Cortex moteur Flashcards
Qu’est ce que le surcus central ?
Le surcus central = sillon central = scissure de Rolando, est une importante structure anatomique du cerveau humain qui divise les lobes frontal et pariétal –> sépare le gyrus précentral du gyrus postcentral.
Si on avance par rapport au surcus central, où se retrouve on ?
A/n du système moteur
Si on recule par rapport au surcus central, où se retrouve on ?
Dans le système somatosensoriel qui est séparé en 4 aires (3b, 3a, 1 et 2).
Que représente le cortex moteur ?
C’est le système descendant volontaire principal, il contrôle les voies réticulo-spinale, rubro-spinale et cortico-spinale.
De quoi est caractéristique la voie cortico-spinale ?
Des mouvements volontaires, donc c’est relatif à la conscience.
*Les mouvements inconscients qu’on effectue sont plus supervisé par les voies archaïques, donc les voies réflexes.
V ou F à partir du cortex moteur il y a des voies directes et indirectes
Vrai
Quelles sont les voies indirectes provenant du cortex moteur ?
On peut envoyer des projections vers les ganglions de la base qui vont revenir vers le cortex = boucle importante pour le filtrage des commandes. (Le cortex moteur primaire envoie des signaux moteurs vers les ganglions de la base, qui à leur tour, modulent et régulent ces signaux pour produire des mouvements fluides et précis. Les ganglions de la base agissent comme un filtre pour sélectionner les mouvements appropriés et inhiber les mouvements indésirables ). Boucle cortico-sous cortico-corticale
Ensuite, il peut y avoir des projections vers les noyaux du TC qui vont aller vers le cervelet et le cervelet va projeter vers notre cortex et la on a des boucles de raffinements des commandes motrices.
Le cortex moteur envoie des voies indirectes vers les noyaux du tronc mais aussi des projections vers la MOE. Ces projections peuvent être a/n des réseaux de la MOE, ou envoyer des projections + directes sur les motoneurones qui eux controlent le mouvement.
Combien a-t-on d’aires promotrices chez les primates ?
6
Quels sont les synonymes du cortex moteur primaire ?
Aire 4 de Brodman ou encore M1
Explique la méthode l’imagerie par résonance magnétique fonctionnel.
Le patient est mis dans un gros champ magnétique et là, on peut imager le flot sanguin. Lorsqu’on fait certains mvt, y a des zone dans le cerveau qui vont devenir + actives, le flot sanguin s’accélère et comme ca jpx inférer certaines fonctions à ces zones la. En + de ca, la résolution temporelle, donc la vitesse à laquelle jpx voir les changements de flot sanguin.
Explication CHAT GPT:
Cette technique se base sur le principe que l’oxygénation du sang dans le cerveau augmente localement lorsqu’une région cérébrale est plus activée, ce qui peut être détecté par l’IRM.
Pour étudier le système moteur, l’IRMf peut être utilisée pour cartographier l’activité du cortex moteur primaire (M1) pendant des mouvements volontaires ou des tâches motrices spécifiques. Les participants sont généralement placés dans un scanner IRM et sont invités à effectuer des mouvements de la main, du bras, ou d’autres parties du corps, ou encore à imaginer ces mouvements sans les réaliser physiquement.
Pendant la tâche, l’IRMf mesure les changements dans l’oxygénation du sang dans le cerveau, ce qui permet de déterminer les régions du cerveau qui sont activées pendant la tâche. Les données d’IRMf peuvent ensuite être utilisées pour créer des cartes d’activation du cortex moteur primaire, montrant les zones les plus actives pendant la tâche.
V ou F lors de l’IRM fonctionnelle on se base sur l’activité neuronale
Faux, on se base sur le flot sanguin.
Quels sont les avantages et les désavantages de l’IRM fonctionnelle ?
Avantage = non-invasif, donc plus sécuritaire
Désavantage = comme c’est non-invasif, c’est moins précis, c’est très indirecte comme mesure.
V ou F dans l’IRM la résolution temporelle est à son apogée
Faux.
permet une résolution temporelle relativement bonne, qui peut atteindre quelques millisecondes. Cependant, la résolution temporelle de l’IRMf est moins bonne que celle des méthodes électrophysiologiques, telles que l’électroencéphalographie (EEG) ou la magnétoencéphalographie (MEG), qui peuvent enregistrer l’activité cérébrale en temps réel avec une résolution de l’ordre de la milliseconde.
***IRM mesure les changements de l’oxygénation du sang dans le cerveau qui sont liés à l’activité neuronale. Ces changements se produisent avec un certain délai après le début de l’activité neuronale, ce qui limite la résolution temporelle de l’IRMf.
Explique la magnétoencéphalographie (MEG)
C’est une technique qui est plus basée sur l’EEG, donc les signaux électriques. On a un peu + de résolution temporelle mais on perd encore + de résolution spatiale dans ces méthodes la.
Explication CHAT GPT:
Technique d’imagerie cérébrale qui permet de mesurer l’activité électromagnétique du cerveau en utilisant des capteurs sensibles aux champs magnétiques produits par l’activité neuronale.
Le principe de base de la MEG est que lorsqu’un neurone se décharge, il produit un champ magnétique très faible. Ces champs magnétiques sont détectés par des capteurs qui sont placés autour de la tête du sujet.
C’est sensible aux changements de flux magnétique, ce qui permet de détecter les champs magnétiques générés par l’activité neuronale dans le cerveau. Les signaux MEG sont ensuite enregistrés et analysés pour identifier les régions cérébrales qui sont actives pendant une tâche ou une stimulation.
La MEG est capable de mesurer l’activité cérébrale avec une très grande résolution temporelle, de l’ordre de la milliseconde, ce qui la rend particulièrement utile pour étudier les processus neurophysiologiques rapides qui se produisent dans le cerveau, tels que les oscillations cérébrales et les potentiels évoqués.
La MEG peut également être combinée avec d’autres techniques d’imagerie cérébrale, telles que l’IRM fonctionnelle, pour obtenir une image complète de l’activité cérébrale et de la structure cérébrale.
En somme, la MEG est une technique d’imagerie cérébrale non invasive qui permet de mesurer l’activité électromagnétique du cerveau avec une grande résolution temporelle.
V ou F dans la méthode de MEG on gagne de la résolution spatiale
Faux, on en perd encore +.
Par rapport à l’IRMf la MEG a une résolution spatiale légèrement moins bonne, car les champs magnétiques générés par l’activité neuronale sont plus difficiles à localiser avec précision que les variations locales de l’activité cérébrale mesurées par l’IRMf.
Qu’est ce qu’une technique avec une bonne résolution temporelle ?
C’est une technique qui permet de mesurer les changements d’activité cérébrale en temps réel avec une résolution temporelle très fine, en gros ça permet de mesurer rapidement les changements d’activité cérébrale
Qu’est ce qu’une technique avec une bonne résolution spatiale ?
La résolution spatiale mesure la capacité d’une technique à localiser précisément ces changements dans l’espace.
Explique la manière dont Penfield a démontré qu’il y avait une somatotopie.
Dans ses expériences sur les singes, Penfield a utilisé des électrodes de surface appliquées sur la dure-mère pour stimuler différentes parties du cortex moteur et observer les mouvements résultants. Il a constaté que différentes parties du corps étaient représentées dans des zones spécifiques du cortex, de manière somatotopique, comme il l’a observé plus tard chez les patients.
En gros chaque fois qu’il faisait une stimulation il dessinait l’endroit du corps qui bougeait suite à ça.
Qu’est ce que Penfield a observé quant à l’organisation de la somatotopie ?
Les résultats des expériences de Penfield ont montré que la représentation somatotopique des différentes parties du corps dans le cortex moteur primaire suit une organisation spatiale particulière.
Plus précisément, la zone corticale qui contrôle les mouvements de la langue et du visage est située le plus latéralement, tandis que la zone qui contrôle les mouvements de la main et des doigts est située un peu plus médialement.
En latéral on a aussi la représentation de la queue et du tronc.
Explique l’avancée de Penfield en lien avec l’épilepsie.
À cette époque, les gens qui avaient des crises d’épilepsie, les chirurgiens enlevaient un peu n’importe quoi, pr essayer d’enlever les crises d’épilepsie, et penfield a dit « au lieu d’enlever nptkoi, jv aller stimuler jusqua temps que je sois capable d’évoquer la crise d’épilepsie et jdois enlever cette partie du cerveau » donc au lieu d’enlever nptkoi, il a décidé de fr des interventions qui étaient guidées par les réponses électrophysiologiques.
Donc, les patients sont reveillées, on commence par fr la craniotomie avec le patient endormi, une fois que la partie douloureuse de la chirurgie est faite, on reveille le patient, on le garde sous certaines drogues, mais fr la stimulation n’est pas douloureux. Donc une fois que le cerveau exposé, on peut lui fr des stimulations sans causer de douleur. Donc le patient était réveillé, il était capable d’évoquer des mvt et on voit la mm chose quon a vu chez le singe –> en médial on a + de mvt du membre inférieur et quand on senva latéralement, on est + dans le membre antérieur/sup jsuqua temps que jarrive au n/ du visage.
**C’est des stimulations de surface, on est au dessus du cerveau pas encore dedans, donc pas très précis.
V ou F dans les expériences de Penfield, il y a une variabilité interindividuelle par rapport à la grosseur de la représentation
Vrai.
Dans les expériences de Penfield, il a été constaté qu’il existe une variabilité interindividuelle dans la taille des représentations somatotopiques dans le cortex moteur primaire. Cela signifie que la taille des représentations corticales d’une partie du corps peut varier d’un individu à l’autre, même si l’organisation somatotopique globale reste la même.
Cette variabilité peut être due à plusieurs facteurs, tels que l’âge, le sexe, la latéralité, la taille du corps et l’expérience ou l’utilisation passée de différentes parties du corps.
V ou F l’organisation médiolatérale est toujours préservée chez les patients
Vrai, une chose qui était tjr préservée c cette organisation médiolatérale, avec le membre inf en médial et au fur et à mesure que jme deplace latéralement, jarrive au n/ du membre sup, de la main et latéralement, le visage. Ca, peu importe la prsn que vous ouvrez, tu vas tjr trouver ca.
Explique la méthode de stimulation mécanique transcranienne.
Ici on place 2 bobines sur le cuir chevelu du patient au-dessus de la région ciblée, on passe un gros courant electrique, ca cree un champ magnétique qui est assez puissant pr aller depolariser mes neurones corticaux, et la bam, ça évoque un mvt.
Ya pas de doute, tu px evoquer l’activité électromyographique, mais en + , t capable d’évoquer des mvt, donc jpx me promener avec mon stimulateur, jem promene au dessus du cortex moteur, tac jv évoquer par ex un mvt du coude, tac jv évoquer un mvt du doigt, jme deplace un peu, tac encore les doigts, jme deplace un peu tac, dans face, donc c vrm ca, tu px faire une carte motrice chez un humain réveillée sans le vouloir. C pas dangeureux et c pas douloureux. C des methodes tres puissantes qui nous permettent d’aller etudier dans nos sujets humians lorganisation du cortex moteur.
**Technique non invasive, donc toujours pas très précis.
PS: eyy le trans t tu un psychiatrique
La stimulation mécanique transcranienne est utilisée en psychiatrie, explique de quelle manière ça se fait.
Pour des patients dépressifs, par exemple, on peut aller stimuler le cortex préfrontal de manière répétitive, ce que ça va faire c’est que ça va libérer de la dopamine, donc ça peut agir à titre de traitement.
Explique les microstimulations intracorticales.
C’est une technique invasive. Asanuma sest dit que quand jregarde l’Activit. Des neurones dans le cerveau, c + les burst que ca donne, et donc ptet que ske jpourrais fr c une sommation temporelle ; au lieu de donner un choc electrique, jv en donner plusieurs a des frquences que jobserve dans les neurones pr aller evoquer un mvt et comme de fait, si jutulise des trains de microstimulations, js capable d’aller évoquer des mvt.
l’idée derriere ca c que si jvx comprendre cmt le cortex moteur est vrm organisé, faut que je diminue le courant, psk si je stimule des gors territoires dans mon cortex, jv pas etre cpaable de comprendre exactement c quoi l’organisation a linterieur du cortex moteur. Donc la jai passé de mini courant avec ma boule au dessus à des micro courant, donc la jv aller stiuler des micrometres de cortex.
V ou F dans les stimulations invasives microcorticales ont stimulent des grand territoire de cortex.
Faux, si on fait ça on ne va spas être apte à comprendre exactement quelle est l’organisation à l’intérieur du cortex moteur. Donc on stimule des micromètres de cortex.
V ou F les ICMS font des stimulations avec une sommation temporelle
Vrai, on utilise des trains de microstimulations pour aller évoquer des mouvements.
La microstimulation intracorticale implique l’utilisation de trains de stimuli électriques de faible intensité pour stimuler de petits groupes de neurones dans des zones spécifiques du cortex cérébral. Cette technique permet de déclencher des mouvements spécifiques ou de produire des sensations dans des parties précises du corps.
En utilisant cette technique, les chercheurs peuvent cartographier avec une grande précision les connexions neuronales et les zones fonctionnelles du cortex cérébral. Ils peuvent également étudier comment les neurones dans ces zones interagissent pour traiter les informations sensorielles et produire des comportements moteurs.
La microstimulation intracorticale est donc une technique très précise et puissante pour étudier le fonctionnement du cerveau à l’échelle microscopique.
V ou F lors de la stimulation microcorticale il est nécessaire d’enlever la dure-mère
Vrai. Parce que là on est vraiment plus en invasif on rentre dans la couche 5 du cortex
Lors de la stimulation microcorticale où applique-t-on le courant ?
On enlève la duremère, on prend l’électrode, on la place et on a la fait descendre qu’au niveau de la COUCHE 5 et là des micro-courants seront appliqués pour évoquer du mouvement.
**Contient les neurones pyramidaux dont les axones descendent dans la moelle épinière pour contrôler les mouvements volontaires. La stimulation de ces neurones peut déclencher des mouvements musculaires spécifiques.
Explique le motor mapping d’Anusma.
Ici tas une carte, ca c 1mm, donc on est a 250micrometre a chaque pt que vous voyez, l’électrode est placée. Par ex, sur le site vert jv aller evoquer des mvt du poignet, jv me déplacer sur le site vert, la g encore un mvt ud pognet mais c un autre mvt (Exemple maintenant c’est plus de la flexion mais de l’extension genre), la jme deplace sur un site rouge, la jv evoquer des mvt des doigts. Quand tu regarde dans la littérature les papiers qui utilisent ces techniques la, tu px voir qu’à 250micrometre, je deplace mon electrode et je passe d’un mvt par ex du poignet à un mvt de l’épaule, caveut dire que la mosaique a linteireur de mon systmee moteur a au moins cette résolution la.
De quelle manière fonctionne la sommation temporelle ?
La sommation temporelle permet d’activer progressivement les neurones à différentes distances de l’électrode à chaque impulsion électrique. Cela permet d’éviter de stimuler trop de neurones en même temps et donc d’avoir une meilleure résolution spatiale dans l’activation des neurones. Donc par exemple à la 3e ponce, j’active des neurones un peu plus profond que dans le 2e ponce.
Comment augmenter davantage la résolution de la microstimualtion corticale ? Quelle méthode à utiliser cette technique ?
En faisant un seul ponce, mais toujours avec de microcourants.
Ça a été fais dans le stimulus triggered average qui est une méthode encore plus précise que l’ICMS
Pourquoi un seul ponce dans le cortex peut ne pas être suffisant ?
L’application d’une seule impulsion électrique peut provoquer un mouvement musculaire simple dans la région ciblée par l’électrode, mais il peut ne pas être suffisant pour déclencher des mouvements plus complexes ou coordonnés qui sont nécessaires pour exécuter des tâches motrices plus complexes.C’est pourquoi, pour stimuler de manière plus efficace une région spécifique du cerveau, les chercheurs peuvent appliquer plusieurs impulsions électriques avec des temps d’interstimulus très courts, en utilisant la sommation temporelle pour produire un mouvement plus coordonné et précis.
Explique le Stimulus triggered average (stim trig avg)
Je place mes electode sur le bras, et la jv faire un ponce de microcourant, et la jenregistre ce qui se passe dans les muscles. Donc si je ft 1 ponce, jobserve quoi dans les muscles? Absolument rien, c pas assez fort pr évoquer rien dans les msucel, entk pas visuellement, ou mm au niveau d’enregistrement. Donc la ske jv faire c que jet un ponce a la seconde, tac tac tac, a chaqur fois jft un ponce, jv aller chercher l’activité dans mon muscle, et jv faire du moyennage à chaque ponce, jadditionne, jft le moyennage, jadtiione jft le moyenne, jadditionne, jft le moyennage.
Apres 100 stimulation, on dirait quil commence a avoir certaines place dans certains muscles, on dirait quil ya de lactivité et si jft des milliers de stimulaiton, la g des effets tres clairs et tres significatifs dans certains muscles.
La js rendu assez précis donc la jpourrais regarder c koi, ou lorganisation dans mon système moteur. Keskon retoruve avec ca? on a tjr l’organisaiton médio-latéral, avec la patte postérieur en médial (chez le macaque), le tronc, le membre sup et la dans le membre sup, on retoruve cette espece d’organisation en fer à cheval.
CHAT GPT:
Le STA consiste à enregistrer l’activité électrique d’un neurone tout en présentant à l’animal un stimulus sensoriel répétitif, tel qu’un flash lumineux ou une impulsion sonore.
Une fois que l’enregistrement est terminé, les données sont analysées pour calculer une moyenne des réponses du neurone à chaque présentation du stimulus. Pour cela, les enregistrements d’activité neuronale sont alignés sur le moment de l’apparition du stimulus (le “trigger”) et moyennés en fonction du nombre de présentations. Le résultat est une courbe qui montre l’activité moyenne du neurone en réponse au stimulus.
Le STA peut être utilisé pour étudier la latence de la réponse neuronale (le temps écoulé entre le stimulus et la réponse du neurone) ainsi que la forme d’onde de la réponse. Il est également utile pour identifier les caractéristiques préférentielles des neurones, telles que les orientations préférentielles des cellules visuelles.
Explique l’organisation en fer à cheval du bras.
Dans le milieu, on a les mvt distaux, donc ca c le sulcus central, on est dans la profondeur du sulcus central, juska dans le fond, g comme ces mvt des doigts. Autour des mvt des doigts distaux, jai comme une zone intermédiaire ou j’évoque des muscles distaux, et des muscle avant-bras, donc des muscle intrinsèques de la main, des muscles avant -bras, et autour g une 3eme couche ou la c des mvt davantage proximaux. C fini, on peut pas etre + précis que ca, c ca lorganisation du système moteur. Donc on est pas avec des doigts, chaque doigt separé blabla, nn les doigts sont tt rassemblé dans le milieu, dans une mosaique et on a cet espece d’oganisation en fer à cheval, de distal à proximal.
V ou F chaque fois que l’électrode est déplacée, un nouveau mouvement se produit
Vrai, on a une organisation en mosaïque.
Qu’est ce qui explique l’organisation en mosaïque ?
Les concepts de convergence et de divergence
Qu’est ce que la divergence ?
Un neurone dans le cortex moteur n’envoie pas des projections à un seul muscle, mais à plusieurs groupes de motoneurones spinaux, ce qui influence plusieurs muscles.
Qu’est ce que le concept de convergence ?
La convergence c’est que si je prend 1 neurone, lui il peut envoyer au muscle A, mais jpx me depalcer a/n du cortex et à une autre place, ya un autre neurone qui va envoyer au mm muscle et à une autre place, ça va envoyer au mm muscle. Donc c ps slm une place dans le cortex moteur qui va envoyer à 1 muscle. (donc plusieurs neurone qui convergence vers un muscle)
Explique l’ICMS en lien avec la convergence.
On a enregistré dans la MOE les motoneurones, jv stimuler le cortex moteur et jv enregistrer les motoneurones dans la MOE.
Je descend mon electrode et la jevoque par ex de l’activité dans les extenseurs des doigts communs, jvois que dans ce trac la, g plein de profondeur à laquelle jss capable devoquer de l’activité dans ces motoneurones la, jme tasse et la jv avoir dautres place et dautres, etc. encore une fois ya pas une place dans le cortex qui va envoyer des projections à ce mucle la, ya plusieurs place dans le cortex. EN GROS y a plusieurs profondeurs, donc plusieurs zones qu’on peut stimuler et qui vont produire le mouvement d’un même muscle, donc les stimulations dans différentes zones vont amener le même motoneurone à décharger, ça ça montre la convergence
STIMULAYION DE NOMBREUSES ZONES CORTICALES AMÈNE LE MOTONEURONE A DÉCHARGER
CHAT GPT:
Dans cette expérience, les chercheurs ont descendu des électrodes dans la MOE pour enregistrer l’activité des motoneurones responsables de la commande des muscles des doigts. En stimulant électriquement différentes régions du cortex moteur primaire, ils ont pu déterminer quelles régions étaient responsables de la commande des muscles des doigts et à quelle profondeur dans la MOE se trouvaient ces motoneurones.
Il est intéressant de noter que la commande des muscles des doigts ne se fait pas à partir d’une seule région dans le cortex moteur primaire, mais plutôt à partir de plusieurs régions. Cela montre la complexité de l’organisation du cortex moteur primaire et comment différentes régions sont responsables de la commande de mouvements spécifiques.
Explique le concept de divergence en lien avec l’injection d’HRP (expérience japonaise de Shinoda)
Experience neuroanatomique, faite par un grp japonais: Ils ont trouvé au niveau du cortex un neurone, ils ont ont injecté le neurone d’un traceur antérograde (le traceur est absorbé par le neurone qui va descendre le long de la projection) et ils ont reconstruit la projection de ce neurone la. On voit l’axone du neurone descendre et au lieu d’aller vers un pool de motoneurone, on voit que les branches se connectent à PLUSIEURS pools de motoneurones dans la MOE.
CHAT GPT:
Dans l’expérience que vous décrivez, un groupe de chercheurs japonais a injecté un traceur antérograde dans un neurone dans le cortex et ont suivi la projection de cet axone dans la moelle épinière. Les résultats ont montré que, au lieu d’aller vers un seul pool de motoneurones, les branches de l’axone se connectent à plusieurs pools de motoneurones dans la moelle épinière.
Cela suggère que ce neurone du cortex est capable de contrôler plusieurs muscles différents, car il est connecté à plusieurs pools de motoneurones dans la moelle épinière. Cette capacité de contrôler plusieurs muscles différents est importante pour la coordination des mouvements complexes et précis.
Explique le concept de divergence en lien avec l’injection d’HRP (expérience de Fetz et Cheney)
Ce qu’on ft c qu’on enregistre un neurone dans le cortex et à chaque fois que le neurone a un PA, jv aller regarder ski se passe dans les muscles, donc ici, comme on stimule pas, on enregistre, c pas des milliers de decharges de neurones qu’on va avoir, c des dizaines de de milliers de decharges et à chaqur fois que le neurone a une decharge, j’accumule et je moyenne l’activité dans le muscle (Spike trig avg) et eventuellement, ske je vois c que a chaque fois que le neurone que j’enregistre decharge, ya une augmentation de la probabilité davoir une contraction msuculaire, pas dans 1 muscle, mais dans au moins 4 muscles.
EN GROS ON FAIT LA MOYENNE EST ON VOIE QUE CHAQUE FOIS QUE ÇA DECHARGE ÇA AUGMENTE LA PROBABILITÉ DAVOIR UNE CONTRACTION MUSCULAIRE DANS UN MOINS 4 muscles (c’est la même chose mais juste la on étudie un peu les probabilités en faisant la moyenne)
CHAT GPT:
En effet, la méthode que vous décrivez est celle utilisée par Fetz et Cheney pour étudier l’activité neuronale et musculaire dans des expériences sur des singes. Au lieu de stimuler directement les neurones, ils enregistrent l’activité électrique de ces neurones et utilisent le signal électrique pour déclencher une stimulation musculaire, appelée spire triggered average of rectified EMG (STARE). Cette méthode permet de mesurer l’activité musculaire qui suit l’activité neuronale, et de déterminer si cette activité musculaire est due à l’activité d’un seul muscle ou de plusieurs muscles.
En utilisant cette méthode, Fetz et Cheney ont découvert que l’activité neuronale dans le cortex moteur primaire, qui contrôle les mouvements volontaires, est étroitement liée à l’activité musculaire et peut provoquer des contractions musculaires dans plusieurs muscles en même temps
Résumée:
On enregistre l’activité de décharge du neurone lors d’un mouvement volontaire et on voit qu’à chaque fois que le neurone décharge ça augmente la probabilité d’avoir la contraction dans 4 muscles différents. Donc 1 seul neurone innerve plusieurs muscles.
V ou F dans l’expérience de Fetz et Cheney, on ne fait pas de stimulation
Vrai, on fait un enregistrement
C’est vrai, dans l’expérience de Fetz et Cheney, il n’y a pas de stimulation directe des neurones du cortex moteur. Au lieu de cela, les neurones sont enregistrés pendant que l’animal effectue des mouvements volontaires, et l’activité neuronale est enregistrée à partir de micro-électrodes placées dans le cortex moteur. Les neurones qui sont enregistrés sont donc ceux qui sont actifs naturellement pendant que l’animal effectue des mouvements.
V ou F a chaque fois que le neurone que j’enregistre decharge, y a une augmentation de la probabilité davoir une contraction msuculaire dans 1 muscle.
Faux, ce n’est pas dans 1 seul muscle, mais dans au moins 4 muscles.