CM5 Flashcards

1
Q

Biais de négativité

A

Quand on a des informations favorables et défavorables, sur quelqu’un, on va se baser sur les infos négatives car elles sont perçues comme plus représentatives

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2
Q

Asch - 1952

A

2 descriptions avec changement d’un seul trait central
-> les traits centraux sont capables de changer l’impression générale sur quelqu’un

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3
Q

Rosenberg et al - 1968

A

2 dimensions de la formation d’impression : chaleur et compétence (participants doivent classer des personnes sous 64 traits de personnalité)

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4
Q

Fiske et al - 2002, 2007

A

Hypothèse de la primauté de chaleur : en premier et de manière automatique, on va chercher à déterminer les intentions qu’une personne a à notre égard

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5
Q

Les infos qui ont le plus de poids

A
  • traits négatifs
  • trais centraux
  • premières informations
  • appartenances catégorielles
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6
Q

Fiske et Neuberg - 1990

A

Modèle du processus de formation d’impression : on a 2 types d’informations sur quelqu’un = infos catégorielles et individualisantes

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7
Q

Modèle du processus de formation d’impression

A

Rencontre -> catégorisation initiale -> intérêt + ( confirmation catégorielle -> recatégorisation -> intégration -> impression individualisée) ou - (impression basée sur les appartenances)

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8
Q

Brunswick - 1956

A

Photos de soldats puis on demande son degré de sociabilité et degré d’intelligence + mesures objectives donc test d’intelligence et de sociabilité
- fort consensus : même avis par les participants
- aucun rapport entre les jugements des participants et l’intelligence/la sociabilité réelle
- aucun lien entre sociabilité réelle et intelligence réelle
- les soldats intelligents étaient aussi jugés sociables

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9
Q

Pourquoi faisons-nous les mêmes inférences ?

A

Consensus culturel : correspondances entre caractéristiques physiques et sociales et qualités intellectuelles et sociales
Pseudo-sciences : correspondances faites entre personnalité et physique

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10
Q

Comment font les chercheurs pour voir si l’on partage les mêmes inférences ?

A

à partir d’un répertoire de traits de personnalité très riche, on demande d’attribuer un trait à une personne et cela implique de croire en une certaine stabilité dans son comportement

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11
Q

Différence de beauté homme/femme dans le monde du travail

A

Un homme beau a + de chances d’être embauché peu importe la position du poste
Une femme belle a + de chances d’être embauchée par rapport à des femmes non-attrayantes et pour un emploi typiquement féminin. Cela fonctionne moins sur les postes à responsabilité

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11
Q

La beauté dans le monde du travail

A

+ une personne est jugée belle et + elle a de chances d’être embauchée, d’avoir ses prestations surélevées, des récompenses …

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12
Q

Heilman - 1983

A

Manque de correspondance : la beauté accentuerait les attributs liés au sexe et l’effet de la beauté varie selon le caractère sexuellement typé du métier

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13
Q

Définition d’une catégorie par Tajfel - 1972

A

Groupe de personnes, d’objets, d’évènements en tant qu’ils sont soit semblables, soit équivalents les uns aux autres pour l’action, les intentions ou les attitudes d’une personne

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14
Q

Les caractères d’une catégorie

A
  • relatif : la ressemblance entre les choses n’est pas absolue
  • social : culturellement déterminé
  • conceptuel : représentation mentale
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14
Q

processus de catégorisation

A

activité mentale non pathologique qui consiste à organiser et à régner les informations de l’environnement

15
Q

Définition de catégorisation sociale

A

processus de simplification de l’environnement qui consiste à créer des catégories sur la base de caractéristiques qu’un ensemble particulier de personnes semble avoir en commun

16
Q

Comment on constitue une catégorie ?

A
  • principe de similitude
  • prototype/schéma
17
Q

3 facteurs déterminants la catégorisation sociale

A
  • accessibilité cognitive
  • perception de similarité
  • nos attentes
18
Q

Tajfel - 1959

A

Doubles conséquences de la catégorisation : accentuation des ressemblances intra-catégorielles et des différences inter-catégorielles
-> effets d’assimilation et de contraste

19
Q

Tajfel et Wilkes - 1963

A

Présentation de 8 lignes verticales de différentes longueurs tracées sur un carton avec condition classification continue, sans catégorisation et avec catégorisation
-> exagération des différences entre les 2 catégories

20
Q

Wilder - 1977

A

Discussion impliquant : les membres d’un même groupe, 2 groupes différents ou des individus lambdas et les participants doivent deviner la réaction de l’intervenant suivant
Même groupe : on s’attend à ce que la personne ai un avis similaire et inversement pour 2 personnes de différentes groupes

21
Q

Taylor et al - 1978

A

Les appartenances groupales des personnes influencent la manière dont un observateur stocke l’information avec 8 personnes photographiées qui émettent leur avis
Les sujets ont tendance à confondre les personnes de même catégorie plutôt que les personnes de catégories différentes

22
Q

Le Poultier - 1987

A

Vidéo avec 2 femmes qui discutent sans entendre ce qu’elles disent : l’une des deux est assistante sociale (G/D) et l’autre est un cas social (D/G) ou juste 2 femmes :
Les participants attribuent des traits en fonction des étiquettes collées aux 2 femmes

23
Q

Shedler et al - 1993

A

Lecture d’un texte de personnes hospitalisées pour troubles mentaux et ils doivent dire si les textes sont représentatifs ou non d’une personne malade :
Le même texte est jugé différemment en fonction des infos que l’on a -> les phrases sont + représentatives d’une personne malade dans la condition personne gravement atteinte