C’est des stimulations de surface, on est au dessus du cerveau pas encore dedans, donc pas très précis.
V ou F dans les expériences de Penfield, il y a une variabilité interindividuelle par rapport à la grosseur de la représentation
Vrai.
Dans les expériences de Penfield, il a été constaté qu’il existe une variabilité interindividuelle dans la taille des représentations somatotopiques dans le cortex moteur primaire. Cela signifie que la taille des représentations corticales d’une partie du corps peut varier d’un individu à l’autre, même si l’organisation somatotopique globale reste la même.
Cette variabilité peut être due à plusieurs facteurs, tels que l’âge, le sexe, la latéralité, la taille du corps et l’expérience ou l’utilisation passée de différentes parties du corps.
V ou F l’organisation médiolatérale est toujours préservée chez les patients
Vrai, une chose qui était tjr préservée c cette organisation médiolatérale, avec le membre inf en médial et au fur et à mesure que jme deplace latéralement, jarrive au n/ du membre sup, de la main et latéralement, le visage. Ca, peu importe la prsn que vous ouvrez, tu vas tjr trouver ca.
Explique la méthode de stimulation mécanique transcranienne.
Ici on place 2 bobines sur le cuir chevelu du patient au-dessus de la région ciblée, on passe un gros courant electrique, ca cree un champ magnétique qui est assez puissant pr aller depolariser mes neurones corticaux, et la bam, ça évoque un mvt.
Ya pas de doute, tu px evoquer l’activité électromyographique, mais en + , t capable d’évoquer des mvt, donc jpx me promener avec mon stimulateur, jem promene au dessus du cortex moteur, tac jv évoquer par ex un mvt du coude, tac jv évoquer un mvt du doigt, jme deplace un peu, tac encore les doigts, jme deplace un peu tac, dans face, donc c vrm ca, tu px faire une carte motrice chez un humain réveillée sans le vouloir. C pas dangeureux et c pas douloureux. C des methodes tres puissantes qui nous permettent d’aller etudier dans nos sujets humians lorganisation du cortex moteur.
**Technique non invasive, donc toujours pas très précis.
PS: eyy le trans t tu un psychiatrique
La stimulation mécanique transcranienne est utilisée en psychiatrie, explique de quelle manière ça se fait.
Pour des patients dépressifs, par exemple, on peut aller stimuler le cortex préfrontal de manière répétitive, ce que ça va faire c’est que ça va libérer de la dopamine, donc ça peut agir à titre de traitement.