Chapitre 23 : Troubles de l'alimentation Flashcards
Types de troubles de l’alimentation
- Anorexie mentale
- Boulimie
- L’hyperphagie boulimique
- Autre trouble de l’alimentation spécifié
- Trouble de l’alimentation non spécifié
Qu’est-ce que l’anorexie mentale?
Accent sur la restriction de l’apport énergétique qui entraîne le maintien d’un poids très faible, ex : restriction alimentaire, exercice physique excessif
Peur intense de la graisse ou de la grosseur ou d’une expérience perturbée du poids et de la forme du corps, ou encore d’une estime de soi influencée par le poids et la forme
*Important de dire aux clients comment on prend et on perd du poids + Besoin de donnée une idée réaliste de comment la personne va sortir de sa situation
Anorexie = sa presse d’intervenir
Boulimie = pressant mais moins
Elle peut être sous-typée :
- Type d’hyperphagie et de purge : épisodes réguliers d’hyperphagie ou de purge au cours des trois mois précédents
- Type de restriction : n’a pas eu ces comportements au cours des 3 derniers mois
Les deux types peuvent impliquer un jeûne et un exercice physique excessif
Anorexie mentale : Changements entre le DSM-IV et le DSM-5
DSM-IV-TR : premier critère porte sur le refus d’un individu de maintenir un poids corporel minimum adéquat (inférieur à 85% de la normale)
CHANGER À :
DSM-5 : concentre sur les comportements qui entraînent un poids significativement faible (inférieur à la normale minimale, le critère de 85% est SUPPRIMÉ car il était utiliser comme seuil plutôt que ligne directrice)
*garder le 85% en tête, c’est important pour l’examen
Le DSM-5 élimine le critère de l’aménorrhée :
- ce critère exigeait que les femmes post-ménarchiques (première menstru) n’aient pas eu trois cycles menstruels consécutifs (pas 3 périodes de suite)
- ça a été un critère clé mais les femmes qui ont tous les autres symptômes sauf celui-là sont psychologiquement impossible à différencier d’une qui a toute
- dire ça comme ça sa voulait dire que ça s’appliquait pas aux femmes préménarques (pas de période encore), aux femmes prenant des contraceptifs oraux, aux femmes ménopausées ou aux hommes
Qu’est-ce que la boulimie?
Épisodes récurrents d’hyperphagie
La frénésie alimentaire : manger plus que ce que la plupart des gens mangeraient dans une période de temps et une situation similaire et avoir le sentiment de ne pas pouvoir contrôler son alimentation pendant l’épisode
Accompagné de comportements compensatoires dans le but d’éviter une prise de poids correspondante, ex : vomissements, abus de laxatifs, exercice physique ou jeûne (arrêt total de manger)
Ces comportements doivent se produire en moyenne au moins une fois par semaine pendant au moins 3 mois
*Faut que sa soit au niveau pathologique (anormal)
Associé à un comportement impulsif, l’impulsivité observée chez les patients a été associée à une fréquence plus levée des comportements de purge
Impulsivité face à la nourriture
Qu’est-ce que la bigorexis?
Commun chez les hommes
L’impression d’être très maigre et pas assez musclé
Changements dans la boulimie entre le DSM-IV et le DSM-5
Principal changement : passer de deux fois par semaine dans le DSM-IV à une fois par semaine dans le DSM-5 parce qu’il n’y a pas de différence psychologique entre ceux qui le font 2 fois et ceux qui le font seulement une fois
La boulimie n’est plus sous-typée : elle était sous-classés en type purgeur ou non purgeur mais ce n’est plus important
En somme :
DSM-IV :
- 2 fois par semaine
- sous-classés : purgeur et non purgeur
DSM-5 :
- une fois par semaine
- pas important de sous-typé
Anorexie mentale et boulimie mentale
La différence est dans l’intention en arrière des comportements.
Anorexie mentale : t’as peur de grossir
Boulimie mentale : tu regrette les crises d’hyperphagie après des avoir eu
Qu’est-ce que l’hyperphagie boulimique
Nouvel ajout à la section des troubles du comportement alimentaire du DSM-5 (était dans l’annexe de l’édition précédente)
Implique des crises de frénésie alimentaire :
- accompagné d’un sentiment subjectif de manque de contrôle sur son alimentation
- au moins une fois par semaine pendant 3 mois
- les comportements compensatoires ne sont pas présents ou sont peu fréquents
Les gens éprouvent de la détresse face à leurs épisodes
La gravité de la pathologie est de légère (1 à 3 crises de boulimie par semaine) à extrême (plus de 14 crises par semaine)
Plus t’as de crises, plus tu prend du poids
Ces crises commencent généralement à la fin de l’adolescence ou au début de la vingtaine et font souvent suite à un régime ou à une perte de poids.
Les personnes souffrant de ça sont généralement en surpoids et présentent les mêmes préoccupations que les personnes anorexiques et boulimiques.
Les symptômes de l’hyperphagie boulimique
La personne doit également présenter au moins 3 des 5 symptômes liés aux crises d’hyperphagie :
1) manger beaucoup plus rapidement que d’habitude
2) manger jusqu’à être inconfortablement rassasié
3) manger une grande quantité de nourriture alors que l’on a pas faim
4) manger seul parce que l’on se sent gêné par la quantité de nourriture que l’on mange
5) sentiments de dépression, de dégoût ou de culpabilité extrême face à la quantité de nourriture ingérée
Catégorie résiduelles de troubles de l’alimentation (les 2 autres)
DSM-IV : ils étaient qualifiés de troubles de l’alimentation non spécifiés (EDNOS)
Cela demeure le diagnostic le plus fréquent
L’objectif de créer deux autres catégories (comme ont les a dans le DSM-5) était de réduire le nombre de personnes diagnostiquées avec EDNOS
Qu’est-ce qu’un Autre trouble spécifié de l’alimentation ou du comportement alimentaire?
Une catégorie résiduelle pour les syndromes qui ne répondent pas tout à fait aux critères diagnostiques des troubles spécifiques du comportement alimentaire.
Lorsque le clinicien est en mesure d’expliquer pourquoi le trouble n’entre pas dans ces autres catégories. Ex : en étant compatible avec une anorexie mentale, une boulimie ou un trouble obsessionnel-compulsif sans seuil.
T’as certains symptômes mais pas assez pour avoir le diagnostic, mais le clinicien sait ce que tu as
Qu’est-ce qu’un trouble de l’alimentation ou du comportement alimentaire non spécifié?
Catégorie résiduelle similaire, mais pour laquelle le clinicien ne peut pas ou choisit de ne pas décrire pourquoi le trouble ne répond pas aux critères d’un diagnostic plus spécifique.
Ex : si les informations obtenues ne sont pas suffisantes pour établie concrètement un diagnostic spécifique
Le clinicien sait que tu as quelque chose, mais il ne sait pas quoi… Comme un enfant qui ne parle pas
Épisodes en rafale
Problème concernant les épisodes de frénésie et d’hyperphagie alimentaire :
- variabilité considérable dans les types
La majorité des excès se produisent généralement en moins de 2 heures
- conforme aux critères du DSM
La perte de contrôle est systématiquement liée à la perception d’un épisode alimentaire comme une frénésie
- également associé à une augmentation de l’apport calorique et à une plus grande détresse
Frénésie : même quand t’as pu faim, tu continue de manger
Déclencheurs courants des crises d’hyperphagie
- les émotions négatives : dépression, stress, anxiété, ennui
- dépersonnalisation
- la faim
- restrictions alimentaires : t’as tellement faim que tu pars sur un binge eating
- présence d’un “aliment interdit” attrayant
- violation de l’abstinence : avoir déjà mangé quelque chose qui fait grossir ou qui empêche de suivre un régime
- ingestion d’alcool
Déclencheurs courants de binges
- Sentiments de perte de contrôle
- Violation des règles alimentaires
*Point important = t’es pas capable de t’arrêter de manger
Excès de nourriture vs. restriction
Les dommages au corps sont pires quand on est en restriction alimentaire
Plus difficile de convaincre quelqu’un qui ne mange pas de manger
Vomir pleins de fois dans une journée c’est pas santé
Les gens qui prennent des laxatifs pendant vraiment longtemps vont être pris à prendre des laxatifs toute leur vie à cause leur corps va s’habituer
Les patients qui souffrent d’anorexie mentale et boulimie ont moins de bons résultats
Quand la pathologie s’aggrave, les patients vont souvent switch de l’anorexie mentale au type d’hyperphagie + purge
L’abus de laxatifs chez les femmes souffrant de troubles alimentaires est un indicateur d’une patho plus importante indépendamment d’autres caractéristiques.
Évolution
Les deux apparaissent à la fin de l’adolescence
Image corporelle négative + divers problèmes psychologiques apparaissent durant la puberté
La détresse précoce va venir avant le trouble
Prévalence
Rapport femmes-hommes = 10:1 pour l’anorexie mentale et 15:1 pour la boulimie
Incidence
La boulimie est plus commune que l’anorexie mentale
Ethnicité
Anorexie : trouble courant chez les jeunes femmes blanches et extrêmement rare chez les femmes noires
Boulimie et hyperphagie boulimique : plus fréquent chez les femmes blanches mais aussi fréquent chez les femmes noires
Problèmes coocurrents
80% comorbide avec d’autres troubles
Souvent des comportements obsessionnels compulsifs (ex : compter les calories, préoccupations corporelles)
TOC = 30% et 3X plus fréquents chez les personnes anorexiques que boulimiques
L’abus d’alcool fréquent dans la boulimie à cause du comportement impulsif
Troubles anxieux, dépression, PTSD et troubles de la personnalité sont fréquent dans l’anorexie et la boulimie
Quels sont les modèles théoriques?
Pas de cause unique, les voies d’accès sont multiples, peut être une accumulation de plusieurs circonstances
Théories :
1) Le modèle de Fairburn
2) Modèle cognitif
3) Modèle socioculturel
4) Modèle sociobiologique
5) Autres
Le modèle de Fairburn
2 catégories de facteurs de risque :
1) celles qui augmentent le risque général de troubles psychiatriques
ex : agression sexuelle
- Les patients atteint de boulimie ressemblent plus à des gens souffrant de troubles que des gens n’ayant pas de trouble.
2) celles qui augmentent spécifiquement le risque de régimes et de problèmes alimentaires
ex : ton parent te dis t’es laid à 4 ans
- Les patients boulimiques présente un schéma particulier d’exposition à des facteurs susceptibles d’augmenter le risque de régime et d’auto-évaluation négative.
Soutient l’hypothèse : La boulimie est le résultat d’une exposition à des facteurs de risque généraux de troubles ET à des facteurs de risque spécifiques de régimes amaigrissants.
Ex : tu t’es fait agressé et ton parent t’as dit t’es laid à 4 ans
*Point clé de la boulimie = L’IMPULSIVITÉ
Modèle cognitif
Mettre l’accent sur les préjugés dans les croyances, les attentes et le traitement des informations relatives à la taille et à l’alimentation.
*Ces théories dominent les stratégies de traitements actuelles puisque le problème c’est la perception qu’on les gens d’un poids normal
Biais dans le traitement de l’information : l’accent est mis sur la nourriture et le poids à l’exclusions d’autres informations
Explique le déni, la résistance au traitement et l’interprétation erronée des interventions thérapeutiques
Modèle socioculturels
Suggèrent que l’idéalisation de la minceur et les représentations incessantes de modèles minces dans les médias contribuent à l’insatisfaction corporelle généralisée.
L’exposition à des mannequins idéalisés peut favoriser les régimes en incitant les jeunes femmes à s’efforcer d’atteindre un soi fantasmé et plus mince à l’avenir
Compétition sexuelle entre femme causé par les troubles de l’alimentation et la quête de la minceur
La minceur améliore les perspectives de reproduction en les rendant plus attirantes pour les femmes mais retarde la reproduction (les femmes anorexiques ne peuvent pas avoir d’enfants) jusqu’attend qu’elles soient mieux
Facteurs de risque (facteurs socioculturels)
Les principaux acteurs de la pression de minceur socioculturelle sont : les médias, les attentes en matière de rôle sexuel, la race, l’ethnie et la classe sociale
*La pire insulte pour quelqu’un : as tu pris un peu de poids récemment?
Facteurs de risque (facteurs socioculturels) - Les médias
Les ados regardent plus de télé et lisent plus de magazine
Ils sont bombardés de messages sur la minceur et les régimes :
- s’adressent aux jeunes femmes
- augmentation de dépression et de l’image négative de soi
- les gens présentant une symptomatologie des troubles alimentaires plus importante ont tendance à s’exposer à des doses plus importantes de ces images médiatiques
Par contre, certains ne blâment pas les médias :
- le fait de regarder des photos de mannequins permet aux gens suivant un régime chronique de se sentir plus minces et mieux dans leur peau
- fantasmer sur l’imitation des modèles
- mais des fois ont voit que c’est trop donc on se sent mieux dans notre peau de ne pas être mince comme ça
- les troubles alimentaires sont documentés depuis avant les médias
En somme : l’exposition aux médias peut augmenter la prévalence des troubles mais elle n’en est pas la cause première
Facteurs de risque (facteurs socioculturels) - Le genre
Les femmes sont plus exposés
Quand on a commencer à voir ces troubles, le rôle social des femmes changeait beaucoup :
- idéal de la “superwoman” : intelligente, belle, carrière réussie, maison parfaite, enfants, etc
- le stress lié au fait d’essayer d’être tout pour tout le monde peut pousser certaines à se concentrer sur une chose qu’elles pensent pouvoir contrôler = son poids
*plus d’attentes envers les femmes
*la pression vient frapper les femmes et elles focus sur l’image personnelle
Facteurs de risque (facteurs socioculturels) - Race, ethnicité, classe sociale
Une minorité de femmes souffrant des troubles sont généralement en surpoids.
Ex : les femmes blanches se sentent en surpoids mais on tendance à avoir un poids normal
L’insatisfaction corporelle et la peur de la graisse ou grosseur sont MOINS fréquentes dans les groupes non blancs.
Les ados afro-américain sont plus susceptibles d’avoir des épisodes d’hyperphagie et d’utiliser des laxatifs.
Les groupes blancs sont plus susceptibles de restreindre leur alimentation.
Facteurs de risque (Influences familiales)
Un environnement familiale critique, un contrôle parental coercitif et un discours dominant sur le poids = augmente le risque
Important pendant le traitement, ex : les émotions exprimées par la mère (surtout les critiques) permettent de prédire une issue défavorable pour les patients souffrant de troubles alimentaires.
*Si une personne dans ta famille est en diète, ça va souvent être la famille au complet
Les mères souffrantes transmettent des comportements pathologiques à leurs filles dès l’âge de 5 ans.
Les mères présentant des symptômes ont tendance à trouver leurs filles moins séduisantes et ayant davantage besoin de perdre du poids.
Les filles qui ont une mère qui suit un régime sont susceptibles de le faire et d’utiliser des techniques de perte de poids plus extrême si leur mère les encourage ou si elle n’est pas satisfaite de son propre corps.
Facteurs de risque (Influences de l’environnement)
Les moqueries liées au poids
Les traumatismes précoces :
- 60% des gens avec un trouble ont subi au moins 1 traumatisme dans leur vie, ex : négligence, exposition à la violence ou les abus physiques, émotionnels et sexuels
*Abu sexuel à l’enfance = trouble d’alimentation
*Négligence = gros impact sur l’hyperphagie
*Abu émotionnel = lié à l’anorexie
Facteurs de risque (Facteurs génétiques)
Étude de jumeaux, familiales et récentes = facteur génétique possible, surtout pour l’anorexie mentale
Les femmes dont un parent du premier degré souffre d’un trouble du comportement alimentaire sont 2 à 3 fois plus susceptibles d’en développer un elles-mêmes
*Certaines pathologies sont environnementales et d’autres génétiques
*La résilience aux troubles c’est génétique
Facteurs de risque (Facteurs physiologiques)
Perturbation de l’activité sérotonergique = associée à l’anorexie mentale
Présentation de signes de dérèglement de la sérotonine = boulimie :
- contribue aux symptômes, y compris l’hyperphagie
- sérotonine peut être associée à l’impulsivité, lié au comportement de frénésie alimentaire
*Sérotonine = reward system.. tu mange un morceau de gâteau t’es pas aussi content que tu pensais donc tu mange toute le gâteau mais là t’as le pas le feeling que tu pensais avoir so tu continue à manger en cherchant se feeling de reward
Facteurs de risque (Estime de soi et identité)
L’auto-évaluation négative et la faible estime de soi sont les facteurs de risques les plus répandus chez les patients souffrant de troubles de l’alimentation :
- semble être lié à un manque d’identité cohérente et à une méfiance à l’égard de la capacité du corps à fonctionner seul.
Ils lie leur valeur personnelle à leur poids et à leur silhouette :
- continue de diminuer l’estime de soi et peut perpétuer des comportements alimentaires désordonnées
Traitements des troubles de l’alimentation
1) Thérapie cognitivo-comportementale (TCC)
2) Conseil nutritionnel
3) L’entretien motivationnel
4) La thérapie comportementale dialectique (TCD)
Thérapie cognitivo-comportementale
Le traitement le plus largement utilisé et le plus efficace pour traiter ces troubles
Consiste à identifier, modifier et remplacer les comportements et les pensées inadaptés
Adopter à la symptomatologie propre à chaque trouble
Anorexie mentale :
- cible les croyances irrationnelles et récalcitrantes sur l’importance du poids et de la silhouette qui soutiennent la poursuite incessante de comportements d’alimentation inadaptés
- établie un mode d’alimentation normalisé consistant en des repas réguliers comprenant une variété d’aliments
Boulimie :
- l’objectif est limité aux comportements alimentaires et aux pensées relatives à la nourriture, au poids et à la forme
- établit un modèle d’alimentation normalisé
*On travaille sur le fait de pourquoi t’as commencer à penser faut tu perde beaucoup de poids
*Parle de standard de beauté, standard de poids, etc
Conseil nutritionnel
Éduquer le patient sur les besoins caloriques normaux et les processus physiologiques :
- les gens qui souffrent des troubles utilisent leur connaissances en matière de calories pour obtenir une perte de poids radicale plutôt que pour maintenir un corps en bonne santé
- change les attitudes à l’égard de la nourriture et de l’alimentation en armant les gens de connaissances exactes
Fournit également des informations sur la maladie elle-même
L’entretien motivationnel
Reconnaît les fluctuations de la motivation et de la volonté de changement
La tâche du thérapeute est de mettre en évidence les aspects problématiques des symptômes et d’explorer et de résoudre l’ambivalence en collaboration
- Important de pas commencer avec cognitif comportemental directe, doit commencer avec une approche centrée sur la personne (met l’accent sur le lien de confiance entre le thérapeute et le client) au cas des rechutes
- Important dans les maladies où la personne est à risque de faire des rechutes et d’avoir trop honte pour revenir
Tend à améliorer la préparation cognitive et les changements de comportement face à l’hyperphagie boulimique
N’est pas utile pour modifier les comportements compensatoires et l’alimentation restrictive
Pas conçu comme une approche thérapeutique autonome : plus un précurseur ou un complément potentiellement utile à d’autres approches plus orientées vers l’action
*Donner de la motivation à la personne
*Doit avoir une raison valable d’arrêter le comportement qu’on fait depuis longtemps
La thérapie comportementale dialectique (TCD)
Été développée pour traiter les troubles de la personnalité borderline au début
Encourage l’engagement et la mise en oeuvre de changements comportementaux tout en validant les émotions des individus et l’ambivalence du traitement, en mettant l’accent sur le développement des compétences en matière de reconnaissance et de régulation des émotions
*Individu peut être intéressé à changer, désinteressé, intéressé…
*Leur montrer que c’est correct d’être à gauche et à droite
*C’est mieux que rien mais pas une recette miracle
TCD est efficace pour réduire les symptômes tels que l’hyperphagie, la purge et l’alimentation restrictive
Mais elle n’est pas supérieure à d’autres traitements tels que la TCC : pas assez de recherche