cardio Flashcards
conditions pour lesquelles le score SCORE n’est pas applicable
age hors 40-70 ans diabète HTA grade III >180mmHg insuffisance rénale chronique hypercholestérolémie familiale prévention secondaire (déjà considéré à haut risque)
dérivations apicales de l’ECG
V3 V4
délai pour parler d’un angor stable
1 mois
nombre de décès dans le monde pour l’HTA
10 millions
epistaxis
acouphènes + vertiges
céphalées le plus souvent occipitales et matinales
fatigabilité, asthénie
Evoquer une HTA
bilan initial d’une HTA
iono : sodium potassium créatine + DFG glycémie à jeun EAL à jeun recherche d’une protéinurie ECG de repos albu/creat chez hypertendu diabétique sans protéinurie NFS
HTA + hypokaliémie
hyperaldostéronisme
hyperaldostéronisme primaire
aldostérone plasmatique et urinaire +++
activité rénine plasmatique - en décubitus non stimulée par orthostatisme
causes: adénome de Conn, hyperplasie bilatérale des surrénales, hyperaldostéronisme primaire familial
> TDM/IRM
hyperaldostéronisme secondaire
aldostérone +++
activité rénine plasmatique +++
causes : HTA rénovasculaire, HTA maligne, HTA sous pilule, tumeur sécrétant de la rénine
recherche des complications de HTA
ECG puis ETT si anomalie ou si symptômes : HVG, FA
recherche AAA : palpation
recherche AOMI : IPS, echo doppler si besoin
TDM/IRM si doute sur une atteinte cérébrale (AVC)
recherche atteinte rénale : creat, DFG, protéinurie, albu/creat, echo si besoin
si HTA résistante ou diabète : fond d’oeil
recommandations de la société francaise d’HTA pour la cible
PAS 130-139 et PAD<90 à 6 mois au cabinet confirmé au domicile, valable pour les diabétiques et malades rénaux
chez le sujet >=80 ans PAS<150 mmHg sans hto
anti hypertenseurs à privilégier chez patient diabétique ou atteinte rénale
IEC ou ARA II
anti hypertenseurs à privilégier chez patient insuffisant cardiaque
IEC
Bb de l’IC
Diurétiques
anti hypertenseurs à privilégier chez patients coronariens chroniques
IEC
Bb
anti hypertenseurs à privilégier chez patient avec ATCD d’AVC ou AIT
Diurétiques thiazidiques
IEC
Inhibiteurs calciques
contrôle des complications de l’HTA lors de la visite de contrôle (tous les 3-6mois)
iono avec natrémie, kaliémie, créat tous les 1-2 max
glycémie et EAL à jeun tous les 3 ans max
ECG tous les 3 à 5 ans max
médicaments possiblement hypertenseurs (iatro)
AINS, CC, oestroprogestatifs, ciclosporine (ttt par inhibiteurs calciques), EPO, antidépresseurs IMAO et IRSNA, utilisation prolongée de vasoconstricteurs nasaux, anti-VEGF, anorexigènes amphétaminiques, Tacrolimus
déshydratation et/ou diarrhées chez patients traités par diurétiques, IEC ou ARA II
arrêt temporaire du traitement car risque d’insuffisance rénale aiguë avec hyperkaliémie
définition HTA résistante
PA non contrôlée malgré mesures hygiéno-diététiques + trithérapie comportant un diurétique thiazidique à dose optimale
examens à réaliser en cas de suspicion d’HTA secondaire
Dosage rénine + aldostérone debout/couché
Dosage aldostérone urinaire
Dosage de FLU, cortisolémie à 8h et ACTH
Dosage catécholamines urinaires et/ou plasmatiques
Echo-Doppler des artères rénales
TDM/IRM abdominale
Recherche SAS
recherche d’une HTA secondaire envisagée devant
orientation avec interrogatoire, examen clinique < 30 ans HTA>180/110 d’emblée HTA avec hypokaliémie HTA résistante
indications de l’angioplastie pour HTA secondaire par sténose des artères rénales
HTA ou IRen liée à dysplasie fibro-musculaire
Sténose > 60% responsable d’OAP flash ou épisodes d’IC à répétition
IRA avec ischémie rénale en cas de sténose bilatérale sans atrophie rénale associée
Traitement de sténose des artères rénales athéromateuse entraînant une HTA
IEC ou ARA II
+ KARDEGIC 75 mg
+ statines avec objectif LDLc < 0,7
+ PEC FdR
traitement des hyperaldostéronisme primaires
Spironolactone ALDACTONE
Chirurgie pour adénome de CONN
hyperminéralocorticismes à aldo et rénine basse
syndrome de Cushing
Blocs enzymatiques en 11Bhydroxylase et 17alpha hydroxylase
Rétention sodée primitive : syndrome de LIDDLE, syndrome de GORDON
Intoxication à la glycyrrhizine
étiologies du syndrome de Cushing
Maladie de Cushing : ACTH par tumeur hypophysaire
Syndrome de Cushing paranéoplasique : ACTH
Adénome ou tumeur maligne des surrénales (corticosurrénalome)
CCT
phéochromocytome
tumeur des cellules chromatoffines (crête neurale) maligne dans 10% des cas, sécrétant des catécholamines.
peut être extra-surrénal.
dans 10% des cas, peut rentrer dans le cadre d’une neurofibromatose de Recklinghausen ou d’une maladie de Von Hippel Lindau ou s’associer à d’autres tumeurs endocrines dans le cadre des néoplasies endocriniennes multiples NEM
diagnostic phéochromocytome devant HTA
HTA +++ paroxystique, crises brèves à début brutal
systématique si HTA + signes paroxystiques (céphalées, sueurs, palpitations) et sujet jeune
dosage urinaire des dérivés des catécholamines : métanéphrines et norméthanéphrines
Dépistage de coarctation de l’aorte
par ETT devant HTA MS et hTA MI, confirmation en angioTDM/IRM
causes d’HTA secondaire (non exhaustif)
Atrophie rénale (pyélo, tuberculose, polykystose, etc) TOUTES LES NÉPHROPATHIES CHRONIQUES et certaines aiguës Sténose des artères rénales Hyperaldostéronisme primaire et secondaire (CONN, hyperplasie SR, tumeurs, etc) Syndrome de Cushing Phéochromocytome Acromégalie Dysthyroïdie (+ Hyper) Hyperparathyroïdie Tumeurs carcinoïdes Hormones exogènes Coarctation de l’aorte Iatrogènes Intoxications (OH, cocaine, crack, ecstasy, cannabis) Syndrome d’apnée du sommeil +++ HTIC Acidose métabolique Quadriplégie, Syndrome de GUILLAIN BARRE, porphyrie aiguë, dysautonomies familiales Brûlures Hypoglycémie Hyperventilation Pancréatite Stress Anomalies métaboliques
signes d’ischémie permanente dans l’AOMI
douleurs de décubitus (III) troubles trophiques (IV)
valeurs seuil de l’IPS
N= 1-1,3
AOMI < 0,9
AOMI sévère < 0,7
Si 1,40 : médiacalcose (pouvant être un facteur d’AOMI)
Valeurs seuils de pression d’orteil
< 70mmHg : AOMI
< 30mmHg : Ischémie critique
examens complémentaires pour diagnostic d’une AOMI
- Test de marche de 6 min permet de sensibiliser le diagnostic alors que IPS était >0,9
peut entraîner une baisse de pression de 30mmHg ou une baisse d’IPS de 20% - Mesure TcPO2 évalue le stade ischémique : N=50mmHg
>35 bonne compensation
10-35 hypoxie continue
<10 hypoxie critique - Echodoppler
traitement général des AOMI
AAP
Statines avec cible LDLc <0,7
IEC/Bb si indication avec HTA/IC
PEC des FdR
Traitement médicamenteux de l’ischémie critique dans l’AOMI
Prostaglandines
Techniques de revascularisation dans l’AOMI
Pour les claudications sévères/ischémies permanentes :
Angioplastie (avec double AAP pendant au moins 6 mois)
Pontage
Techniques hybrides
premières cellules à souffrir en cas d’ischémie aiguë des MI
C nerveuses (2h)
C musculaires (6-8h)
œdème
syndrome des loges
nécrose cutanée (24h)
dg devant une douleur brutale, impotence fonctionnelle, MI froid, plus de pouls, anesthésie/paralysie
ISCHÉMIE AIGUE DES MI
grade de l’ischémie du MI si déficit sensitivo-moteur dépassant les orteils
IIb !!!! urgence : récupération possible si PEC immédiate
grade de l’ischémie du MI si anesthésie et paralysie importante
III : irréversible : perte de tissus et déficit séquellaire inévitable
Traitements de l’ischémie aigue des membres inférieurs
anticoagulation par HNF
antalgiques niveau 3
O2 par voie nasale
remplissage si besoin
soins locaux
ATB si altération barrière cutanée/infection
revascularisation : embolectomie, thombolyse, thromboaspiration
Indications chirurgicales pour prise en charge des endocardites infectieuses
Hémodynamiques : IC, EI avec dysfonction sévère de prothèse
Infectieuses: Abcès/fistule intracardiaque, EI fungique ou germes multirésistants, EI sur prothèse valvulaire à Staph, Persistance HC+ sous ATB, Augmentation de la taille des végétations sous ATB, Si EI sur stimulateur ou défibrillateur cardiaque, matériel extrait et réimplantation à distance, si EI sur cathéter veineux: retrait.
Emboliques: Augmentation de la taille des végétations sous ATB, végétation du coeur gauche volumineuse (>10mm) après épisode embolique sous ATB ou fuite sévère associée
dérogations au droit au respect de la vie privée et au secret des informations
continuité des soins
annonce pronostic/maladie grave si interdiction du patient
sévices sur personne mineures ou vulnérables
révélation de crimes/délits
signalement dangerosité
proportion des souffles organiques chez le nourrisson
90%
proportion des souffles fonctionnels chez l’enfant d’âge scolaire
50%
anomalies cardiaques auscultation fréquentes chez l’enfant par rapport à l’adulte
rythme cardiaque souvent rapide et irrégulier
dédoublement B2 variable avec la respiration (pas fixe ou large)
accentuation du B2 (malposition des vaisseaux ou HTP)
B3 à l’apex
bruit surajouté de type clic
cause souffle diastolique/double souffle chez enfant
organique
cause souffle chez l’enfant non variable dans le temps et position, fixe
cause organique
cause souffle chez l’enfant : bruyant et irradiant
organique
cause souffle frémissant chez l’enfant
toujours organique
cause souffle systolique (bref) chez l’enfant
fonctionnel le plus souvent
cause souffle variable dans le temps et position chez l’enfant
fonctionnel
cause souffle non irradiant chez l’enfant
fonctionnel le plus souvent
irradiations du souffle chez l’enfant
cou : obstacle aortique
dos: obstacle pulmonaire
panradiant ; CIV
seuil de saturation pour avoir une cyanose clinique
<85%
Examens complémentaires devant un souffle cardiaque chez l’enfant
Radio thrx
ECG
Echocardiogramme doppler : examen clé
CAT devant un souffle isolé chez le nouveau né
examen clinique complet
ECG
radio pulmonaire de face
échographie systématique
cardiopathies avec insuffisance cardiaque chez le nouveau-né
coarctation préductale = sténose de l’isthme aortique (pouls fémoraux abolis, chirurgie urgente)
autres causes rares avec dépistage prénatal
cardiopathies avec cyanose chez le nouveau né
transposition des gros vaisseaux (chirurgie correctrice dans les 15 premiers jours de la vie)
obstacle significatif sur la voie pulmonaire
autres malformations complexes
cardiopathies avec insuffisance cardiaque chez le nourrisson
shunt gauche-droite (CIV, canal artériel, canal atrioventriculaire chez T21) : risque HTP irréversible si opération trop tard après la première année de vie