Chapitre 12 - La psychologie légale Flashcards

1
Q

Que font les psychologues en psychologie légale?

A
Au civil:
-Évaluation des compétences
ex: mandat inaptitude
-Évaluation garde d’enfants
Aptitudes parentales
-Expertise dans cas de compensation

Causes criminelles:

  • Aptitudes à subir son procès
  • Présence de trouble mental
  • Profilage criminel
  • Sélection des jurys
  • Expertises (validité des témoins)
  • Risque de récidive et violence

Niveau académique :

  • Font des recherches sur éléments reliés au domaine légal (détecter les mensonges, sélection et caractéristiques des jurys, mémoire et témoignages, caractéristiques des criminels).
  • Agissent comme témoins experts sur ces éléments
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2
Q

Qu’est-ce que le profilage?

A

Pour se former une impression du suspect :

  • On lui attribue certains traits
  • On le soupçonne de certains comportements
  • Notamment parce qu’il appartient à tel ou tel groupe.
  • Inférer des traits selon le groupe d’appartenance.
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3
Q

Qu’est-ce que le profilage racial?

A

Mesure prise par une personne en position d’autorité à l’encontre d’autrui

Pour des raisons de sécurité

Généralisations fondées sur l’ethnie, la race, la religion

Sans motif réel ou soupçon raisonnable

Ex.: sélectionner des gens en fonction de leur ethnie (aéroport).

**Critique : pas de fondement, juste en fonction de leur allure.

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4
Q

Qu’est-ce que le profilage criminel?

A

Profil psychologique d’un criminel afin d’en déduire les caractéristiques du suspect possible.

Processus d’attribution (repose sur une démarche scientifique).

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5
Q

À partir de quoi se fait le profilage criminel?

A

Des descriptions des témoins ou des victimes survivantes.

D’informations recueillies sur la scène du crime (organisé ou non).

De traits communs à un type de crime donné.

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6
Q

Quelles sont les critiques du profilage?

A

Profils manquent de support empirique.

Accordent plus d’importance à la personnalité qu’à la situation.

Profils vagues et ambigus.

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7
Q

Que démontrent les recherches quant à la preuve en psycho légale?

A
  1. La mémoire des témoins oculaires est imparfaite
  2. Certains facteurs particuliers risquent de fausser la mémoire
  3. Les jurés ne tiennent pas assez compte de ces facteurs
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8
Q

Pourquoi les témoins oculaires sont la principales cause des erreurs judiciaires?

A

Ils peuvent se tromper au moment :

  1. De l’acquisition de l’information.
  2. De l’emmagasinage de l’information.
  3. Du retrait de l’information.
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9
Q

Qu’est-ce que l’acquisition de l’information (témoins oculaires)?

A

ACQUISITION:
Processus par lequel nous notons les informations dans notre environnement et y prêtons attention.

DONC = Perception des faits et l’interprétation qu’en donne le témoin au moment de l’événement.

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10
Q

Qu’est-ce qui nuit à l’acquisition de l’information?

A

Les crimes sont commis dans des conditions qui nuisent à la perception (noirceur).

Nous ne pouvons prêter attention à toute l’information relative à un événement (si arme dans le front).

Les criminels se déguisent ou modifient leur apparence.

Les événements relatifs au crime se déroulent rapidement.

Les témoins sont éloignés du coupable.

Le témoin est en proie à des émotions intenses (stress, colère, peur).

Le témoin éprouve beaucoup de stress.

Le témoin se souvient davantage de l’arme du crime que du visage, on évalue le danger.

Le témoin se remémore plus facilement les traits de sa propre ethnie.

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11
Q

Qu’est-ce que l’emmagasinage de l’information (témoins oculaires)?

A

Pour ne pas oublier une information, nous devons l’emmagasiner dans notre mémoire.

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12
Q

Qu’est-ce qui nuit à l’emmagasinage de l’information?

A
  • Le temps
  • Les nouvelles informations portées à l’attention du témoin.
  • Mémoire reconstructive : processus par lequel la mémoire d’un événement est altérée par les informations obtenues une fois que l’événement s’est produit (peut fausser notre souvenir).
  • Suggestions subtiles dans les commentaires/questions.
  • La manière de poser les questions, dans le choix des verbes et des adjectifs.
  • La présence d’autres témoins, qui créent des conditions de conformisme.
  • Présentations de photos de suspects possibles (devient familier, contamine).
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13
Q

Quelles sont les hypothèses de comment les événements postérieurs influencent notre mémoire?

A
  • Les nouvelles info effaceraient les anciennes (première impression).
  • On comble les trous des détails manquants.
  • On oublie la provenance des informations.
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14
Q

Quelle est l’étude d’Élizabeth Loftus?

A

Gens regardent vidéo sur un accident de voiture et elle pose des questions et change les termes. En fonction des termes utilisés, les réponses changent aussi

–»Suggère des réponses selon les mots choisis.

Demande aux gens de lui parler de la fois qu’ils se sont perdus dans un centre d’achat quand ils étaient jeunes (ce qui n’est jamais arrivé). 1/4 des gens ont acquiessieé.

–» Création d’un nouveau souvenir!

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15
Q

Qu’est-ce que le retrait de l’information (témoins oculaires)?

A

Processus par lequel nous récupérons des informations emmagasinées dans notre mémoire (possible d’aller chercher la mémoire reconstructive).

Ce processus intervient :
-Lors de l’établissement d’un portrait-robot

  • Lors d’une séance d’identification
  • Lors d’un interrogatoire par les policiers ou les avocats
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16
Q

Lors des séances d’identification, que faut-il faire pour augmenter la fiabilité des réponses?

A
  1. Présenter le suspect parmi des personnes qui défilent successivement (un à la fois) :
    - L’apparence des personnes ne doit pas trop varier.
    - Lors de plusieurs séances, on doit faire varier l’ordre de présentation.
  2. S’il y a plusieurs témoins, ils devraient participer à tour de rôle aux séances :
    - Il faut éviter toute source d’influence.
    - Donner aucun indice au témoin.
  3. Le policier qui participe à la séance doit ignorer qui est le suspect :
    - Mentionner que le suspect n’est peut-être pas inclu.
    - Il doit s’abstenir de tout commentaire.
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17
Q

Lors des interrogatoires des témoins, que faut-il faire pour augmenter la fiabilité des réponses?

A
  • Établir d’abord une bonne relation
  • -» Encourager le témoins à être actif
  • Poser des questions ouvertes
  • -» Ne pas chercher à deviner ce qui s’est passé
  • Inviter le témoin à reproduire le ontexte mentalement
  • -»Lui demander de fermer les yeux (mémoire visuelle) ou recourir à des dessins.
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18
Q

Qu’est-ce qui peut influencer la qualité du témoignage en cour?

A
  1. Degré d’assurance du témoin. Il n’y a pas de lien établi entre le degré de confiance du témoin et l’exactitude de son témoignage.

MAIS :
Les jurés accordent plus de crédibilité à un témoin sûr de lui qu’à un témoin qui hésite.

Le rappel tardif d’informations est interprété comme une incohérence (se rappeler de quelque chose plus tard).

  1. Le nombre de témoins
    - La probabilité de culpabilité diminue davantage par l’addition d’un témoin qui n’identifie pas l’accusé…

-Qu’elle n’augmente par l’addition d’un témoin qui l’identifie

  1. Les portraits-robots
    - Présentent peu de ressemblance avec les criminels

-Les morphoses sont plus semblables (prendre plusieurs portaits faits par différentes personnes et mettrent ensemble).

19
Q

Qui est le plus fiable en cour?

A
  1. Les jeunes enfants, les personnes âgées et les personnes ayant une faible estime de soi? NON
  2. Les personnes ayant un QI élevé? OUI
    - Meilleure capacité de perception, de mémorisation et de reconnaissance des visages.
    - Resistent mieux aux fausses informations.
  3. Les victimes de viol?
    - Plus susceptibles d’être perçues comme crédibles si elles sont émotives que si elles sont impassibles (préjugés). *Dans les faits, les victimes sont gelées émotionnellement.
  4. Les enfants
    - Réponses plus exactes avec des questions ouvertes.
    - Perçus comme plus honnêtes puisque mentir demande une complexité cgnitive. Cependant, ils disent rarement «je ne sais pas».
  5. Les témoins experts
    - Lorsqu’il y a désaccord: la cour a tendance à suivre l’opinion majoritaire des évaluateurs (plus de témoins en faveur d.un côté).
    - La contre-expertise qui tente de miner la crédibilité de l’expert ne réussit pas à modifier la perception première.
    - Les jurés perçoivent les experts comme non objectifs, les croivent biaisés.
20
Q

Quelles sont les différentes formes de fausses confessions?

A

Volontaire : pour éviter à un proche d’être condamné.

Pathologique : par désir inconsidéré de notoriété (malsaine), dans les cas médiatisés surtout.

Par coercition : pour éviter de mauvais traitements (interrogations trop intenses et veut que ça cesse).

La personne finit par se convaincre elle-même de sa culpabilité

21
Q

Qu’est-ce que l’expérience ATL?

A

Averti gens qu’il faut vraiment pas accrocher la touche sinon perd les données. Font arrêter l’ordi et assistant accuse la personne d’avoir accroché. Crée doute et donne 3 choix.

69% ont signé une fausse déclaration.

28% ont déclaré èa autrui qu’ils étaient responsable.

9% ont dit se souvenir d’avoir appuyé sur a touche.

22
Q

Quelles sont les méthodes utilisées des fausses confessions?

A
  • L’isolement accroît l’anxiété du suspect (interrogation moyenne entre 30min-2h. Fausses confession = 16h).
  • Le recours à des preuves fictives
  • La démonstration au suspect que sa situation est sans espoir
23
Q

Que peut-on dire des croyances des policiers avec les fausses confessions?

A

Lorsqu’il y a une forte présomption de culpabilité Le but premier de l’interrogatoire est de faire avouer le suspect : Biais de culpabilité (à la place de se questionner si c’est la bonne personne).

Le policier est plus attentif aux indices de culpabilité.

Il exerce plus de pression sur le suspect pour obtenir un aveu.

24
Q

Que peut-on dire de la vulnérabilité de certaines personnes et des fausses confessions?

A
  • Les jeunes sont plus impulsifs, pensent moins au long terme. 65%
  • Les individus mentalement déficients n’ont pas toutes les facultés. 22%
  • Les individus souffrant de psychopathologie, difficulté à différencier le vrai/faux.
  • Les innocents, protéger quelqu’un, connait pas trop les processus judiciaires.
25
Q

Que peut-on dire des jurés et des fausses confessions?

A

Difficulté à faire abstraction d’une confession

Erreur d’attribution fondamentale (ne tiennent pas compte du contexte, plus de la personne).

26
Q

Quelles sont les techniques d’interrogations policières?

A

Technique Reid

Modèle Britannique Peace

MR. Big

27
Q

Qu’est-ce que la technique Reid?

A
  • Isole le suspect
  • Confronte avec des preuves
  • Refuse les alibis ou dénégations
  • Tactiques de maximisation (Bad Cop, un policier intimidant et l’autre bon policier qui crée alliance et empathie pour finalement que suspect avoue)
  • Tactiques de minimisation (Good Cop)
  • Amène les suspects à ne pas s’inquiéter
28
Q

Qu’est-ce que le modèle Britannique Peace?

A
  • Moins coercif
  • Pas de tromperie ni manipulation
  • Plus éthique
29
Q

Qu’est-ce que la technique Mr. Big?

A

Infiltre milieu criminel et embarque le suspect avec et font délits ensemble pour gagner confiance. Faire croire qu’il s’intègre dans un réseau criminel. Après quelques temps, on l’invite à rencontrer Mr. Big, mais avant ça, besoin d’une assurance –» confesser un crime déjà fait. But ultime = confession du crime pour lequel il est suspect

30
Q

Quelles sont les indices pour la détection des mensonges?

A

Paraverbaux

Non verbaux

Contenu de la communication

31
Q

Que peut-on dire sur l’indice paraverbaux de la détection des mensonges?

A
  1. Paraverbaux
    - Durée du message (-) vitesse du débit (+) nombre de mots (-), détails (-)
    - Les pauses, le ton de voix, les répétitions
    - Erreurs d’élocution, bégaiements, etc. (+)

Les indices corrélés avec la tromperie selon la recherche (Sporer et Schands, 2006) :

  • Ton de la voix (plus aigu, mais juste détactable électroniquement).
  • La latence de la réponse (+ courte)
  • Erreurs d’élocution (+)
32
Q

Que peut-on dire de l’indice non verbaux de la détection des mensonges?

A
  • Fréquence des clignotements des yeux (+)
  • Durée du contact visuel (-) et de l’évitement du regard (+)
  • Signes de têtes affirmatifs, sourire (+)
  • Mouvements des jambes, des mains, etc. (+)

Les indices corrélés avec la tromperie selon la recherche (Sporer et Schands, 2007) :

  • Signe de la tête affirmatifs (-).
  • Mouvement de mains et des jambes (-)
33
Q

Que peut-on dire de l’indice du contenu de la communication pour la détection des mensonges?

A
  • Incohérence
  • Hésitation
  • Trous dans la narration
34
Q

Que démontrent les recherches quant aux indices de détection des mensonges?

A
  • Qu’il n’y a pas d’indices qui soient toujours présents en cas de tromperie
  • Les mêmes indices peuvent être présents lors de mensonges et de vérité
35
Q

Quelles sont les 4 approches pour la détection des mensonges?

A

Physiologique : Augmentation de l’activation physiologique.

Émotif : peur d’être pris et de culpabiliser

Comportemental : micro-affects du visage (pour voir émotions qu’on tente de cacher)

Cognitif : mentir demande plus d’efforts

36
Q

Qu’est-ce que que le monitoring de la réalité?

A

Protocole d’interrogation pour la détection des mensonges

  • Les souvenirs d’événements vécus et les souvenirs d’événements imaginés ne sont pas de qualité égale.
  • Les souvenirs d’événements vécus sont riches en info sensorielles, temporelles et spatiale.

Les souvenirs d’événements imaginés reposent sur des raisonnements cognitifs (plus difficile de donner réponse).

Pour démasquer les menteurs, on peut augmenter le fardeau cognitif en :

  • Demandant de réciter les évéements en commençant par la fin.
  • Demander de faire un croquis de l’endroit.
  • Poser des questions spatiales et temporelles innatendues.
37
Q

Qu’est-ce qu’un polygraphe?

A

Détecteur de mensonges

  • Enregistre la sudation, la tension sanguine et la respiration.
  • Augmentent en présence d’émotions et seraient peut-être liés aux mensonges.
  • Toutefois, ces indices peuvent apparaître même en l’absence de mensonges (stress de l’interrogation).
38
Q

En quoi consiste le test de la comparaison de questions avec le polygraphe?

A
  1. On obtient l’info biographique du suspect et sa version du crime
  2. On démontre au suspect la capacité de détection du polygraphe
  3. On pose trois types de questions :
    - Neutre (vivez-vous en Ontario)
    - Liée au crime (avex-vous volé la voiture?)
    - Mensonge probable (dans les 20 premières années de votre avie, avez-vous déjà pris quelque chose qui ne vous appartenait pas?)

**On compare l’activation physiologique (degré)
Si augmente lié au crime et diminue mensonge = coupable.
Contraire = pas couapble.

39
Q

En quoi consiste le test de la connaissance coupable avec le polygraphe?

A

Utilise également un polygraphe

On questionne sur un élément du rime, uniquement connu par le coupable. Ex. sur l’arme du crime. n présente différents armes et le suspect doit dire non à chaque arme présenté et on évalue l’activation physiologique à l’arme du crime connu.

40
Q

Quelle autre technique pourrait éventuellement marcher pour détecter les mensonges?

A

Résonnance magnétique

Permet de mesurer l’activité cérébrale

Le mensonge activerait les zones associées à l’inhibition et la résolution de conflit

Mais encore à ses débuts, beaucoup de critiques…

41
Q

Par quoi d’autres les juges et jurés sont influencés?

A

Caractéristiques de l’accusé!

  1. Apparence physique : belles personnes sont plus innocentées ou ont des peines moins sévères (surtout femmes) et les traits du visage (mâchoir carrée = agressivité).
  2. Ethnie : les Noirs ont des peines plus lourdes que les Blancs pour des crimes sembables.
  3. Statut socio-économique : personne avec sse élevé sont plus innocentées ou ont peines moins sévères.
42
Q

Quelles sont les 3 étapes pour la sélection des jurés?

A
  1. Préparation d’une liste de personnes admissibles à partir de la liste électorale.
  2. Tirage au sort d’un certain nombre de personnes.
  3. C’est l’examen de l’admissibilité à la fonction de juré effectué par le juge et les avocats.
    Ces derniers peuvent être influencés par leurs croyances, leurs préjugés ou leurs stéréotypes.

Jurés =

  • pas biaisés
  • pas de préjugés
  • représentatif de l’endroit où s’est produit le crime.
43
Q

Comment choisit-on les candidats?

A
  1. Selon les théories implicites de la Personnalité :
    Type de schémas que les individus utilisent pour inférer des traits qui s’accordent généralement
  2. Selon les stéréotypes culturels
  3. Variables démographiques (âge, instruction et revenu). Les plus vieux, - instuis, et plus pauvre = condamment plus.
  4. Similitude entre juré et accuse (moins sévère envers quelqu’un qui nous ressemble)
  5. Selon les types de cause (H vs F dans situation présentée)
  6. L’ethnie:
    Si les preuves sont faibles : juré moins sévère envers les mêmes couleur de peaux qu’eux.
    Si les preuves sont accablantes: juré plus sévère envers même couleur qu’eux (mettre distance).
44
Q

Est-ce que ces techniques de sélection des candidats sont efficaces?

A

Il a été démontré que les croyances, attitudes et valeurs d’un juré influencent le verdict

Cela est particulièrement vrai dans les causes de viol et de peine de mort (prend pas gens qui ont une opinion contraire à la cause qu’on défend)